DOI Heft:
No. 3 (décembre 1927)
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rés perspectifs qui sont la surface supérieure
des pieds. On réunira les angles de ces carrés
aux angles du plan inférieur : A a' c', àJ B', c er,
etc., et l’on obtiendra la forme perspective
des pieds. Il faut remarquer que le pied A est
placé en face du specta-
teur et que son arête
A A' est verticale.
Traverses.
On portera la hauteur
de la traverse qui réunit
les pieds de A en m et
son épaisseur de m en n.
Par ces points on mènera
des fuyantes aux points
de fuite. Du point r, mê-
me opération. De l’inter-
section de ces fuyantes
avec les arêtes extérieu-
res des pieds de droite et
de gauche on mènera de
nouvelles fuyantes qui
donneront les autres tra-
verses.
Pour tracer les planchettes qui réunissent les
pieds sous le siège on marquera sur le pied A A'
la hauteur de cette traverse en s. On mènera
des fuyantes à droite et à gauche jusqu’à la
rencontre avec les autres pieds.
Ombres.
La lumière vient à 45° de gauche à droite et
d’avant en arrière.
Le côté droit du tabouret sera donc ombré.
Le siège donne une ombre portée sur les pieds
et sur la planchette qui les réunit.
On marquera également l’ombre portée par
les pieds sur les traverses inférieures et sur le
sol.
60 millim. On dessinera ce prisme, plan et élé-
vation, puis on en fera le développement. On
ménagera des tenons comme l’indique le cro-
quis ; on découpera la figure et l’on
collera les côtés de manière à obte-
nir le prisme triangulaire demandé.
JEUNES FILLES.
Le motif que nous donnons (fig.) peut s’in-
scrire dans un cercle. On portera le rayon six
fois sur la conférence et l’on prendra les points
J. 3. 5 pour sommets des feuilles.
Le contour des feuilles sera brodé au point
TRAVAIL MANUEL
GARÇONS.
Exercice sur le prisme.
Le prisme, en général, est un solide ayant
pour base un polygone et dont les arêtes laté-
rales sont parallèles. Le polygone triangulaire
du croquis (fig.) a pour base un triangle équi-
latéral de 45 millim. et sa hauteur est de
de tige. Au milieu des feuilles on découpera
une amande ornée en broderie Richelieu ainsi
que les pois réunis au centre du motif par une
tige cordonnée.
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des pieds. On réunira les angles de ces carrés
aux angles du plan inférieur : A a' c', àJ B', c er,
etc., et l’on obtiendra la forme perspective
des pieds. Il faut remarquer que le pied A est
placé en face du specta-
teur et que son arête
A A' est verticale.
Traverses.
On portera la hauteur
de la traverse qui réunit
les pieds de A en m et
son épaisseur de m en n.
Par ces points on mènera
des fuyantes aux points
de fuite. Du point r, mê-
me opération. De l’inter-
section de ces fuyantes
avec les arêtes extérieu-
res des pieds de droite et
de gauche on mènera de
nouvelles fuyantes qui
donneront les autres tra-
verses.
Pour tracer les planchettes qui réunissent les
pieds sous le siège on marquera sur le pied A A'
la hauteur de cette traverse en s. On mènera
des fuyantes à droite et à gauche jusqu’à la
rencontre avec les autres pieds.
Ombres.
La lumière vient à 45° de gauche à droite et
d’avant en arrière.
Le côté droit du tabouret sera donc ombré.
Le siège donne une ombre portée sur les pieds
et sur la planchette qui les réunit.
On marquera également l’ombre portée par
les pieds sur les traverses inférieures et sur le
sol.
60 millim. On dessinera ce prisme, plan et élé-
vation, puis on en fera le développement. On
ménagera des tenons comme l’indique le cro-
quis ; on découpera la figure et l’on
collera les côtés de manière à obte-
nir le prisme triangulaire demandé.
JEUNES FILLES.
Le motif que nous donnons (fig.) peut s’in-
scrire dans un cercle. On portera le rayon six
fois sur la conférence et l’on prendra les points
J. 3. 5 pour sommets des feuilles.
Le contour des feuilles sera brodé au point
TRAVAIL MANUEL
GARÇONS.
Exercice sur le prisme.
Le prisme, en général, est un solide ayant
pour base un polygone et dont les arêtes laté-
rales sont parallèles. Le polygone triangulaire
du croquis (fig.) a pour base un triangle équi-
latéral de 45 millim. et sa hauteur est de
de tige. Au milieu des feuilles on découpera
une amande ornée en broderie Richelieu ainsi
que les pois réunis au centre du motif par une
tige cordonnée.
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