respectivement de trois centim. on tracera des
verticales par les points 1 .2. 3. 4 espacés de
six centim. et l’on décrira les circonférences;
on tracera ensuite les triangles en leur donnant
une base nr égale à peu près à m. 2.
Fig. 3. — Tracer les parallèles 1. 2. 3. 4 dis-
tantes les unes des autres de 2 centim. Porter
5 centim. de 1 en a, de a en b, etc., et par ces
points abaisser des verticales. Par l’intersec-
tion de ces lignes décrire des circonférences de
2 centim. de rayon et réunir les centres entre
eux par des droites selon le croquis.
Fig. 4. — Tracer les parallèles horizontales
1. 2. 3 distantes de 3 centim. Porter 45 millim.
de 1 en a, de a en b, de b en c, selon le croquis
vières et leur nom leur vient de la longueur
démesurée de leurs pattes nues semblables à de
hautes échasses. Les échassiers entreprennent
des voyages périodiques très longs, mais la grue
exécute les courses les plus lointaines et les plus
hardies. Habitante du Nord en été, elle vient
s’abattre en automne dans nos plaines maré-
cageuses puis passe en hiver dans les contrées
plus chaudes pour s’enfoncer dans les régions
boréales au retour de la belle saison.
Pour dessiner cet oiseau on tracera l’ovale
incliné du corps que l’on surmontera d’un cy-
lindre et d’un petit rectangle formant la tête.
On ajoutera le bec et les longues pattes.
Le vautour. — Le vautour est un oiseau
et tracer les obliques l7 b', 3' b, b c', b' c, etc.
Par l’intersection de ces obliques avec la paral-
lèle menée par le point 2 décrire des circonfé-
rences de 15 millim. de rayon environ. On peut
varier l’exercice comme dans la deuxième partie
de la figure.
Animaux. La grue. — La grue appartient
à l’ordre des échassiers. Ces oiseaux fréquen-
tent toujours les rivages de la mer ou des ri-
de proie diurne ; la nudité de sa tête et de son
cou ajoute à sa physionomie farouche. Les vau-
tours se nourrissent généralement de corps
morts et corrompus. Parmi les vautours, le
condor est de tous les oiseaux celui qui' s’élève
le plus haut dans les airs.
On dessinera la forme ovoïde du corps ; on
ajoutera la queue, la tête et les pattes, puis on
dessinera les détails selon le croquis.
verticales par les points 1 .2. 3. 4 espacés de
six centim. et l’on décrira les circonférences;
on tracera ensuite les triangles en leur donnant
une base nr égale à peu près à m. 2.
Fig. 3. — Tracer les parallèles 1. 2. 3. 4 dis-
tantes les unes des autres de 2 centim. Porter
5 centim. de 1 en a, de a en b, etc., et par ces
points abaisser des verticales. Par l’intersec-
tion de ces lignes décrire des circonférences de
2 centim. de rayon et réunir les centres entre
eux par des droites selon le croquis.
Fig. 4. — Tracer les parallèles horizontales
1. 2. 3 distantes de 3 centim. Porter 45 millim.
de 1 en a, de a en b, de b en c, selon le croquis
vières et leur nom leur vient de la longueur
démesurée de leurs pattes nues semblables à de
hautes échasses. Les échassiers entreprennent
des voyages périodiques très longs, mais la grue
exécute les courses les plus lointaines et les plus
hardies. Habitante du Nord en été, elle vient
s’abattre en automne dans nos plaines maré-
cageuses puis passe en hiver dans les contrées
plus chaudes pour s’enfoncer dans les régions
boréales au retour de la belle saison.
Pour dessiner cet oiseau on tracera l’ovale
incliné du corps que l’on surmontera d’un cy-
lindre et d’un petit rectangle formant la tête.
On ajoutera le bec et les longues pattes.
Le vautour. — Le vautour est un oiseau
et tracer les obliques l7 b', 3' b, b c', b' c, etc.
Par l’intersection de ces obliques avec la paral-
lèle menée par le point 2 décrire des circonfé-
rences de 15 millim. de rayon environ. On peut
varier l’exercice comme dans la deuxième partie
de la figure.
Animaux. La grue. — La grue appartient
à l’ordre des échassiers. Ces oiseaux fréquen-
tent toujours les rivages de la mer ou des ri-
de proie diurne ; la nudité de sa tête et de son
cou ajoute à sa physionomie farouche. Les vau-
tours se nourrissent généralement de corps
morts et corrompus. Parmi les vautours, le
condor est de tous les oiseaux celui qui' s’élève
le plus haut dans les airs.
On dessinera la forme ovoïde du corps ; on
ajoutera la queue, la tête et les pattes, puis on
dessinera les détails selon le croquis.