XVIIIe siècle), que Ton admire la remarquable
cheminée dite du « Franc de Bruges » et qui
occupe tout un côté d’une salle. Cette cheminée
fut exécutée par Guyot de Beaugrant, de Dî-
nant, d’après les dessins de Lancelot Blondeel.
Cette oeuvre, en marbre noir et en chêne, célè-
bre le traité de Cambrai par lequel François Ie1
fut obligé de reconnaître la liberté aux Flan-
dres en l’an 1529.
Sur le côté du quai de la Poterie se trouve
un vénérable hospice datant de 1276 et rem-
plaçant un autre hospice plus ancien encore.
C’est un asile de charité pour les femmes âgées.
Dans la chapelle se trouve l’image miraculeuse
de la Dame - de la Poterie sur un autel du
XIIIe siècle.
Non loin de l’église Sainte-Catherine, le
M usée communal réunit tous les trésors de l’art
flamand : œuvres de Van Eyck, de Gérard Da-
vid, de Jean Provost, d’Antoine C'iaessens, de
Jacob Van Ost, de Hugo Van der Goes, etc.
Après une promenade au milieu de ces mer-
veilles on s’échappe avec peine à leur emprise ;
on abandonne, avec la promesse d’y revenir,
ces rues calmes et silencieuses, ces quais em-
preints de mélancolie, cette vie recueillie qui
font le charme de la cité, « charme de délais-
sement et de splendeur. »
La figure humaine
PERSONNAGE DEBOUT, UNE JAMBE REPLIÉE SUR UN SUPPORT.
— 267 —
On remarquera com-
ment la ligne verticale
tracée par le milieu de
la figure passe par le
pied gauche du per-
sonnage. La tête est
légèrement inclinée en
avant. Les poings po-
sés sur les hanches
donnent aux coudes un
écartement sensible ;
le coude droit est situé
un peu plus bas que le
coude gauche. La jam-
be droite est repliée a
angle droit à partir du
genou et la partie du
pied au genou est vue
en raccourci.
cheminée dite du « Franc de Bruges » et qui
occupe tout un côté d’une salle. Cette cheminée
fut exécutée par Guyot de Beaugrant, de Dî-
nant, d’après les dessins de Lancelot Blondeel.
Cette oeuvre, en marbre noir et en chêne, célè-
bre le traité de Cambrai par lequel François Ie1
fut obligé de reconnaître la liberté aux Flan-
dres en l’an 1529.
Sur le côté du quai de la Poterie se trouve
un vénérable hospice datant de 1276 et rem-
plaçant un autre hospice plus ancien encore.
C’est un asile de charité pour les femmes âgées.
Dans la chapelle se trouve l’image miraculeuse
de la Dame - de la Poterie sur un autel du
XIIIe siècle.
Non loin de l’église Sainte-Catherine, le
M usée communal réunit tous les trésors de l’art
flamand : œuvres de Van Eyck, de Gérard Da-
vid, de Jean Provost, d’Antoine C'iaessens, de
Jacob Van Ost, de Hugo Van der Goes, etc.
Après une promenade au milieu de ces mer-
veilles on s’échappe avec peine à leur emprise ;
on abandonne, avec la promesse d’y revenir,
ces rues calmes et silencieuses, ces quais em-
preints de mélancolie, cette vie recueillie qui
font le charme de la cité, « charme de délais-
sement et de splendeur. »
La figure humaine
PERSONNAGE DEBOUT, UNE JAMBE REPLIÉE SUR UN SUPPORT.
— 267 —
On remarquera com-
ment la ligne verticale
tracée par le milieu de
la figure passe par le
pied gauche du per-
sonnage. La tête est
légèrement inclinée en
avant. Les poings po-
sés sur les hanches
donnent aux coudes un
écartement sensible ;
le coude droit est situé
un peu plus bas que le
coude gauche. La jam-
be droite est repliée a
angle droit à partir du
genou et la partie du
pied au genou est vue
en raccourci.