CES grandes lignes intérieures forment
donc le rythme de la figure. Rythme
intérieur, balancement, qui laisse
supposer tout un rythme mathé-
matique, un rythme de chiffres, un rythme
d’équations. Je sens cette chose confusément
en moi. N’est-il pas vrai que l’arc-boutant
suppose toute une science de chiffres de résis-
tance et de force ? Alors, ces courbes inté-
rieures, ne seraient-elles pas une conjugaison
plus intime d’arcs-boutants ! Je le crois.
Il y va de toute la stabilité de la figure hu-
maine. Le mouvement humain résume tous
les autres mouvements de la vie.
M.
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