Evaluation du poids
d’une pièce mécanique
AVOIR évaluer avec une approxima-
tion suffisante le poids d’une pièce
mécanique quelconque a une im-
portance considérable en pratique.
En effet s’il s’agit d’établir le prix d’une
pièce de fonderie il est indispensable, d’après
plan, de pouvoir calculer le poids attendu
que la fonte ou le bronze se paie au kilog.
Un dessinateur industriel, un chef d’ate-
lier doit donc être à même de cuber une pièce
d’après plan.
Nous croyons donc utile d’entretenir nos
lecteurs de cette question qui constitue un
complément important du dessin industriel.
Par suite de la forme parfois bizarre que
peuvent présenter les pièces mécaniques, leur
volume peut paraître à première vue"difficile
à établir.
On s’apercevra cependant, si l’on opère
avec méthode et un peu l’habitude aidant,
que toute pièce'’ peut se décomposer en
solides géométriques classiques tels que pris-
mes, cylindres, cône, sphère, tore, etc... dont
on sait facilement calculer le volume.
Il est évident, que dans certains cas, on
ne peut prétendre à une exactitude rigou-
reuse.
On comprend d’ailleurs que dans les
pièces coulées en fonte ou en bronze la den-
sité du métal peut varier entre certaines
limites, telle coulée aura une densité par
exemple de 7,15, la coulée suivante aura
comme densité 7,22.
v Aussi en pratique pour certaines com-
65
d’une pièce mécanique
AVOIR évaluer avec une approxima-
tion suffisante le poids d’une pièce
mécanique quelconque a une im-
portance considérable en pratique.
En effet s’il s’agit d’établir le prix d’une
pièce de fonderie il est indispensable, d’après
plan, de pouvoir calculer le poids attendu
que la fonte ou le bronze se paie au kilog.
Un dessinateur industriel, un chef d’ate-
lier doit donc être à même de cuber une pièce
d’après plan.
Nous croyons donc utile d’entretenir nos
lecteurs de cette question qui constitue un
complément important du dessin industriel.
Par suite de la forme parfois bizarre que
peuvent présenter les pièces mécaniques, leur
volume peut paraître à première vue"difficile
à établir.
On s’apercevra cependant, si l’on opère
avec méthode et un peu l’habitude aidant,
que toute pièce'’ peut se décomposer en
solides géométriques classiques tels que pris-
mes, cylindres, cône, sphère, tore, etc... dont
on sait facilement calculer le volume.
Il est évident, que dans certains cas, on
ne peut prétendre à une exactitude rigou-
reuse.
On comprend d’ailleurs que dans les
pièces coulées en fonte ou en bronze la den-
sité du métal peut varier entre certaines
limites, telle coulée aura une densité par
exemple de 7,15, la coulée suivante aura
comme densité 7,22.
v Aussi en pratique pour certaines com-
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