D
et st
essins
li
G
y
dations
eom
J’otj
étriq
ues
ets usuels
1
VOICI que nous allons faire quel-
ques exercices sur la décoration
du cercle. Est-ce une avance
dans notre méthode ? Oui et
non. Oui, parce que le cercle est une surface
un peu plus difficile à décorer, et que le tracé
de la grande circonférence présente quelque
difficulté nouvelle. Non, car notre méthode
n’est qu’un exercice continu pour la main,
l’œil et le goût ; que la main trace des
décoration du cercle on peut suivre une
dizaine de méthodes. Que vous procédiez
par rayonnement, avec symétrie ou asymé-
trie, cela ne m’intéresse guère ; ce qui importe
c’est que vous atteigniez un bon résultat,
que les pleins se répartissent sur toute la
surface (comme dans l’exemple n° 3), ou
qu’ils se localisent soit aux bords (exemple
n° 2), soit au centre et sur les bords (exemple
n° 4), suivant que vous vouliez obtenir un
lignes — des droites et des courbes — dans
un cercle, un carré ou un polygone quelcon-
que, cela revient au même ; l’œil cherche
les proportions dans n’importe quelle surface
avec quasi la même facilité ; le goût se
raffine par tout exercice bien conduit. Ici
il s’agit surtout d’acquérir le sentiment des
masses, l’équilibre du blanc et du noir. Plu-
sieurs manuels — plutôt scientifiques qu’ar-
tistiques — vous apprendront que dans la
effet uniforme, ou un effet de contrastes.
La composition doit s’adapter au cercle ;
disons mieux : il faut décorer un cercle. C’est-
à-dire qu’à grande distance, alors que tous
les détails se perdent, la masse générale doit
rester un cercle, et non un triangle, un carré...
Les figures géométriques sont-elles donc ban-
nies de ces compositions ? Pas le moins du
monde ; tous les éléments géométriques, flo-
raux, animaux restent à notre disposition.
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ets usuels
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VOICI que nous allons faire quel-
ques exercices sur la décoration
du cercle. Est-ce une avance
dans notre méthode ? Oui et
non. Oui, parce que le cercle est une surface
un peu plus difficile à décorer, et que le tracé
de la grande circonférence présente quelque
difficulté nouvelle. Non, car notre méthode
n’est qu’un exercice continu pour la main,
l’œil et le goût ; que la main trace des
décoration du cercle on peut suivre une
dizaine de méthodes. Que vous procédiez
par rayonnement, avec symétrie ou asymé-
trie, cela ne m’intéresse guère ; ce qui importe
c’est que vous atteigniez un bon résultat,
que les pleins se répartissent sur toute la
surface (comme dans l’exemple n° 3), ou
qu’ils se localisent soit aux bords (exemple
n° 2), soit au centre et sur les bords (exemple
n° 4), suivant que vous vouliez obtenir un
lignes — des droites et des courbes — dans
un cercle, un carré ou un polygone quelcon-
que, cela revient au même ; l’œil cherche
les proportions dans n’importe quelle surface
avec quasi la même facilité ; le goût se
raffine par tout exercice bien conduit. Ici
il s’agit surtout d’acquérir le sentiment des
masses, l’équilibre du blanc et du noir. Plu-
sieurs manuels — plutôt scientifiques qu’ar-
tistiques — vous apprendront que dans la
effet uniforme, ou un effet de contrastes.
La composition doit s’adapter au cercle ;
disons mieux : il faut décorer un cercle. C’est-
à-dire qu’à grande distance, alors que tous
les détails se perdent, la masse générale doit
rester un cercle, et non un triangle, un carré...
Les figures géométriques sont-elles donc ban-
nies de ces compositions ? Pas le moins du
monde ; tous les éléments géométriques, flo-
raux, animaux restent à notre disposition.
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