COTATION DES GERCEES
On peut tracer les lignes de cotes parallèle-
ment à l’un des axes (fig. 13) en observant
que les cotes sont d’autant plus rejetées à
l’extérieur qu’elles sont plus grandes.
On peut également les indiquer suivant
les diamètres
(fig. 14). Dans
ce cas il faut
avoir soin de
les disposer
par ordre de
grandeur. On
peut même
•en former
plusieurs
groupes cor-
respondant
chacun à des
dimensions
peu différen-
tes ; les cotes
de chaque
groupe ainsi formé seront, autant que
possible, inscrites à une même distance du
centre.
De préférence et pour évi-
ter de devoir tracer toutes
les circonférences on se bor-
ne, dans la vue de profil,
d’en dessiner quelques-unes ;
on indique ainsi que la pièce
est partout cylindrique. On
répartit ensuite les cotes en-
tre les différentes vues.
Ainsi la figure 15 repré-
sente une pièce de jonction
à bride et emboîtement des-
tinée à raccorder deux conduites de diamètre
différent d’une distribution d’eau ou de gaz.
En cotant
les divers
diamètres
directement
sur la coupe
on juge im-
médiatement
des diverses
dimensions
tandis que si
l’on cotait le
profil on au-
rait le grand inconvénient de devoir recher-
cher à quelle partie circulaire de la pièce se
rapporte la circonférence considérée.
Parfois on simplifie en indiquant la cota-
tion en faisant précéder le chiffre d’un
cercle barré qui signifie conventionnellement
diamètre (fig. 16).
Si une côte doit être inscrite dans une
surface hachurée on aura soin, pour bien
dégager les chiffres, d’interrompre les ha-
chures à l’endroit de celui-ci (fig. 17).
I
COTATION DES ANGLES
Cette cotation s’effectue en traçant du
sommet de l’angle un axe de cercle avec un
rayon suffisamment grand pour que le nombre
de degrés indiquant l’ouverture de cet angle
puisse être inscrit très lisiblement et dans
le sens de l’axe (fig. 18).
La fig. 19 montre trois cotations défec-
tueuses ; les axes de cercle sont trop petits,
ou les flèches ne touchent pas les côtes de
l’angle ou les chiffres n’ont pas le sens
voulu.
Nous terminerons ce chapitre en donnant
l’exemple d’une bonne cotation et d’une
cotation défectueuse, (fig. 20)
Ce croquis représente une coupe longitu-
dinale effectuée dans une cuvette de soupape
186
On peut tracer les lignes de cotes parallèle-
ment à l’un des axes (fig. 13) en observant
que les cotes sont d’autant plus rejetées à
l’extérieur qu’elles sont plus grandes.
On peut également les indiquer suivant
les diamètres
(fig. 14). Dans
ce cas il faut
avoir soin de
les disposer
par ordre de
grandeur. On
peut même
•en former
plusieurs
groupes cor-
respondant
chacun à des
dimensions
peu différen-
tes ; les cotes
de chaque
groupe ainsi formé seront, autant que
possible, inscrites à une même distance du
centre.
De préférence et pour évi-
ter de devoir tracer toutes
les circonférences on se bor-
ne, dans la vue de profil,
d’en dessiner quelques-unes ;
on indique ainsi que la pièce
est partout cylindrique. On
répartit ensuite les cotes en-
tre les différentes vues.
Ainsi la figure 15 repré-
sente une pièce de jonction
à bride et emboîtement des-
tinée à raccorder deux conduites de diamètre
différent d’une distribution d’eau ou de gaz.
En cotant
les divers
diamètres
directement
sur la coupe
on juge im-
médiatement
des diverses
dimensions
tandis que si
l’on cotait le
profil on au-
rait le grand inconvénient de devoir recher-
cher à quelle partie circulaire de la pièce se
rapporte la circonférence considérée.
Parfois on simplifie en indiquant la cota-
tion en faisant précéder le chiffre d’un
cercle barré qui signifie conventionnellement
diamètre (fig. 16).
Si une côte doit être inscrite dans une
surface hachurée on aura soin, pour bien
dégager les chiffres, d’interrompre les ha-
chures à l’endroit de celui-ci (fig. 17).
I
COTATION DES ANGLES
Cette cotation s’effectue en traçant du
sommet de l’angle un axe de cercle avec un
rayon suffisamment grand pour que le nombre
de degrés indiquant l’ouverture de cet angle
puisse être inscrit très lisiblement et dans
le sens de l’axe (fig. 18).
La fig. 19 montre trois cotations défec-
tueuses ; les axes de cercle sont trop petits,
ou les flèches ne touchent pas les côtes de
l’angle ou les chiffres n’ont pas le sens
voulu.
Nous terminerons ce chapitre en donnant
l’exemple d’une bonne cotation et d’une
cotation défectueuse, (fig. 20)
Ce croquis représente une coupe longitu-
dinale effectuée dans une cuvette de soupape
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