sion de dessin et par un coloris très dense,
dû au subjectile, qui n’est jamais léger, mais
épais, de façon à absorber beaucoup de
teinture. En France, le batik s’appelait au
XVIIIe siècle, teinture en réserve, et le Musée
de South Kensington conserve de beaux spé-
cimens français de cette époque, traités dans
le style Louis XV.
Nous donnons ici la construction du batik
qui nous occupe. L’étudiant remarquera que
sa sévérité presque architecturale est due à
la logique de sa construction, les fleurettes,
par exemple, marquant les deux foyers de
l’ellipse ainsi qu’on peut le voir en B sur la
figure 7. (fig. 7.)
Le réseau des carrés est coupé de diago-
fig. 7
67
dû au subjectile, qui n’est jamais léger, mais
épais, de façon à absorber beaucoup de
teinture. En France, le batik s’appelait au
XVIIIe siècle, teinture en réserve, et le Musée
de South Kensington conserve de beaux spé-
cimens français de cette époque, traités dans
le style Louis XV.
Nous donnons ici la construction du batik
qui nous occupe. L’étudiant remarquera que
sa sévérité presque architecturale est due à
la logique de sa construction, les fleurettes,
par exemple, marquant les deux foyers de
l’ellipse ainsi qu’on peut le voir en B sur la
figure 7. (fig. 7.)
Le réseau des carrés est coupé de diago-
fig. 7
67