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De Dietsche warande: tijdschrift voor kunst en Zedegeschiedenis — 3.Ser. 1.1887-1888

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https://doi.org/10.11588/diglit.24587#0274

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ANS la seconde partie de son arlicle sur le
peintre J. Drooch-Sloot, M. Nordhoff obtient
gain de cause en faveur de celui dont il a pris
la defense avec tant de conviction. Sans lui vouer un
culte retentissant, il etablit la superiorite de Drooch-
Sloot par des preuves palpables et des raisons peremp-
toires, devant lesquelles, il faut l’esperer, les detracteurs
d’antan de l’excellent artiste ne s’aviseront plus de
ravaler son art au niveau d’un infime barbouillage.

D’ailleurs, la premiere partie de l’argumentation de
M. Nordhoff avait ä peine paru, que dejä vinrent ä la
rescousse MM. Obreen, conservateur du Musee de l’Etat
a Amsterdam, M. le Bon de Breugel-Douglas ä la
Haye, le docteur Riegel a Fribourg (Bade) et plusieurs
autres personnes, apportant qui des jalons biographi-
ques, qui la description d’une oeuvre encore ignoree
due au pinceau de l’emule de Teniers.

La parole est ensuite au comte Maurin Nahuys,
l’un des numismates les plus distingues de notre pays.
Dans une etude approfondie sur les freres Schoemaker,
l’auteur s’attache a demontrer que le fameux Van Loon
voyait dans la personne d’Andre Schoemaker son emule,
voire meme son maitre.
 
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