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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0037

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îme des esprits ergoteurs pereiia'^
nbe pas toujours en fÉme, et,,^
lessus devient insuffisante,il milita

le les poissons sont peu lojmts fe
mois de février n'aginéraleneiip;;
H pendant ce mois que les
ar conséquent elles se rapp;,
t poisson. — Cet animal est
, donnée dans le cercle zodiacal.

Horoscopes.
ms avez souci de votre bonhe;
i pouvoir pour ne pas venir an mfegi
rai verra le jour pendant ce i
fortune, jouira de cette ktulc htœ
apaud. Une loupe qu'il portera surl.?:r ■
famille, et il aura la bosse de Ittt -
e. — Dans ses moments tint
re de l'^toidari; mais il ne ferai:;:,
ité, et vers l'âge de te am Ml™
prèmcn t.-la nuit, il routeras»*

îmme à quitter le domicile ■#!««
c na»eur.- Néanmoins il fin»*1'
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5, mes dames, ,ai nate cet. ;;
J, cette planète vous prcdtfe..

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Me remar,* pour,« ;

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,M en horlant et

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A minuit, sous les tables dans les maisons qui ont festinë, et
dans la rue au milieu du ruisseau, des hommes ronflent ivres de
jouissances, bercés par les derniers aboiements des trompes en
terre cuite.

Temps pB'ésumabEc

Pendant tout le mois, à partir du mercredi des Cendres, les
vents souilleront sans relâche et on signalera Je grandes tempêtes
dans les régions abdominales des partisans du carême. Ces per-
turbations atmosphériques seront causées par une trop grande
consommation de haricots.

Des bourrasques se feront sentir sur les cMes des journalistes,
dans les parages de la police correctionnelle ; il pleuvra des juge-
ments avec condamnations généralement houleuses.

menu ortliottoatiï pour le Carême

Purée de croûtons à la Cardinale.
OEufs pochés à la Castelfidardo.
Crème fouettée par les jésuites.
Salade : Barbe de capucin.
Fromage : Tête de moine.
Eau de mélisse des Carmes.
Prédictions

Un fabricant de viscères répondra à un besoin général en in-
ventant des consciences en caoutchouc pour les personnes indéli-
cates, et des estomacs en zinc inoxydable, à l'usage des sociétés
de tempérance. Il ne pourra su'fire aux demandes et fera sa for-
tune en très-peu de temps.

Vers la fin du mois, une tempête furieuse se déchaînera sur
Paris où elle causera les plus épouvantables ravages. L'incroya-
ble violence du vent pourra être comprise par co fait qu'on verra
tourbillonner dans l'air des bras, des jambes et des têtes arrachées
aux passants par l'ouragan. M. Gagne y perdra ce qui lui reste
de cervelle. — Louis Yeuillot sera jeté par le vent dans les bras
d'Auguste Villemot, qui profitera de l'occasion pour lui manger
le nez: Auguste Villemoten fera unemaladie. — Une sage-femme
trop légère sera transportée sur le paratonnerre des Invalides, où
son mari la retrouvera assise jusqu'aux épaules.—Seuls, les gens
prudents qui auront lesté leurs poches avec les lourds articles de
la Remie des Deux-Mondes, pourront résister à la violence de la
tempête.

Un docteur allemand fera de l'huile avec des tètes de crapaud,
et cette préparation aura la propriété de faire grossir les seins des
dames. Il se livrera à de nombreuses expériences sur des ma-
melles de grenouilles, et toujours le succès couronnera son opé-
ration .

A. Humbert.

victuaille-0:

"•"fit

LE PETIT VAPEREAU

ANTIER ^Benjamin), — Il n'est pas mort, au contraire!
Toujours jeune, papa An lier ; toujours jeune, l'éternel auteur de
Robert Macaire, le D.ennery de l'an VII, qui a vu mourir
Louis XVI.

Antier, depuis l'âge de dix-sept ans, n'avait pas quitté Béran-
ger. Aujourd'hui, il revit en son frère, avec le même sourire, le
même regard, la même tête penchée dans la cravaie. 11 habite,
rue Béranger, la maison de Béranger. Quand on voit le bonhomme
Antier, on croit revoir le bonhomme Béranger.

Le poète, qui ne flattait que l'infortune, a pour Sosie l'auteur
do Robert Macaire : une polissonnerie du destin !

Quand l'auteur de Robert-Macaire était sous-chef au Mont-de-
PiétéJles Directeurs dans la débine écrivaient à Antier : «Illus-
tre et cher confrère. » Quand An'1er allait leur porter une pièce,
ils iui répondaient : € Monsieur le sous-chef du bureau des enga-
gements. D

Il ne faut pas croire à cette fable trop connue que le type de
Robert Macaire est l'œuvre du génie de Frédéric Lemaître et qu'il
ne s'est jamais trouvé dans la tête d'Antier.

Non, il a fallu son insouciance pour laisser passer cette bourde.
Avoir l'honnête et sceptique dramaturge qui, de son fin sourire,
se moque des crimes les plus atroces comme des choses les plus
sacrées, on reconnaît sans peine l'auteur de Robert Siacivc et de
VAuberge des Adrets.

Antier ne recherche que la Société des dames; il chante le cou-
plet au dessert, ne demande aux directeurs de spectacle que des
baignoires fermées : Toujours jeune, papa Antier !

ARGENT (Yan d'), peintre breton, qui a la palette aussi ar-
gentée que son nom, un fantastique et un mystique. En sa qualité
de Breton blond, D'Argent n'aime pas le Dore', c'est naturel,

ARBAN. — A mettre en lettres de flamme sur le portique de
Vatentino : Au chef d'orchestre des crevettes, les petits crevés re-
connaissants !

ARNAL.— Un grand comédien qui a perdu jusqu'à la mémoire;
où sont les héros de Riche d'Amour^ d'Une Clé dans le dos et de
PassJ Minuitt Que sont devenus ces écrïns de l'esprit où A mal en-
châssait chaque .perle dans un trait qu'il soulignait avec un art
dont il n'a plus souvenir? Où sont les neiges... d'Antan?

ARVEUF. — Un architecte artiste, presque un merle blanc,
un décorateur de goût, chose de plus en plus rare; il n'a pas
construit le nouvel Opéia, pas si bétel

ATJBER. — Figure pétillante d'esprit, labourée de rides où se
croisent tous les traits delà satire. Lui aussi est resté jeune, quoi-
que de 1782. Le socle de son buste n'attend que la date de sa
mort, c'est-à-dire la fin de sa quatrième jeunesse, sur la façade
du. nouvel Opéra : Singulière flatterie ! d'un autre côté, les flat-
teurs de la presse le font si jeune qu'ils finiront par le faire tom-
ber en enfance.

La jeunesse d"u vieil Auber finit par devenir une ranga'ine.

En 1819, Auber fait les Billets doux, la Promesse imprudente. La
critique pose Auber en pourfendeur de jésuites.

En 1830, il fait la Bayadère, la Muette, JFra Diavolo en compa-
gnie de Scribe 1 Vive la forte génération de 1830 I En 1837, parait
le Domino noir. A bas le drame échévelél Vive l'esprit pour l'es-
prit ! Enfin, 1864, voici la Fiancée duRoi de Garbe, la Circassienne,
puis le Premier Jour de Bonheur. Scribe est mort? Alors, à bas
l'esprit bourgeois ! à bas les vers de mirliton de la rue des Lom-
bards ! vive le véritable esprit, l'esprit du cœur I l'esprit d'Auber,
bien entendu.

Pourquoi Auber qui a tant d'esprit n'a-til pas celui de régler
les imprudentes flatteries de la jeunesse? Parce qu'il a aussi tous
les travers d'un vieux lion de la mode,parce qu'il n'est lui-même
qu'un grand musicien d'esprit.

Quelle différence avec Hérold! Puisque les fervents d'Auber
tiennent toujours à sacrifier une victime sur l'an tel de leur dieu ;
à notre tour, retournons l'autel, le sacrificateur et le dieu.

L'au'eur du Premier Jour de Bonheur passera plus vite que Vol-
taire et le café, l'auteur du Pré aux CUrs durera aussi longtemps
que ces poisons lents.

Hérold , c'est l'amour qui lue; Auber, c'est l'amour qui
ebante.

L'un porte un carquois de flèches empoisonnées et la robe de
Nisus ; l'autre, un mirliton enrubanné de faveurs, et un manteau
d'Arlequin ! Hrfrold, géant, Auber, gamin!

ASSOLANT. — Un tempérament! Il écrit des nouvelles qui
sont des petits chefs-d'œuvre, quand on ne veut plus de chefs-
d'œuvre! Il croit à la littérature, quand on ne veut plus do litté-
rateurs; il rédige des articles politiques qui sont des articles de
philosophie; il croit â la paix universelle ; c'est un homme de
sentiment tombé dans le monde de Machiavel ; il lèverait le pa-
radis dans l'enfer de Daftle.

L'innocence de ses pensées est levêtue d'un style sec et dur
comme u«e pierre à fusil ; qu'importe 1 Si l'étincelle en sort.

AUDIFRËD^Mabquis), sénateur, membre de l'Acadênre des
sciences morales et politiques.

Th. Labotjhieux
(À suivre).

GAZETTE A LA MAIN

— Mesdames et Messieurs, j'ai l'honneur de vous annoncer
que S. M. l'hiver vient — enfin — de descendre officiellement
dans nos murs.

Joie et froid l Les patineurs se frottent les mains ; le peuple
souffle dans ses doists. Le bois est cher, l'argent est rare, on a
commencé à danser chez les particuliers cossus..

II y avait, — l'autre soir, — fête de dominos dans un hôtel
princier de l'arrondissement du Louvre.

Un grand seigneur, — qui est un peu parent de la maîtresse
de la maison, — demande a celle-ci :

— Par grâce, veuillez donc me désigner M. Auber. Vous savez
que ma femme, qui est folle de sa musique, brûle d'envie de lui
être .présentée...

— M. Auber?... C'est t a domino bleu, qui cause là-bas, près
de la cheminée ..

m

Le duc, — le genûlhom ne est un duc, — s'empresse d'aller
quérir la duchesse...

La duchesse possède un 3 fort jolie voix de soprano et un talent
réel comme chanteuse-ami leur.

Le mari, s'adressant au lomino bleu :

— Cher et illustre mai ;e, voici une dame qui a grand besoin
de vos conseils.:.

Frémissement de surpris j dans l'auditoire...
Le domino ébauche un f este de dénégation...
Le mari insiste :

— Nous vous avons rec mnu. Ne nous refusez pas l'aide bien-
veillante de votre science, de votre art,..

Explosion de stupéfaction!...
Le domino se démasque...
C'était le docteur R cord.

Une dame entre chez un parfumeur, pour y renouvuler sa pro-
vision de teint de lys et de fraîches couleurs.

La boutique était pleine de monde; la dame, un peu honteuse
s'approch? discrètement d'un commis, et lui demande tout bas un
pot de rouge et un pot de blanc ; puis elle ajoute :

— Vous me direz ce que je dois sans nommer les objets.

— Bien, madame !

Et le commis s'en va au fond du magasin chercher les deux
articles; puis, de là, il s'écrie :

— En même temps, il ne vous faut pas un peu de noir pour les
yeux.

Deux hommes de robe se disputaient. C'était un avocat et un
avoué. Le premier ayant le dessous passa naturellement aux sot-
tises et appela son adversaire cornichon.

— Comichonl répéta l'autre, cornichon!

— Non, je me trompe, champignon...

— Cbampignon ! murmura l'officier ministériel comprenant en-
core moins.

— Certainement, parce que les avoués sont comme les champi-
gnons, ils poussent aux frais.

Petit bulBetiu

Le premier banquet annuel des anciens élèves du.lycée de
naktes aura lieu le lundi 'Ier février à six heures, aux Frères Pro-
vençaux. On peut se faire inscrire jusqu'au 30 janvier.

Vendredi, 5 février, concert de Mille C. Godin, — une pianiste
aux cheveux d'ambre, a laquelle je prédis le triple succès de la
beauté, de la grâce et du talent.

Le mot aie la ëbi.

Oh! ces revues !.;.

Alors qu'il n'y en a [lus. il y enaencore!

Celle ues Variétés, le Mot de la fin, — est, sans contredit, la
meilleure, parce que c'est la plus courte et la moins prétentieuse...

Un point de départ original indiqué par Christian avec infini-
ment de bonne humeur, des couplets en dose raisonnable, faciles,
enjoués, avec une pointe de fine raillerie; un défilé de scènes ra-
pides et sonores, telle est cette pièce qni brûle les planches et
dont tous les honneurs reviennent assurément à Mlle Silly. Im-
possible de singer Thérésa et Blanche d'Antigny avec plus d'es-
prit et de vérité. Voila de la caricature dont notre Gill serait
jaloux.

A côté do cette adorable guenuche, on a bruyamment applaudi
Guyon qui fait, de Chiiipéiïc-Hervé une charge des plus grotesques
et des miteux réussies...

Quant aux frères Lionnet ..

Peuhl...

Un talent en imitations \...

A une JTEadeleiue

Vous recevez les soins d'un marquis vieux et laid
ht Ion ne comprend rien à votre Complaisance
■Bah! - chaque fois qu'il vient, il m'offre un bracelet
ht son présent me fait supposer sa présence.

Au moment où il va se mettre à se raser, Calino son^e uuo la
semaine passée, il a cassé son miroir. D q '

Comment faire aujourd'hui?

Il se coupera certainement, — s'il ne peut pas se voir !

Ahl une idée : y" '*'»

Le digne descendant de feu M. de la Palisse prend sa photogra-
phie, l accroche a la muraille et se rase gravement devant!

Signalons un début important au Châ'elet ■

Aille Piron a succédé à Rafaëla Montero, dans le pas du serpent
de Theodoros. C'est une grande fille qui occupe sans trop de désa
vantage le costume indiscret que sa devancière meublait de tout*.,
ses crânenes et de toutes ses rondeurs. L'excellent professeur
Carey I a dressée, et Honoré, l'habile maître de ballet a donné
le coup de /ion à son éducation chorégraphique '

. Pir0[l!; • ~un no™ prédestiné!... - Je ne sais pas si elle
rimerait la fameuse Ode que vous savez; mais elle 'inspirerait
certainement!... *■

*

Deux mots resplendissent depuis quelques jours sur toutes les
murailles de Pans ;

*l UtvA« If

On s interroge ayee curiosité et personne ne peut trouver lomot

de 1 énigme.

L'Eclipsé, qui ne recule devant aucune dépense paur plaire à ses
abonnés, s'est procuré, à prix d'or, l'explication du rébus.

La yoilà : C'EST LUNDI que la maison du tapis rouge ouvre
au public les portes de la splendide exposition qu'elle vient d'établir
dam ses immenses magasins, 67 et 69, faubourg-St-Martin : four-
rures, vêtements, modes, bijoux, meubles, objets d'art, fantai-
sies, etc., etc.

0 réclame, voilà bien de tes coups 1

Finissons par une réponse trop naïve pour être naïve.

Mademoiselle X... était, il y a une dizaine d'années, non-
saulément la plus jolie femme des Variétés, mais môme des autres
théà'res de Paris.

Par unfe transaction assez difficile à raconter, cette charmante
femme se consacrait pendant six jours à un financier qui pour-
voyait royalement à toutes ses fantaisies. Le 3eptienje, c'est-à-
dire un jour par semaine, la colombe avait, sinon sa liberté, du
moins celle, do recevoir une personne à on de son choix-

Or, il arriva qu'un jour, ayant le feu au cœur, elle n eut quatre
personres au lieu d'une. Le financier le sut; il cria, comme vous
pouvez l'imaginer.

— Perfide! s'écriait-il, n'avez-vous pas honte! quati e trompe-
ries en une journée!

-r- Eh bien! répondit MlleX..., après?... J'ai pris d( s avances,
voilà tout. Dans trois semaines nous serons quittes!

EMILE BLO^DET.

Dans quinze jours, nous mettrons à la disposition de ceux
de nos acheteurs qui voudraient faire relier la lrt année de
YEcîipse: un titre dessiné par A.Delannoyet tiré en couleur;
un frontispice parMontbard, représentant les portraits de nos
collaborateurs, et enfin une table des matières.

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