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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0048

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L'ÉCLIPSÉ

prîmes be l'éclipsé

Toute personne qui enverra lâ&B'fflsJefiîraEEaê en mandat ou en
timbres-poste au directeur da journal, 10, rue du Croissant, à
Paris, — le montant d'un abonnement d'ea» a» à nscâflpss,
jouira des primes ci-deesous énoncées, aux conditions suivantes :

1*° PRIME

Une superbe lanterne-magique accompagnée de douze verres
fournissant 48 sujets, reproduits d'après les charges de GUI les plus
célèbres. (Voir nos précédents numéros.)
L'abonnement pour Paris, avec cette prime. . . . i i*-
Pour les départements (la prime expédiée franco, à do-
micile........*.'■**.....™

2° PRIME

Une excellente montre de Genève. (Voir nos précédents numéros)

L'abonnement pour Paris, avec cette prime. . * ; . • 30

Pour les départements.

3» PRIME

50 charges d'André Gill.

L'Abonnement pour Paris, avec cette prime. ... 7 50

Pour les départements............. 9 »

Avoir soin de bien indiquer celle des trois prîmes qu'on
choisit.

Tous nos abonnés peuvent jouir des primes ci-dessus, déductic-n
(aile du pris de l'abonnement déjà payé. ■

é&3'& ex<g&£S&8?gs>3;$$iï»é «Se ï'MWe «&&e f§es*2$$èr&8
ù&mtâi's «£eœ t&t®ti2B*&$«a£. AJoië-ë&s* *&© de&$£fosses

LE IERCIED! OES CENDBES

E fuiila la musica !

La musique de Strauss, de Métra, cl'Arbari, dePilodo l La musi-
que des trompes de- chasse, des crécelles et des cornets à bouquin!
La musique des crêpes dans lu poêle, des bouchons qui sautent,
de l'argent par lu fenêtre et des baisers pris et rendus!

Une imposante cérémonie a eu lieu,— hier mercredi, — à
Notre-Dame-dès-Lettre s.

La façade du monument était tendue de velours noir.

Sur ce fond assombri et lugubre se détachait en lettres blanches
cette menaçante inscription :

« Mémento, noiio, q|hà pulyis es et in pulverem iuîygrteius ! »

Cette maxime, — d'uti.ljMin contestable, mais pleine d'ensei-
gnements, — avait été''tSô8iposée, tout exprès pour la circon-
stance, par M. E. Pinard, attôten ministre, législateur futur, ac-
tuellement défenseur de la JirëSBe et de l'orphelin.

Au milieu de la vaste nef, un bûcher avait été élevé, dont les
cendres devaient servir à marquer ad'Front les pénitents.,.

Ceux-ci, par un excès d'humilité trop rare pour que je ne le
souligne point de toutes mes louanges, avaient voulu que ce bû-
cher fût formé de la portion de leurs ouvrages dont le succès a
été, en ces derniers temps, une sorte de surprise et de scandale...

C'est ainsi que M. Henri Rochefort avait envoyé .de Bruxelles
la majeure partie des numéros de sa Lanterne parus à l'étranger,
— ceux que nous avons lus en France suffisant outre mesure à sa
popularité...

MM. Louis Yeuillot et Paul de Cassagnac avaient apporté tous
leurs articles; Arictor'en Sardou, le manuscrit de Séraphine; Of-
fenbach, la partition de la Périchole; Octave Feuillet, Monsieur de
Gamcrs ; Ernest Feydeau, Madame de Ghalis ; M. Cadol, les Inu-
tiles] M. Pailléron, les Faux ménages; M. Zola, Thérèse Raquin, et
M. Droj", le Cahier bleu de mademoiselle Gibot...

L'éditeur Alphonse Lemerre avait offert — généreusement —
les troU cent cinquante exemplaires de ses Sonnets...

On les avait refusés à cause des eaux-fortes.

Emile Gaboriau s'était vu — pareillement — obligé de rempor-
ter l'Affaire Lerouge, le Crime d'Orcival et Monsieur Lecoq...

Double emploi :

M. Adolphe Bélot venait de fournir le Drame de ta rue de la
Paix !

Lés auteurs des Pompiers de Nanlerre n'avaient point hésité à
sacrifier cette romance...

M. Victor Séjour s'était empressé de livrer l'acte de VIncendie,
dans la Madone des Poses : combustible excellent, éprouvé, re-
connu !

La Comédie-Française avait présenté le Décret de Moscou.!.

Après nombre d'hésitations, M. Théo^-ore Barrière avait paru
su résoudre u l'holocauste de Théodoros...

Ce n'était point assez : des voix s'étaient élevées pour récla-
mer le Sacrilège !..

Par contre, lorsque M. Julc» Clàretic s'était approché pour dé-
poser .Madeleine Berlin, il lui avait été répondu que les flammes
se décideraient difjicHemcnt à mordre ce bon et beau livre. .

Semblable réponse avait été faite à M. Alexandre Dumas fils,
pour soft fhèûire, à M. Eugène Ténot, pxir ses travaux histori-
ques, et a M. François Coppée, pour le Passant...

À midi, on incisait le feu au bûcher avec une poignée de lettres.

J'ai distingue fv dans le tas — celle de Victor Hugo à Hambur-
ger, celle d'Hervé * M. ^errin. celles de MM. Latour Saint-Ybars,
Edouard FourmïM' vl iïùgène ï'Yovost au Figaro, ainsi que la volu-
mineuse corrésp&rtdàn^e du sieur Ernest Commetkj-ûv':.

Au bout de cinq minutes, il >' avait des cendres pour tout le
monde.

J'ai 'fait analyser celles qui m'ont rappelé — ainsi que la plu-

Part de mes confrères — ù la modestie, au silence, au sentiment
de ma faiblesse, de mon inanité et de ma position.
Elles proviennent d'un autographe daté du 19 janvier.

STAR.

JOSJSSE BREDOUILLE

OU LES 'DANGERS DE LA POÉSIE

Drame en un acte, avec balai.

Personnages ;
Joussr; Bredouille, maître d'études.
Layoishau, concierge du collège.
Blancpignon, élève de rhétorique.
Doucgt, élève de quatrième.

La scène se passe au collège de Vellçguindry.

Le théâtre représente um salle d'Otutle : les murs aont tapissôs de taches

d'encre, de caries géographiques et de jaunes d'arafs. — Dans uu-coii),
1 tine croûte de pain, — Une bouteille d'encre repose, mélancoliquement
derrière la porte. — L'orchestre est occupé par vinïtl-deux ilagcolols.
Blancpignon fume; Dovieet mord dans un morceau de pain immense.

Dol'cet, entre deux bouchées. — Je voudrais bien savoir pourquoi
le proviseur parle toujours du nez.

.Blskcpigsos. — G'est plus facile à deviner que de savoir pourquoi
Jousso Bredouille fait des vers.

Dougët. — Il en fait donc, des vers?

•Bl^Ncpigson. — Parbleu ! comme un fromage. Tu n'as donc pas
lu ses Engelures de l'dmc'i

Poucet. — Bon ! justement voici le Jousse Bredouille. Moi je
filo. Je saurai peut-être par là pourquoi le proviseur parle du nez.
(Il S éclipse. — Blancpignon éteint sa pipe.)

Les vingt-deux flageolets s'iigilenl; on air Lr-iompliant éclate, et Jousse
Bredouille parait. — Il estâtes long; en revanche, il jouit de celte belle
maigreur physique qui convient aux poêles. — U entre on déclamant :

Oui, c'est un feu sacré que le feu qui m'anime;
Le lyrisme envahît mon âme magnanime.
Ô Muse 1 inspire-moi des sons harmonieux ;
Apollon, souffle-moi.,,

(Apercevant Blancpignon cl parlant comme tout le monde). Vous êtes
là, Blancpignon!... Laissez-moi, je vous prie, j'ai besoin d'être
seul.... (Se ravisant.) Priez donc Lavoiseau de venir jusqu'ici.
(Blancpignon sort.) ,

Jousse Bredouille jette au loin son chapeau énorme, passe sa main dans
son abondante chevelure, et se balance droit et mince comme une asperge.

(Parlait.) Cette perle, enfant de mon cerveau, que je destine aux
Jeux Floraux de Bamte-Mênehould, chantons-la aux échos qui
m'entourent. (Il déclame).

Les fleurs des champs parfument la prairie, ■

L'oiseau gazouille au milieu des litas.

L'abeille vole à la rose "fleuriû;

Mais lui! faut-il \ons le dire tout bas?

Celait un charciilier sagaco,

Nourri d'amour et de saindoux,

Frétillant comme une limace

Qui va butinant dans les choux.

Mourant d'amour pour un ange, une femme,

Dont le regard, éperdu, l'enivrait,

Il émie liait les perles de son àmc

E» doucement près d'elle il soupirait :

Voulez-vous du boudin, princesse,

Ou du mouton aux haricots?

Aimez-vous mieux que ma tendresse

Vous procure des escargots?

Comme une fleur en son printemps éclose
Parfume l'air de divines senteurs,
De la princesse on vil la lèvre rose
baisser tomber ces mots fascinateurs :

Mouchez-vous, s'il vous plaît, Narcisse;

Votre nez est plein de candeur.

Vous m'allez comme un' peau d' saucisse;

Votre saindoux ravit mon cœur.

Entrée de Lavoi:eau.

Jousse Bredouille. — Lavoiseau, vous êtes homme, vous êtes
père, vous êtes poète...

'La.voisea.ij. — Cordonnier, Monsieur Jousse Bredouille; cordon-
nier, fait le neuf et le vieux, mais plus souvent le vieux que le
neuf.

Jousst; Bhëdouillk. — Ça no fait rien. Vous connaissez mes En-
gelures. J'ai livré cet ouvrage aux orages do la publicité, et j'attends
avec fébrilité le jugement de la critique. Les rédacteurs du Colima-
çon borgne, journal littéraire, sarcastique cl critique, m'ont promis
de rendre compte de mon livre. Lavoiseau, ayez donc l'obligeance
de nf envoyer dhercher le Colimaçon borgne; voilà dix centimes.

Lavoiseau. — Mon petit va y aller (il sort;)

Jousse Bredouille agite sa-clieVeUVrc mérovingienne. Il se promène fébri-
lement les mains dans ses poches et garde un silence poétique; ses pen-
sées sont à la hauteur de so:i silence. Dans son eoin, la croule de pain re-
çoit les caresses d'un rai, et derrière ia porte, la bouteille d'encre conserve
son morne silence. Les vingt-deux flageolets vomisscntdes notes effroyables'.
— Rentrée de Lavoiseau. Il lient un balai et se dispose à nettoyer l'étude.

Lavoiseau. — Comine ça, le Colimaçon doit parler de vos Enge-
lures ?

Jousse Bredouille. — Oui, Lavoiseau. G'est aujourd'hui que mes
poétiques inspirations passent sous les fourches caudines de la
critique.

Lavoiseau. — Il me semble que ça ne doit pas être difficile à
faire, des *trs. Faudra que j'essaye, un jour que je n'aurai pas de
ressemelage à rédiger. Est-ce que vous avez fait des pièces de
théâtre 1 Mon épouse aime beaucoup le spectacle.

Jousse Bredouille. — Je n'ai pas agité le poignard de la Muse
tragique, mais j'ai chanté sur ma lyre les Veillées du Cœur, les

Soupirs de u Brin,: Us Rayons de ta Lune

écouta ma dernière production ; c'est un h,mie wliej>

Soleil, soleil, astre brillant
Toi qui tais mûrir la citrouille
Ton tou divin, plus éclatant '
Sue le cri de l'humble grenouille
Réchauffe auss, bien le mendiant'
«ne celui qui dans l'or patroui»,

lit devant toi,
L'oiseau qui dans les bois 3imiil,c
Le casque du sapeur-pompier
Le manjre bouillon qui gargouille
iur les charbons du gargoticr
La tabatière qui se rouille '
Dans le gileÏMu vieux portier
Le lys odorant et l'andouille, '

Sont égaux devant toi, '■'

LvorsïM, à pan. - Si jeune I O mon Dieu .

Bi.ancpignos, accourant. — Voici 1» r„r '
Bredouille. Ça parle de vous, vous alLvclr 7Tv, > **

« La plus ébourriflante publication de ce jour est
« l'ouvrage du grand poêle J„usso Bredouille 1 r """*
« ('«me. Il est difficile, en effet, d'imaginer rien déni*'"'8*
« ee livre, où l'esprit du poète court à loisir le \m„T 'mif
, la folie, et on se demande si la muse du grand ! T'*4
.. Bredouille ne serait pas quelque échappée de la Salit* *

- Jousse Bredouille, accablé, croise les bras, et apnnie , ""''
menton, sa douleur et ses cheveux. safflains:,

Lavoiseau, avec intérêt. - Pourquoi aussi que von,
faire des vers 1

Joossb 'BnEDou'iLLE. - Et loi aussi, Lavoiseau ' i !

LaatosW. - Ahl mais, dites donc, tâchez dë'nen,,
loyer, vous ! ■ ™ Pas » l>

Bi.ampigkoï. — C'est une licence poétique
Joosse BacntHULU, avec fatigue. - LaisseZ'-moi lrai,f|l,llk, f|,

Lavoiseau.- ■ Portier! Il m'a appelé portier' ' i
Jousse Bbepouieee. -Je dis plus, vous êtes un cloporte
Lavoiseau, au-dessus du mât de cocagne de la fureur 'lit ■

j'affirme que vous n'êtes qu'un embryon.
Jocsse Buedouii.le. - Apollon ! Toi qui perças, de tes flèfct

enfants de l'orgueilleuse Niobée, tu entends sc's blasphèmes t

ne l'anéantis itàs !
Lavoiseau. - Le voilà maintenant qui appelle les AMiisi

secours! Tenez! vous me faites pitié! (/( sort en"

épaules.)
Jousse Bredouillis. - Grand Dieu! la pitié de cet 1».

encore plus insultante que ses outrages. Allons! c'est assis mm

le pain de l'humiliation. Gaton, viens nie recevoir au pied' d, l

leste Empyrée. (/( saisit la bouleille d'encre, h vide ifn [„((

tombe sur une table. - Clameurs extravagantes des mngl-imtt

gwkte.)

Blancpignon relève Jousse Bredouille mort....-ivie, la boulc-illc ta
était une bouleille de cassis.
Los vingt-deux flageolets s'arrêtent épuisés, l'auteur aussi.

A. Hu.MBERT,

™ m

mu

LE SflMPLON

A propos de la magnifique entreprise dont tout le mal
se préoccupe aujourd'hui, c'est-à-dire l'indispensalile ai
ferrie du Simplon, si quelqu'un, se rappelant'de glor»
souvenirs, déclamait devant nous le fameux licimstitliei
Racine : — Que les temps sont changés ! — nous ne pour»
qu'ajouter avec enthousiasme : — Heureusement!

En effet, ce n'est plus la Guerre, le clairon à la ta*
tjui doit traverser désormais les Alpes, c'est la Paiî Suffi
santé, féconde ; et le seul bruit maintenant qui frappera If
échos sur son passage, sera celui du sifflet des locomili®

Encore quelques fnôis, es la volonté humaine aura,*)
pas transporté les montagnes, comme nous l'enseigne 1*1
tare, mais elle les fera franchir ingénieusement, avec «
rapidité incroyable.

La France et l'Italie seront réunies en ligne WV
bien avant l'achèvement de la trouée du Mont-Cenis, m
avant la traversée ■ du Saint-Gothard, Paris et Florence
donneront la main sur le Simplon.

La mer du Nord 'et la mer Rotige seront en comnran»
tioii directe, lorsque la ligne internationale d'Italie, ré**
avec tant d'instances, aura terminé ses derniers Iran

E t cela ne sera pas long.

Déjà l'année dernière, seize kilomètres de .cl1™"!^
été ajoutés à ceux qui étaient déjà en exploitation. VI ■
lac de Genève est sillonmé de nombreux,bateaux a}}^
liant à la compagnie : le Simplon, l'Italie, 'le ^er'f\u
ris à vapeurs; le Simplon et le Jura, la Sarcelle, «*«"
l'Espérance, la Flore et la Valaisanne, bâtiments à voue.

Bientôt tout sera prêt. ., .JM

On travaille, là-bas, avec une activité féfnlej,3
seulement sur le parcours delà voie du Simplon ta' ^
des avantages commerciaux sans nombre cuuroni i
valeureux eJ loris, mais l'honneur d'avoir, menrai ^
une œuvre dont la réussite intéresse le bien-être «' ^
peuples, particulièrement le peuple français, e
mobile de ceux qui l'ont conçue et entreprise. pjrf

La route ferrée du Simplon, celle que M*" { au
si souvent fixée (le Sun mil d'oraanbaletir .*''"' '^.p'.'
tera toujours la voie la plus courte, la plus P r(n?
plus sûre, la plus utile à tous les points de vue, t
queiit, entre les peuples du Nord et cera'-^Ç ,L<Ji

Eh! qui, devant cette prochaine et définitive fetfk
l'homme sur. la nature gui lui résiste depuis,u
ne se sentirait pas ému d'un soudain ell™L',itesiiP8'1**

Quin'apporterait sa modeste pierre à cet eau ^ 0lt
fructueux, dont le couronnement exige eiio»
gent peu considérable de matériaux. , ., JS j

VEclipse n'est pas riche, bien qu'elle ne soi t

-tissas.

descendre,^0 lleroute.

m"nlel'', ■„ la mis" en Irai
$?>***&

encemomen<$™?%%
l'*mSTï «'i»1,de11

Ta^SS

admi,'"ts soude'laisse
rparuenttlesoindeci

vième siècle.

Là 10BT ai

Pauvre bête! c'est une rayai
Le roides bœufs est toujours le]
potirons est toujours le premier

J'ai assisté ce malin a son tr
s'est avancé vers la mort d'un pa
courageux....

On l'avait dépouillé de ses orne

attestaient seuls la haute digni!
quelques jours.... Mais il y avait
quoi de digne et de serein qui réi
position sociale.

A quelques pas du lien de l'e:
qui contemplait d'nn œil d'envie
lui tint ce langage :

o — Sire, permettez à un de i
t son admiration pour votre grar
f vous le voyez, la cruauté des ht
? prématurée, et, moi qui avais
d mç créer une position daus le m
,. je dois dire adieu à mes illusion
.Et, ce disant, il se mit à pleurai

La majesté qui allait mourir, ho
et, prenant cet air phUosophique
répondit ;

« Jeune veau, lu n'es qu'au dé
». pas.de juger si légèrement les i
» .surtout d'envier mon sort, aval
s on m'a comblé sont dignes d'e
,■• ■ Je.no. contesterai point qu'il t
•• desiraHe.de se savoir et d'être
■ de, songer que pas un de vos p
'devoir annoncer-vôtre poids i
i que la ftance .entière s'inquiè
> Paris a les yeux sur vous,...

* Ce.laestbean,certainement,m
« cette gloire, si l'on savait les pei
" fleur inspire aux badauds qui s,
.;• les cruels, ne croyez pas n
» formes ! 0 le noble animal et la
iroi de l'espèce.....

' N»n ! ils se .disent seulern
' manger,.,, »

» Et co qui fa.it votre gloire dev

-■•Cro.s.moi, jeme ,ra

Qnol'on soit mangé,ln po „ plJ
:™«î»'il faut absolument

' Q« ne suis-je demeuré un ,b
i. T» f ' ■ b'u.°n boucher?

" gérai?
" Et la mçre

1 sa-aère : -

> «Mlle qui''7f..I"lis'ie donne,

"°»i''»»»«a mW[elra*'e

>» sera de sou fe ^ ^^

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