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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0084

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PRÎMES DE E/ÉCLIPSE

Ton te personne qui enverra dStfeeBiesKSvei&t on mandat oa an
timbres-poste au Directeur du journal, 16, rua du Croissant, à
Paris, — '. s montant d'un abonnement; d'ra⣠»Ei à l'EcSâgwse,
jouira des primes ci-dessous énoncées, aux conditions suivantes:
ira PÏU&fl
One superbe lanterne-Magique accompagnée de dousa verre»
fournissant 48 sujets, reproduits d'après les charges de Grill les plus
célèbres. (Voir nos précédents numéros:)
L'abonnement pour Paris, avec cetta prims. , , , , 12
Pour les départements (la prime axpMiôe fra;iGû1 à do-

siiciie) ,*.... |...... , , 16

2« PRIMii
Une excellente monire de Genève. (Voir nos -précédents numéros.)

L'abonnem&ni pour Paris, avec Cette prima . . , . » 30
Pour les départements. ..... , . ( . . . 31

3« PRIME
50 charges d'ÀNDRÉ Gill.

L'Abonnement pour Paris, avec gg$j& priing, . , , 7 50
Pour les départements. > . . ..„.,,.. 9 »

Avoir soin de bien indiquer celle des trois primes qu'on

choisit.
Tous nos abonnés peuvent jouir des primes ci-dessus, déduction

aite du prix de l'abonnement déjà payé.

LES COULEUVRES.

Le cynique vieillard (couvrons-nous, messieurs !) qui rédige en
chef le journal l'Univers, a publié la semaine dernière un volume
dont la troisième édition (réelle) est déjà mise en vente. Cette
fois, les déjections du a pauvre homme » ont changé de nature.
Mauvais signe! Et c'est en vers à présent, en, vers souvent faux
mêiue, que M. Veuillot (excusez-moi) crache de nouveau sur les
nombreux ennemis qui se réuniront si volontiers à sa maison
mortuaire.

On nomme cela : les Couleuvres.

Je no regrette pas d'avoir à dire de l'essai que M. Veuillot (ex-
cusez-moi) vient de faire de la langue de Victor Hugo, que ce
n'est pas du tout ce qu'on pourrait appeler un coup de maître.

Si l'humble chrétien, à qui une habile publicité et un gain çon.-
sidérable ne déplaisent nullement, du reste, peut s'estimer heu^
reux du grand succès de curiosité qui accueille son caput mer-
tuum, je doute fort que l'écrivain s'en déclare satisfait.

Le livre de M. Veuillot (excusez-moi) est médiocre.Dura verita&s
sed veritas I Avant un mois, le retour de cette poétique expédi-
tion de Moscou aura lieu, désastreux pour la gloire du frère Arptn,
de Rome.

Le coup est rude, surtout quand il vient comme cela sur le tard,
mais nous ne pouvons rien pour l'adoucir.

La préoccupation flagrante de M. V... (excusez-moi) en compo-
sant, et son Dieu sait avec quelles sueurs, les Couleuvres, a été de
marcher parallèlement à cèté de l'auteur des Chansons des rues et des
bois. A chaque vers on sent l'effort pénible d'une imitation loin-
taine. Hélas I... pour la seconde fois, M. V... (excusez-moi) est
facilement aplati par le maître.

Ge nouveau châtiment est aussi mérité que le premier.

Le Sacristain-Fracasse qui, il y a deux ans, mena si saintement
la Lune devant les tribunaux (qui la condamnèrent d'ailleurs) à
propos de sa charge ( une véritable photographie) qu'il avait par^
faitement autorisé da faire, avec toutes les licences possible-a; le
rempart du Tabernacle, dîs-je, ne doit pas s'attendre à des cou-
ronnes de bluets et de roses de la part d'un ancien r-édacleur de
cette feuille, si justement punie 1

Pourtant, impartial, j'aurais été le premier à semer des fleurs \
de rhétorique sous les larges pieds de celui qui essaie aujourd'hui
de tomber Apollon, si l'originalité du volume des Couleuvres n'avait
pas consisté entièrement dans sa couverture qui rappelle l'affiche
des serpents de Pharaon,

Mais devant cette œuvre d'un ordre inférieur, je ne puis que
rester à peu près muet. Certes, on doit signaler ces sortes
de Senilia. On doit; même en prescrire la keture. Elle est utile.
On en recueille ce fruit précieux : ce mépris absolu pour les gens
qui se déguisent en poètes, pour les chienlits du Parnasse.

Je le répèle, ce pauvre recueil, je l'eusse volontiers loué ou.
éreinté carrément, sril en avait valu la peine ; mais je m'arrête
désarmé.

Un livre où se voit l'empreinte d'une serre vigoureuse, que ce
soit celle de l'aigle, ou celle du corbeau, intéresse, passionne,
amène la lutte; mais devant la paile-d'oie du vieillard essouflé, on
ne peut que sourire, ou se sentir pris de pitié.

Or, pour monsieur... Chose... (excusez-moi) je n'ai pas de pitié.
Je jouis de sa déconfiture littéraire avec délices. J'en ris du matin
au soir. Sur la terre fraîchement remuée où dorment déjà les Cou»
leuvres je me plais à esquisser les pas peu excentriques de la
danse du triomphe t Et je remercie le ciel.

Remettez-vous, lecteurs, d'une alarme si chaude. Nous vivons
dans un siècle ennemi de la fraude, et les Couleuvres, ce ptat-du-
jour, que nous servent toutes les officines, en ce moment, rentre-
ront bientôt dans l'oubli le plus parfait.

Que les personnes qui les ont avalées ne s'attristent pas. Elles
les rendront. Au printemps, une petite purgation est nécessaire.
Gela n'a pas un goût d'ambroisie, soit, mais on ne se porte ja-
mais mieux qu'après l'avoir prise, à l'aube, vous, m'entendez. Les
Couleuvres ou la rhubarbe, c'est la même chose. Cela agit douce-
ment, lentement, sûrement !

Une dernière réflexion. C'est l'estime que j'avais autrefois pour
la poigne vigoureuse de M. V... (excusez-moi), qui me la suggère.
Il est triste d'assister à un pareil couronnement de l'édifiée. Figu-
rez-vous une colonne de bronze terminée par un pot de chambre!
Ahl le pauvre hère l Après avoir fait, toute sa vie, et parfois
très-spiiituellement. le coup de poing en l'honneur des bons prin-
cipes et de U grande littérature, le voilà qui se donne lui-même
une claque ridicule avec ce mauvais livre de vieilletse. C'est na-
vrant!
En arriver là !

VEGLIPSB

chanter juste. Oubliez cela; c'est l'erreur d'un homme d'esprit
qui, je l'espère, ne prendra passa revanche delà même façon. Re-
tirez donc de votre ceil le doigt sacré que vous vous y êtes enfoncé
do gaité de cœur. Le sanglier ne se sert pas de ses défenses pour
cueillir des bouquets ; celui qui faisait jadis profession de mépri-
ser les perles doit s'abstenir de les enfiler.

Revenez à vos... brebis galeuses. La démoralisation de l'époque
est effrayante. Voyez à l'endiguer. Mais, encore une fois, au nom
de la terre! ne faites plus grincer les cordes de la lyre. Ce n'est
pas votre métier.

En quittant l'œuvre mort-née de M. V... (excusez-moi) pour
des choses plus sérieuses, je vous recommande, chers lecteur?,
l'amusante parodie des Couleuvres qui vient de paraître sou3 le
titre de: Les Vers du nez do LoulouGueuitlot.

Ce sont deux de nos, de vos amis, parbleu ! Gill et Vermersch,
qui donnent ce spirituel coup de pied au derrière de l'auteur des
Odeurs de Paris,

Leur joyeux à propos répond d'une manière très-fine aux pré-
tentions" farouches du livre de M. Veuillot (excusez-moi), et les
cinq minutes de plaisir qu'il procure, est l'utile compensation de
l'heure d'ennui qui nait de la lecture des Couleuvres

le cousin Jacques.

,,[^i'^u^.îd«-"^^r^eâi^tfl-*^-^*

LA SEMAINE GROTESQUE.

Puisque l'examen des plaies sociales qui rongent la génération
! actuelle emburelucoque aujourd'hui tous les esprits, je prends la
liberté, moi humble, d'appeler l'attention des fortes cervelles sur
une verrue énorme, épouvantable, dont Ja suppression immédiate
intéresse tous les amis de l'économie domestique. — Je veux par-
ler dra Terme, cette infirmité chronique de notre époque, accessoire
lamentable de la vie de locataire.

N'est-ce: pas qu'on a froid dans le dos rien que d'y penser? Et
malheureusement on y pense tous les trois, mois, lorsque ce Mi-
notaure, prenant l'aspect ingrat d'un portier ou d'une portière,
tombe au milieu des familles armé d'une quittance dç loyer-, la
main ouverte pour prendre le meilleur do notre vie, notre argent.
C'est dana ces moments terribles que le contribuable regrette de
nepas habiter les carrières d'Amérique.

On admire dans les galeries du Louvre une statue représentant
le Bonus Eventits des Anciens. : Le dieu a sur la bouche le sou-
rire du bonheur; sa main tient des fruits. Pourquoi le Musée des
Antiques ne possôde-t^il pas, comme pendant, le Malus Eventus, le
Terme? — Je me représenta par la pensée, une figure hileuse,
terrifiante, taillée dans un bloc de granit. — Le granit est plus
dur que le marbre, qu'y a-t-il de plus dur qu'une quittance de
loyer ?

0 mon âme, fuis ces images lugubres ; parle-rmoi de choses
moins amères.

Voici que le vice-roi d'Egypte, essayant de réparer les torts du

farouche Omar, qui fit brùlor la bibliothèque d'Alexandrie, fait

traduire d'urgence par une armée de savanls les opérettes d'Of-

fenbach.

0 mes amis, que les Egyptiens l'ont échappé belle ! Car on fré-

pmit en pensant que le vice-roi, plus_mal inanité, aurait pu choisir

parmi les œuvres du Révérend;-Père Veuillot, — dont la collée-

Uon, déjà si remarquable, vient de s'enrichir d'une nouvelle mer

veille.

Cet homme grêlé veut donc toutes les gloires ? — Un beau ma-

.;tio, il s'est tenu ce.langage : Lamartine esE mort, Victor Hugo

/est e$Ué, Behnontet radote; il y a une place importante à pren-
dre sur le Parnasse français.

Et aussitôt l'homme grêlé, déposant un instant sa trique, s'in-
troduit clandestinement dans le domicile do 1* poésie, et s'en va
brutalisant Apollon et forçant les Muses à subir ses caresses. —
De. eela.il sortit des choses que, dans un délire poétique, l'homme
grêlé appelle des Couleuvres, mais qui sont tsut prosaïquement
d'humbles vers, mous et rampants, pauvres comme le bienheu-
reux Labre.

f; Pendant que. nous y sommes, effeuillons la rose toute entière.
Savea-vous quelle différence il y a entre Louis Veuillot et un
fromage '?

— Aucune; car tous deux sont un composé de laid, et tous deux
produisent des vers.

Pensée d'une gai'de-matade : — On revient toujours à ses pre-
mières amours ; — Veuillot a commencé par rincer les verres, et
maintenant il en fait.

Mais, malgré toutes les séductions de cet homme grêlé, trans-
formé aujourd'hui en abeille du mont Ida et butinant sur
le calice des fleurs le miel dont il compose son dernier
ouvrage, quittons ce sujet — et allons faire un tour à la foire au
pain d'épiée, où des milliers de gens, convaincus, mais peu diffi-
ciles, accourent manger des pétrifications de farine de graine de
lin décorées du nom hasardé de pain d'épice.

Des baraques pavoisées d'horribles tableaux attirent la foule.
Les orchestres mugissent, les chevaux de bois tournent, les pail-
lasses se désarticulent, les orgues grincent, les marchands hur-
lent leur marchandise, et les curieux, entassés comme harengs
en tonne, s'ëbaudissent à figure écarquillée.

Un monsieur, planté devant l'étalage d'un marchand, flaire un
pavé rafraîchissant à la farine de moutarde, sur lequel il pro-
mène son nez tout barbouillé de labac :

■— Hum! fait-il, ce n'est pas là du véritable pain d'épice?

— Ferez pardon, riposte le marchand; nous le prenons àÉpice

les réponses cyniques de cet individu me remettent en mi
cette réponse d'un autre assassin au président des assise! "

— Enfin pourquoi, lui demandait ce magistrat, avez-von. ■

et coupé votre père en morceaux? "s "gorgé

— Mon Dieul vous savez, M'sieu le Président cha™„
petit ridicule. ' l'UMlm« son

avril pat
™", fêle de h

Maintenant, dégustez ce petit discours prononcé le I
un curé de campagne:

« Mes très-chers frères, dimanche prochain
Quasimodo, nous ferons pendant la messe une petit» „«,
solennelle pour le bannissement des insectes que leTri! S'00
faire éclore dans nos seins. A ce sujet, mes frères Zl,tT W
tien: - La tête de la procession marche généralement h»6"""
trop vite, la dernière fois, je n'étais pas°encore sTt ' cT"P
avec mon Saint-Sacrement, que la croix et la bann èr.é "
déjà a tous les diables. La procession sortira par la! ?"""
ghse et rentrera par le derrière des frères ; comme il L, é'

menttrès-sale.je les prie de le faire nettoyer pour ,!"*
la cérémonie. - Bedeau, chassez done ce chien qui ta a„ •'" k
séquences contre la balustrade. - Le soir, il yaura T'o-
rna sainte bénédiction; et pour que personne n'y man„T^
la donnerai que quand toutes les bêtes seront rentrées Je °8

» Une cochonnerie, mes frères, que j'ai à vous reprocha
femme Grosborne, mouchez donc votre enfant à v'
cher. Cette église est entièrement dépavée! Pourquoi cekT,"
vous demande là une chose que je suis en droit d'exicerZ
c est un privilège que N. S. J.-C. s'est réservé à lui et èt'eT
membres de la sainte Eglise, lorsqu'il a dit dans les saint F
g.les, je ne sais plus dans lequel : PaœaM isti, eg0 en I?'
«*.: C'est a vous de paver, quant à moi je ne paverai as ^

soû-il ! M »a "** q™ ^ Y°US S°"haite d<! t0n' m<m «■«. '«toi-

A. HmiBEsr.

LE PETIT VAPEREAU

BERGER (Louis). - Ecrivain de la vieille roche, eu train de
devenir vétéran ; ri n'a pas la place qu'il devrait avoir -Ponrl
Par e qu.l s est mis trop souvent dans la peau de ses ami
lont dévore. Son imagination et son savoir' ' - '
servi qu'à enrichir le fonds de ses confrères
pas ses semblables.

de polyglotte n'ont
qui n'étaient mémo

m

Ils ne sont pas rares, en littérature, ces JSsaû qui abandoinent
à leurs frères leur plat de lentilles et qui n'ignorent dans l'art de
produire que l'art de se produire eux-mêmes.

Ce collaborateur du grand et petit Moniteur, du Musée des fa-
milles et de la Sylphide, a été longtemps YEsail de Pitre-Cheva-
lier j il lui faisait ses traductions allemandes.
•:.,Un soir, dans un salon où se réunissait l'aristocratie de l'intel-
ligence, un vieil académicien, traducteur de Schiller, prend par
le bras Pitra-Chevaiier; il l'interroge surG-oëthe.Pitre,quin'avait
pas son traducteur sous la main, balbulie, puis se tait; il met son
embarras sur le compte de la chaleur et finit par offrir une glaça
au traducteur de Schiller, vieux débris, de l'Institut, réduit à la
limonade.

Le lendemain, Pitre raconte sa mésaventure à Berger, le
vrai traducteur de Goethe, qui lui apprend que M, X., de l'Insti-
tut, estaussi son traducteur.

—. Ah ! s'écrie Pitre-Chevalier indigné, ah[ si j'avais su qu'il
eût son Berger, je ne me serais pas tu ; je lui aurais dit son fait...
en allemand I.

Berger-ne devait pas s'appeler Berger, mais Mouton, lui qui a
vendu lo plus pur de sa toison à des Bergers d'Àrcadie pour s'en
faire des habits d'académicien ou se tisser des rubans ronges !
Pauvres Berger, pauvres moutons, toujours on vous tondra*

BANVILLE (Théodore). —Poète delà rime riche, chef" d'é-
cole de la poésie brodée sur toutes les césures, beau fourreau
damasquiné ; n'y a rien dedans.

Les plus longs vers de l'auteur de la, Pomme — un poète étlque!
— ne sont que des hexamètres; ses plus grandes odes ne sont que
hexophiles. Banville regrette de ne plus pouvoir les écrire sur des
feuilles de roseau ou des tablettes enduites de cire. Il maudit
l'imprimerie, un fléau qui a permis aux goujats de savoir lire, et
qui a fait chasser Apollon du Temple du goût I Le monde, pour
Banville, remonte toujours à Jupiter, et il s'est fait un tout petit
paradis dans le coin de son Olympe. C'est là seulement qu'il vit,
qu'il se réchauffe, cet erotique menacé de la maladie de la moelle
épinière... pindariquel

Hors de l'école de la rime riche, hors de l'école Banville, pas
de salut! Selon Banville, chef du club des petits crevés.....poé-
tiques, pour faire un bon poète, il ne faut avoir ni nerfs, ni
sang, ni moelle!

Théodore Làbouribu.

DIMANCHES!

de Dav"' uni vien" de ' a f ? ^ '* ""P6 ! ^ P'aCe dU Tr6M' 0Ù !e tieM Ia Kte> es' P™^e du bois de

doi-tsl'écoher Pas de tZ L ,Tv ? ' T T' ^ I Yi"CenneS' qU'Un matebt filalaisiste *»« ™"«~ «n forgeant

do,gts d écolier. Pas de fausse honte. Vous avez cru bien faire et un garçon boucher; _ et, puissance de l'a*Bocia.tion des idéesl i

Le soleil chauffait les vitres et, un rayon où voletait de la
poussière éclairait son épaule nue, jusqu'au soin.

Elle se frotta longtemps les paupières, essaya un demi-regard
sous ses cils baissés, puis ouvrit enfin les yeux à la lumière.

— Oh I le beau soleil ! s'écria-t-elle... Si tu voulais nous irions
loin voir pousser l'herbe ?

Je répondis : nous irons.

Elle se roula câline et rieuse sur l'édredon, le pied pris sous
les draps, et laissant sur ses bras, sur sa gorge glisser sa chemise,
se pencha hors du lit qui criait, pour prendre les jupons.

Elle s'habilla, fit mordre par les dents du peigne ses nappes de
cheveux qui l'inondaient, baigna son visage et son cou.

Elle avait aux lèvres des IrémissemenU gais, quand dos goule-





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œrirîélaiinne harmonie, et, coi
EUi EKltait si gaitê dans ira refrain

ftsii* sot jaiaides poules
luftlnamatei taillant 1b sa!
iïi, en bèliiit œmme un ageau f rê!
aoN.

Ai££ une grimace âne, aile lui {
fnat tntre les cornes.

Ses joses avaient le coloris chaud

GpEstars de goutte d'eau.

—Allons aubois! s'écria-t-elle ei
frlieai loo chapeau, dis? pour atti

5odj grimpâmes le bois qui moi

Cb Èatendait prescjne bouillir la
tWiitil pis une tache soi soin

Ditempsen temps, les talons se
iSliailiiliuIoBjJescreiass
■»«* Il mii, quand elle gliss

MipoumiUescrisdeMl
ta,li?l>»!esenuiisurlj'

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