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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0189

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du Figaro ! Ce jeune itrraia à
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le h Situation, un journal |t»V
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l'allure et de l»=*'èO

SBSSSS

dernier siècle. -

LES AUTOGRAPHES DE M. CHASLES

Je n'ai certainement pas l'enthousiasme facile, mais favoue que
j'admire sincèrement le faussaire de génie qui a induit en erreur
l'excellent M. Chasles.

Je regrette même beaucoup que nos grands et nos petits hom-
mes aient fait retenir à l'avance toutes nos places publiques pour y
fourrer leurs statues. Si nous avions eu le moindre coin disponible,
j'aurais immédiatement ouvert une souscription dans les colonnes
de l'Eclipsé, Le montant entêté consacré à couler en bronze l'ad-
mirable artiste calligrapbe qui s'est joué de M. Chasles avec une si
touchante bonhomie etun si prodigieux talent.

Eh quoil voilà un homme qui aurait pu se faire boursier, restau-
rateur, cocher de fiacre, ce qui lui eût permis de voler faci-
lement, légalement son prochain, et pendant des années cet
homme préféra passer ses nuits à imiter l'anglaise de Newton, la
bâtarde de Pascal, la ronde de Copernic.

Quel artiste I (???) Avec son étonnante organisation, avec son
admirable ingéniosité, il aurait pu se faire recevoir dans les meil-
leurs salons et s'y créer une honorable position, soit on trichant
au jeu, soit en refusant de payer ses différences à la Bourse. Eh
bien non, au lieu de mettre des gants jaunes et des cravates
blanches, ce bénédictin rentrait chez lui, allumait sa petite lampe,
et jusqu'à l'aube il pâlissait sur les auteurs du moyen âge et sur
ceux de la Renaissance.

En devenant un flibustier à la mode du boulevard Montmartre,
ce spirituel garçon eût gagné des millions, se fût richement ma-
rié avec une blonde jeune fille du faubourg Saint-Germain. 11 au-
rait pu prétendre à tous les honneurs, à toutes les dignités, à
tous les respects. 11 ne l'a pas voulu, et il a dépensé sa jeunesse,
son intelligence, son génie à recopier des manuscrits.

Des manuscrits??? C'est à peine s'il en a retiré cent mille
francs, et encore n'a-t-il pas pu jouir du fruit de ses veilles.
Comme Colomb et comme Galilée, on l'a jeté dans une prison
obscure.

Quelle abnégation, je dirai même : quelle délicatesse dans ce
brigand, dupe et .ctime de son amour pour la science!

Je comprends, à la rigueur, que l'on fasse des faux en écriture
privée, et nous voyons tous les jours nos personnages les plus
considérables employer leurs loisirs à cet exercice productif. Mais
alors, on imite la signature de M. de Rotscbild !

Mais faire des faux avec les noms de Molière, de Montesquieu,
de Labruyère, de Fontenelle, de Ramus, de Calvin, de Luther,
de Scaliger, de Machiavel, de Michel-Ange, etc., etc.

Quel travail! Quelle difficulté! Et de plus quelle folie et quelle
erreur !

Si le faussaire qui a exploité M. Chasles était venu me con-
sulter, voici ce que je lui aurais répondu :

« Cher monsieur, si vous tenez absolument à faire des faux,
» laissez- donc tranquilles les noms des savants et des artistes du
» moyen âge. Pénétrez-vous bien d'une chose, c'est que la si-
« gnature de ces gens-là n'est pas même cotée à la Bourse.
■ Contrefaites la griffe de n'importe quel banquier accrédité,
» réalisez les valeurs et prenez un billet- d'express pour Bruxelles.»

Georges Petit.

GAZETTE A LA MAIN

Opcra-€oiui<iue. — BLa Petite TF&dctte.

Les paysans de George Sand ne sont point des Pbilis et des
Lucas en tonnelet tourterelle et en culotte de satin....

Ils patoisent et portent la cornette bise, la jupe rayée, des
braies de grosse toile et des vestes élimées...

C'est peut-être dans cette différence que nous trouverons la
raison du succès modéré de la Petite Fadette, à la salle Favart.

La Petite Fadette est un livre charmant. Rien n'est moins com-
pliqué.. Mais ce qui lui donne une valeur infinie, c'est le sentiment
profond de 'la nature rustique accusé par l'auteur ; c'est la' sim-
plicité des moyens; c'est la vérité des paysages et des caractères.

Or, le genre lyrique — -tel qu'on l'entend surtout au théâtre où.
l'on joue le Premier jour de bonheur— s'accommode mal de cette
simplicité étudiée, de ces minutieuses analyses, de cette couleur
locale grise et fine, et de ces empâtements d'une touche juste,
d'un résultat sobre...

Il exige — au contraire — les effets imprévus et brillants, les
tons papillottants et lumineux, les choses qui agissent violem-
ment sur l'œil et sur l'oreille, sur le cœur et sur l'esprit.

Je le répète encore une fois — et Ton nous l'a assez répété à la
louange de l'écrivain :

Les paysans de George Sand ne sont pas des paysans d'opéra
comique.

Alors pourquoi les faire chanter?

m

Qu'on me laisse — tout d'abord — piétiner d'admiration devant
les décorations de la Petite Fadette :

La (raine, du prologue,avec son cielzéhré de reflets d'incendie ;
le champ de foire ensoleillé ; la vieille église dans son nid de feuil-
lage, et l'excellent intérieur du troisième acte, si complet et si
réussi de détail, — le fusil à pierre, au canon bronzé, à la crosse
usée, au-dessus do la cheminée, et, dans le dressoir, les assiettes
à fleurettes rouges et bleues, échantillons de*la céramique berri-
■ chonne...

homme chargé des courses et des commissions, — le père Laine,
dont les munis et les pieds mesuraientplusieurs hectares.

Un jour, en arrivant à la répétition, mademoiselle Bétia s'ap-
proche de Bertheiier et lui applique — par derrière — ses mains
sur les yeux.

■— Qui est là ? demande-t-elle en contrefaisant sa voix.

Bertbelier sentait une crinoline qui lui tracassait les mollets,
el.a 1 amphur du couvercle, il avait parfaitement reconnu sa ca-
marade; cependant il répondit :

— Jr=ne sais pas.

— Divine.

— C'est Je père Laine.

Mademoiselle Béiia n'a jamais recommencé l'expérience.

Ambigu. — H.es Couteaux d'or.

Allons,il y a encore de beaux jours pour la France!

L autre soir, le papa Billion s'agitait bruyamment aux environs
de l Ambigu.

( — Comme ils sifflent là-haut ! comme ils miaulent! comme ils
s en donnent, les gaillards ! Voilà te bon temps revenu, le temps
de la Tour Saint-Jacques, des Grands Siècles et de Ben-Saleml
Parole d'honneur! on se croirait au défont boulevard du Temple,
— dans feu mon Cirque, — les jours où mademoiselle d'Abzac
jouait !...

Le digne directeur ajoutait :

.— Pourtant, les Couteaux d'or sont proprement montés. J'ai
lait des frais de décors, de costumes et de mise en scène. Voyez
plutôt madame Daubmn, avec sa parure de pierres vertes : des
hémorroïdes, rien que cela! Vous savez bien: des pierres vertes...
Mon Dieu, oui : le bracelet, les boucles d'oreille, le collier, tout en
hémorroïdes !

Il était difficile de fabriquer une plus exécrable pièce avec un
meilleur roman.

L'œuvre entière de Féval est— cependant — machinée de telle
sorte, qu un enfant à la mamelle en tirerait, les yeux fermés, une
ribambelle de succès...

TVnez, je viens de lire eon dernier livre : VArme invisible...

Jih hien, le drame est là, — tout fait, — vivant- — plein d'in-
térêt,—superbe!...

Oui, mais Féval se confie le plus souvent à des gens du métier,
lesquels cherchent la pièce en dehors du livre.

Cest ainsi que M. Ferdinand Dugué a travaillé pour un ja-
guar! ^ J

Ah! ce jaguar!...

L'appelle-t-on assez tous les soirsI...

Le jaguar de Jean de Nivelle!

C'estMachanette qui est chargé de faire hou] houl hou
lui dans la coulisse.

A propos d'imitations faites dans la coulisse,
l'histoire suivante : ^^^^^_^^^^^—

La scène se pssse aux Folies-Dramatiques, sous la direction
féroce de M. Mouriez, et pendant la répétition générale d'une
féerie sur laquelle on compte beaucoup.

Nous en sommes au premier tableau ; l'auteur a indiqué un cri
d'âne; mais arrivée à ce passage, la répétition se trouve arrêtée :
l'âne n'a pas crié!

M. Mouriez se lève,

— Eh bien ! fait-il de sa voix de tonnerre enrhumé, eh bien !
où est-il, cet âne ?

— Il n'y est pas, monsieur Mouriez, répond un comparse,
vous n'avez pas donné d'instructions.

— Pas d'instructions! faîtes venir Dorlanges.
Dorlanges, le régisseur, s'avance en tremblant.
M. Mouriez, qui l'aperçoit, s'écrie :

— Dorlanges, vous ferez l'âne !

Puis il se rassied, et la répétition continue.

pour
me rapporte

Mes compliments à M. Barré.

M. Barré est un jeune homme qui possède une fort belle voix.
à la Martin et à la Cbollet.

Sans doute, il la conduit encore avec un peu d'inexpérience...

Mais combien je préfère ce défaut aux ficelles de M. Capoul!

M. Barré interprète Landry largement, — franchement, — sans
fadeur et sans minauderies...

Quant à madame Galli-Marié, c'est toujours la remarquable
•comédienne que vous savez...

Malheureusement, l'instrument commence à lui manquer.

Un Couderc femelle, quoi !

J'ai applaudi Potel et Gailhard dans leurs couplets.
J'ai applaudi Zoé Délia dans la ronde du Bois joli.
Il y a — ou il y avait — à l'Opéra-Comique, un vieux bon-

dans

, vous m ave?

Le soir, Dorlanges, qui s'est tu sans murmurer, se gli
le cabinet de M. Mouriez,

— Pardon, monsieur Mouriez, fait-il timidement,
dit tantôt que je ferais l'âne, mais... ^^^^^^^^^

— Mais quoi !

— Mais je ne sais pas faire l'âne!

— Ah! vous ne savez pas faire l'âne? répond M. Mouriez d'un
ton méprisant. Bien, bien, monsieur! Dorénavant, j'aurai un ré-
gisseur qui sache faire l'âne 1

Un de nos députés au Corps législatif, M. Jules Simon, vient
de publier sous ce titre : la Peine de Mort, un récit qui est un petit
chef-d'œuvre de grâce, de sentiment et de style.

L'auteur de la Liberté a dédié son livre à V. H..., l'auteur des
Derniers jours d'un Condamné.

Petit Courrier

Entrez au théâtrâ Déjazet, et du diable si vous ne vous imagi-
nez pas être aux Français ou à l'Odéon!...

Monsieur Grandier est une brave, honnête et éloquente comédie
qui ne le cède en rien aux versifications persuasives de Camille
Doucet et de Ponsard,

Les sentiments généreux y foisonnent...

Çà et là, une tirade s'élève d'un coup d'aile au-dessus du terre-
à-terre ..

Auteur : M. Guichard, qui représente Grandier avec beaucoup
de talent et double ainsi du succès de l'artiste le succès de l'écri-
vain.

Bonne réouverture aux Bouffes avec quelques reprises et deux
nouveautés : Tu l'as voulu\ saynète fort amusante de nos con-
frères Jules Prével et Emile Abraham, et l'Ours et l'amateur des
jardins, joyeuseté sans queue ni tète, de MM. Busnach et Mar-
quet,

Aux Folies-Marigny, je retrouve Prével, avec le Salon d'at-
tente ; Flan, avec Mari perdu, et Félix Savari, avec le Fils à Ko-
Kli-Ko.

Est-ce parée que je venais de m'attabler — chez l'ami Fauré —
devant un de ces savoureux pâtés truffés de Deschandelier, de
Ruffec, — riches, fondants, hauts en fumet et pleins d'agréables
inspirations, — et devant un flacon poudreux et vénérante des
caves Modenel d'Echoisv, — un morceau de velours chauffé par
le soleil....

Mais le Salon d'attente m'a paru un lever de'rideau fort suppor-
table...

Les trois actes de Mari perdu ne m'ont pas ennuyé un seul in-
stant...

J'ai pardonné aux calembredaines du Fils à Ko-Kli-Ko...

Et j'ai failli, — Deschandelier, vous êtes bien coupable! — faire
des offres réelles à mademoiselle Bade.

Mais cette jeune personne porte-le pantalon avec tant de dé-

sinvolture, que je me suis sauvé sans oser regarder derrière moi...
La crainte d'être changé eu statue de sell

Le Casse-Téte continue à paraître.

Cette feuille n'a point été fondée sous le patronage de S. A. I
la princesse Mathilde...

Etl'onpreiidraiî difficilement son rédacteur en chef pour un
héberge de Saint-Graticn.

La jeune Gredinette, — du café de Suèdo — a dit :
m^ ■?: ll07inôte garçon que ce J.-B. Clément! Quel dommage
qu u soit toujours f...ichu comme une révolution l

Librairie de Dcntu.

cnmrni T^E ET AM0UR' par Charles Diguet. - Une nouvelle qui
iHvîE > i dansJun magasin de modes pour finir au cimetière :
soirs de i bie™ tendresses parisiennes ; matinées roses et

Souvenir d'un i

-. page de l'empereur Nicolas, par le prince Lubo
mirski. — Un iivr* écrit sans prétention '

curieuses
russes fixés

,, ---------r----------", bourré de particularités

u anecdotes caractéristiques. L'autocratie et l'empire

sur pages avec la ressemblance d'une photographie,
le mordant d'une eau-forte et le coloris d'un portrait.

Queretaro, par Albert Hans.— Albert Hans a assisté à ce
sanglant épilogue; il y a joué son rôle de soldat, brave, fidèle et
dévoué. Ce qu'il raconte à l'éloquence du vu. On ne pouvait para-
phraser avec une conviction plus énergique et plus émue l'hom-
mage respectueux d'Athos devant une grande infortune : — Salut
à la majesté tombée I

Auguste Manette, par A lexis Bouvier. — Un robuste garçon;
un robuste talent : tous deux, fiers, libres d'allures,, un.peu sau-
vages, sans mièvreries, à tous crins l En •puhUa.M Auguste ^Manette,
Bouvier n'a pas seulement cherché à nons empoigner par un de
ces récitso la manière noire dont il possède le procède. Non = il
a encore voulu donner une poussée à l'échafaud et le culbuter
dans la nuit du passé où pourrissent tous les anciens bois de
justice, — depuis la croix de Jésus-Christ jusqu'au chevalet de
Damiens.

Nouvelles

Voici un mot qui ne doit Das

à la main.

.______r„„ „„re très neuf, mais tant pis, il

est joli, et je le mets ; ceux qui le connaîtront n'auront qu'à ne
pas Je lire, voilà tout.
Un enfant mangeait du poulet et posait les os sur la nappe.

— Petit malpropre, lui dit son père, veux-tu bien ne pas mettre
tes os sur la table.

— Où veux-tu que je le3 meîte?

— Quand on est bien élevé, on les pose au coin de son as-
siette.

— Comment, au coin de mon assiette? Elle n'a pas de coin,

mon assiette, puisqu'elle est ronde.

*

Un bohème rencontre un de ses amis...

— Tiens ! fait celui-ci, tu portes un paletot auquel il manqua
une rangée de boutons !...

— Qu'est-ce que ça me fait ? Je ne le boutonne pas

côté-là.

de ce

Madame Olympe Audouard disait dernièrement:
— Oui, je prêterai la gorg<
mou sexe !.

! à quiconque osera dire du mal de

— Ahl madame, fit quelqu'un, pour mésuser de cette Sierra-
Nevada, il faudrait être un Vandale!

— Le Directeur Général des Postes! s'écria l'authoress célèbre.
N'en croyez rien : c'est un bruit que le père Dumas a fait courir.

Emile Blondet.

C'est 1

samedi, 25 courant, que Valentino inaugure sa saison
d'hiver par une soirée musicale et dansante.

La salle restaurée est aussi fraîche et coquette qu'à l'ouver-
ture.

Arban est toujours à la tête de son orchestre.

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