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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0205

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L'ÉÇLIPSE.

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ITES FUSÉES

:e"dMrelekhéfeÀ«.,,

omme je comprends



'"WliifefS

t le lac sur des espèces de piliK,"
'emplacement comme !mahl i]a
renscment tombé dans l'eat, ^
très-bien tenu.

= X -
j'Ott vient de mettre la nair, iir lll!a
Carpoaûs, au nouvel Opéra,

r, à l'hôtel Dronot, un lot de trente Mie
net de M. Desirabode.
atement fait baisser le prii det rife
la capitale.
dents — gâté.

= X -

qui viennent an monde, achetai,
jes de manquer de maris, dans Fin»',
de garçons va toujours en Jimùnanl.
pas que d'être mquiéuntpoirliwl!
unes se les arracheront &%l'Ih
i laisser qielentm»

irlapeiin^'

= X -

rs est Gocbinat?

les bords de la mémoire,

= X -
. C'est le cas de rapp

jer,qmestenmê»et.f.»M«i;

venir, écrivait 1'»»^

^tpasdetem^ £JJ
«ffritséance» t« ,„.

e pape.

StfP*"

édans»»Pal

den»*"

ILIUI

re que <

stAles

landre1

Eh j,jen, il n'a pas l'air fier : on dirait un menuisier,
comme toi et moi («)•

ii= rencontre l'autre jour Julia Baron.
ITu'es. c" que tu as donc lait à la petite D- qu'elle te *-
teste tant? demanda Paurelle.
Moi rien.

__ Partout où elle -va, elle te déchire à belles dents.
___ Ça je le lui détends, par exemple, elle les a noires.

= X -

Vous savez que les domestiques n'ont le droit d'acheter au-

cune es

S bave* 4"^----------

àce d'étoffe, dans les magasins de nouveautés.

Pourquoi?
Parce que l

-, étoffes ne sa

dent qu'au mètre. .

.. Vabontraik.

LE CHOIX DES ARMES

Oui dît - choix des armes ne dit pas toujours : armes de choix, si
l'un (urœ car le duel récent pour lequel M. de. Mettçrrncli a choisi
le sabre contre son adversaire, M. de Beaumont, qui n'en ava.t
j amais tenu un.

Si l'on en croit les racontars des journaux qui s'étiquetient
volontiers: journaux de high lift, M. de Beanuiunt, l'offensé,
aurait abandonné le choix des armes à M. de Metternicb, 1 uff=n. ■
seur,.pour:èn finir. , :

Bt-M. de Metternich, voulant répondre en gentiinomme a ce
procédé tout chevaleresque, se serait dit : . ■ .

_ Voilà deux ans que je m'exerce avec mon bancal a couper
la mèche des bougies allumées sans toucher à la cire, je me bats
au bancal.

Ça a bien tourné pour M. de Beaumont, c'est heureux ; mais,
je crois qu'il ne faudrait pas en faire une habitude.

D'autant plus que ce genre de concessions — très-louables au
point de vue de la chevalerie — pourrait donner naissance aux
situations les plus insensées.

Ainsi, par exemple, un monsieur vous bouscule brutalement
sur le trottoir, vous-.vous retournez peur voir s'il l'a fait exprés.
En guise d'excuses, il vous dit •

— Qu'est-ce qu'il me vïut donc ce grand muile-lâ ?
Naturellement, vous voua fâchez et lui envoyez des témoins, en

leur disant :

— Acceptez l'arme que ce butor choisira; je ne veux pas que
ça s'éternise.'

Les témoins se présentent chez votre homme, qui leur répond
tranquillement :

— Je me'bats au chenet de cheminée, dont je connais à fond le
maniement.

Vous me direz à cela :,

— Comment des témoins peuvent-ils se prêtera une telle com-
binaison, eux, qui sont inventés pour conserver aux rencontres
un caractère de loyauté absolue.

C'est justement ce que j'allais avoir l'honneur de vous deman-
der.

i Léon Bienvenu.

,GAZETTE A LA MAIN

... Il faisait gris, triste et froid. Le vent et la poussière nous
ouettaient au visage comme avec des poignées d'épingles...

Nous étions bien sis à huit mille derrière le corbillard. D'au-
cuns avaient des bouquets d'immortelles à la boutonnière. Le
public les prenait volontiers pour des académiciens...

Le seul corps constitué qui assistât en uniforme à cette solennité
était celui des sergents d,e ville...

On s'entretenait à voix basse des mérites du défunt, de ses ha-
bitudes, des sentiments divers qu'il éveilla chez ses contempo-
rains. Alexandre Dumas était là. L'iliustre -romancier vieillit;
mais son esprit a toujours trente ans. Je"lui ai entendu définir
d'une façon charmante la férocité d'athéisme de l'auteur de
Volupté :

-r Sainte-Beuve, a-t-il dit, poussait l'irréligion jusqu'à l'into-
lérance. ' T

Gravera-t-on sur la tombe où l'écrivain de VHistoire de Porî-_
Royal, des Confessions de Joseph Delorme et des Causeries du Lundi.
repose, au cimetière Montparnasse', en face de Doimès et non loin
de Boulay de la Meurthe ; gravera-t-on, dis-je, sur cette piene, en
manière d'épitaphe, cette boutade de Barthet-:

Sa phrase longue et cotonneuse

Produit l'effet d'une berceuse, . ;~

Et je parie à qui voudra,

S'il veut avaler en pilules

Son style avec points et virgules,

Qu'à la troisième il dormira.

. Pourtant quelle délicatesse . ■ ■ ,. » "

Quel esprit charmant e't discret!
Comme il explique avec adresse !
Comme il condamne avec regret 1

Mais voilà! les gens qu'il exhume
Sont tellement malencontreux,
Qu'au lieu de-'revivre en sa plume,
Ils. le font mourir avec eux.

Lea Députés de la Seine.

Notre camarade et confrère Fulbert-Dumonteil vient de réunir,
-sous ce titre, en un volume publié par Armand Le Chevalier, une
sérié de portraits à la plume dont les lecteurs du Figaro..oht eu
l'étrenne et l'aubaine...

Vue de près, étudiée avec soin, décrite familièrement, sans
prétention ni parti pris, la physionomie de. ces Adamastor perd
singulièrement de ses proportions formidables...

r Remontons plutôt les antécédents de Gimbetta, — ce cyclope i
'du Parlementa. r' ,' .' " -.

C'était ordinairement au-café Procope que G-ambetta dressait
sa tribune. On y'montrera peut-être un jour la .table qu/ïl frap-
pait du poing en parla.it de'liberté, comme on y'montra.là table
rie Voltaire, la table de Piron, et la table sur laquelle, un ; soir,
l'éditeur Renlu^l monta en faisant le signe de là croix et se nia
à lire les Paroles d'un Croyant.

Lorsque G-ambeLta se trouvait au café, il n'y avait d'écho <[ue
pour su. voix de' cuivre, et 'tout le monde, jusqu'aux garçons,
écoutait. Il tenait tète à la salle entière, et sur le coup de miiî-uit
fUiçait tous ses adversaires à aller se coucher convaincus. : ''-.'.
.'Un soir, le.roVn souv'«ns,il traitait la question romaine, jetant
l>ai'-iiesstisle.-t"tables ec les comptoirs plus de lugique et plu^ d'es-
prit qu'il n'en est' entré depuis longtemps a,la Chambre.

Au bout d'une heure,- il ne restait plus personne au Vatican,
ni au café. Tous les adversaires de Ganiùetta étaient en fuite ou
sur le carreau^ '

* '.:',■

Alors, en quûte d'auditoire* le bouillant orateur tourne à droite,
tourne à gauche, cherche, regarde, pousse un cri de joie I II vient
d'apercevoir deux étrangers, deux inconnus, paisibles et graves,
qui, ne soufflant mot, ne l'avaient point quitté des yeux durant
toute la discussion.

lit Gambetta aussitôt de reprendre- sa thèse, de chercher des
arguments nouveaux, de trouver des effets magnifiques et des
•élans merveilleux.

Pour ces deux hommes!.1 ïhparla une heure encore!

Immobiles et silencieux* les étrangers' contemplaient le jaune
tribun, dévorant, du regard'sa tête rayorinante. et son-geste ins-
piré. '*" '-' .--'

Ils s'ont là, fascinés par son-action et^camme attachés à ses yeux,
'suspendu? à sa bouche.. Ou eût dit une double '.statue de l'ad-
miration.,,' . - '■*■'".•.

Tout à coup, le plris'.âgé'dé ces inconnus se tourne vers son ca-
çnaraie et, le touclunit1 du. coude, lui adresse, du bout des doigts,
un signé mystérieux^.. ' ; ■■

■ À ce signe,-Gambattas'arf'ète brusquement,, fait un bond en
arrière, promenant son regard étonné et scrutateur sur "les deux
étrangers.

■ Que signifie ce signe étrange et quels sont ces hommes? Ne
serait-ce pas des mouchards, des ennemis de la liberté ?

Nonl c'étaient deux sourds-muets...

Une Histoire de Caissier.

C'est toujours la même rengaine.
Celui-ci a été jugé hier.
Celui-là sera jugé demain'-
Chaque semaine, ui cri s'élève dans

Monsieur est à l'épreuve de toutes les émotions ; toutes les an-
goisses de la jalousie ne lui arracheraient pas une larme!.,. Eh
bien, que Bébé soit malade, que sa chère tète aimée pâlisse sous
un bobo, qu'un petit cri d'enfant s'échappe d'un berceau, et vous
verrez.cjt impassible éclater en sanglots et se tordre les mains de
douleur I Le [.ère fait pleurer le mari. Gentil tableau dé ménage,
trèr! léché et très réussi. Prével tâomphe. Ma foi, je le constate
avec d'autant plus de plaisir, qu'en l'admirant, je m'étais écrié
ju.-qu'à présent comme le renard d'Ejope :

— 0 oïa kephalél... Et le reste!. ..-■"'

* :■}■ - :

hes. Pommes du voisin sont croquées .aux . Variétés avec la
même gai lé qu'au PalaLs-Royal.- Grenier-s'y démène d'une fa-
Ç'jo fiévreuse et épilepiùme qui ne laisse pas que de'me donner
des inquiétudes pour sa santé. . ' . ■■. .

Que dirai-je de Marcel et C°- de MM.' Courtecuisse et Avocat,
aux BouffesV — Une pièce à tiroirsl — Quatre tiroirs et rien
dedans! >

En revanche, la Nuit du 25 octobre m'a fô/t amusé. Quel capi-
taine de fantaisie que M. Lsnyallay. — Capitaine aux lanciers?—

Allons donc ! —Au 3U Plongeurs, à cheval, je ne dis pas.

Lacombe a joué un fantassin... : . .^

Il joue maintenant un cavalier... ]

A quand l'artilleur?

Mots de Ëa loi.
Un ivrogne rentre chez lui et gagne son lit en titubant...
8a ménagère le déshabille et l'aide a se "coucher.

— As-tu besoin de quelque chose* mon ami? luidemande-t-elle
doucement, ■

— Turue réveilleras quand j'aurai soif.

Notre confrère Amédée Blondeau entre au café de Suède, relié
dans un paletot de luxe, — fruit de son émouvant feuilleton des
Forçais de Bannalec

— Mazctie, fait Noir, tu te mets bien. A qui dois-tu cette'four-

la Gazette des Tribunaux :

— Je ne la dois pas. Elle me vient d'uû"tailleur

que je paye par

"T Encore un caissier qui .file, -

File, file et disparait.-'

Hélas! c'était déjà ainsi du temps de nos pères !..
■ Le sonde l'or reiid la conscience sourde !...
Ses flammes aveuglent les ,-eux!...

■ Un riche négociant de Pai'is vint un jour trouver Vidocq et lui
confia qu'il venait de constater un déficit de cent cinquante mille
franc1? dans sa caisse; Vidocq lui demanda :

— Quel àpe a votre caissier?

— Vingt-cinq ans, niais je suis sûr de lui comme de moi-même;
il a été volé, c'est une victime comme moi.

— Vous êtes marié?

— Oui.

— Quel âge a votrefemme? Est-elle jolie? Est-elle honnête?

— Oh! monsieur, ma femme, c'est la vertu même, l'honneur môme,
la dévouement, même, l'amour conjugal incarné, etc., etc.

— Il ne s'agit pas de tout cela; votre caissier a vingt-cinq ans;
votre femme est-elle jolie?

— Enfin, puisque vous le voulez, oui, elle est jolie, mais...

— Mais!... mais!-... Il ne s'agit pas de mais! — Vous voulez re-
trouver votre argent, n'est-ce pas, et vous avez confiance en moi?

— Parbleu 1 puisque me voici !

— Très bien, rentrez chez vous; simulez_un départ pour la cam-
pagne, et introduisez-moi dans la place. .

Ainsi dit, ainsi fait. Le négociant part ; Vidocq se cache dans
un cabinet voisin de l'appartement de la dame.

On sert le déjeuner; un jeune homme entre; la femme lui dit:

— Eh bien, il est parti, mais il a des soupçons; nous sommes
perdus!

L'émule de Brochon entame une longue tirade d'amour, con-
cluant par C.JS' mots :

Lsl rjn seul parti nou<* reste, achevons dévider la caisse et allons
nous embarquer pour New-YurJL . ^

Vidocq su montre. Tableau.-. . / .

"' — M.es-chers enfants, du calme, ou j.e.vpus casse la tête à tons
les deux."Nous'nous comprenons, .n'est-ce pas? Maintenant répon-
diez. Où est l'argent volé? ■:•' „?,..

— Il ne nous en reste que cent mille francs, dit la femme cou-
pable.

— Bien vrai?

— Je le jurel- . .
—•Très-bien ! rendez l'argent.

— Le voici. . ■ -

— A merveille! c'est une affaire oubliée, n'en parlez jamais à
vot're'mari, il n'en saura rien. Quanta vous, monsieur, donnez-moi
vos jolis petits pouces.

'. B

11 lui met.des menottes, le conduit an Havre et l'embarque à
bord d'un navire en partanee, en lui laissant pour dernier aaieu :
«Allez vous faire pendre ailleurs.. »
"■" Vidocq revînt a Paris, rendu Targent au commerçant, lui disant :

— Votre caissier.était le voleur ; mais il avait mangé cinqwauu
mille francs avec une danseuse ; je 1 ai embarqué pour les Etats-
Unis.- ■

ÉpillQGUE ; '

Jamais on n'a connu de ménagé de négociant plus, heureux que
celui du client de l'ancien chef de la brigade de sûreté.

ïhéàtB'es.

Recette de la. semaine. — Une demi-douzaine de piécettes! Me-
nue monnaie de l'esprit et du succès. Aux Français, Un Mari qui
pleure ; au Gymnase, la Matrone d'Ephèse et les Mousquetaires de
Bougiml; aux Variétés, les Pommes du voisin, aux Bouffes-Pari-
siens, Marcel et C* et la Nuit du 25 octobre-. '

Aux Français, Madame veut- faire ..pleurer Monsieur. Or,

— Fi! s'écrie Noir. Du diable Si je ^voudrais d'un tailleur payé
par wioi!

Le petit Y... fait la cour à la petite Z... -

— Il m'épousera, dit celle-ci. -

— Impossible! fait quelqu'un. II n'a pas vingt-un ans.

— Bah! nous nous marierons à Aubin, où les mineurs sont en
majorité.

Emile Blokdet.

ï^aits divers

Nous trouvons dans une lettre particulière, adressée de New-
Yoik, àla date du 15 septembre dernier, le récit d'un affreux acci-
dent dont une famille toute entière a failli devenir la victime.

M-. John Star, riche commerçant, revenait d'un voyage en Eu-
rope, et, pour célébrer cet heureux retour, on avait réuni tous les
parents du voyageur dans un pantagruélique repas.

Le repas fut des plus gais, on mangea largement et l'on but plus
encore, puis on passa dans le salon où des danses fcreDt bientôt
organ:sées.

Le bal durait déjà depuis quelque temps, et danseurs et dan-
seuses sautaient avec une furie toute américaine, quand soudain
l'une des plus jeunes filles du maître de la maison, miss Anny
Star pâlit affreusement et tomba sur le parquet en proie à d'hor-
ribles convulsions. Puis, presque au môme instant, deux ou trois
personnes furent prises de coliques affreuses.

Un médecin, fort heureusement, se trouvait, au nombre des in-
viiés, et sur-le-champ reconnut la présence d'un toxique violent.

11 appliqua dès-lors tous les remèdes usités en pareil cas, et,
grâce a ia promptitude des secours, on parvint à maîtriser le mal
dès îe début et à en prévenir les suites fatales.

Miss Anny, qui avait été plus fortement atteinte ou qui était
plus délicate que. les autres, est restée plusieurs jours entre la vie
et la mort et ce n'est qu'à force de soins de tous les instants, qu'on
est parvenu à atténuer les violences du poison.

En recherchant les causes du douloureux événement qui, en
quelques minutes, avait failli changer en terrible deuil cette joie
de famille, on reconnut que l'intoxication était due à de l'eau qui
avait séjourné pendant quelques heures dans un vase de plomb.

Quand donc comprendrons-nous enfin que l'usage presque jour-
nalier que nous faisons de ce métal, est une des causes principales
de la plupart des maladies qui assiègent notre pauvre machine
humaine?

POUR PARAITRE PROCHAINEMENT :
L'Almanach de l'Eclipsé, — 20 centimes.
L.'Almanach de la Chanson illustrée, — 20 centimes.
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S 1/2 4>/0 : rentes, actions et obligations françaises, ainsi que
les valeurs étrangères sur lesquelles la Banque de France ne prête pas.
S'adresser n HIT p II UT Siège principal à Paris, 32,
à la Banque «• UtULHil. ruB N-D-des-Victoires.

Dans les succursales : Agen, Bordeaux, Cambrai, Chambéry,
Carcassonne, Limoges, Lyon, Nancy, Rouen, Saint-Germain^ Tou-
louse, Tours, etc, etc. - ____ .

Comme noblesse réputation oblige. Cet axiome, bien com-
pris par la Chemiserie modèle, explique les e£forts_ faits par
cette maison pour justifier le succès toujours croissant du
système de Mesure et de Coupe d'après les conformations, et
pour lequel elle est seule brevetée en France, en Angleterre
et en Autriche.

Distribution de la brochure explicative, 45, ' rue Le :peie-
tier. - -:';
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