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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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L'ÉCLIPSÉ.

■ Ja vois

"ecte.

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deS"»hBer„h
•Septmi'l<=fracs ';

" n'e« triste
»' l'effet d'an

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in§!9rie'abal6ue. '
[e Ça finisse i

VaBONtraik.

meurt,

morte,

ROUTIERS!

antédiluvienne
bon.

a quatre

indispec

» pour

rem

ayen de

1 de chemin de far

seront déposés dans m
its de torture d'un autre

Voici venir les tbmàt

ur est enfin mise à exé-
L'initiatïve industrielle,
Vance d'un réseau d'un
:gnes ferrées,
lissement est infiniment
revient,- on trouve 65 OjO
wtiers, par kilomètre,
bon marché, vont sil-
commerciaux entre les
!s par les voitures publi-
ants des routes, gravit
ii trayon,
facile à suivre, surtout

hemins de fer d'intérêt
cliemms.'defer wUsts
itionde sociétés locales
iter ou de faciliter leur
n, par l'emploi do son
ilusive.

nstmtts rapidement^
es travaux .d'art d'une
tous semblent appelés à
Qui n'en comprendrait

issante?

fy f«? rouifera, aérien-
s éloignées des grandes
:s leurs annexes immé-

îment intéressées à la
M, ces veines et ces
n prompte, sans dépen-
la vie industrielle, daw

jfS SOD Cu^'v -r

ville. Bt le citadin, servi

, iMonvS»^te»;

* te J^hshendjM. i"

recueilli' le>
cer'ai°'„ n'esli»"»"1-

as.

pns»«« D»VA'"

LA FOIRE AUX CANDIDATS.

du savetier de La-

Aan* un siècle ou en dépU
« "** »T o «Un. pas son pain, du moins avons-nous

1.1

. (11.»™'"

■ jjindnsi!"1

!t folie pore que de vouloir énumérer ici les
Vouvant en, mêmes se représenter, briguant en-

^JSÎ^ÏÏ?-* ta endétail

"SOiS "IbeTblanches, bleues, rouges et vert-pomme que
«•"• lM f, a L font placarder sur les murs de Parts
i^^ P ma surtout frappé dan, cette lecture, c est que je

««'"""'raee to.teeeVpos.nt Je, doctrines diametrale-
•! IUiS "î'i les candidats ou à peu près terminaient leurs
<:l°s de foi par cette plaisanterie à la mode :
fÏCr::^rS-"auionrd-buiavec,„ut1e

j^metils obéissaient à un mot d'ordre, tous, les uns après

^C^^'toTeflss^bances. Le peuple est avec nous. ,
^ chreto à entraîner le peuple par la tête; l'autre le tare
i ,. ftiAiîai un troisii—
Cm disque le bras gauche, et pendant que le malheureux
■«télé se débat, les quatre •■*■

ai, (.5 dites donc,
. ^U;. Est-ce que vous ne voyez pas qu'il veut me sutvre,

Georges PETIT

, lui démanche le bras droit, un qua-
et pendant que le malheureu
sMres s'écrient tous à la fois

allez-vous bientôt laisser le peuple

GAZETTE A LA MAIN

froufrou.

L'héroïne de la nouvelle comédie du Gymnase, tJ-Ï*?"
r,„„' -son sobriquet l'indique, — est une femme qui fait du
S --la brnit des perles et des diamants qui frissonnent a son
5fà" es Sets, Pà ses oreilles, - le bruit des flots de moire,
esaL de velours qu'elle drape à ses hanches et dont la raine
s'allonge! et bond'it sur ses pas comme un sillage sonore, éclatant

etcrS'ressemble assez à celui du serpent qui froisse ses
écailles et déroule ses anneaux... ;

Vous l'avez entendu partout : sur les escaliers de n^bre du
château, sur les parquets, cirés des salons te la Cour, - a Notre-
Dame, quand prêche le. père Félix, aux Italiens quand gazouille

aHélasïen de pires lieux aussi : au Bois, avec les filles ;.à l'é-
curie, avec les maquignons; dans les couloirs des petits théâtres,
où quelque pitre androgyne dégobille la Gardeuse d ours, la Nour-
ries sur lieux, ou h Sapeur, — et même, quelquefois, aux en-
virons do la Roquefce, les matins de guillotine, alors que le cou-
teau va mordre sur les nerfs d'un jeune sacripant à la mode !...

Froufrou, c'est la .princesse de K..., si ce n'est la marquise
deZ..., à moins que ne ne soit la baronne de %...

Froufrou est un type, — un type plus commun qu'on ne pense,
chea les bourgeoises comme chez les grandes dames.

Froufrou monte à cheval avec Grimshaw, .cur les planches avec
Saint-Germain, en ballon avec Nadar. Elle lit Renan, Feydeau
et Hamburger. Elle fume la cigarette comme Suzanne Lagier, le
londrès comme Jeanne de Tourbey et la pipe comme Olympe
Aufiouard. Les autopsies de la Morgue ne lui répugnent point,
ni lus pièces de Ai. Hervé. Elle admire également (Schneider;,
Coppée et Thérésa. Au besoin, elle partagerait spn bouquet entre
Gapoul et Troppmann!

Elle patine sur le Lac. canote à la Grenouillère, tire une coupe
savante sous la lame à Trouville, à Biarritz, à Os tende ou à A'r-
cacbon, parie à Chantilly, à la Marche, à Longchamps, et pique
les tailles sur le oarton — avec le san^-froid d'un major de tabla
d'hôte — à Bade, à Spa, à Ems Ou à iïombourg.

Froufrou a le èputurier de la Msrltawicht, le masseur de la
Pearl, l'émailleur delà Skittles...

Or, une femme ne copie pas Impunément les insolences de toi-
lette des mercenaires de la galanterie : en endossant les mêmes
falbalas, elle endosse la même dépravation, la même férocité et
le même cypisrae...

C'est Froufrou qui disait dernièrement à l'un de nos amis :

— Je n'admets pas qu'on me reproche le nombre de mes rela-
lafyms, car je n'ai aimé que deux ou trois fois... „

— En même temps? demanda l'interlocuteur.

*

Froufrou continua i

— Je suis de bonne foi, je suis d'une entière sincérité, mais je
puis me tromper. C'est l'histoire du dauphin qui, croyant sauver
un homme, a conduit un singe jusqu'au Pirée. Quand je m'aper-
çois que je n'ai qu'un ynge, je plonge t ■

Ufi qui passionne surtout Froufrou, c'est la comédie de salon.

C'est si charmant la comédie de salon ! Ce n'est pas de la jouer
oui est amusant : c'est de la répéter.

i.e théâtre de société absorbe plus de temps que le pédicure ou
le coiffeur : voilà le secret de sa vogue chezlestemmesdumonde.
Aus,i faut-il voir comme celles-ci ont l'art de prolonger ces exer-
cices. Je connais une ambassadrice, une colonelle, un diplomate
tfunsous-lieuteminLqui répètent depuis trois ans un vaudeville en
un acte. Cette amtée-ci est la troisième. L'acte ne sera pas prêt
avant 1 hiver prochain...

pt colonelle et le sous-lieutenant remplissent les principaux

•Le colonel réclamait,à grands cris le poste de souffleur, —afin
a assister aux études... -

On le lui a impitoyablement refusé.

■ Dernièrement, un prince étranger voyait passer ces actrices
8">Mea .dames et sollicitait la faveur de leur être présenté...

— l* est mutile, lui répondit-on, elles sont en répétition.

A force de répéter Inditma et Chwlemaf/ne avec M. de Valréaj,
un ami de la maison, Froufrou — notre froufrou — celle de Mm.
Henri Meilhacet Ludovic Halévy— finit pas se laisser enlever...

Bile suit Valréas en Italie, abandonnant épo.x, tamtlle, en-
fant I...

Car Froufrou est femme, elle est sœur, elle est mère!...

Elle devrait être la joie, la sainteté, le conseil, la dignité ûu
foyer domestique 1 ,. ,

Le sens moral s'est endormi chez elle, Pour engourdit la .sen-
sibilité physique, on a découvert le chloroforme. Il y a aussi des
philtres pour abuser la sensibilité du cœur et la justesse de 1 es-
prit : ce sont les sophismes en paroles et en actions.

Si

Ce qu'il faut plaindre au premier chef dans cette sorte de dra-
mes, c'est le mari. Une courtisane a vingt amants à faire soutirh-
Froufrou n'a que son mari. Pauvre mari! Quand on ne le ruine
pas, on le déshonore 1

Celui dn Gymnase, —M. de Sartoris, — après s'èire montré
d'assez facile composition pendant le commencement de la pièce,
se lance tout à coup —vers le quatrième acte — à la poursuite
des fuyards.

Il les atteint à Venise, provpque le séducleur et lui loge une
balle dans la poitrine.

Quant à leur héroïne, les auteurs l'ont fait succomber à une
bronchite expiatoire..,

Pour moi, je suis persuadé que Froufrou finit bien plutôt
comme madame X... que comme Marguerite Gautier,..

19

Tput Paris connaît madame X., épouse indépendante d'un cé-
lèbre banquier.

Madame X...,après que la séparation de corps eût été pronon-
cée, se retira dans une maison de campagne, sur la roule de Ver-
sailles. C'est là qu'elle sa dévoua, corps et âme, à la mauvaise
éducation de ses filles,

. m

Un ancien ami étant venu lui rendre visite, madame X... lui
présenta ses deux enfants. L'une avait neuf ans, l'autre dix.

— Ohl les délicieuses personnesI s'écria le visiteur.
Et, s'adressant à la mère :

— Sont-elles séparées ?

L'avenir devait justifier-cette prévision.

Dernièrement, madame X... se présenta chez son mari, qui ne
l'avait pas vue depuis vingt ans.

— Monsieur, lui dit-elle, je viens vous demander une dot pour
votre fille,

— Laquelle?

— La troisième

— Quel âge 1

— Dix-huit ans.
Lehanquier se récria.

— C'est trop fort ! je n'ai rien à voir avec cette fille-là.
Madame X... se mit à rire.

— Eh bien ! dit-elle, et les aulres ?

Le Chevalier de Rlaigon-RoGige

Une indisposition assez grave nous a empêché jusqu'ici d'as-
sister à la reprise du Chevalier de Maison-Rouge...

Nous vous en entretiendrons la semaine prochaine , et nous
ferons à chacun sa part dans le succèâ...

Ce succès, nous nous bornons à l'enregistrer aujourd'hui, et nous
en sommes heureux pour le public, l'impressario, les artistes et
l'auteur...

D'accuns'paraissent n'être point de mon avis...

Pour ma part, j'ai toujours été fort étonné de l'acharnement de
certaines gens contre cette nature toute sympathique et toute en
élans. Alexandre Dumas est le plus généreux des amis et le plus
oublieux des ennemis.

Une preuve entre mille :

m

En 1847, — un pamphlétaire qui n'avait plus le placement de
ses iibellles, —vint trouver l'auteur du Chevalier de Maison-Bouge
et lui demander son appuï'auprès du ministre pour une place qu'il
avait sollicitée.

—- Déjeunez avec moi et je suis à vous, répond Dumas qui se
mettait à table-

On s'assied, on rompt le pain, on cause, on s'anime. Dumas est
plein d'entrain, de jovialité et de complaisance.

Au dessert, le solliciteur, touché de l'effusion de son hôte, sa
confesse de certaines attaques contre le théâtre de Dumas en des
feuilles honteuses.

— Bon! bon! fit Dumas avec bonhomie, des peccadilles! Nous
allons monter en coupé et je vous présente .au ministre.

— Mais, c'est trop de bontés, vraiment I une simple lettre suf-
firait, ..

— Bah ! est-ce q:i'on lit les lettres ? laissez-moi faire.

*

En voiture, le feuilliste avoue qu'il n'a pas toujours respecté la
vie intime de son protecteur improvisé. Dumas lui choisit son
meilleur cigare.

Au ministère, antichambre d'un quart d'heure; Dumas fait des
calembours pour égayer son compagnon.

Enfin, l'huissier de service annonce les visiteurs, et la place est
enlevée à la pointe de l'esprit... toujours par Dumas, bien
entendu.

En sortant, le protégé confesse en rougissant qu'il n'a vécu
pendant trois années entières qu'en dirigeant, chaque jour et à
chaque heure, des obscénités de plume contre les cent romans et
les cinquante pièces de Dumas.

Il faut bien vivre! une perfidie de taille moyenne représentait
le pain quotidien de son ménage; une injure bien en prestance,
c'était la soupe et le bœuf; avec une belle e; bonne calomnie on
donnait des confitures aux enfants. — Il avait des entrailles de
père, ce misérable, après wu.t!

La grosse tête du célèbre rorasncïec s'épanouit dans son am-
pleur floconneuse, —et tendant la main au pauvre hère accablé
sous ses aveux. :

— Le bon Dieu n'a fait qu'un ouvrage — un seul ! — et voilà
six mille ans qu'on le turlupine! s'écria-t-il en forme de conclu-
sion.

_ L'honorable lord est fort âgé. Il a les habitudes prudentes de la
vieillesse,— telles par exemple que celle, ■—quaud il siège en
justice,— de renvoyer toujours les affaires à huitaine. Inde notro
anecdote.

Il n'y a pas longtemps, lord Campbell achète un petit cottage.
Je vous ai dit qu il est homme de précaution. En arrivant dans
sa villa, son premier soffi est d'appeler le charpentier et de lui
commander des -waler-closets.

— Où 1rs pfàcéraUje, di mande le charpentier, — dans la mai-
son ou dans le jar.'i i?

— Cela demande réflexion, dit lord Campbell. Revenez dans
quelques jours; à huitaine,

La semaine écoulée, le charpentier reparaît. Le noble lord
s'était décidé pour le jardin,

— Fort bien, dit le mercenaire; >— maÎ3 de quoi bois vais-je
les faire, — en sapin ou en acajou \

— Disble ! diable! fait lord Campbell; 'une question comme
celle-là ne se décide pas on une minute. A huitaine la réponse.

Aurès huit jours de mûres méditations, l'acajou est enfin choisi,

— A la bonne heure! mais —■ -interrompt la charpentier, —
faut-il les faire à une ou à deux places ?

— Hum! hum 1 le point ept délicat. Renvpyons à huitai...

— Inutile, myiord 1 interrompt le charpentier. Je vais décidé-
ment les faire à une place, tout de suite.

— Ah ça, dit lord Campbell, comment pouvez vous vous pro-
noncer si lestement, vous?

— C'est tout simple, myiord. Si je les fais à deux places, vous
remettrez toujours à huitaine, — avan'- de décider sur laquelle
vous asseoir I

Emile Blondst.

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