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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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L'ECLIPSE.

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brage vénérable des grandi
itlft, mais dcvons-nougdôV
:otre appétit Su pittoresque,
sages: le gland an naturel I
nie, en cette enceinte, doit

s anciens systèmes de lou-
assent tout à fait après les
: certains, que le Preg^s

3es chemins ût ftrroutitrs,
u de fer routiers nous pa*
tsiderata du public,
âges, et vice-ursa, et des
îels, un réseau de trans-
us modernes que la dil>
sant, quels patacbeexpi»
n desquels le voyageu/ est

repreneurs nous p

ils sont encore nos indis*

rs, n'aquMn flot h—
ai», à la place de ces an-
i bas pris, d»»s un Bre'
:ation entre elle> M
ravaur, ni de conoilioni
. Les Ami» <* !"""'
des routes, et les desceu-
les courbes, même ei
rapeur, assure au piilit
set certes pas à compter

r la création (te*'*
rticnlière. Us en tireront

Tous les ans 40» Ho-
J nous. H reste encore
Jre en était Avec !'«»■

Surent à lears^PT
,nfc« le pays sera «tan
T„'n r donnèrent .ni
Û terres, la vie qa. leur

, clients *'»fffl*£

SSKS

tre détracteur- >

GAZETTE A LA MAIN

(JPÉHETTË ÉLECTORALE

Banrlunt aua je geignais - entre deux draps - sons les te-

,ZïèrAaeino -dans ce Montmartre haut perche d'où 1 on

nmnL\nKfm basde soi - on commençait, à Paris, la repre-

Sto d'une te nmnsante saynète, intitulée, s. je ne me

trompe, la Grande-Populace de Pantin,

r.W original et charmant... .

SchtteUefjoue la Grande-Ptfpulace, et Dnpnis, le lantern.er
JJenriHochefort...

vous distinguez la chose a ici :

rrOrande-Populace fait son entrée, le nez au vent, la cra-
«ih. au poing, le bonnet sur l'oreille. Deux tambours-- Yacque-
SetMmrice -battent aux champs. L'orchestre exécute pia-
nissimo les airs des Girondins et, des Lampions combines...

Accompagnée du baron Deleacloze, du jeune prince Budaille -
dontTna quelque peu parle dans la Gasctle de Ihllanle-el i» plaj
sieursdei«es Gaillard d'honneur, l'impétueuse souveraine passe

%[n™-érraâfreTgoi'ants, dont les lignes sont censées se prolon^
Ber dans la coulisse..*
Tout a coup, sa boùssine siflle...

grand

;t»H

la pa»1

eetH

M**

Btf»*

— Faites avancer ce soldat...
_ Qui ça? Carnotr...
_ Non, pas celui-là. Pas Carnot. Il est trop vieux!

— Celui-ci alors? Glais-Bizoin?...

— Non, pas Glais-B.zoin. Il est trop laid!... L autre
pâlot, - le grêlé, — l'écumoire...

— Bagatellier Rochefort, trois pas en avant I...
Rocuefoît obéit et présente les armes... _
La Grande-Populace l'interroge avec bonté :

— Ton nom? .

_ Rochefort (le citoyen Henri, comte de).

— Combien de campagnes!... Combien de blessures?...

— Aucune campagne, aucune blessure... Ah ! si, pourtant, une
fois i'ai reçu un porte-crayon en vermeil., Et puis, une autre
fois, j'ai houspillé un imprimeur... Mais je ne sais pas si ça peut
compter...

— Simple boulevardier 7

— Simple bdolevardier.

— Je te fais caporal... — Eh bien I où vas-tn donc?

— Je vais dire à mon bon ami Ernest Blum que je suis ca-
poraL

— Tu lui dir£s que tu es sergent.

*

La Grande-Populace brûle de chanter la Marseillaise — en duo.
Hochefori sera £pn ténor. Observations respectueuses des cour-
tisans : , , T ,,,

— Altesse, l'étiquette défend qu un modeste sergent de la dé-
mocratie...

— Ilest lieutenant...- Un lieutenant,.est-ce trop peu?... Je lé
nomme capitaine I (

Là-dessus, on discute le plan de la prochaine campagne. L art
des révolutions peut se résumer en deux mots : couper et enve-
lopper, Or, le radicalisme partage ses troupes en trois corps. 11
y en a un qui va â droite, un autre qui va à gauche, un troisième
qui va au milieu. Ces trois corps opèrent let. r jonction sur la place
& la Concorde...

— Où l'on ne.trouve que Gagne!.., Archi-connul ricane
Hochefort dans son coin.

Explosion de murmures ;
^ -- Vous n'avez pas le droit de prendre la parole I ..*

— Àvez-vous étudié les questions sociales ?...
»- Il faut êtr.e irréconciliable supérieur,..

La &raude-Sopulace fouaille le bureau à tour de bras :

— Silence, citoyens!... ou, par le 26 octobre, je ferai tomber
sous l'éloquence de Briosne et de Lefrançois les oreilles du pre-
mier qui ne se tairapas!.,. Approche*Rochefort!... Tu me plais !..
Il me plaît, àmoi, ce gringaletl... Il est mignon et rigolo I...

Henri s'élance à la tribune :

— Je me fiche pas mal des questions sociales!... Il faut aller
tout droit à l'ennemi par un seul chemin... On le rencontre; et
puis, dame, là, avec les camarades, on cogne... tant qu'on peut
cogner... On «ogne — et voilà!...

La Grande-Populace se tourne vers les membres de TOppo-
fition.

— Messieurs, voilà le plan que Vous devez suivre...

— Nous ne le suivrons pas!

— Comment1?

— Nous sommes responsables envers "Votre Altesse du sang
de ses soldats... Avec votre plan, il n'y avait pas de bataille pos-
sible... Que le citoyen Rochefort se fasse, s'il le veut, empoigner
comme Manuel ou fusiller comme Baudin...

La Grande-Populace s'adresse au jeune Rochefort :

— Vous gagneriez la bataille?...

— Ou je la perdrais... tout comme un autre,

—-Eh bien! à partir de ce moment, tu es général de mes
forces, irréconciliable en chef, mon siaïNDATAIKE universel et
CNIQUE REPRÉSENTANT 1 ! !

Rochefort, étendant le bras :

— Citoyen Gambetta, à moi le panache 1

La pièce en est arrivée â ce point.

On m'assure que, dès le second acte
que — contre le favori...

Les trois Hugo sont du complot.

On sait d'où ça vient: des histoires de' .femmes, pas autre
chose!

Logeons-le donc, et dès ce soir,
J. w Chambre.......

Puis, c'est l'ennemi que l'on signale:

A cheval I à cheval !
Vite, citoyen général !

Bref, j'ai bien peur que tout ceci ne finisse comme un certain
ouvrage qui a obtenu, dans les temps, aux Variétés, un incontes-
table succès.

Vous vous rappelez :

Le grenadier Fritz—qu'un inconcevable caprice a élevé au grade
oe mestre de camp—revient d'expédition, déplu.mé, fourbu et pi-

bo h"8 S6S mains' *e K sabre » auguste est devenu un tire-

faiÉ«aS.a"de~'DraheS5'J "" <ïui a remar,îué le baron -Lullier — est

i on. conspire —en musi-

H est question de faire passer le pauvre Fritz au conseil...

Fritz. — Au conseil .— Jejcroyais être général.

La grande-duchesse. — J'ai dit colon el.

Fritz.— Eh bien, à la bonne heure!... Capitaine, si vous
voulez?...

La GdANDE-BucHESsE. — Capitaine, je le veux bien.

Fritz. — Pourquoi pas lieutenant?

La grande duchesse. — Lieutenant... soit!

FrItZ; —■ Et puis sergent, n'est-ce pas?

La ghamde-duchesse. — Sergent, c'est entendu :

Fritz, — Oh! bien, par exemple!... Otil bien,par exempte 1

La grande-duchesse. — Pourquoi t'arrôtes-tu ?... Ily a caporal
encore.

FrItz. — Oui. caporal.,, et puis, simple soldat.

La grande-duchesse. — Simple foldat, tu l'as dit,

Boùsi â Brilz. — Je te l'avais promis que je te rattraperais !,..
Mou! hou I... Mauvais soldat!... Tu sais, si tu veux refaire de la
copie au ifyûrol...

Théâtres

J'ai vu — enfin — le Chevalier de Maison-Rouge. Un roman mis
6h pièêe. J'aime ees actions larges et multiples qui (ont éclater
de toutes parts le vieux moule classique. Malueufeufceraent, il est
assez difficile de lé* suivre pied à pied dans leurs dé?e oppements.
On aurait pîu!3 tôt fait de recopier la brochure.

Le Chevalier de Maison-Bouge, sans parler des décoratioxis^ et
des costumes, qui sont 1» résurrection de Paris révolutionnaire,
est un chef-d'œuvre d'agencement. Rien ne languit, rien ne
traîne ; pas une entrée maladroite, pas une scène trop prolongea -,
tout marche, tout court, sans hésitation, sans embarras. Ma foi,
si cela n'est pas du génie, c'est au moins du talent, et du plus
rare, — et le jeune M. Sardou ne se prodigue pas si souvent, que
nous devions faire fi du père Dumas 1...

Brave papa Dumas !...

S'il bat volontiers la caisse autour de ses succès, il faut avouer
qu'il accepfe ses çhuies avec une philosophie charmante

Racontant le fâcheux accueil fait à son drariîa la Tour Sdint-
Jacques, il disait :

— Je ne craignais guère pour la pièce, si ce n'e.<t au troisième
acte une scène assez scabreuse. Par bonheur, oh sifflait tellement
pendant tout le temps qu'elle a duré, que parsdiïHen'en a entendu
un mot. C'est ce qui a sauvé l'ouvrage.

*

Le rôle du Chevalier — créépar Lacressonnière — est tenu au-
jourd'hui par mon ami Charly. Je n'éprouve aucun, scrupule à ué
elarer que mon ami Charly m'y a produit l'effet du clair de lune
dans le Songed'une nuit d'êlé. Pourquoi, en demandant un'Maison-
Rouge à tous les théâtres de Paris, M. Raphaël Félix n'à-l-il f>as
eu soin d'afficher : Rien Débureau ?

Lacressonnière n'a pas la puissance deBignon;mais i! est plus
mordant, plus distingué, plus aigu. C'est un Dixmer suffisant : ce
sera un don Salluste accompli.

Paul Deshayes, dans Maurice, se montre élégant, chaleureux,
sympathique. Mme -Gornélïe me semble un peu fureurs d'Oreste
dans la Tisou. Mais quel relief le vieux Boulin donne à la figure
Isinistre de Rocher, et comme mademoiselle Bonheur a vraiment
mérité les trois cents voix qu'il lui fallait pour être Déesse de
a RaisonI

Quant à Léonide Leblanc, un camarade me disait, — éloge
inestimable :

— Elle joue les amoureuses comme Frederick joue les ivro-
gnes.

J'ai gardé Mélingue pour pour la fin.

Aux derniers les... meilleurs!

Mélingue, l'œil étincelant de jeunesse sous la neige de ses ca-
denettes, le mollet ferme et rond dans le bas chiné des musca-
dins, et portant à la diable sur son fier profil à gr-nds pans le
cbapeaa dont Carie Vernet coiffe son Incroyable du Directoire!. .

Mélingne, tapageur, narquois, persuasif, aimant, cht-valt-re^quc,
— si impétueux et si héroïque à la bataille, ■—■ en garde I une l
deux! voilà Dixmer fendu de taille et transpercé d'esioc! — et
si simple, si sublime, si pathétique dans son sacrifie1! à l'a-
mitié!..-

Qui nous livrera le secret, de cette verdeur, de cette flamme, de
cette jouvence?...

Car, enfin, voici tantôt dix ans, jo dînais quelquefois chez Mé-
lingue avec deux beaux garçons — Lucien et Gaston, — qui ap
proebaient déjà du terme où l'on tire à la circonscription...

Jamais le père ne les grondait au moment des repas...

— Je sais ce que c'est, disait-il. Un jour ou l'autre, ils s'envo-
leront du nid et iront chercher la fortune dans l'exercice de quel-
que art ingrat, qui ne leur assurera pas toujours la becqucLe quo ■
tidtenne. — Alors, si je les avais jamais bougonnes à l'instant du
beefsteak et qu'ils eussent à se reprocher quelques folies de jeu-
nesse, quand l'heure de la soupe sonnerait, ils aimeraient peut-
être mieux se serrer le ventre que de venir essuyer un savon, tan-
dis que, se rappelant que ça a toujours été un moment d'éptta-
chement, une sorte de trêve de Dieu, ils n'hésiteront jamais à
venir mordre à la miche pa ernelle.

Celui qui a une telle prévoyance de cceur est plus qu'un grand
artiste...
C'est un excellent homme.

La province, qui trouve que Paris lui fait la vie dure, veut
s'émanciper et se ligue pour atteindre ce but. Voyez plutôt les
lignes suivantes, cueillies dansl'^t'/WiC/Vir-t, messager d'Avranches
el de Granville :

Nous entendrons, de nouveau, la spirituelle et chaude parole iMe Ernest
Desmarcts; nous reverrons se personne, si sympathique; nous l'everrons
son séduisant sourire. En effet, noire confrère Augusle ïencé — qui s'est
faït,pour un jour, le secrétaire in partibus et ad honores de l'éimnent avo-
cat — nous a conté la promesse de Me Desmarets devenir, ici, vers le
printemps.donner une conférence jiublîqnc. On le sait, Mc Desmarets est le
promoteur de la Ligue dé l'Emancipation provinciale, dont nous avons les
projets de statuts sous les yeux Celte année, il a fait, déjà, plusieurs con-
férences publiques dans diverses villes de Bretagne, el il se p-opose, en
quittant Granville, de laisser sa carte de visite à Avranches, Villedien, Pon-
torson, Saint-Hilaire-du-liarcouët.

Paris a son compte!...

Le chiffre des cadavres est complet!...

La huitième victime vient d'être retrouvée : le père!...

Sur les indications de ['assassin, on a dée-ouvert en Alsace le
corps de ce Kinckagénaire.

Il paraît que Troppmann — qui varie ses moyens — avait fait
prendre au pauvre diable une forte dose de poison.

Durandeau s'est écrié .'

— Intoxiquer ce malheureux!... Fabriquer de l'axide prus-
sique!... Ah! c'est la Kinckessence de l'art],..

La cour d'assises de la Seine a condamné cette semaine aux
travaux forcés deux empoisonneurs de famille, — la belle-mère et
le gendre. Mon Dieu, oui : comme à la Comédie-Française.

A propos de Brinvilliers domestiques, il me revient une anec-
dote :

Une blanchisseuse avait épousé un charbonnier.

Un beau matin, celui-ci mourut dans d'horribles convulsions,
etle procureur du roi, —c'était alors le procureur du roi, — eut
la curiosité de savoir comment il était mort. Il envoya deux mé-
decins pour examiner les faits. Les disciples d'Ksculape firent un
rapport qui concluait que le charbonnier aurait bien pu. être em-
poisonné.

La blanchisseuse est arrêtée, fourrée en prison et jugée.

Pendant l'instruction, la prévenue avoue qu'elleavait fait avaler
à son mari une bouteille d'eau de javelle.

— Comment, accusée, lui demanda le président le jour du juge-
ment, avez-vous pu commettre un si grand forfait?

— Ah! monsieur, s'écria la lavandière en pleurs, je vous
assure que mon intention n'était pas de le tuer : je voulais seule-
ment le blanchir,

Ëi&iiE Blondet.

Ï.A MODE

Le cache-nez est ainsi nommé, sans doute, parce qu'il cache la
bouche et h menton et laisse voir le nez, qui semble se- mettre à
la fenêtre. Que voulez-vous? Notre pauvre mofïde est si peu logi-
que! Demandez au mouton de Panurgë pourquoi il saute à la mer,
il vous bêlera: Parce que mon compagnon de devant a' sauté.

Faites au premier venu une question anàl^gu^ à propos dJ
cacne-nez, il vous répondra de même : Dame ! ça se dit!

Qu'elle est fausse, cette notion : «Qui a plus d'esprit que Vol-
taire ? Tout le monde. » II n'est pas de rengaines absurdes qui
ne soient adoptées par In fouly. Mats trêve de réflexions.

Si te cache-nez est mal nommé, il n'en est pas moins fort
utile, et l'on ne saurait nier sa beauté quand il sort de la Malle
des Indes (passage Verdeau, 24 et 26), qui est la spécialité de
foulards faisant loi.

Ce petit carré d'étoffe, fort élégant, et surtout fort hygiénique,
vous épargne bien des rhum3;s. La vogue du caohe-nez blanc,
avec bordure variée, est balancée par celle du cache-nez dessin
cachemire, broché à fond plein ou orné de palmes sur fond varié.

Que portait-on au printemps dernier et pendant l'été? Du fou-
lard, beaucoup de foulard. Par le mauvais temps,le CélesterEmpire
de la Malle des Indes et se* foulards foncée aux mignonnes dis-
positions, sont préférés au taffetas, pour la facilité qu'on a de les
laver sans qu'ils perdent leur brillant et leur coloris. N'oublions
pas que \a,Malle des Indes expédie partout des commis-voyageurs
fort éloquents et fort consiencïeux : je veux paner de ses échan-
tillons,

A. DE BOIIETTÏ.

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Charmante brochure .de 64 pages — Franco, 50 cent.

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cI'akdré GILL, journal hebdomadaire de 16pages
,Cette feuile amusante et fantaisiste reproduit en charge l'é*
venement du jour, la pièce ou le roman en vogue, le salon, l'ac-
tualité. — Le numéro, 30 cent.
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financier l'Union des Actionnaires (maintenant, 10, place
Vendôme), paraissant deux fois par semaine, les mardi et
vendredi, est réduit à CINQ francs pour Paris et les Dépar-
ements, r

Comme noblesse, réputation oblige. Cet axiome, bien com-
pris par la Chemiserie modèle, explique les efforts faits par
cette maison pour justifier le succès toujonrs croissant du
système de Mesure et de Coupe d'après les conformations, et
pour lequel elle est seule brevetée en France, en Angleterre
et en Autriche.

Distribution de la brochure explicative, 45, rue Le Pele-
tier.

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Cottii ou non cotés, à 2 1|2 O[0 net; les
OPÉRATIONS FINANCIERES DIVERSES

Achat et vente au comptant ou à terme de toutes les valeurs cotées
I à la Course. Escompte do coupons non échus, payements pour sous-
criptions. Echange et retrait des titres.
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| portion de 50 0[0.

S'adresser, par lettre affranchie, à la
! BANQUE OÉSÊB.AI.E des Valeurs mobilière»
___________62, rue Turbigo, 62.____________ _
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