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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0240

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' %_____________________________________________

PRIMES DE L'ECLIPSE.

%nute personne qui enverra directement en mandat ou e* ttm-
bres^poste, au Directeur du journal, 16, rue du Croissant, à Paris,
le muiitant d'un abonnement d un an à 1 Eclipse, jouira des
prions ci-detsi'US, aux eoinii ions sui.anies;
PREMlÉUb PiUME
Une charmante pendule, due Miy/iunnette, à cadran de porce-
laine histarié, fonctionnant d'une façon non moins satisfaisante
qu'une bonne montre suisse, et se réglant à peine à quelques
minutes par mois.

Cette petite pièce sort des ateliers de M. E. Beignet. 9b, rue
Montmartre', borlnger de la ville de Paris.
. PâRts, avec l'abonnement d'un an , . . . . . . 15 "

DÉSMRTEjâENTS. — La prime prise au bureau. . . 16 »
Id. La prime envoyée franco. ... 17 »

DEUXIÈME PUIMÉ.
. Uue superbe Lanterne muçxqw-, dite Lampascope, accompagnée
d*i| duuze verres foiinit-sam 48 sujett, reproduits d'après les
charges de Gill, les plus céièDivs.

L'Abonner ent pour Paris, avec cette prihie.......... 12 fr.

Pour les dépariemenis, la prime prise au bureau...... 13 fr.

« » La pnme expédiée franco...... 16 tr.

TROISIÈME PRIME
60 Charges d'André Gill: ,

L'abuiuiem-nL d'un an pour Paris, avec cette prime. 8 50
■Pour les départemema. . ........ , 10 »

Tous nos abonnes peuvent jouir de ces primes, déduction faite
dn prix de l'abonnement déjà payé.

LE I>EGEL

La France -imxi la Liberi

L'ÉCLiPSÈ.

( Discours Impérial du 29 novembre )

Non, tu ce meurs pas, Liberté! un do ces jours, au moment où
l'on s'y attendra le moins, à l'Heure même où on t'aura le pius
'profonilémerrt oubliée, lu le !ever..sl ô < bouissement 1 on verra
a lace d'a&tre sortir de terre et resplendir à l'horizon. Sur toute
«eue neige, sur toute cette glace, sur cette plaine dure et Hanche,
rur cette eau d^venuebluc, tu lancés ta tièche d'or, ton ardent
«t éclatant i&jun t la lumière, la chaleur, la »i«! —

ViefeSïi Hugo,

LE PARAPLUIE GROSEILLE.

A BOQUILLOK LE PÈRE.

Àvez-Yous eu, dans votre bas âge, un parapluie groseille, Hùm-
ben?

Oui, ou non ? Répondez franchement. Pas d'ambages 1

Non ; je 1-e savais. Vous n'avez pas eu de parapluie gi oseille.

Personne n'a jamais eu un parapluie groseille.

Moi, moi seul, et c'est joliment assez dèJ mes premiers pasj j'ai
été stigmatisé u'un parapluie de cette teinte épouvantable.

11 y en a qui naissent sur lés march&s d'un trône, d'autres qui
font leur apparition dans la société avec une trompe rulimën-
taire, à la placé du riez; mais votre pauvre ami, chdiii par le
Destin malicieu"^, a vu le jour uniquement pour devenir, à la ma-
melle, le propriétaire unique et indivisible d'un parapluie gro-
seille.

Si j'avais Votre excentrique talent, Humbert, je vods ferais*', à
cette place, uh croquis du parapluie qui me rendit célèbre, dans
ma entrée natale^ pendant quelques &rïntSe"9:

Mai* je n'ai pas votre i aient excentrique. Je me borné donc à
vous décrire mon parapluie groseille.

Immense, tel un dôme, Us voyageurs surpris l'apercevaient
de loin, à l'horizon, comme làcoupoie de quelque étrange édifice.

Un teinturier haineux avait doté la soie de cet énorme para-
pluie d'une couleur rduge malsaine, tirant sur le violet.

On eût dit de la pourpre poitrinaire I

L'Océan avait fourni les éléments de sa charpente solide, io-
■desirucub e, hélà>! Ma parole, on avait du employer la dépouillé
ornière d'un celacé de forte taille pour le garnir de baleinés.

Que de baleines!

J'étaj^, du matin au soir, lé Jonas de ces baleines, par les
temps de pluie. Triste asile 1

Je me tenais, ordinairement, dans ces baleines, ■— pauvre fout
peiit garçon maigre, à côté du manche. Et quel manche I Parlons
du manche, d'ailleurs.

Droit, cxmmè.lo ironc élancé d'or palmier stérile, et d'une
longueur prodigieuse, il se teimînoii par un bec de corbin en cui-
vre, de ciselure ridicule, et d'un puids'considérable,

L'autié bout, la flèche du dôme groseille que vous savez, était
orné d'un autre morceau de cuivre compliqué, garni d'un large
ai.ma :, comme le nez d'iîn sauvage.

Ainsi bâ i, ce parapluie, dérobé sans doute à une collection
d'instruments de lurture, m'émit confié, pour aller à l'école, J'a-
gis 1 air, lorsque j'en états-muni, d'un audacieux atome humain,
suspendu à un vaste parachute.

Des lavants, de pa>sasre en mon pays natal, me prirent quel-
que fuis pour un jeune échantillon de la race qui peuple les pla-
nètes, debxondu &ur la tene au moyen de ce parachute extraordi-
naire.

Mais, *i je •me'fjbôqùaît. pas mal-des regard s "dé s savants, qui pre-
naient dés note*, je dois vous avouer que les paroles et voies de
.fait derfles condisciples, me rendaient la vie bien amère.

Les jours de soleil,' mon cœur nageait dans la joie. Les jours de
pluie, le désespoir entrait dans mon sein, comme chez lui, et s'y
installait ou matin au soir-

Cela êe comp end, du reste. J'étais obligé, pour atteindre le
seuil paternel de l'école, de traverser les rues les plus populeuses
du pays.' Le parapluie groseille, dans la foule d s nfl.tns noirs
ou bleusj, éclatait comme un gigantesque coquelicot sur le-retour.
Lot mères le montraient à leurs nourrissons colériques, pour les
JeJ»e nH. Mauvais stMfcomo. Lm nourrissons, épouvantés, sa tor-

daient de rage en apercevant ce monstre inconnu, et de couleu
équivoque.

Il va sans dire que des bandés de gamins, sans cesse accrues,
me faisaient cortège, en- pouSsa.it des cris de Peaux-Rouges à la
lecture d'un roman île Gubtave Àimard.

Le; jours de marché, le cêlèb ë parapluie groseille causait les
plu- graves accidents. Les bestiaux dînaient inquiets. Le> ânes
ruaient. Le ton subversif de mori tiiéubié faisait délirer jusqu'aux
lapins modestes et incolores, erilàssés dàris les paniers.

Et pas moyen d'éviter ce scandale;

Comment faire l'école bdissdnnièrô avec un parapluie gro-
seille?

On i'eât aperçu fatalement^ au milieu de !a verdurédes champ's,
de cinq lieues à la rdrtde. Tdut lé rridndé eut dit à mt-s parfois :
— - Le petit n'a pas été à 1 école Od a vu sbti parapluie Ëarri-
« bùyer en ire les arbres, j»

Non. 11 fallait aller à l'école, cOmmë bn rhbhte à l'assaut, à
travers vune mitraille de cruelles plaisanteries. MPÏ fenneriiis né
cessaient jamais le feu. A l'école, c'était bien dtiliv endee. Lés
sévices remplaçaient les prbpos railleurs. Gti ih'ârracbàit les che-
veux. On me comblait dé boulettes dé papier mâché Oh m'of-
frait le fiei et le vinaigre du Golgotha. Et tout cela parce que
j'avais un parapluie groseille.

Lui-même d'ailleurs, le monstrel n'éiait pas épargné; Pendant
les récréations dri lui rendait un culte dérisoire: Oh le portait en
triomphe. On l'ouvrait avec ironie 1 On accu.-ait mes parents d'a-
voir fait un pacte avec le diable. On traitait leur économie d'ava-
nce dégoûtante.

Enfi'i un cri générai s'élevait.

— « Qu'il marche avec son parapluie) »

J'obéissais, — pauvre tout petit garçon maigre, — et je dé-
ployais sur ma tête les plis nombreux de mon parapluie. Ei il me
faliaù marcher, gravement, comme un roi Mogol, sous mon exé-
crable bourreau groseille, pour la pins grande satisfaction de
mes... cauuarades.

Le dtmat.che, aller à la rn'êsâëj éq^livaiiiit pour moi à l'ascension
do Calvaire Quelles dndltiiiFëdsga éiaMUris' î Je tombais plusieurs
fois -ous ce laix ridicule: Le màitfë ItIb b^hlssâit.

A la porte de l'église, le suisse irrité préfcgflt-ia'it que j'offensais
le Sei neur, et il m'arrachait, u on parapluie' brusquement; le
grand bec à cofBin, en cuivre ciselé, m'écurchait ië§ âdigts.

J'étais détiâFlassé de mon déplorable compagnon groseille1 £811f
un instant. Mais,. de mon banc, pendant le service divirlj j;611-
tendais les ëêlals de rire du populaire attroupé suf têS ffiàrcHés
du ponail; et se faisant un bon sang inouï devant nlon parapluie
groseille} dépbsé contre une colonne, sous la haute surveillance
d'un piUvr'é — qui n'en aurait pas voulu!

Ernest d'Hervilly.

!*^vWW^^*li

ÉCHOS DE PARTOUT

Un écho bien amusàrit des élections.

Dans un des lieux de voie de l'arrondissement de Bercy — der-
nièrement — un de ces bossus complëls, cagneux, à longs pieds,
à longues mains, à nez épaté, et à vbix glapissante, avait suivi,
avec un ihlèièt farouche, le dépôt dés votesj bon sans réflexions
énergiques et sentant Tait.

Lorsqti oil dut transporter l'urneâ la mairie, pour he pas quit-
ter le vase éhéri contenant ie rlë'stin, lé farouche ëifdyen offrit,
pour là porter, son émineriée. BBh gré, mal gré, îi fallut qu'on
âccepiàt, et c'est sur ce coussifl. d'un nouveau genre t}ue l'urne ût
son entrée tiiomphale à la mairie, àui rires inextinguibles de la
foùté;

11

Bouiliy, l'auteur déà Contés, était sensible, oh ! sensible ; il ne
pouvait Voir Souffrir une pûcô à j'eùri. iahs lui offrir l'hospitalité.

Ou're ses 'qualiies, il p 'ssédaû dii'é arrime superbe et fort vue,
qui appréciait sori excellent mari à sa jiîstè valeur, et chérissait
vivemeDt un peintre de talent. Bëniihë tiéjuste, Bioilly avait une
amitié profonde ^ôur ledit peintre j qui la rendait bien.... à sa
femme.

Or, un joui; passant sur je nes'àis pitis tjueî quai, il aperçut un
spectacle affreux : un pauvre d'en écrase; piaillant, l'es eh'traillèa
pen aines, â'u milieu d'un gros dtë bànaudâ hébétés.

Aus-itètsa sensibilué de s'émdnvôir, êês iveux de pleurer, et;.,
(commehl dire cela? voyez les singuliers effets qne peut produire
u e à'n'é sensible) etses entrailles de s'éliibuvoir aussi.

Ii inii, il court',il vole1... En chemin1', il trouve le logis dû pein-
tre *, il tmmpp,il se précipite, il carillonné,il bouleverse, il entre:
en ieux mots ii a mis au courant... La clef! la clet ! Il dis
parnî:.

L entre, il est entré; il se précipite; mais, au fond du récepta-
cle, une écriture connue lui tire les yeut. Ma ïerhrhe ! s'ecrie-
t-il. Mais la chair est faible, et il cède à sa... sensibilité.

Sjula^é, le soupçon le reprend, et, vainqueur dé ses scrupules,
il saisit la lettre avec précaution,

. Plus de doute ; il y a bien : « Cet imbéêïïâ idè Bouiliy vient de
sortir; viens, je t'embrasse. »

Aies, furieux, il sort violemment, lé papfer révélateur à la
main.

— Misérable, dil-il au peintre, misérable î

Le peintre, furt peu effrayé, avoue, supplie; implore, et finit
par atten i rie le pauvre Bouihy, qui s'écrie:

— Ah! tout ça ne serait rien, mais.,, mais elle t'écrit, malheu-
reux, et toi, toi, voilà le cas que tu en fais 1

lii

Puisque !e Tent est aut électior s :

U no eieeiioa à l'Académie des Beauï»Àrtsv U y a un demi-
siicls.

Tardieu, lo graveur.se portait à une place vacame et n'avait
aucune chance— quoique médiocre — mais il avait une femme
d eiprit.

— Mon cher Carie, dit-elle au second des Vernet, mon mari
se présente et ne p,-ut èlr ■ élu ; il n'a pas le talent de ses con :nr-
rents, mais il me navre d» savoir qu'il n'aura pas une voiï. Au
premier tour, au premier tour seulement, donnez-lui votre vok ;
faites cela pour moi; inon cher ami.

Carie prtlmet naïvement et, le jour du scrutin, donne sa voix.
On dépouille': Premier bulletin, Tatdieu ; second, Tardieu; troii
sièihej Tardieu.

T'afdiëu encore. Tardieu toujours, Tardieu à l'unanimité : et
cHàéufi de rire et d'avouer une promesse analogue à celle qu'avait
tériùê Carié:

MachoS.

re m » .--Lu-----------------. '

A SAINTE CATHERINE

Sainte, lorsque Novembre a ramené ton jour,
Je vois clamant, geignant avec î-es premiers râles,
Se dérouler l'es>aim de ces beautés hanales
Dont le cœur douloureux s'est flétri sans amour.
Oui,j'assiste à la nuit sanglante et sans étoilet
Où, roses des candeurs du ireizième printemps,
Ces enfants ont senti les hommes triomphants
Baiser leur lèvre humide et déchirer leurs voiles.
Les vieilles qui gardaient à lerrs virginités
{Mères au nez crochu, cousines ou tutrices),
Véveil amicipé des caresses factices,
Saules ont eu le prix de c^s impuretés.
Avec le soin jaloux d'un e tendresse av;ire.
Elles avaient 1 ngtemps veillé leur?- jeunes cœurs,
De crainte que l'amour, en eutr'ouvrant ces fleurs,
Ne volât leur parfum cha-mant, étrange et rare.
Jusqu'au soir abhorré dont la femme, aujourd'hui,
Le front plissé, tordant affreusement sa bouche,

Revoit toujours vivant le souvenir farouche.....

Elle n'oublira point l'abominable nuitl...

A cet â^e où l'on joue encore à la poupée,

Elle sait qu'on lui fit quitter ?on petit lit,

Qu'on la para beaucoup et qu'on l'ensevelit

Près d'on vieux dont le3 yeux d'abord l'avaient fryppée.

(Ddriime un lourd papillon au ventre cotonneux,

ifj't baiser persistant effleurait pon oreille,

La bout de sdn épaule et sa bouche vermeille,

Èit les frêles rideaux dé satin de ses yeux ! •

Ôhi lorsque son amant eut soufflé la bougie,
Quoiqu'elle ne sût point ce qu'était la vertu,
Contre le vieux paillard comme elle a combattu,
De ses mains abritant sa poitrine rougie!

Ses pétlVFég sens craintifs sous lés draps se cachaient :

Fri*sfj:inàfiiê et tapie ad fo 'd dé la ruéllè,

LongitihipS élis fiiëUra diinà céue fluii cruelle,

Esquivant ïë dësif 'dès doigts qiii là cherchaient.

Et lorsque le màllh éclaira f=a défaite,

Elle eut tm ièvê âlFdce, ignoré des berceaux ;

Et le corp* seérhië de B> tiques soubresauts;

Elle se réveilla brl sée et stupéfaite.

Aussi, depuis ce jour- bien qùé la Vd'uptê

Sans tièvè et s*ans pitié l'ait prise pour sa proie,

Que le Sort en ait fait une fille de joie,

Et qu'on l'ai nié sâhs cesse avec férocité,

Son cœtirj abri triste cœur, qui se fane dans l'ombre,

N'a point edhilu le doux rayonnement vermeil

De ràtfjBuf partagé : jamais aucun soleil

N'éclairera l'horreiii" de sa rancune sombre.

Viéfge' sainte, il en est qui sont vierges aussi,
ÀjJres âvbif tDhhu par centaines les hommes;
Et Voici qti'ëii ces jours criminels où nous sommes,
Noire perversité souvent le veut ainsi.

0 i. Ie3 vices cruels, l'orgueil de la débauche
Gotrime un vent de tempête ont soufflé sur ce temps;
Qu sdiU les forts et le? héroïques amants
Dont la fierté battait sous la mamelle gauche ?

Siècle où plus rien n'éclot de tendre et de vaillant!
Siècle maudit, l'amour s'envole de ton âme!
èfede lâohe et bourg"ois! Vieil impudique infâme !
lia Prostiiution t'aborde en te raUlantl

■fristé siècle d'automne aux branches dépouillées,
Et qui he uortes pius qu'un misérab e fruit
Véreux éi dég ni'ant1... Et pourtant, aujourd'hui,
Les plus chastes ce sont encore l'es plus souillées!

Eugène Verme&sch.

L'ENGAGEMENT DU PÈRE HYACINTHE

Au lieu de se rendre à Rome pour le Concile, nous savons
■maintenant pourquoi le père Hyacinthe a voulu panir pour l'A-
mérique.

Suivant l'exempte de Nilsson et de quplquee artistes en vogue,
le carme chaussé aurait Hgné il y a quelques mois un traité avec
tin ïmpre-sano de New Yoïk. Suus peire de payer le dédit
stipulé, dédit qui parait-il était considérable, le père Hyacinthe



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