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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0245

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L'fiCLIPSK.

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Prenaient.

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r sa proie,

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dans l'ombre,

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nbre.

sur ce temps;

;s
auche ?

de vailiànli'

âme!

[de iniâme !

ird'bui,

SB VeSmebsch.

LCINTHE

:ile, nous MM '
u partir pour 1>Â'

artiste, «n^gue.
e payer i» ^

sesara.t denc vu forcé de rompre immédiatement son engage-
ment avec l'Eglise, afin de faire f«ce à celui qu il avait contracté
avec le directeur américain. _

0.1 ajoute, du reste, que les offres de ce dernier étaient bien
faiiss o--ar tenter l'ancien prédicateur de Notre-Dame. IL propo.
sait dit-on, 5.000 francs pour quatre conférences, soit un peu
plus Je 1,200 francs par représentation.

Je ee blâmerai donc pas plus le père Hyacinthe que Mlle Nilsson

de s'être laissé séduire parles proresitions de l'impressario deNew-

ork, mais je R« puis m'empêeher de blâmer fortement tous les

directeurs Pa:isiens qui ont ainsi laissé partir ces deux artistes

hers li^ne sans rien faire pour les retenir.

Depuis quelques années déjà, les étrangers semblent prendre à
tâche «e nous enlever l'unap*és l'autre tous noo grands artistes.
il ne s'émule pas de semaine sans que nous n'apprenions le dé-
part ds qnelqu'une de nos célébrités.

Un jour c'est la Patti qui nous quitte pour Saint-Pétersbourg,
une autre fuis c'est le père Hyacinthe que nous laissons tran-
quillement filer eu Amérique, Tout cela, je le déclare, est pro-
iboiément regrettab.e. Si nous n'y prenons garde, l'étranger nous
enlèvera peu a peu tous nos grands comédiens, et Paris cessera
bientôt d être le centre artistique de l'univers.

Du rette, dans cette circonstance connue dans beaucoup d'au-
tres, les directeurs Parisiens ne me paraissent pas du tout avoir
compris leurs véritables iniérêls. ;

Vuilàpar exemple auCoài,elet M. ttoqueplan, qui est un homme
intplliypni? Lst-ce quuu lieu de laisser partir le père Hyacinthe
il n'auiait pas dû se l'attacher à prit d'or, afiii de lui confier le
ro.epri cijjal dans sa revue de fia d'année? Croit-il qu'il n'eût
pas réalisé des bénéfices beaucoup plus considérables qu'avec la
foudre de Perlinpinpin?

Allons dune, il eût gagné une fur&iine, j'en suis certain, et au
bout de deux cents représentations, il aurait pariaitemerit pu payer,
sans même s'en apercevoir, le dédit stipulé d^ns l'engagement du
père Hyacinthe avec le directeur de New-York,

Georges Petit.

GAZETTE À LÀ MAIN

Ahl le régime de décembreI...

Le jour — malade et ch oroiique —qui se lève à midi, juste
pour déjeuner, et se recouche avant dîner, à l'heure où les forts
prennent l'absinthe!,..

Le brouillard fétide, opaque, impénétrable. — fait des sueurs
de la terre humide et des nuages rabattus par le ventl...

Le froid chargé decaianhes et d'hypocondrie. i,..

La pluie qui se lamente aux carreaux, la neige qi floconne
dans la rue, la boue noire, le pave glissant et les embuscades
nocturnes des coryzas et des bronchites!. .

Vo:là qui me paiait plus stupide cent fois, plus exécrable et
plus navrant que tous les résultats de'l'acte inconstitutionnel
de 1851!...

Irréconciliable !...

Oui, jf le suis, parbleu!...

Avec l'Hiver, avec l'ennui, — avec les engelures et les rhumes
de cerveau!

*

Qu'est-ce que vous veneà me parler du Coup d'Etat, du pouvoir
personnel et de la loi de sûreté générale!...

Et la Grippe doue! ..

Allons, enfanta de la patrie I...

Les soirées .longues sont arrivées!...

Aux armes!

On égo'ge nô's frères — avec l'Héritage fatal — à l'Ambigu!

Fermons à double tour nos gilet.- de flanelle! Renforçons no;
©Isàussurès de semelles en camtchouc! Achetons des gants four-
rés, des cache-nez, dès ceintures hygiéniques ! Elevons des barri-
cades de coke et de cotrets,!...

Gardons-nous, gardôhs-nous surtout de V'Education sentimentale,
du postillon-ténor Wachtel et du Tnéâirô Déjazet!

Dame! vous comprenez : du moment qu'il s'agit dé faire une
révolution contre le spleen!

t Je ne veux pourtant pas laisser passer l'anniversaire de ces
journées funèbres qui virent mourir Baudin, — sans raconter une
anecdote...

Anecdote instructive, ma foi, en ce temps deBrutus parlemen-
taires...

C'est dans le passé qu'il faut le plus souvent déchiffrer l'avenir:

Ceci se passait le 4 :

Un grand omnibus conduisait à Vincennes seize représentants
esconés de quatre gendarmes.

Tout à coup, une roue de la voiture se détraque; il faut dételer;
tous les représentants sont admis à prendre l'air...

Que vont-ils faire?

Ils sont seize contre quatre!

Douze au moins peuvent se sauver pendant que quatre tien-
dront tète aux gendarmes!

Ah! bien ouichel...
_ Les douze représentants, sans perdre une minute, se mirent tous
al œuvre ~" .pour raccpmmod/er leur cachot ambulant.

A chaque instant, ils retournaient la tête avec angoisse, dans
la crainte que le i-euple ne les délivrât.

1[f se rappelaient le mot désespéré de M. Ledru-Rollin, lors
u a Dlre au ConKervatoire des Arts émmtiers, mot que j'engage
m. dei Kochefort à méditer profondément :
_ — Que voulez-vous? Puisque j'étais leur chef, il fallait bien que
je leurooéisse!...

Les quêtes de charité ont commencé..,

Deux membres du bureau de bienfaisance arrivent dernière-
ment chez M. X... qui possède dix ou douze immeubles sur le
noulevard Saint-Germain.

Ils abordent ce crésus en bâtiments avec la petite harangue
de rigueur ; r

— La saison est rude... Nous faisons appel aux sentiments gé-
néreux... Noua nous présentons donc avec une liste de souscrip-
tion chez toutes les persom es aisé"s..

Le propriétaire se leva et fait un grand salut :

— Je regrette vivement, mes.-l.-urs, d'être obligé de vous re-
îïisftr. Mai» s il fallait donnar dans toute* iesmaiBon,*QUE l'on a!...

Ambigu. — L'héritage fatal.

L'Héritage fatal a été égayé...

Égayé !...

Mon D.eu: oui, cette inversion de sens'stévidemmentun trope.

Dùmar^ais ne l'avait pas deviné; mais un spirituel farceur de
la génération qui nous a précédés. — Charles Froment, — 1 aval.:
créé en un soir de goguette, et Joucbmi Duflost, un autre gro-
gnard de coulisses, m'en a raconté ainsi l'origine :

C'était à ce même Ambigu, — il y a quelque chose comme qua-,
rante ans...

On donnait la première représentation d'Alice ou les fossoyeurs
écossais

Charles Froment, avec qu&tofze de ses amis intimes, occupait
\m quinze fauteuils du premier rang de la première galerie...

Lacei&pasnie était en belle hiïiiieur. Elle avait dîné aux Ven-
danges de Bourgogne, et ne demandait qu'à s'amuser : cependant
il n'y avait pas, dans le premier acte du mélodrame, le plus petit,
mot pour rire.

— Celte pièce manque de gâté, djt Froment à ses amis. J'ai
une idée, et je vais l'èxecûtii'.

IL s'élance dehors. Buponchei et Labâtufc, dans le st-crel, dis-
paraissent avec lui.

M

Le second acte commence. Fremeôt est revenu à son poste au
milieu de la gaièrie; Duponcnel est à l'extrémité droite ; Làbaïut,
à l'extrém.té gàiiche.

Alice, en scène, est en train de verser quelques larmes ainères
sur son sort malheureux, quàhd une dame, placée derrière Fro-
ment lire son naoïachsir ,«t se mouche.

— C'est attendrissant ! lui dit Froment.

— Oh ! oui, répond la. daûie

— Pour un rien, je j»lë8rérais, ajoute le farceur. Et, ce disant,
il développe une p èce de Ciépe noir qu'il vient d'aller acheter, et
la fait passer de main en aiain à gauche et à droite jusqu'à Du-
penchel et Labatut. Tb«te la galerie en est enguirlandée. Les
amis comprennent qs'il faut pleurer dans cette fdnèbre draperie.
On simule des larmes, on se raoitchb, on rit à se tordre, puis on
siffle, puis on se làciae ; niais voici bientôt que le public dn paradis
prend au sérieux la chose, et innilte le baïadloh de Frttriiéjil qui
riposte; les projectiles s'échangent en même temps que les mots
se croisent: la première galerie est envahie par la garde et par
les blouses...

Les quinze joyeux compagnons sont entraînés chez le commis-
saire de police, entre une double haie de soldats, au milieu des
invectives de la populace du boulevard du Temple.

— Pourquoi voukez-vous faire tomber cette pièçeV demande le
commissaire à Froment?. ,

— La faire tomber 1 Nous n'en avons pas eu la pensée : nous
voulons seulement l'égayer.

Pareille chose à peu près s'est passée, ■— l'autre soir à l'Am-
bigu...

Et je n'en suià pomtfàehé, ma foi!...

Les auteurs de L'Héritage fatal sont deux comédiens...

Or, un proverbe de cheuw ?iï>U5 dit :

« Si chacun faisait i'ôh métier, les vaches seraient bien gardées »

Toutefois je n'oserais affirmer que, si MM. Jutes Domay et
Maurice Coste se contentaient déjouer la comédie, ces demoi-
selles de Chatte ôtoncÀesefflBntrér'lieHtmôinsvagabondes et moins
folâtres !...

Au Palais-Royal.

La Vie de Château !...

Un cbâteaude dimension raisonnable, pour pouvoir renfermer —
sans craquer — ces trois actricus de la Prévallée que l'on appelle
mesdemoiselles Silly, Blanche d'Antigny et Jalia Baroal...

Gil-Pérès brait sur le tout...

Ce pîtrn me rappelle, comme jovialité, la découverte du hui-
tième cadavre.

Il y a quelques années, il eut à créer un rôle auprès d'un dé-
butant qui possédait tjuêldués qualités — eritre autres des dents
superh-s, — si bien rangées et si blanches qu'e'les firent naître
dans le cceui'de Gil-Pérès le lâche sentiment de l'envie.

Voici le truc dont il usa pour empêcher les dents de son cama-
rade d'avoir du sucés.

Il remplissait le rôle éil domestique dans une pièce où le débu-
tant jouait le persoona.'e du maître. Or, chaque fois qu'on venait
demander ce dernier, Gil-Pëiès faisait une réponse de son cru,
qui n'était nullement dans son rôle. Il n'avait qu'à dire simple-
ment:

— Monsieur est sorti.

Au lieu de cela, il répliquait traîtreusement :

— Mon maître ? Il est allé chez' le dentiste d'en face faire ar-
ranger son râtelier.



A la fin, le débutant se fâcha tout rouge et alla mettre ses dents
sous la protectioHdé son directeur.

Quand il eut raconté la plaisanterie si méchamment inventée
par sou camarade, M. Darmeuil lui demanda d'un ton grave :

— Combien de fois Gil-Pérès parle-t-il de ce râtelier, dans la
pièce.

— Trois fois [

— Et cela fait de l'effet?

— Si ça fait de l'effet! je crois bien ! tout le monde éclate de
rire... à mes dépens.

— Ah! fit M. Dormeuil, pensif. Eh bien, alors, vous dires à
Gil-Pérès, à propos de eetie phrase stupide du râtelier, que je lui
ordonne formellement de ne plus la dire trois fois... mais six\

La livraison du Parnasse contemporain, parue cette semaine,
contient à côté de charmantes pièces de vers de Luliy Prudhomme,
Paul Verlaine, Leféburs, et de Mm« Blanchecot:e, un petit poème
plein d'humour de notre ami Ernest d'Hervilly.

Nous n'avens pas besoin de recommander à nos lecteurs de se
procurer la fantaisie originale de notre collaborateur.

Mais nous leur signalens le numéro d'ordre de cette livraisdn,
en vente chez Lemerre, c'est la 4°, Prix : 1 fr.

Au coin de la rue Jeubert :

Une petite femme toute gracieuse, simple, modeste, vêtue avec
un goût exquis, une simplicité charmante, descend d'une voiture
de remise, et paye le cocher.

La Dame — Combien, cocher?

Le Cocher, le chapeau à la main. — Deux francs, madame.

La Dame — Voici. (Elle lui donne une pièce de cinq francs.)

Le Cocher. — Combien faut il rendre à madame?

La Dame — Gardez tout.

Le Cochek, se couvrant. — Merci, ma biche.

Emile Blondét.

LA GRANDE CEINTURE.

En Francs! avouons-le en rougissant, on est joliment en re-
tard. Le ven'jcule îri'jïspensable du Progrès, la locomotive, cette
mangeuse de houille qui rend dei'or, ne s'est acclimatée que
lentement dans notre pays. Li vulgarisation du chemin de ier
n'est pas encore accomplie. A l'étranger, Hollande, Belgique,
Angleterre, Allemagne, la locomotive est souveraine. Un réseau
compliqué de voies ferreeé^enkcê les villes et les bourgades dans
sas mailles utiles, et les met èh communication constante, en
communion d'intérêt?, les unes avec les auties.

Du grand centre partent des rayons immenses. Ces rayons sont
réunis par des cercles concentriques, qui vont grandissant, du
centre à la périphérie.

C'est la merveilleuse toile d'araignée, tissée par l'industrie mo-
derne.

On en devine sans peine tous lés avantageas

Voici qu'il s'agit d'établir etifi.i, en Fraace, ces lignes concen-
triques, cette grande ceinture de chemins de fer, reliant lés lignes en
exploitation, comblant les lacunes, en un mot, qui subsistent en-
tre elles, depuis trop d'année-'.

La première grande ceinture, à un rayon'de -100'kîlomètres de
la capitale, passant par Rouen, Amiens, Làon,Rhéims, Châlons,
Troyes, Sens, Orléans, Chartres, Evreux, Lbuviers et Elbeuf, sera
prochainement termines.

On veut ouvrir, en ce moment, la section importante d'Orléans
à Drem, comprise dans la ligne d'Orléans a Rouen.

Tout le monde, la population des départements que doit traver-
ser cette voie, plus que personne, se préoccupe de cette ceavre s
impatiemment demandée; et qui; de primé abord, au simple exa-
men, promet de si loyaux et de si gros bénéfices.

L'intérêt annuel de l'obligation est de 5'ûju.

Et chacune des quarante-quatre mille obligations peut s'acqué-
rir pour 290 francs. Ce n'e^t par cher. On les rembourse d'ailleurs
à un taux fort raisonnable.

Cette grande ceinture, d'un établissement facile, est appelée au
plus légitime succès. Il est basé sur le besoin impérieux qu'en
éprouvent les départements qu'elle va parcourir et enrichir. On
ne saurait trouver en effet de meilleure garantie.

Cette grande ceinture est oe qu'on peut appeler un chemin de
fer de relations sociales. Commode pour les voyageurs, il servira
complètement les intérêts locaux du commerce départemental,
condamné jusqu'à présent a de longs détours, à des communica-
tions en lignes brisées.

Elle réunit à jamais des villes qui ne correspondaient entre elles
qu'indirectement. Plus de pertes Ûe temps, d'argent par suite.

D'Orléans'à Dreux on voit quelles contrées productives seront
dèservies parla ligne en question. Les difficultés naturelles y sont
rares. D ailleurs des marchés à forfait passés avec les entrepre-
neurs permettent de calculer les frais d'établissement sur des
bases invariables dès à présent. Ceux qui participeront à cette
création importante, dès le début, n'auront qu'à se féliciter de
leur initiative intelligente. Pas de déceptions possibles. Tout est
prévu.

On sait ce que coûtera la grantle ceinture, et le minimum du
rapport futur, considérable d'ailleurs, ne pourra aller qu'eu aug-
mentant.

Il est heureux, de voir en6n cette grande ceinture, attendue,
espérée depuis bien des mois, se décider à commencer ses tra-
vaux. Les chemins de fer, je le répète, véhicules du progrès, ne
peuvent que marcher en avant. Les" fluctuations de apolitique
leur sont tout à fait indifférentes. L'expérience l'a prouvé.

Pierre Duval.

EIV VENTE
Aux Bureaux de l'Eclipsé, 16, rue du Croissant ;

NOS DÉPUTÉS

Charmante brochure de 64 pages — Franco, 50 cent.

En vente aux Bureaux de VEclipse
LA

if*,a_:o,o:oie

d'xNDRÉ GILL, journal hebdomadaire de 16 pages
Cette feuile amusante et fantaisiste reproduit en charge l'é-
vénement du jour, la pièce ou le roman en vogue, le salon, l'ac-
tualité. — Le numéro, 30 cent.
Abonnements pour Paris et les départements : six mois, 8 fr - ■
un an, 16 fr.

Gomme noblesse, réputation oblige. Cet axiome, bien com-
pris par la Chemiserie modèle, explique les efforts faits par
cette maison pour justifier le succès toujours croissant du
système de Mesure et de Coupe d'après les conformations, et
pour lequel elle est seule brevetée en France, en Angleterre
et en Autriche.

Distribution de la brochure explicative, 45, rue Le Pele-
tier.

BROCHURE EXPLICATIVE

Notre collaborateur Emile Blondet vient de commencer, au
Petit Moniteur, un roman d'un intérêt saisissant. — Les Masques
de suie, te! est le titre de cette œuvre inédite qui obtient déjà le J
i plus grand succès.

[ F RETS SUR, TITRES

Colés ou non colés, à 2 lj2 0(0 rièl; les
OPÉRA TIOlSS FINANCIERES DIVERSES

Achat et venl e au comptant ou à terme de toutes les valeurs cotées
., a la Bourse. Escompte de coupons non échus, payerrién'lâ pour soùS'
I Criptions. Echange et retrait des titres. . •

\ Les Avances pour souscriptions ou achats de titres, dans ta pro-
| portion de 50 J[0.

S'adresser, par lettre affranchie, à la . - . a,,^**."
& UE GÉftÉaa.ÂLE des Vaïeurs mobilière»
62, rue Turbigo, 62.
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