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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 2.1869

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https://doi.org/10.11588/diglit.3703#0253

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,rd« leur chien; HIj
icbed'Amignyaperd.

«1res femme» à pirdre

a enlevé de la façade
nu dana les forma.

ianseuses gui moli-

se jeter à l'eau.
■eut, puisque la mer

ps de Mme de Sévi-
î a pria la comtpon-

jt autan! que pw-
iau.

icbe, ii vit de M
iroiser les Iras.

i législatif:

ius son costuœ».

lette.

grouper les ™-
sse-tête.
tende faire lâP»J

Une enseigne copiée rue de Rivoli :
FION, coiffeur.

Voilà un homme que son nom__aulorise complètement à battre
ses clients. Quand ils entrent dans sa boutique, du reste, c'est
d'ordinaire pour recevoir nn coup de /Son.

M. de Lesseps est décidément marié. Après avoir réuni deux
mers, il a demandé à une troisième la main de sa Mile.

A la caserne :

_ Dites donc, sergent, est-ce vrgi que Beaumanet a été au
siège de- Sébastopol ?

— Oui.

__jEt que pendantbuit jours il n'a pas quitté la tranchée?

— C'est-à-dire que c'est la tranchée qui ne l'a pas quitté.

VabontraiN.

LES POÉSIES D'ALBERT GLATIGNY

L'édiieur des poêles, le seul, le dernier ,.Alphonse Lemerre,
en deux mots, vient de réimprimer, en caractères luxueux, sur un
magnifique papier teinté, les Poésies de notre cher collaborateur
et ami Albert Glatîgny (1J.

L'œuvre mérite ces soins et cette élégante composition. Dans
ce livre de véritable artiste, éclatent une personnaliu'' liitéranv,
un tempérament poétique, un esprit amouteux «les chases éle-
vées, des plus- c-tiactérisés. ... . .

Les Poésies d'Albert Glatigny {Vignes folles et flèches d'or), épui-
sées aussitôt que mises en vente; en 1860 et 1864, sont de ces vo-
lumes qu'il faut absolument posséder dans une b bliotlièque déli-
catement formée.

Depuis quelques années, on ne les trouvait ;dus en Jiorairie. Al-
phonse lemerre a donc bien mérité de la patrie Ijriq'jo en les
publiant de nouveau et de fi noble façon.

Albert Glatigny est un maître dans la génération conlempo-'
raine. Rimeur impeccable, épris de la forme, il est aussi un pen-
seur tvès-vivant, à la fois tendre et spirituel. Ltl grande allure.de
son vers, le choix de sps rhythmes, charment d'abord vivement le
lecteur que l'ardeur du sënsu.hste et du Paris en séduit et en-
traine bientôt.

Nous ne détacherons aucune pièce de ce recueil parfumé- d'une
grâce si originale; il faudrait tout citer. Nous renvoyons le lec-
teur au livre lui-même-, persuadé qae so:i opinion particulière ra-
tifiera complètementnotie jugement personnel.

H ne nous reste plus qu'à réitérer à noire cher ami, absent de
Paris et presque aveugle^ les éloges bien Mrieères q e ses Poésies,
aujourd'hui comme-,toujours, fàrjri naître dans'I'esprit de cenxqui
s'jntéré6sent encore aux labeurs ingrats de l'intelligence. ■

E d'H\

GAZETTE A LA MAïN

C'est la saison et la mode des ripailles 1

Excellente saison ! Mode saine! Il est juste, jî est opportun de
combattre par la flamme, par le parfum dVs truffes et des grands
crus les influences subversives de l'atmosphère et de la poli ique,
— bourrasques de Chambre et de cabinet, oura^ms de la nuit
du 20, qui jettent les portefeuilles à la côie et arrachent aux Tui-
leries leurs cheminées monumentales pour les verser sur le front
des passants!...

En vérité,'je vous le dis :

Frères — et confrères, — il faut dîner.

Sommes-nous donc si fûts de déjeuner demain en ce temps où
les libres escarpes se multiplient dans une semblable pro-
portion?...

Voyez :

Le chemin de fer du Midi a désormais son Jud...

Le boulevard Roctiechouart vient de rencontrer son Philippe :
un zouave — et de la garde encore! Tout pour les dames! Hon-
neur aux belleb! Les banlieues rie Paris ne se refusent rien !

Enfiii, il n'y a pas jusqu'à Voulx, — une innocente commune
de Seine-et-Marne, privée jusqu'à ptésent des bienfaits olorlë-
rants de ta gendarmerie, — qui ne se soit payé le luxe d'un
Troppmann !..

A l'instar de la capitale, parbleu!... ■

C'est égal, à la place du conseil municipal de cette iocalhé,
■j'aurais mieux aimé une horloge sur la façade de la mairie.

*

... Revenons à notre petit concile de la fourchette.

Samedi une douzaine de Lncuilus de l'Eclipsé s'asseyaient à la
table du Lueuilus en chef de ceite fei ille pr spère.

Ni gêneurs, ni i>êrir*s. Un menu de famUe que Monselet aurait
signé Po nt ''e ioast. de speei h, dp rwuts rimé;', ni de chansons.
Henri Delaage nons manquait, Tous les bonheurs!

^Qua .taux vins qui auraient'ce batihazar intime, il convient de
n en parler qu'avec resper-t, amour, reconnaissance et humilité,
comme l'on doit parier de ieu Peabody, — mortel illustre et ma-
gniïi.fue !...

Nos vins étaient plus généraux que ce philantropel...

Château-Yquem — 1865 — au poisson,

Margaux-tWêdoc — 1864 — au premier service,

Gantenac-Médoc — même.année — au second, ■

Château llaul-Brion et Larrieu au rôti.

De plus for> en plus tort comme chez Nicolet!...

En pouvait-il être autrement, puisque Ni'colet lui-même, — Ni-
colet fils. 10. rue du PonL-de-la-Mnusque, à Boid^aux, — avait
voulu choisir d'une m iin s.ivan'e < l amicale, dans le irésur de ses^
caves, les topazes et b-s rubis dont la purée devait béatifier nos
esiomacs?

Rue du Pont-de-la-Mousque!

Ces Bordelais sont privilégiés !

Au de&seit, le Cousin Jacques s'est levé pour nous rappeler
avec une éloquente brièveté, qu'il y avait au-'iehors des misères
dignes à secourir, et qu'il -n'est point de bonne fête sans bonne
action...

Ou a bruyamment anpi;;

Aussitôt,

ur la propos!

au.tr

collaborateur, une col-

lecte a éié organisée au bénéiiee de mademoiselle Benne Legrand,
— des Varié éà, — dont tes lits, chui.-es longues, divans, et autres
instruments de travail o:.t été dernièrement la proie d'un in-
cendie...

Cette collecte a produit quatre francs dix-neuf sous, que jî tiens
à la disfosî'înn 'Je l.i j'pune et intéressante comédienne, si elle
v^ut bien prendre U peine de venir les ohercher chez moi...

Entre onze heur, sdu sotr et six heures du matm.

_ H est dans l'usage des parents riclies de faire donner de^ répé-
titions à leurs moutards pu dehors des heures de classe.

La semaine passée, di-z un a'»eni de change, le professeur fai-
sai réciter à l'enfant ae la maison la fanreus» règle laine : Aris-
tides morluus estpn-uper.

— QuVst-ce que c'était qu'Àrïstides, monsieur P.osper? de-
manda le répeiitt-ur à son élève. ' ■■ . ',

— ■' sais pas, m'sieu, n^ais iuisqu'il est mort pauvre, c'était
'sa:ir d;ute quelque Fainéa i qui ro savait rien faire à laBourse.

*



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suivan;

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BRAN

TOME 1.





BU AN

TOME II.







BRAN

TOME III









'ÏÏltéàtve

ijriE ;:C2

it une ciiarge de livres qurJ la
irgé de couvrir décemment,
st travaillé, dit-il au conserva-

vatear avec satisfaction, irès-

es cheveux se dressent sur son
d'apercevoir les œuvres co;n-
chaque volume la d'jsigmuio.i

EintenBi-sH'Kaii.

.-elle de Guillaume Tell.
Foyer superb.;. Public sympa-

sant.

dos l'abord, prédisposé tout le

(1] 1 vol. in-18 Jésus. —Passage Choiseul.

.Une ouverture. . qui rappel!

Salle él gante et confonabl^
thique et rhuisi. Spectacle lien

Un-joli prologue de BaiviJe
monde .à l'indulgence. ^B

Cl t'e versification si irimelle est détaillée par une gentille fillytte
avec non moiiiri de talent que de toupet. Le toupet est garance.
La fillette s'appelle Caroline May de :-on vrai nom : elle ne se
fa t Désirée que sur l'afliçtu».

'■ Quant .à la Belle affaire, de M. C.idol, c'est une nièce que l'on
a fane cent luis et ljup l'on refera avec le même succès tant qu'il
y aura des gendres erri... bètês par leur be;le-nière, — c'esi-à-
dire qu'on la refera tou ours.

M; Cadol rr.or;ilise à <-(lu;.s de poing. S >n espr't, qui est très-
fin, n'a rien de délicat. I: a le mot cru, le geste brutal ei des em-
portements qui ne sont pi-; parfois <\n meilleur g,>iït; mais il
possède aussi ies qualités de ses défaxits : la nanciiise, te mordant
une verve enragée, des indignaiions sincères! — Pour ma part]
je l'aligne M. Léon Co^niard d'avoir osé ne pas demander à un
faiseur l'ouvrage d'inauguration rie son théâtre, il y a là, une
preuve de tact qui me fait bien, augurer de l'avenir de cette entre-
prise nouvelle et de son jeune directeur.

fie Guilïois en pe'ovôaEcc.

Do temps en temps, le café do Suède interrogeait le café il s
Vanéiés :

— Où est-il';

On ne savait!...

PuL;r moi» je m'attendais àjui voir — un malin — placaider sur
les murs de la Puerta del Sol ea candidature au trône vacan t d'Isa*

belle II-' — avec ,un gros hanneton en tête du papier jaune ou
bleu...

Abt s'il était le roi d'Espagne!...

Les ascendants du Campéador auraient là, ma foi, pour monar-
qui1 un bon enfant., — original et amusant!... ■>

—, lib bien, non : ' '■

Le. G-iiiiloi's parcourt les départements, — actif, infatigable, tou-
jours de belle humeur!...

II. était, l'auirn jour, à Boulo.i-'ne-sur-Mer où il donnait une
co ïférence drolatique sur îe rôfe de la pre?se légère en Finance...
/ Qui p^ut raconter mieux que.Jui les origines, les mœurs et les
piysio! uimes du petit journalisme militant?

Cordial souvenir au confrère! Chance et profit au voyageur! Que
CEitB pierre qui roule amasse beaucoup de moustfel

Le docteur Rîcord rencontre le banquier X... . - .,....,.■ ■■:

— Eh bien, lui dit cel.u-ir.ci, vous savez la nouvelle? Mon-çai&r
sier-a filé. ■ ' '.-Jfî? ,'

— Ah diable Uifî' ', . .

— Oui, j'.en ,ejiis pour trois cent mille francs. Il jouait en secret,
sur lesjfonds'publics-. - . _ ,,-

— Que-voulez-vous, mon ,phei ? riposte le docteur, les ppéra-%,.
tions de bourse ^ont souvent plus douloureuses dans la coulisse .qu'à-.

l'hôpital.

Cbez la femme d'un de no^Arcadiens, — en prpvinçe, r— tan-
dis que le mari siège à la>Chambre, ou jo-ue la comédie-de société.,.
11 y a quelques jours-*, un '<Iës'J invités parla de monter/un apéra-
comiquH :!e Petit Ghageron Rouge. .» • .-. . ..

---■Non! non! s'éc'rïa'vivem^ot la maîtres.sefde la ,maison. Pas
de pièces politiques chez moi, et surtout, pas de pièces révolution-
naires.

Au bal masqué de la &aîté.

' Un gi'et en cœur^se-promène avec un domino au bras. - ,
Un autre domino sapproctie de l'Arthur et se penche à son

oreille : ■'
— Méu>-toî. Ta maîtresse va venir. El!e vient de se disputer

avec son amant. ; ■

Fmile Rt.onugt.

Bals de l'Opés-a. — Samedi 8 janvier, 1er Bal masqué.
Stuauss et son orchestre. — Les portes ouvriro t à minuit.
S'adresser, pour ta Location, 3, rue Druuot.

SSnls de la ftiiiié. ;—Tous les samedis, bal masqué. —
Salie élégamment ©rnéer orchestre de J00 mu^ciens admirable-
ment dirigé par M. Eossey. u-

Une publication tout à fait originale et vraiment nouvelle, cette
année, parmi ciliés de la maison Hachette, c'est 'son Magasin des'-
petits enfants. Ce recueil de contes, imprimé en gros caractère*
et orné de nombreuses illustrations en chromo lithographie, doit,
nous en. sommes certains faire le bonheur de l'enfance. Il y a là
de vraies images, hautes en couleur, chaudes rie ton, et d'un-
effet irrési si ible sur des yeux de cinq à huit ans. Que n'aurions
nous p'a^ donné, il y a quelque quarante nns, pour pouvoir con-
lempl'-T les illustrations de Cendrillon, du Petit Chaperon roîtg'e',
de l'Histoire d'une poupée, de Jacques le lueur de géants, de VOi'seau
bleu, de la Belle aux cheveux d'or, et autres merveilles plus, étdn- '
nantes'^ent. lois que ce!!e£'o>u fameux théâtre Séraphin. En pré- -
sence de ce ré^al des yeux, nous nous sentons" vraiment pris'
d'une belle jalousie rétrospective, et nous trouvons qu'aujourd'hui
les enfants- sont bien gâtés.

EN VENTE. AU BUREAU DE L'ECLIPSE
Première année de l'Eclipsé, édition de luxe, sur papier vélin,

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Nos Députés, broenure de 64 pages .

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20
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Comme noblesse, réputation oblige. Cet axiome, bisn com-
pris par la Che.misemb modèle, explique les efforts faits par
cette maison pour justifier le succès toujours croissant du
système de Mesure et de Coupe d'après les conformations, et
pour lequel elle est seule brevetée.en France, en Angleterre.'
et en Autriche.

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