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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 3.1870

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https://doi.org/10.11588/diglit.3704#0041

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L'ECLIPSE.

res. >c est réglé] p.

nte-«on cher N

tabledennit-^,lft,i

tufais, Casimiri

positivement.

:' Voua, moi, jWl^(

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rebien,par-cipar.là,«*[11%)
freuse race. Mais, eift,,,,.;'
>6, nous sommes hideux, Kœ œ

larmantesl passables aouoini:
dons d'ailleurs à travers un é?
de réflexions, de somiiii,^
«stigel Elles savent le toi»
îlles gardent i
tes, dont el
ommes hideuxl

e demande souvent avecuote
îelie horrible dépravation dep
fût-ce que pendant si* minoUii'
che de châle. Du reste, je »[?
.me qui a le courage d'eipsc
e hideux qu'elle a choisi, eatS

sommes hideui. A piuÉit
aas l'air d'être ce que je YÔljfl
nez-les hrusquement, lorsque-1
'aites comme eux, que vous j»
l'ila ne seront pies lurlmf
jffrent aux regards,
res?
a endormie que puisse être «s

ou l'été, jamais elle ni si» »
tre, mais jamais'hideuse,*:

t'emplé, à l'heure del.«*
à coup vos voisins qm »9-;
tête de Méduse est un S»*'
mme qui mange, seul,»"';;
!rimacesdelahê.e««is,«;
nesébréchésqueluif- ;
.!„. Les yeux rouen.^

ent, se gonflent; les» »*•
me prises de cohqn^l
lt) imbibées de sauce.^
ltrechoquantause.nd«"

,andopnontj.mai»c«5

aains prennent W\ 0
jjeste» boivent m

0

.i'

U | Dieu, que non*

parfait de >» J^'i^e
a nez devient i»e A

ridé, plissé, obscène. Quelle face de pendu récalcitrant nous
avon 'j la nuit, en wagon, quand l'égoïste sommeil nous pétrit de
ee = mains bienfaisantes, mais satiriques...

— Et les dames?

— Exquises, presque toujours, dans les bras de Morphée. Que
ceux qui, ianuit, n'ont pas regardé dormir leur maîtresse, avec
un plaisir attendri, lèvent la main I

« £h! eh!... poète!... Vous avea cependant raison. Je l'avoue
en rougissant.

— Et l'hiver» cher monsieur, les mines gelées des petites dames
qui trottent menu, par les rues, frottant leur bout de nez rougi
dans les poils de leur manchon, n'ont rien de hideux.

— Non,c'est vrai. Cela fait même rêver à des fermetés marmo-
réennes de chairs fraîches, visitées par la bise indiscrète. Elle
pas bète, labiée!

— Bon. Quant aux messieurs, violets, et qui ont l'air de fon-
dre, en commençant par le nez, vous ne pouvez les trouver jolie.

— NonI lis sont même hideux, comme vous le dites,
—•Très-bien. Vous y venez. L'été, c'est un autre tableau,mais

il est également infect. Un phoque en chapeau de paille, ruisse-
lant d'eau, est, au mois de juillet, le portrait sans retouche d'un
monsieur qui vient de monter une côte.

— Exact,

— Il est rougi comme un nouveau né; en outre, il souffle
comme un cheval arrivé premier d'une demi-tête.

— Parfait.

— Bref, noua sommes hideux d'un bout de l'année à l'autre,
déplorablemenl hideux, surtout quand, ainsi que j'ai eu l'honneur
de vous ïe dire, nous sommes persuadés que personne ne nous
regardé, et que nous pouvons bien nous mettre un peu à notre
aise. Notre sans-gène, entre hommes, fait noire hideur. Heureu-
sement les femmes existent, et les faveurs qu'elles accordent ra-
rement au mérite, et toujours à l'ensemble agréable de notre ana-
tomie extérieur, servent à nous maintenir, de temps à autre, en
public, dans le chemin de la bonne tenue et du maquillage,
qnitteà redevenir une heure après ce que nous sommes naturelle
ment, c'est-à-dire, hideux!

Ernest d'Heryilly.

GAZETTE A LA MAIN

Qu'est-ce que M. de Salvandy parlait donc d'un volcan?...

Un seuil... L« belle affaire!...

C'est dix, vingt, trente volcans qu'il faudrait aujourd'hui!...

Et encoreI...

On a dansé avant-hier aux Tuileries, et hier à 1 Hôtel-de- ville.
De leur côté, les cuisiniers se sont trémoussés à Valentino et les
gens de maison à la salle Wagram. Enfin le mois qui vient de
s'ouvrir est appelé à voir, eti fait de sauteries mémorables, les
bals de la Marine, de l'Etoile, de l'Intérieur et de l'Union)...

Ministres et garçons de caié...

L'Union, le 9 courant,,.

Pas d'crê'me, m'sieu ?,..

Et l'Etoile, le 23...

Verset... temuse\.....— Boum\...i.

m

En vérité, je vous le dis : les cent cratères des Andes et des
Cordillières n'y suffiraient point I...

Dans cette pénurie, j'ai bien envie de m'établir fabricant de
Vésuves et d'Etnas en chambre...

Commission et Exportation...

Je prendrais un brevet et je mettrais sur mon enseigne :

FOURNISSEUR DU GOUVERNEMENT

Oui, mais voilà : M. Emile Ollivier m'intenterait un procès en
contrefaçon.

La fête offerte à ses administrés par le nouveau préfet de la
Seine commençait à la place de la Concorde par trois files de
voitures qui avançaient toutes les minutes d'une longueur de
chjeval, — de sorte qu'un coupé, qui débouchait des Champs-
Elysées, ne mettait guère plus de deux ou trois heures avant de
déverser son contenu sous le péristyle de l'Hôtel-de-Ville.

Les invitations avaient fait prime dans la journée. Cotées, le
matin, cinq louis à la Bourse, elles en valaient vingt-cinq le soir,
dans les cafés du boulevard.

On cite tel familier de M. Henri Chevreau, qui, ayant obtenu
de celui-ci une douzaine de ces précieux billets, aura gagné
ainsi, dans un zeste de temps, de quoi faire figure pendant le
reste de l'année.

Ce trafic avait introduit dans les salons du successeur de
M. Haussmann nombre d'individualités qui auraient pu dire à bon
droit, comme le Doge à Versailles :

— Ce qui m'étonne le plus ici, c'est de m'y voir.

Un élégant cavalier sollicitait de madame de S... la faveur
d'une valse.

— Désolée de vous refuser, cher monsieur, répondit la grande
dame. Je ne saurais bouger. Vous m'avez fait des chaussures si
étroites !...

Je nn vous raconterai pas le bal des Tuileries...

Aussi bien, il faut se baisser pour écouter aux portes et regar-
der par le trou des serrures.

J'aime mieux vous entretenir du bal des gens de maison, —
dont notre confrère, M. de la Pommeraye, président de cette
utile association, nous a fait les honneurs avec la plus gracieuse
cordialité.

J'éeris : gens de maison...

Car il n'y a plus de domestiques...

Les citoyens officieux, — eux-mêmes, — de la République ont
lait leur temps...

Et se servir du mot larbin serait assurément impertinent et
saugrenu, pour désigner le haut et puissant personnage qui mène
à coups de fouet le chef de l'Etat... à, ses affaires et à ses plai-
sirs.

Il n'y a, du reste, qu'une bien légère différence entre les hôtes
de la galerie de Diane et ceux de la salle Wagram :

Pour s'amuser, ces derniers ôtent leur livrée.,.
Là-bas, les autres la conservent.

On a rigodonné jusqu'au matin et soupotè, vers l'aube, de pièces
froides et de gaîté.

Aux alcools, Mooselet, sollicité de remercier, au nom de la
presse, nos amphytrions de leur bienveillant accueil, a récité les
Petites Blanchisseuses.

Ce podme a fait éclore une aimable rougeur sur le front de la
lectrice de S. A. I. la princesse Maihîide. x

Les hommes étaient en habit noir et n'avaient pas, ma foi,
l'air beaucoup plus bête que leurs maîtres.

Les... dames avaient fourragé dans la toilette de leurs maî-
tresses toute sorte de rossignols.

Je faisais observer à Tune d'elles que son corsage s'échancrait
jusqu'aux hanches.

— Oh ! me répliqua-t-elle, ce n'est pas moi qui suis si décolle-
tée : c'est la robe de Madame.

Il convient de l'avouer en toute humilité : la littérature n'a pas
fait ses frais avec ces demoiselles,., de la chambre.

Henri Morel, AmédéeBlondeau et Georges Cavalier —qui sont
certainement les plus jolis garçons de notre confrérie — se sont
vu bouler (black) avec perte et fracas.

Une seule paire d'épaules était digne d'être traitée comme le
Skating-Ctub traite la glace du tac, au beis de Boulogne...

Et elle appartenait à une femme laide I. „

Des épaules à se mettre à genoux... derrière I

A la caserne, un troupier monte un escalier en sifflotant l'air
national qui sert d'enseigne au journal de M. Henri Rociiefort.
Un adjudant-major l'entend.

— Qu'est-ce qee c'est, drôle? l,&\i!arseillaise? Tu l'approuves
donc?

Mais le troupier, sans se déconcerter r

— Faites excuse, mon capitaine. Je ne l'approuve pas puisque
je la siffle.

A la dernière réception du ministre delà Justice, on s'est beau-
coup occupé rie Troppmann et du projet que l'on prête à M. Emile
Ollivier d'eniever désormais l'échafaud à la place publique pour
le reléguer dans l'une des cours intérieures delà prison.

Un jurisconsulte disait :

— Je n'approuve pas cette mesure. Le châtiment des grands
coupables ne saurait avoir trop de témoins. Ainsi, j'aurais voulu
que l'assassin de Pantin expiât son crime abominable à l'endroit
même où il le commit...

— Impossible, Monsieur, répliqua vivement un jeune substitut.
La loi est formelle. Si nous avions laissé la guillotine fonction-
ner au champ Langlois, l'exécution eût été nulle.

TaudeTillc. — Jacques Cernai.

Le Vaudeville a rafraîchi son alfiche. 11 a donné lundi la pre-
mière représentation de Jacques Cernai, comédie en trois actes de
M. Edouard Gadol. '

Jacques Gernol est un pauvre diable d'honnête homme — in-
telligent, loyal et bon, — que sa femme trompe, naturellement
et qui ne s en doute pas, bien entendu, et oui tient — c'est dans
l'ordre, — pour son meilleur ami celui qui lui vole' son honneur

Le spectacle de cette confiance épaisse, massive monumen-
tale, que rien ne saurait entamer et qui patauge dans l'adultère
avec la sérénité lourde d'un hippopoiame dans un marais a sin-
gulièrement écœuré le public pendant les deux piemiers actes

Le troisième a décidé du succès. Il est ingénieux et émou-
vant.

Mais combien je préfère à ces maris ignorants les maris spiri-
tuels ou... philosophes' r

Le ténor d'une ville de province faisait la cour à la femme de
son propriétaire. Je connaissais celui-ci. Un jour il me dit ■

— Venez donc fumer un cigare à la maison.
En entrant dans sou salon, qui voyons-nous?
Le susdit ténor, assis et causant avec midamel

Le mari fronce légèrement le sourcil, et, s'adrès'sant à l'artiste
avec une naïveté charmante :

— Monsieur, ce n'est pas la première fois, qu'en mon
absence, vous avez la borné de tenir compagoié à madame-
cest bien aimable a vous mais elle a dû vous dire qu« depuis sa
jeunesse, elle avait une antipathiemé'KlùIspourleschanleurs Au
resta, mon cher monsieur, je vois où vous voulez en venir'l —
Vous cherchez a vous taire aimer de ma .femme'. Je vous oréviens
que vous n'y parviendrez pas... pas plus que moi.— Voila Quinze
ans que je m'en occupe... C'est comme si je ehanlais I

Les morts se suivent et ne se ressemblent pas ; avant-hier
c'était Levassor; hier. M. de Pongerville; aojourdhui, voilà M dé
Broglie qui vient de lâcher son fauteuil.

Levassor, en 1830, éiait commis en soieries. On le rencontrait
par les rues avec son baluchon sous ie bras, courant les magasins
et frappant à la porte des théâtres. 11 dôouta aux Nouveautés dans
Paganini en Allemagne. Il jouait les jeunes premiers et se mon
trait si mauvais et en ava.t tellement conscience, qu'ayant reçu
un soir un coup de sifflet, il s'écria en rentrant au foyer ■

— Mes enfants, tenez-vous bien, il y a un connaisseur dans la
salle.

"Vingt ans plus tard, il pouvait dire en quittant le Palais-Roval ■

— J'ai vingt mille livres de rente; j'emporte en province avec
moi un répeitoire nouveau — pièces et chaosonnottes — nui me
rendra cinquante ou soixante mille fraocs par année : dans ma-
vieillesse, j'achèterai un domaine où je vivrai heureux' riche et
considéré comme un sénateur. '

Levassor ne se trompait point : il amassa beaucoup d'argent
dans les départements et à l'étranger, dans les concerts et dans
les salons. Nonobstant, il succomba à la peine. C était un homme
intelligent, méticuleux et économe. Malgré son âpreté au gain on
cite de lui an trait et un mot charmants : '

m

Un curé des environs de Paris l'avait prié de concourir à une
matinée musicale donnée au bénéfice de je ne sais qqei orphelinat
L'invitation fat acceptée volontiers par noire artiste et il sut
prouver qu'il n'avait point perdu l'habitude de charmer son audi-
toire.

Après le concert, un déjeuner réunit les exécutants et les or-
ganisateurs de cette petite iôte. Une des meilleures jlaces était de
droit réservée à Levassor, qui trouva sous ôa sei lieue un œul
pascal dont l'enveloppe fragile se rompit en laissant tomber cmq
louis.

— Ah! monsieur le curé, dit-il gaiemement au président de la
table, comme vous connaissez mal mes goùtsl J'adore les œufs

à la coque, mais je n'en mange jamais que le blanc. Ne vous
étonnez donc pas si je laisse le jaune sur la table.

M. de Pongerville fut un grand traducteur devant Dieu et de-
vant les libraires. — Tradultore, traditore. — Si le proverbe ita-
lien est vrai. Al. de Pongeivilte n'eut rien à envier à M. le Garde
des Sceaux.

En dehors de Y Enéide et du Paradis perdu, c'était un gentil-
homme d'esprit.

Parmi ses amis, il comptait le poète Guiraud, qui faisait d'as-
sez beiux vers, mais qui bredouillait en les récitant.

— Mon cher, lui dit un jour M. de Pongerville, tu es" comme
les Dieux : tu te nourris d'ambroisie. Ta manges la moitié de tes
vers.

Quant à M. de Broglie, on lui demandait si, dans son opinion,
le régime actuel avait des chances de durée.

— Oui, répondit-il. C'est un gouvernement que les classes su-
périeures prôièrent et que les classes inférieures méritent.

Entre c»cottcm.

— Mazettel Nini, t'as d'crânes boucles d'oreilles! C'est en toc,
bien sûr.

— As-tu fini? C'est un homme chic qui me les a données—
samedi — à l'Opéra...

— A l'Opéra? Je l'disais bien : c'est du sthauss.

Emile Blondet.

En vente au bureau del'ECLTPSE :

La collection complète de la PAKODIE de Gill, composée de
21 numéros de 1G pages. — Prix : 5 francs.
N. 13. — Ce journal a cessé de paraître.

Une bonne nouvelle. — On annonce la construction

d'un Alhambra-Thédtre, sur les terrains occupés actuellement par
le café-concert du Cheval-Blanc. C'est M. Ch, Ûuval, l'habile ar-
chitecte, qui sera chargé d'édifier ce vaste et splendide établisse-
ment. Une Société, au capital de un million de francs, s'est cons-
tituée pour subvenir aux premiers frais de construction et d'ins-
tallation. S lusciiption publique de 12,500 obligations hypothé-
caires de 75 francs, remboursables à 400 francs, rapportant 5
francs par an. — Entrée gratuite permanente à tout souscripteur
de cent obligations.
A bientôt d'autres détails sur PAlhàmbra-Théatre.

PHOTOGR AF HIS-GRODPE

Yictor Noir, Ulrig de Fonvielle, Grousset. — Les trois por-
traits réunis, prix : i franc (franco).

Expédition de toutes autres célébrités, 1 fr. chaque. — R.AUD,
houlevard Haussmann, li3, Paris.

NOTICE

sur les obligations foncières de 100 fr., émises par la Société la
Propriété, et sur les travaux de ladite Société.

La Société la Propriété a pour but de concourir à l'établisse-
ment des petits loyers dans Paris. Elle bâtit sur ses propres ter-
rains qu'ehe choisit le plus rapproché possible du centre. Le prix
des terrains ne doit pas dépasser cent francs par mètre carré, et
les constructions sont élevées sans luxe aucun mais avec soli-
dité, et de manière â présenter à chaque étage des logements in-
dépendants, sains et bien aérés.

Il y a assez de palais élevés dans Paris, il faut songer à la classe
si nombreuse et si intéressante des employés, artisans ou ren-
tier», qui ne peuvent meure à leurs logements un prix élevé, et
ne veulent pas cependant tomber dans les taudis des vieux quar-
tiers.

Pour établir ainsi des loyers à bon marché, il est nécessaire de
faire concorder le prix des terrains avec la dépense des construc-
tions ; c'est de cette rombinaison que sortiront pour la société la
Propriété des immeubles sagement encendus et rapportant un
très-bel intérêt, tout en rendant un grand service à beaucoup de
monde.

Pour éviter tout écart, toutmalentenduet toute erreur, un conseil
composé d'hommes spéciaux et les plus honorables, a été établi
par. les fondateurs de la Propriété pour veiller â la stricte exécu-
tion du programme.

La Société la Propriété poursuit encore un autre but, celui d'é-
tablir dans la banlieue de Paris, également sur ses propres ter-
rains, de petites habitations, villas ou maisons de campagne, va-
riant de cinq mille à vingt mille francs, qu'elle louera, ou vendra,
avec termes et délais.

La Société la Propriété, il faut bien le comprendre, car déjà
plusieurs demandes qui lui ont été adressées ont montré qu'on
n'avait pas toujours bien saisi son caractère, n'est pas une So-
ciété dVn tre preneurs bâtissant pour les particuliers ; elle cons-
truit pour elle sur ses prupres terrains, et tire ensuite parti de
ses immeubles en les louant ou en les vendant, si elle y trouve
son avantage. Ce sont des opérations de propriétaires et non pas
d'entrepreneurs, voilà pumquoi elle émet des obligations repo-
sant sur lesditS immeubles.

Chaque année un compte-rendu des opérations sera publié et
indiquera ainsi aux obligataires les résultats-obtenus.

Cette notice.se distribue gratis au siège social, à Paris, 5, cité
d'Anton.

A Paris on est sceptique, mais on est juste, et une fois la con-
viction élabiie, on y est fidèle comme le sont les gens convain-
cus; c'est ce qui a fait le succès de la CHEMISERIE MODELE,
qui, malgré i'éleganee et la perfection dues au système de me-
sures et de coupe d'après les conformations pour lequel elle est
seule brevetée de plusieurs cours, a su en maintenir ie prix dans
des conditions de bon marché relatif.

Par la création de lachemise-tumqae,,qui se met aussi facilement
qu'un gilet, la CHEM1SLR1E MODELE vient de réaliser une
hemeuse innovation.

Distribution de la brochure gratuite, 45, rue Le Pelletier.

BROCHURE EXPLICATIVE

j. COHOTHKiPT LES

jï'JFiETS SUR TITRES

Cotés ou non cotés, à 2 1)2 0]0 net; les
OPÉRATIONS FINANCIERES DIVERSES

Achat et venl e an comptant ou â terme de toutes les valeurs cotées
à la Bourse. Escompte de coupons non échus, payements pour sous-
criptions. Echange et retrait des litres.

Les Avances pour souscriptions ou achats de titres, dans la pro-
portion de 50 ^0. '

S'adresser, par lettre affranchie, à la

j H5ANQGE GÉAÉiftALË des Valeur» mobilière*

62, rue Tnrbigo, 68.
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