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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 3.1870

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https://doi.org/10.11588/diglit.3704#0053
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8 'DUS 1BS ■

«faileen """«eut, "*

Uasl'ob5Cai ".et,:-.ett. B
;«Mafo(ll « »o„8 J^

L'ECLIPSE.

LL^S DïVEftSES

p en ce moment du violoniste lis
.es soirs, au Cirqiie-NapolÊî^k

îucore été publié:
qu'il a sur le petit doigt, êl^ï
'nthan exécute sespicciciih
3 joue ses morceaux avec Ufilfe

a, haletant!.,,
se déchausse, tout le mêilitÉ

i longtemps réclamée ptW-
ar les compagnies de cherâÎD!^:
e classe seront ènaulîés.
.e là nuit, ils seraient ftnntëfc
jue l'on a remarqué que*:-

re, ladameV,..*mfW»l^
mpigûons.tosia.iselB»*;
mère, se» cinq M^W,,W

— ^::

~Mrf„UP "*«<(,

halooa | ces i0

,eS' W 1I« Îf >«
e'à1^ pieds. "*'%,
iael...

e comptait si hien tu h-
^^vemeusedeM;; *

-bafaudaS,e,crèule:^
w moment où èlle ptû^

-s places en question. EllDl^
e tenait. Car u 6oto^«i* dWwS

>a! extrêmement agacés,,,
sieur est prudeM. craie**
nen de meurs une m\, m[
■cieusequisontattisàcùaiiiÉ,
mmoetamie.IUeditiDBtiCsliiiÊ
îoised'hirtrl Plaigne

Efi.NESï û'ÈBS'yilii,

Hier une dame assise à sa fenêtre, rue,.de la Michoctyere a u
une balle dans le ventre... de sa bonne.

Elle s'est empressée d'aller déposer chez le commissaire sa balle
et sa plainte*

Au même moment, rue de Trévise, une jeune actrice des Folies-
Dramatiques1 recevait un de ces projectiles anonymes au moment
où elle mettait son chapeau pour se rendre chez sori dentiste.

Par un, hasard providentiel, la halle S'introduisit dans la mâ-
choire de l'artiste, qui baillait justement, <h lui plomba herméti-
que ment une dent malade.

■^v On, inventeur vient de trouver le moyeu, cberôhé dépuis
longtemps1, d'empêcher la bougie de couler , et par conséquent
détacher, tout en réalisant une économie de,dix pour eent.f '"

C'cét de né se servir que de petites lampes à esprit de'vin*

Pour toutes les nouvelles diverses*,
Léon ï&çi&y'iN-e;

.-LÈSBâLS M ImOfSL M \VM '{f\\

Les bal'S de l'LÎôtel de Viilé sont devenus une 'des bonnes plai-
santeries de la saison et je trouve que les Parisiens qui offrent ces
mêmes bkls s'ahs y prendre pari auraient tort de se plaindre. Ils
'.retrouvent bien en gaîté ce qu'ils dépedSerit eii argent* | '

Lors dûdernier''bal, la fi/lfe des Voitures contenant les invités de
M. CHe.vréaû allait a peu' près jusqu'à l'A re- de- Triomphe dô
l'Etoile. J'avoue même que passant aux Champs-Elysées et con->
tempiant" Une partie de ces fiacres, malgré moijVl songé à KaVél
suivi par sa noce dans le Chapeau de paille d'Italie.

Chaque bal de. la ville fournit un grand nombre de situations
Comiques, situations dont lés auteurs du théâtre du Palais-Royal
ne nlarttiuent pas dé^tirer Un grand parti..

'Ca'érst ainsi qu'il: y a huit jours dans le grand escalier quelques
nobles dames oûteu l'inexprimable joie de rencontrer -leurs ancien1-
iïcSjfeinmes de obâmbre devenues les maîtresses dé leurs ÊUâris.
' A ée propos Quelques petites scènes de famille ont ed lien, et
le lendemain matin il a été retrouvé par les^demesticfues dé
ÏHôteVde; Viile quelques douzaines de faux chignons. La plus ai'

appartiennent toutes,'Sans exception, à 16 classe modeste de la
nOmesticué5...'

Mais voici ce que j'ai entendu...

Deux dominos,— éventail, bouquet, gants à trois boutons, — j
causaient sous l'Horloge ;

—- Knfin, s'il te quittait, que ferais-tu?

— Moi?,.. Je retournerais chez Madame.

Le Bal de lllôtei de Ville.

-Te n'y s'uis pas allé...

Si j*y étais allé, il ne serait point impossible que je n'en fusse
pas revenu...
- Ces fêtés sont, en effet, plus meurtrières que l'émeute...

A ctdla de jeudi, l'archiduc Albert à valsé trois fois de suite
avec lacly X... Celle-ci, enchantée, s'est permis d'interroger l'au-
guste voyageur :

— Votre Altesse ne parait pas mécontente de sa valseuse?

Le prince a fait un petit signe qui témoignait' d'une assez
grande indifférence.

— Alors', a repris la dame, légèrement piquée, Votre Altesse
est passionnée pour la valse,

— Jô iadétéste.

_ Là belle Anglaise, intriguée, résolut de poursuivre ses ques-
tions jusqu'à, ce qu'elle reçût une réponse satisfaisante.

i — Oserai-je demander à Vôtre Altesse, alors, pourquoi elle
valse si souvent,

'. — Madame, repartit froidement le prince, c'est pour me faire
transpirer.

Quand M. de ChrJîsguï était .ambassadeur à Rome, sa fierté et
s~es prétentions faisaient le désespoir Hu pape. M. de Choiseul
n'entendait céder le pas1 à aucun âûire envoyé étranger.- C'étaient,
tous1 les matins, de nouveaux pourparlers sur des questions de
préséance.

Un jour, comme Sa (Sainteté était'à sa fenêtre, elle vit l'am
bassadeur d'ifispa'me s'approcher du ràur du Vatican avec des
intentions qui ts'e laissaient parfaltemeriï'deviner»

Le pape poussa un dri :

— P.as là, monsieur l'envoyé d'Espâgnef pas là, je vous en
prie ! M', l'envoyé de France voudrait demain eu faire autant dahs
mon cabinet I

M. Pierre Véron ont l'a rait d'une preniière

: il me serait plus facile d'énumérer ceux qui

pique-assiettês qui n'ont reçu ku'Gune invitation. Ils entrent
tranquillement dans le bal, boivent le punch, consomment des
glaces et font danser les dames pendant que les véritables invités
e^tûorfondent toute la nuit- dans des Voitures de place.

C'est airi'si qu'au dernier bàl un certain a ombre de gentlemebs1
qdi S'étaient glissés parmi les invités se sont installés au buffet,
ont bu lé Champagne et mangé les volailles avec la pias1 parfaite
tranquillité. Vers trois heures, les mêmes ,- gentlemen se sont
transportés au vestiaire et là ils ortt fdit choix de pardessus et dé
fehapëàux. L'Hôtel de Ville dévient la sueeùr's'atô dé ta BeUe-Jar*
àinière,

GEoitGEs Pferi^,

ÔAZfcWB A; Là. Mail

fils fa... a.i. allait! a dit l'immortel Bilboquet.

Ces chosês-là sont écrites, — fatales,- — inévitables !...

Comme'je me trouvais éveillé, par hasard-,, samedi, à l'heure du
bal de t'Opéra, j'y suis enirô machinalement.

Siratfss était à son pesïe, — avec sa bonne figure ahema-ade et
Sdrt ruban rouge tout neuf. -,

li est difficile, pour un prêtre de bacchanales, d'avoir l'air plus

Itàllein

i L'opéra d'Ha-lévy, êuidb et Ginevrà , traduit en Italien, a été
donne jeudi à la salle Vent/âdour. Il avait été représenté en 1838
à l'Académie — alors royale ■—de musique avec un succès des

| plus modérés. Daprez ehifctait Gnido et madame Dorus-Gras
c'est I ^n^Tràr. L'a charmante rasnanée du premier acte survécut seule

ï,v,.u. ~i.,.l t ... ** •., soupissànt, terne et banal. Il

sont d'ifimables |

Les soiréi's de
représentauoo.

Le? invités y jouent leur iô!e...-
LW V^'^V^'V""'1 'Je idadf - Mlles Nilsson, Krauss,
etc., me ' ge#% GaP°ul> Coquelin, Bertheher;

On a vu...
.} Ahl ma foi, non :
n'y étaient pas!

hihLt^1 ~ iny0i0-nt'di^~ dù M' Paussmann a permis de
otaffiier l'expropnanun. . r

i^tl?éâtr(e du ^à'^-d'Sau, la pièce nouvelle, Rue des Mar-

-

Emcope à l'iIô*e8-«lc-ViHe.
^Madims de P... fait son'eouèu aaJjras d'un enseigne do ïiTT

ceirn?hL°hJS'f,CT,f m3dame d:-<''M.,., TO-c-e!ie faire LyâLe, -

™" eTf 0J!el Un cavalier «ccompiu Charmant uniforme! Paa
nn™f II n y ea a-que deux ui b^i, de ces officiers" de toa--

l ~h^'àhS rip0;.t0 m'dame de,T..., vous comiaitèezlflorpverbe.-
A bon wn.pas d'enseigne. F L*l>

Emilb BlonbeT.

Ml™,!e.,pari,Ure le m^ito 25 de la ÙNfÈm d»
ISOPILLOS. — 10 oentim.es. — £n tente
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année............ . .' "V- . . ,

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Envoi^nx frais du destinataire, .

éliaque
'8 H

iBabl&.cordialité n'a pas cessé de régner un seul instan-t.

Les. bais dff la ville offrent du reste cette particularité : c'est I Cine^'ra- La charmante roînané
que, sauf un nombre de personnages assez limité, tous les indi-I egt^esté'c11'6''^'^'6 *****
k&m P&?trent.dtas les salojs^ç.Ja^^snnt d'aimfLbJe» | , VltdVnxânrere^ésentation, Je feu prit aux frises

tentures de toile peinte qui s'enflamment avec la rapidité de
l'éclair.... . . ■ '•

Le publie, quelque'peu endormi, iië Se doutait pas du dan-
ger. Les pompiers sommeillaient. Une seoonde de plus, et l'O-
péra se oharrg'eait. en. une va§fce fournaise,

Heureusement, le directeur Buponcbel aperçut là' lueur si-
nistré.-. <

Bans bruit, sans frayeur apparente , il donna le signal d'a-
larme aux pompiers, qui, réveillés en sursaut, dirigèrent promp-
te'mént leurs lances sur le foyer de l'incendie.

En même temps, l'e directeur criait aux comparses qui en-
doiûbraieiït la scène *

-i-Le premier qui bougé, à l'amende! Cinq francs à qui ne £ WL
bougera nu si

En vente au bureau de l'ECLIPriE :

La collection complète de la PAUODlE de ,Gill-, eompoèée «lé
21 numéros de 16\pag6s. — Prix, : 5 francs, :
N. B. — Ce journal a cessé do paraître.

§ BKOtlferciaiS EXPLICATIVE

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I^YAHCES'EÎPfcÉft SBiTiTSES 2I/20/0t'AH|

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pas!

*

■ OTjdï

Et personne ne bougea. Les figurants ' se laissèrent stoîque- !
nient arroser par l'eau qui tombait des frises. Si un seul de ces î
pauvres diables eût pris la fuite, si de la salle un seul specta-

_________ cendie? L'acte allai*'finir; il finit, et, lorsque "fout fut

«acide, plus bourgeois' eû>lus insignifiant. Cet homûié, ,ui rèrse l fftfôÛDe vinï faT^'i^S* 6tei."V ^ Trévauï' W»S? U
àjoieetU délire.àtantde tètes folles, ressemble au premier { ^S'm* ,1""f" „ "«s ?aluts d usage et annoncer en

sur Us obligations foncières de 100 fr., émises pkr la Société la
Propriété, et sur les travaux de ladite Société.
La Société la Propriété a pour-lnit de concourir à l'établisse-.
teur .eût pu deviner ce qui se passait sur la" scène, "queTSésas- f'm?nt df ,"?sti,ts .^f ™ f':s Ff# -Kl!e U;!! s;'r «SïW63 ter-
tre' comoiende victimes ! La présence d'esprit, le sang froid r,alr,s, *aehe chwslt fle P!»s>4kpc^ ptfssffle du centre. Le prix,
du directeur prévinrent d'incalculables malbeurs Mais le! figu- ,de3 *rfm8M dû,t l^tST^T° 'rancsp5r metre carre' «'
rants, de leur côté, n'a«ient-ils pas bien mérité de la pafrio tes «onatruenons sont élevés, sans luxe aucun mais avec soh-
et .aillamment gagné-leurs cinqPfrancs 1 » l&lt^^SS * ^ $* ^ jf^ S

Dans la salle, on s'était bien aperçu qu'il pleuvait sur le S ^ y a assszde palais élevés dans Paris, ïf faut-songer à la classe
théâtre; mais qui donc, en voyant1 choristes et comparses si a si nombreuse et si intéressante dés employée, artisans ou ren-
calînes, si impassibles, aurait eu le moindre soupçon d^n- ii tiers, qai na peuvent meure à leurs logements un prix 51evéJ; et

L0n m'assure que lé grand Musard était laid, éingulier, grêlé et
slêpulcraS, et qU'ân milieu de ses musiciens, il faisait mine
âti méditer une suite aux Nuits d'Young ou aux Tombeaux
à'Harvôy/w

Il est 6'Ortain que le plaisir rjtï'on donne, oh ne l'a pitfs...

C'est ée qui rend, la plupart du temps, les cocottes si âssom-
màhte's, les -.vaudevillistes si ennuyeux et les comiques si mo-
t&tse*. Essayez de causer cinq minutes avec Léonce, Amélie
LatduT ou Jules Moineaux!...

[ Les pompiers de service passèrent devant un conseil d'en-
j quête. Interrogé le premier, le brigadier avoua sa faute :

— Mais malheureux, lui demanda le capitaine, comment avez-
vous pu vous' endormir ?

■f-1 Ma foi, mon capitaine, répondit naïvement le brigadier,
c'a été plus fort que moi, c'a ne m'était jamais arrivé.

— Ê-t que jouait-on ce soir-là?

— Guïdo, mon capitaine.

— èuido ! fit l'officier, ah! c'est une circonstance atténuante.
8 Les autres.coupables ne furent pas même interrogés :lacause
! était entendue, ils fureùt tous acquittés a l'unanimité.

i vieux quar-

Le moment venu, Strauss se courba sur son riupitre, allongea i Madame Z.., eut l'idée,, l'été dernier, de présenter aux bai-
le bras, et un ouragan de sonorité éclata soudainement dans le f gneurs de Bagne te îson jeune fils, philosophe dé Sainte-Barbe,
brouillard de bruits confus qui planait au-dessus de la foule... S C0!Dme son cousin.

Des notes fulgurantes sillonnaient le vacarme de leurs éclairs f Le jeune lycéen, qui n'éiait pas malade du tout, employait son

- a temps à jouer aux amoureux avec une petite fille de quinze ans

)nze femmes

i&aienieH'1

te; maisons'ëncùn^
ort d'homme.

aiie maison rue »es*m

rî et la femme. - iJBiî

ang-froid, mata» fi-'

bête d'avoir encore v«'
.sconCinenUl.

j par les pi '

stridents... __:ti___1

On aurait dit que toutes les trompettes de l'Apocalypse atta-
quaient le quadrille des Brigands!...

Quant à la danse que déebainent ces cuivres monstrueux et
tonitruants, c'est une ivresse, un sabbat, une bataille I...

Les soubresauts épileptiques des Aîssaouas et des convulsion-
naires de Tanger ne sont guère qu'un menuet tranquille, modéré
et cérémonieux, auprès de ces gambades, de ces cabrioles et de
te? dislocations!...

Da quels déboires, Seigneur* de pareils amusements font-ils le
eb-Hre-poids? nrxn r !

' J'ai vainement cherché dans lès loges, au foyer et par les cou-
loirs, le domino superbe et mystérieux dont a parlé mon confrère
le Blavet-de-Fer. (A«i-w

Il y avait beaucoup de monde partout : des dames qui prélu-
daient au souper en suçant des sucres d'orge, et des messieurs
qui pelotaient en attendant partie.
Mais le fameux pomiho de Mer, du Figaro n'a'point paru I
Mon Dieu, je ne Voudrais pas insinuer que les personnes du
Bexe, qui abritent leur incognito sous ce déguisement sombre,

I

qui s'y prêtait avec toute ia gravité de son agi

Un nuage vint troubler leur innocent bonheurt Un soir que le
Lovelace en herbe poussait la hardiesse jusqu'à dire à l'objet de
ses rêves :

— Vous êtes un angel
La jeune fille répond :

— Je vous défends de reparaître à mes yeux; votre conduite
est indigne; vous aimez votre cousine.

— Mais vous vous trompez.

— Je vous ai vu l'embrasser'} nierez-vous encore?

— Mais c'est ma mère, s'écrie le collégien.

— Votre cousine, votre mère, c'est impossible.

— Mais, pardon, répond l'amoureUx, c'est bien ma mère, mais
elle a épousé mon oncle.

■ ï " - '

X... fait la cour à toutes les femmes...
Il apporte dans cette occupation une ardeur peu commune...
Malheureusement cette ardeur ne dure pas même jusqu'au mo-
ment où elle Ta être récompensés...
Aussi madame Z... a-t-elle dit j
^X...« du feu, c'est vrai, —. mais pas d'ecfoiûtottstfble.'



| ne Veulent pas cependant tomber dans les taudis
tiers.

Four établir ainsi des loyers à bon marché, il est nécessaire de
faire concorder le prix des terrains aVec ta dépense des construc-
tions ; c'est de cette combinaison'-{raê'nmrtiront pour la société la
Propriété des immeubles sâ»emèrit entendus et rapportant un

. très-bel intérêt, tout en rendant un grand service à beaucoup de

| monde.

| Pour éviter tout écart, touiriialeatenduet toute erreur, un conseil

§ composé d'hommes spéciaux àj les plus honorables,'a été établi

f par les fondateurs de la Propriété ;.>our Voilier à la stricte exécu-

! tion du programme. ■

! La Société la Propriété p-nidUr ancore un atiwè but, celui d'é-

| tabhrdaos la banlieue ,dé Paiisj ég'afètheru sûr yes ptupres ter-
j ainâ, de petites b^abitatioïrà) m! ,-.y ou ^maisons de campagne, va-
riant de cinq mille à vingt mu>i fra.nc'sy qu'elle louera, ou vendra,
avec termes et délais.

La Société la Propriété, il faut bien'le cornp* t-ndre, car déjà
plusieurs demandes .qui lui ont été adressées ont montré qu'on"
n'avait pas toujours bien saisi son caractère, n'est pas une So-
ciété d'entrepreneurs bâtissant -pour les particuliers; elle cous- -

; truit pour elle sur ses pTQprjss terr>ûn$-;: et lire ensuite parti de
ses immeubles en les louant ou en leir vendant, si elle y trouve
son avantage. Ce sont des opérations de propriétaires et non pas
d'entrepreneurs, voilà poui quoi elle émet des obligations repo-
sant sur lesuits immeubles.

Chaque anné« un compte-renau des opérations sera publié et
indiquera ainsi aux obligataires leâ réidltats obtenus.
■ Cette notice se distribue grat.s au siège -soci.il, ^ Paris, 5, cité
d'An tin.

BROCH4JF

" UUrt' EiaSAMT LES

■ja non coiés, -à a 1]2 OrO net; les
OÏ'IÎW .i'IONS 5ÏNAKCIEHBS DIVERSES

AVbi'i -it vêSfeatl comptp.m o"u à termsde toutes les valeurs cotées.,

j i \h T.- irse. lîàcompie de coupon1! non échus, payements pour sous-"

. irijjtio Echange et retrait des litres. L,.

■ *.f L-. itioas pour sousciiiuions on achats de titres*, danï'la pru-J!

'iior:--.' ⣠O'O.

s . -6a, rue Xurhigû, 62, -M

'LiCATÎ^E'
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