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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 3.1870

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https://doi.org/10.11588/diglit.3704#0057
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SU3S devieM h,

L'ÉCLTPSE.

la malice d'un ne»,, „.
^t una tragédie inlill*S
D«bord cette tragédie "î1**!

epzrr,9«S

'« >egle des trois mités .1.
«■que avec „n oubli ^

>™gea„,Lec,etfe
emonavis,l„riqoMdilsi^

ago» est ieplustns,eni0^

'Je cite de mémoire, m»,,*

danscemonsirueunB],sji6
es pour le boa goût, il fo^
s dont l'auteur eût po fo,,^
d'études sérieuses. Oop,,„jù
créée Borgia, qui ne blesserait ei
e, ni d'autres choses,
e a fait un chef-d'œuvre j,^,
a monstre de Gilles Sbates^
auce émotion les brutalités qa'|,
e anglaise, et, Murai Vh^i,
le fomier d'Ermius.
Deare, ce M. Victor Hugo est o^
tive les muses, monsieur, ei j'iifc
, ce que Voltaire a fait pôurffiW
a seulefeuille sérieuse quej'aie s:;,
dienne, je vous offre la primeur kt
de mes loisirs pouvaittenterit
is ma tragédie, et le public Étlâii
beautés réelles que j'ai te:
joue au boulevard,
ière scène de mon ouvrage; jelà.
:ercueils dont la vue est repoHi
de changer les noms bïroflMsM
Ainsi, j'ai appelé Eusligké;!:
tta : Alvare, imitant en celaûc^i
ule d'Iago en celui beaucoupp'j.
lit Odalbert de Brabaolio,
, d'après le fragment qiejffM
maniée, ne donnerait pas ititia
r peuple du monde.
suis avec respect, monsieur, •
Comble et très-obSssant semis

DoiUlMl*1'

CKËCE BOKGU
[e 5»°, 5cto« 8»f

— ALOfflO

- Ganto.

DON

M, fois-moi de toam«<
•moi si mon outrage,
rfide enfin est essuyé.
lui montrante 6a*-
témoins, quelle neees*
s de ce récit funeste'

iers, soutiens des pn««
' (Les fiffl* «»*<•'
ce palais est discret.

ace avait cru-■••

C'en ee>B"

,0» ALPHONSE.

AL0N20- ...

,0» AWH0»S6-

uok Alphonse, au comile du desespoir.

Jour exécrable, affreux !

0 prince infortuné ! Ces lamentables lieux

Sont-ils donc le séjour de la parque cruelle !

Fais-moi tout le détail de sa triste nouvelle.

ALONZO.

Pour le pompeux festin tout était préparé,
Les tissus d'Orient brillaient à la clarté
Des lumières qu'on prend à'la docile abeille;
Dans les coupes coulais-doux jus de la treille.
Le nectar que l'on cueille"aux monts syracusains.
Déjà Momus dictait quelques joyeux refrains,
Et déjeunes beautés, qu'embellissaient encore
Los métaux précieux mêlés aux dons de Flore,
Versaient aux imprudents la volupté, l'amour.
Malheureux ! leur bonheur devait n'avoir qu'un jour ;
Dans leurs veines déjà courait un feu perfide,
Funeste.résultat d'un breuvage homicide.
Quand tout-à-coup', Seigneur, après les chants joyeux,
L'écho vint répéter ces cantiques pieux-
Dont les puntifes saints ont bercé notre enfance
En nommant l'Eternel et sa Toute-Puissance.

Don Alvare avait fait" éloigner les Phrynés

Dont le charme perdit oes jeunes insensés,

C'est alors qu'apparut à leurs yeux la princesse...

Ah ! Seigneurl pardonnez ces pleurs à ma tristesse !

On lisait sur son front le courroux, la fureur ;

Derrière elle marchaient les prêtres du Seigneur,

Les ministres de paix, d'amour et de justice.

Chacun comprit alors quel secret artifice

Les avait amenés aux portes du trépas.

Quand le traître, seigneur, dont nous suivions les pas

A Venise, jadis, fit voir à la princesse

Qu'un même coup frappait l'objet de sa tendresse

Ainsi qu'il atteignait ses lâches ennemis.

On les laisse-tous deux d'épouvante interdits,

Mais Gennaro soudain, armant son bras d'un glaive,
1 Yole vers la princesse et.sur son front le lève.

Malheureux! lui dit-elle,'arrête! un même sang'

Dans nos veines circule! O tableau déchirant!

Le cruel n'entend rien. Dans l'ardeur qui l'enflamme,

Il plonge et plonge encore son homicide lame

Dans le sein... Ah ! seigneur ! je ne puis contenir

Une juste douleur et j'ai peine à finir

C» funeste récit d'un forfait lamentable,

Votre épouse en mourant s'écrie î- 0 fils coupable !

Çu viens d'ouvrir le» lancs qui jadis t'ont porté !

^«iw U* deux à ce» Mots, seigneur, ont expiré.

don Alphonse, égaré.

0 jenx sanglants du nrtl ô race de saint Pierre !
A quel -comble d'horr»ur, hélas ! et de misère
Les destins t'ont voué»! hélasl je vois déjà
Ton dernier petit-nts, aux champs de Mentana
Exciter au combat les (enfants de Bellone !
Coupable et chère épouse à qui mon cœur pardonne,
Eeviens, accours ! mais non! Pour qui sont ces serpents?...
Quoi! le soleil a vu des forfaits aussi grands !...
Partons, cher Alonzo I viens; que cette aventure
Apprenne à respecter les lois de la nature!
HN

Pour copie conforme :

■Albert Glatighy.

GAZETTE A LA I

ALONW.

Elle a vu

la lumière

Les coulisses du Qœu£-Gos

... Il est sept heures du matin. Le temps est gris, tiède,
êqiîtvoque. Je monte l'avenue des Champs-Elysées. Devant le
palais de l'Industrie, des officiers de paix battent la semelle, des
soldats stationnent, des chevaux piaffent au piquet...

Est-ce qu'on redouterait une manifestation?...

Mais non, les soldats sont sans armes, et la police a l'air pa-
terne, magnanime et miséricordieux : c'est sa façon, à elle, de
se déguiser en carnaval.

Je pénètre dans le palais...

On me fait entrer dans une galerie que garnissent plusieurs
rangées de planches posées sur des tonneaux...

Des employés de la maison Porret alignent sur ces tables im-
provisées des verres, des fourchettes et des eustaches.

Dans un coin, des cuisiniers en veste blanche, la toque sur
l'oreille et le tranchelard au poing, taillent à même dans les ros-
'baefs, les gigots, les .saucissons et les jambons....

C'est le déjeuner du « cortège » qu'on prépare. ' .

Il y a là deux musiques d'infanterie, quatre pelotons de cava-
lerie et une centaine de Boquillons qui ne crachent pas sur le
fricot...

Ils arrivent aux tables par escouades. On place devant chacun
d'eux une pleine écuellée de bouillon, une plantureuse porlion de
rôti et une chopine. Ils mangent debout, sur le pouce, en bla-
guant.

D'aucuns s'en vont ensuite se capitonner l'estomac d'une tasse
à& petit noir près d'une marchande d'eau chaude qui débite, dans
la cour, du cidre, du café, des œufs durs, des gâteaux, toute sorte
de choses, — du cric, par exemple, excepté.

Le cric est sévèrement consigné.

Que diable! il faut que l'on se tienne devant les ambassades :
qu'est-ce que penseraient les puissances étrangères, si le trou-
pier français allait se mettre dans des états-?...

m

Le déjeuner expédié, il s'agit d'habiller tout ce monde.

Au moyen de toiles d'emballage, on a établi autour de la galerie
autant de vestiaires qu'il y a de pelotons de costumes différents
Les costumas sortent des magasins de "Villot, 26, rue de Riche-
lieu. Plus d'un théâtre de province envierait l'exactitude de ses
Mojasque laites, l'éclat d« s«s Trabans et la fraîcheur de ses Gar-

des-Françaises. Chaque soldat entre à son tour; "Villot et ses ai-
des s'en emparent ; en un instant, la toilette est finie!,..

Plusieurs ne se sentent pas d'aise de se voir si braves sous le
satin et le velours. J'en remarqua un —c'est un Breton — qui
secjue sa grande perruque Louis XIV, en répétant avec une joie
enfantine :

— J'ai retrouvé mes cheveux 1 J'ai retrouvé mes cheveux 1
D'autres me paraissent atrstés et humiliés de cette masca-

radp. Voici un vieux cocardier à trois brisques, a qui l'on a eu
toutes les peines du monde à faire comprendre qu'il n'était pas
possible de conserver ^es médailles de Crimée, d'Italie et du
Mexique sur le pourpoint d'un reitre de Charles IX, J'en en-
tends qui murmurent avec colère :

— Est-cj qu'on nous prend pour des acteurs?

Au milieu de ce va-et-vient, un gros homme, qui porte un
brassard tricolore, se démène avec une énergie et une faconde peu
communes, —rajustant un éperon, retapant un plumet, activant
celui-ci, gourmandant ceiui-là !.,.

— Tire donc ton maillot, imbécile 1... —Hél là-bas! somme-
lier, versez à messieurs les trompettesI... — Tambour-maître,
faites attention : un da vos tapins sent le kirsch!...

Ce majordonnv est M. Sabra, surintendant des théâtres... de

pantomime du 15 août et entrepreneur de spectacles populaires,
de fêtes publiques, de réjouissances nationales : sûreté, célérité,
discrétion.

On me le présente, et grâce à lui, je puis pénétrer dans les lo-
ges de ses premiers sujeis, — mâles et femelles.

Une tapisserie répare les s^xes. Je serre la main à Apollon,
mon confrère ; le Temps m'offre une prise, Mars m'emprunte une
cigarette, et Vénus — un bel homme, — me demande avec une
douce familiarité si je ne paye pas mi canon.

Côté des dames, des coiffeurs du quartier maquillent violem-
ment une douzaine de figurantes des Funambules et de fillettes
des boulevards extérieurs. Ce sont les déesses....

Evobél que ces déesses
Ont de drôles de façons !

Quelques-unes ont tué lever abondammeit.

Des demi-dieux batifolent à l'entour : Mercure entre autres _—
une ancienne connaissance'..Ces jeunes personnes ne me parais-
sent pas, du reste, avoir été élevées à l'Abb^ye-aux-Bois, sur les
genoux de Mme Récamier. J'interroge le papa Sabra:

— Est-ce que vos pensionnaires Ont toujours la langue aussi
près du bounet,et le bonnet aussi près des moulins?...

— Ne m'en parlez pas 1 Aujourd'hui, elles, sont douces comme
un mêlé-cassis. Il fait beau : nous n'aurons guère que des
rhumes,...

Et le digne monsieur s'interrompt pour crier à une habilleuse :

— Madame Adolphe, n'oubliez pis les étoupes, vous savez, les
étoupes.... pour les mamelles de l'Agriculture.

■M

Il est certain que si, jadis, un Pharaon eût vu sept de ces dames
en songe, il eût immédiatement ordonné de remplir pour sept aos
les greniers d'abondance.

Mais quoi ! pour dix francs par jour, — repas et rhumatisme
compris — on ne peut pas avoir, — comme au souper d'Offen-
bach— la d'Antigny, la Schneider et la Dévéria!

L'Olympe déjeune habillé. On lui donne des tabourets, mais on
ne lui donne pas de serviettes. Le cervelas à l'ail le trouve calme
et résigné, et je déclare qu'il affronte le [gruyère sans frayeur.
Quant aux alcools, on les lui distribue avec une sage mesure : un
petit verre par dieu, deux par déesse.

- Vous comprenez, me disait une de celles-ci, quand on va
avoir pendant; dix heures sa viande à l'étalage l

' m

Un merlan est en train de tire-boûchonner deux Amours...
Je demande à M. Sabra :

— Pourquoi cette paire de Gupidons ?

— Ah ! dame, voila ce que c'est : l'an dernier, noua n'en avions
qu'un ; il a attrapé froid, et il est mort le lundi soir d'une1 fluxion
de poitrine. Alors, cette année-ci, j'ai fait doubler l'emploi"., ■-.

Opcn'a-Comique. — i« Cruche cassée.

Je conçois que l'idée soit venue à M. Hippolyte Lucas de tra-
duire en ariettes la Cruche cassée, ~ cette toile de Greuze devant
laquelle il est de bon goût de se pâmer au Louvre...

M. Hippolyte Lucas n'est pas seulement un écrivain sérieux à
qui la critique n'a guère eu — jusqu'à présent — à reprocher que
son nez...

Non ; c'est encore un nourrisson des muses, qui se promène vo-
lontiers dans le sacré vallon, des bords del'Hippocrène au sommet

Oyez-plutôt, troubadours, bachelettes, châtelaines et pala-
dins l....
Ce petit morceau « revêt » la forme du dialogue :

— Où vaLauretle
En tapinois?

— Beau sire£au bois.

— Oui dàl seulelte?...
Ali! prends bien garde'

..Amour est là!

— Eh bien, beau sire,
M'en vas lui dire :

— Amour, me v'iàj...

Ne sont-ils pas charmants, charmants, charmants, ces versieu-
lets d'une espèce disparue, — comme il en poussait autrefois
dans le Mercure galant et YAlmanach des Grâces.....

Je les préfère de beaucoup, pour ma part, à la Cruche cassée de
l'Opéra-Comique, à son poëme d'une simplicité prétentieuse, à
ses interprètes, voire même à sa partition, encore que dans celle-
ci M. Henri Pessard ait fait montre d^un minutieux talent ^d'ar-
chaïste et de pasticheur 1...

m

Et puisque je tiens M. Hippolyte Lucas par le..,': piton, ne lâ-
chons point cet appendice solide sans y accrocher une histo-

Un "soir, l'auteur delà Cruche cassée jouait, affligé" d'un gros
rhume aux échecs avec Louis Desnoyers, et force lui était de re-
nifler de temps en temps pour lutter contre la dilatation intérieure
des muqueuses nasales.

— Mouchez donc votre nez, mon cher, dit Desnoyers, avec
d'aulant plus d'humeur qu'il voyait la partie perdue.

__Mouchez-le vous-même, répondit Hippolyte Lucas, il est

plus près de vous que de moi I...

même théâtre. — JL' Ottrs et te Pacha.

Orchestrer l'Ours cl le Pacha! Forcer la mélodie à rire plus
fort, sinon plus franc, que cette bouffonnerie patriarcale qui n'al-
lume plus qu'aux jours de carnaval, une lueur d'hilarité sur le
front de Brives-la-O-aillarde ou de Pont-à-Mon»sonl Pour une
singulière fantaisie, c'est une singulière fantaisie!...

Mon Dieu, oui, je sais bien : M. Bazin est un compositeur in-
génieux, savant et exoérimenté...

_ La Trompette de M. le Prince, Madelon et le Voyage en &hin$ sont
là pour prouver ce que j'avance...

Mais quoi! était-on donc si dëaastreusement en peine d'un
libretto extravagant!...

J'imagine que t'Opéra-Comique aura voulu prendre sa revan-
che de la Dame Blanche naguère mutilés par un directeur de pro-
vince...

Pourquoi ne pas avoir, alors, la franchise d'afficher ;
Notft

a L'amusant 't spirituel poëme de Scribe nuisant essentiellement à
l'action a été remplacé par une musique vive et animée, »

*

L'Ours et le Pacha commença la fortune de Scribe, — cette for-
tune que les succès qui suivirent élevèrent à un chiffre si exorki-
bitant.

Une anecdote à ce propos :

Madame Scribe eutjadis une femme de chimbre très-rigide
sur l'article des économies. Un jour elle dit à sa maîtresse :

— Comme monsieur était dépensier avant son mariage!

— Dépensier? Et qu'en savez-vousï

— Damel c'est que je viens de voir dans son cabinet, une lon-
gue note d'un tas d'argent distribué à des dames. Des dames pau-
vres,, je suppose, madame î

— Vous êtes folle, Julie,

— Non, madame. Vous pouvez voir vous-même. La note est
encore sur son pupitre.

Poussée par une curiosité bien naturel'e, madame Scribe entre
chkz son mari. C'est vrai; la note dénoncée est là; et elle est bien
couverte de noms de femmes. Voici, en effet, ce que lit madame
Scribe ;

Yelva..........-...... 4,500 ff.

Zoé.................. 5,500

Malvina.............. 5,550

Louise............... 8,800

La Chanoinesse....... 9,200

Vous avez déjà compris.

Ce que l'innocente servante avait pris pour des femmes, c'é-
taient des pièces.

Et mieux que celai ce qu'elle prenait pour des sommes dépen-
sées follement, c'étaient des droits d'auteur soigneusement «n-
caissés 1

Uernïères dépêche»

Eclatante victoire à l'Odéon avec l'Autre, de Georges Sand.

Au Vaudeville,importation semi-heureuse des Pattes deMeuehe.
Triomphe de Fargueil. Réussite du Cachemire X. B. T. et à'Une
femme est comme votre ombre.

Aux Menus-PJaisirs, Malheur aux vaincus. Le titre de cette co-
médie m'imposerait,poar ainsi dire,le devoir de n'en pas parler...

Ad crastinum sérié...

Traductien libre...[jusqu'à la licence:

Nous en recauserons eu carême. '

Voulez-vous avoir un échantillon de l'esprit qui s'est dépensé
mercredi au souper offert par Offenbach à son fidèle Vert-de-Gris?

Eutre trois et quatre heures du matin, le nommé Constant Lé-
cuyer a demandé à mademoiselle Antonine :

— Quelle différence y a-t-il entre le chien du roi des tseig-es et
le capitaine Lambert?

L'aimable Maintenon de Sardou a failli jeter sa langue aux re-
porters. * ."_.
Lécuyer a repris :

— C'est que le chien du roi des Belges est à Léopol....d, et que
le capitaine Lambert n'y est pas allé.

Allé au pâl...e, bien entendu I ! !

m

Notre opinion.

— Monsieur Constant Lécuyer, quand on a de ces envies-là, on
se lève de table et on va les satisfaire sur le carré.

Emile Blondit.

:mmsi

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