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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 3.1870

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https://doi.org/10.11588/diglit.3704#0103
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L'ECLIPSE

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tir.

rotre avis.

lire avec le signe de Homes;;

1 m'épouserait. Tout ta («s

si bonne pour lui et sessiufc

ine, il venait manger de si 1:

,is privée d'un cabinet, j'en Iti
irneau pour le poisson, m b
.vait comme un trou, mon tè-i
st un misérable.
jourd'hui seulement'!
ut déjà marié dans m psjsl
ait encore avec la marckt;
rs, une vieille gmedejUE
jolis jeunesse.

eut... qu'il devait plaça... W
fe, l'infortunée, remit à pii?
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érable 1

I 1 oh 1 pauvre dame !
rachai mon bras ans être»»
contemplait Dieu et ses i*
ce. Glace entourée de W
; un petit monument «W

liature.

dans les ombres d'nnesp»^

me, comme disaient ta «*

tendit maternellement »*

passant,- et s'essnï. f

nto de papier d-t»u»*

EnHEST B'B»*'1

SON DE BADE

Gottfried :
frappe i I.*"*

_ réveille» -ffL»^
Replace'"*'

s'écriait Fantasio. Les Parisiens semblent en avoir, tant ils se
montrent pressés de s'élancer de leurs maisons pour papillon-
ner dans la rue, hoce des murs, au-delà de la frontière même !
Avant qu'il soit un mois, un vrai Courrier de Paris ne se datera
plus du boulevard : on le griffonnera sur une table de marbre
de la Conversation ou sous les grands arbres en fleurs de l'ave-
nue de LichtenthalL Car Baden nous réclame. Car Baden nous
attend...

Cependant, M. Dupressoir, — successeur du grand Bénazot,
— élabore son menu dans le silence du cabinet...

— Ça, voyons, chef, illustre chef, que nous donnerez-vous ?
Nous sommes habitués tout simplement au raffinement, à la
quintessence, au surnaturel, au... Ma foi, trouvez la chose I moi,

' je ne trouve pas le mot.

— Monseigneur, nous avons eu l'honneur de vous servir, en
guise de potage, le dimanche, l0r mai, un grand concert— avec
accompagnement d'orchestre — où l'on a entendu les frères Fré-
meaux et mademoiselle Morio. La troupe des Italiens, made-
moiselle Krauss en tête, vous versera ensuite, vers le 15, et, en
façon de madère, des flots d'harmonie enflammée et savou-
reuse,..

Puis, viendront en manière d'entrées :

Le samedi 4 juin, mesdemoiselles Léon Duval et Marie Se-
cretain; MM. Hermann-Léon, Seligmmann et Fabian Kehfeld ;

Le samedi 11, mesdemoiselles Hélène Gerl et Daumerling;
MM. Ch. Wallenreiter, Léon Le Cieux et Ketterer;

Le samedi 18, mesdames C. de Wilhorst, C. Fehrman, made-
moiselle Louise Le Beau ; MM. Agnesi et Ernest Nathan ;

Le samedi 35, mademoiselle Anna Busse; MM. "Woworsky,
Allard et Bottesini ;

Le lundi 8 août, mademoiselle Marie Battu ; MM, Jourdan,
Laub et Nicolas Eubintein ;

Le vendredi 9 septembre, mesdemoiselles Schrceder et Mina
Schmitt, avec MM. Faure, Nicolini, Vieuxtempa, Saint-Saéns
et Vivier ;

Enfin, le lundi 26 septembre, mesdemoiselles Vitali, do Paré-
dès, Octavie Caussemille ; MM. Delle-Sedie et P. Lamoury.

— Ah ! monsieur Dupressoir, ce n'est pas vous qui diriez avec
Théophile Gautier b que la musique n(est guère qu'un bruit un
peu plus désagréable que tous les autres bruits ! » Je découvre
dans ce premier service toute sorte d'indigestions d'oreilles.
Comment diable voulez-vous que nous nous contentions, après
cela, du brouet de nos théâtres lyriques ?

— Comme rots, le mois de juillet -nous amènera une partie de
la troupe du Palais-Royal et les artistes de î'Odéon, des Fran-
çais, du Gymnase. Mademoiselle Favart jouera Fernande,
Johann Strauss, l'incomparable chef d'orchestre de Vienne,
nous servira d'entremets. Au dessert, outre les courses, les chasses
et les bals, nous aurons nombre de pièces montées ; Macbeth^ Po-
Hutto, Lucrezza Borgia, Il Ballo, la Favorite, les Huguenots, et la
Forza del Destina, cette œuvre de Verdi, dont le Czar seul eut la
primeur.

— Superbe ! Lucullus dîne chez Lucullus !

— On vous ménage même une surprise...

— Quoi donc? Un gâteau de riz, un nougat, un biscuit de
Savoie ?

— Justement : l'inauguration d'une fontaine monumentale
due au ciseau de Ludovic Durand... —Je n'ai pas parlé des hors-
d'œwvre...

— J'entends : crevettes, cornichons, petits poissons salés.

— Pour comble, l'on vous promet — en septembre —l'arri-
vée de M. Capoul... Toutefois, je n'ose l'annoncer; ce jeune té-
nor est si courul S'il allait nous manquer,.. Qu'est-ce que je
ferais ?

— Il y a un précédent, ô Vatel !

Star

GAZETTE EN VACANCES

Je le repète avec ce Janin de Tibur, traduit en élégances par
l'Horace de Passy :

Odi profanum vulgus et arceo...

Ouï, je hais volontiers ce troupeau du vulgaire, — moutons
de Panurge qu'on voit se noyer à la file sous le flot de la poli-
tique, quand ils ne deviennent pas enragés à ce point, de dér
vorer parfois le berger et .ses chiens...

Aussi, lorsqu'un frisson court le long du troupeau...

Lorsqu'un bêlement s'élève, — de plainte ou de révolte...

Lorsque Guillot brandit sa houlette à aiguille, — forgée sur
les dessins de Chassepot, et que ses molosses fidèles grondent
en aiguisant leurs crocs et en caressant leur casse-tête...

Moi, je boucle ma malle, je saute dans une voiture, et :

— Cocher, à la gare !

— Laquelle, mon bourgeois?

— Celle par où je pourrai me sauver le plus loin du Plé-
biscite.

m

... Voilà comment je me suis réveillé hier matin, au moment
où le train débondonnant toute vapeur, brûlait Charmes, — la
première ville des Vosges en arrivant par la ligne de Stras-
bourg.

Sous la Restauration, la duchesse de Berry parcourut les dé-
partements de l'Est.

Elle traversa Charmes.

Le maire vint la recevoir aux portes de l'endroit et lui adressa
ce compliment :

— Madame, Charmes est charmé de contempler vos charmes.
La princesse répondit en souriant :

=— Monsieur le Maire, vous êtes charmant.

25e Pas'is à Kanry.

Nous avions fait joyeuse route.

C'était le dernier jour des vacances de Pâques : les élèves de
l'Ecole de médecine militaire de Strasbourg ralliaient le bahut.
Chaque wagon, encombré de képis et de pantalons rouges, avait
l'air d'un bouquet de coquelicots. J'en avais sept dans mon

compartiment, de ces Larrey futurs : sept jeunes gens très-
gais, très-bien élevés, très-gentlemen. La connaissance était
laite dès Pantin, et nous déjeunions tous ensemble, à Epernay,
dans la voiture, avec toute sorte de volailles que nous dépê-
chions sur le pouceI...

Ne me demandez pas si l'on a ri, fumé, raconté des his-
toires!....

J'en ai retenu quelques-unes à votre intention :

Ce qui suit est arrivé, — la semaine passée, — dans une ville
du midi, dotée d'un chemin de fer.

Un employé audit chemin de fer avait été averti que sa femme
déraillait, et qu'elle avait cessé de suivre, depuis quelque
temps, la ligne de ses devoirs. Il eut rejours à un procédé
connu pour vérifier son désastre, 11 annonce à sa femme qu'il
sera de corvée toute la nuit à son bureau, sort de chez lui osten-
siblement, et s'en revient une heure après, à pas de loup.

On ne l'a pas trompé. Une lumière éclaire la fenêtre de la
chambre conjugale. Deux ombres se silhouettent sur les rideaux
de l'épouse coupable.

— Parfait! dit l'époux désespéré; je tiens mon flagrant délit.
Reste à le faire constater. Courons chez le commissaire !

Malheureusement, il paraît que le commissaire était absent.
L'époux doit se résigner à conter son malheur à un simple bri-
gadier de police.

Ils partent. Ils arrivent à la poi'te de l'adultère. Et qui
trouvo-t-on aux côtés de la criminelle méridionalo?

Le môme commissaire de police par qui on voulait la faire
arrêter.

m

L'autre jour, une noce se présente dans un hôtel de Châlons,
où elle avait d'avance retenu un salon de cinquante couverts.
Mais elle se trompe de porte, comme dans le Chapeau de paille
d'Italie. Elle fait irruption dans une salle où étaient réunis des
actionnaires de je ne sais plus quoi. A leurs habits noirs et à
leurs cravates blanches, on les prend d'abord pour des in-
vités.

Los actionnaires réclament :

— Ce n'est pas ici ! A la porte !
La noce s'étonne ':

— Ces messieurs ne sont donc pas des invités?
Eclat de rire amer sur toute la ligne :

— Puisque nous sommes des actionnaires, comment voulez -
vous que nous soyons à la noce ?

ïfèe ïïancy à ÉjpBBaiiï.

11 m'a fallu me séparer de mes carabins en uniforme. On s'est
promis de se retrouver à la Robertsau, cet été, ou sur le boule-
vard, cet automne. Ma foi, de sympathiques et d'aimables gar-
çons! 11 y en a un qui m'a demandé si je n'étais pas M, Mon-
seîet. Pourtant, je venais de refuser de repiquer sur le poulet 1...

J'ai maintenant pour compagnons un sous-lieutenant et un
ténor ..

Le ténor va chanter la Juive à Luuéville...
. C'est dans ce dernier cas, qu'il est doux d,e pousser ;usqu'à
Épinal !

Mon militaire est un bon gros gars, bien râblé, plein de cor-
dialité et de belle humeur, qui sait notre Paris sur le bout de
son doigt comme un ancien zouave de la garde. Nous causons.
Il souffre d'une de ces névralgies de l'estomac, plus douleureu^
ses que 'dangereuses. Pour le distraire, je lui parle de ma paraly-
sie...

Car j'ai été paralysé, — cet hiver, — ne me déplaise.

Vous no vous en êtes pas aperçus, n'est-ie pas?

Parbleu ! J'avais la tête et les bras libres !

La veille de mon départ, je dînais chez Brébant. Un garçon
m'interroge :

— Quel vin servirai-je à Monsieur?

Au même moment, Noriac me demandait :

— Quelle maladie as-tu eue ?

— Une kémyplègie.

Le garçon, qui s'imagine que je lui «réponds, liêle le somme-
lier :

— Une demi-plëgie, une !!!

Les mauvaises nouvelles ont des ailes.

J'apprends — par le Petit Moniteur — entre Nomexy et Thaon
la mort de Roq.ueplan.

Voici un mot de Roqueplan :
, Mademoiselle P. . causait avec quelques amies.

— Jamais, disait-elle, je ne me suis trouvée aussi bien à mon
affaire. Je joue à un théâtre, je répète à un autre, ça me fait
deux râteliers.

—Comptons bien, dit Nestor, ça vous fait trois.

Spinal

Suzanne Lagier, qui sait quelle peur effroyable j'ai de mou-
rir, me qustioimait :
Où vous enfuiriez-vous si la fin du monde arrivait?
Je lui répondis avec une parfaite sérénité :

— Moi ? Je m'eû irais dans mon pays, à Epinal, et j'y serais
bien tranquille. Personne n'ignore que les Vosges sont d'un
siècle en ret ird.

m

La,ville ressemble à un décor rustique de l'Ambigu ou du
Châtelet. Une place, entourée d'arcades, se détache en lumière
sur le fond d'un vert sombre, de deux ou trois coteaux, qui en-
foncent dans un ciel froid, leur cône dentelé de sapins. Les
maisonsse pelotonnent autour d'une vieilleéglise romane que l'an
mil a vue naître. La Moselle allonge au travers, deux bras qu'une
demi-douzaine de ponts encercle de bracelets de granit. L'eau,
claire comme un miroir, bouillonne, jabotte et s'échappe en écu-
me savonneuse entre les pierres noires dss vannes.

Le vent, qui descend des montagnes, est tout chargé de nei-
ge. Les cafés sont fermés à dix heures du soir. La lune rem-
place le gaz. Quand cet astre manque à ses devoirs, et que l'on
ïiâne par les rues obscures, on croirait que l'on se promène
dans les cheveux de Céline Montaland,

Je suis allée à l'estaminet Parisien.

Un officier a blagué Timotbée Trimm, et m'a déclaré d'une fa-
çon acerbe qu'il ne croyait pas un seul mot de ce qu'il lisait
dans les gazettes.

Ils en sont encore là, mon Dieu !

Il est vrai que cet officier appartenait à la grosse cavalerie...

Dame ! c'était peut-être une charge !

Oh! ia province !...

Une bourgeoise épinalienne voulait singer les grandes dames
de Paris. A cet effet, elle disait à sa bonne, qui lui présentait
une lettre de la main à la main :

— Marie, la première fois que vous aurez à me donner quel-

que chose, si vous ne me présentez pas ce quelque chose sur
un plateau, je vous chasse immédiatement.

— C'est bien, madame, répondit la pauvre fille, je m'en sou-
viendrai.

L'autrs jour, madame N... entend causer dans l'antichambre;
elle sonne :

— Avec qui causiez-vous, Marie ?

— Avec ma sœur, madame.

— Ah ! ie ne savais pas que vous eussiez une sœur ici; que
fait-elle?

— Elle est venue pour se placer, mais elle ne trouve pas.

— Je m'occuperai d'elle ; faites-la entrer.

— Mon Dieu, madame, répond la bonne avec embarras, je ne
demanderais pas mieux, mais j'ai voulu présenter ma sœur à
Madame, elle n'a pas voulu.

— Ah! elle est donc bien fière?

— Ah ! Dieu non, madame ; mais elle n'a jamais voulu mon-
ter sur le plateau.

*

A Golbey, — un petit village qui se trouve aux portes d'E-
pinal, — un jeune rustre venait de se marier avec la fille d'un
vigneron, mais après avoir compromis et délaissé une jolie pe-
tite vachère.

Un jour, il rencontre son Ariane qui revenait de'puiser de
l'eau a la fontaine.

A sa vue, la belle enfant se met à répandre des larmes.

— Ne pleure pas, Babet, s'écrie alors le paysan; j'ai épousé
Michelle il y a trois semaines; mais c'est avec toi, parole
d'honneur, que je me marierai la prochaine fois.

Emile Fjlondkt.

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