L'SeUFSB
ENTRÉE PUBLIQUE
BT GRATUITE
Ouverture àmidiprêcis
16, rue du Croissant
CLUB DE L'ECLIPSE
SÉfifiCES
le premier dimanche
DE CHAQUE MOIS
16, rue du Croissant
Discussions politiques, littéraires, dramatiques, scientifiques et financières
Magnétisme — Hydrothérapie — Expériences de physique — Lutte à main plate, etc., etc.
Exposé de systèmes
Séance d.u 4 février 18 72.
Présidence de M. GASTON' r>E PUFFINSKY
A midi précis, le président Gaston de Puffinsky prend place
au fauteuil et le chapeau monumental de M. Denizet pour le
tuyau du calorifère.
LE président GASTON de puffinsky. — Messieurs, avant de
commencer nos travaux, je désire avoir votre avis sur la con-
duite que je dois tenir : je reçois à l'instant une lettre du duc
d'Aumale, qui m'invite à dîner chez lui tous les mardis,
Murmures.
le président Gaston DE pdffinskY. — Dans les.graves cir-
constances que nous traversons, je n'ai pas cru devoir prendre
sur moi d'accepter une invitation dont la rue du Croissant aurait
peut-être le droit de s'émouvoir... Cependant, si vous croyez
que ce ne soit pas contraire au pacte de Bordeaux, j'irai...
Cette question provoque une vive émotion dans l'auditoire. Les opi-
nions paraissent partagées.
GABRIEL Guillemot, à la tribune. — Je pense, messieurs,
que nous devons, en cette circonstance, laisser notre honorable
président en face de sa conscience... Et s'il croit qu'il est in-
dispensable de manger tous les mardis une aile de perdreau
truffé chez un prince prétendant pour mener à bien l'essai loyal
de la République, je ne vois aucune raison pour l'en empêcher. —
{Applaudissements).
une voix. — Cependant...
Gabriel Guillemot. — Il n'y a pas de : cependant!... vous
ne pouvez pas forcer un homme qui fait un essai quelconque à
le faire de telle ou telle façon... Il lé fait, comme il veut, cela le
regarde... On voit tous les jours des gens faire l'essai loyal d'être
fidèles à leur femme en allant souper chez des danseuses de
l'Opéra et ne pas y arriver du premier coup... ni même des sui-
vants; mais enfin, ils avaient promis d'en faire l'essai; ils l'ont
fait... On n'a rien à leur reprocher.
■VAssemblée*, enlevée par un argument aussi topique , autorise à
l'unanimité le président Gaston de Pvffin'sky à aller diner tous les
mardis che'x te duc d'Aumale.
Quelques personnes proposent de ne lui permettre d'y aller qu'une
seule fois, mâts de le prier instamment de n'en pas revenir. Cette
proposition ne rencontre pas les sympathies qu'elle mérite.
le présib'BNT GastOn. de puffinsky. — La parole est à M.
Jean Brunet qui va exposer son trente-neuvième moyen de
sauver la France.
M. jean brunet a la tribune. — Messieurs... j'ai l'honneur de
vous soumettre le projet de décret suivant :
Considérant que tous nos malheurs proviennent de l'inobser-
vation des principes religieux, au nombre desquels se place en
première ligne le repos sacre du dimanche ;
Considérant, en outre, qu'il faut que chacun contribue à la
libération du sol,
Le club de l'éclipsé décrète :
Article 1er. — Personne he travaillera le dimanche.
Art. 2. — La somme qu'aurait produit ce travail servira à
payer l'indemnité de guerre.
Hilarité générale.
h. Jean brunet. — Vous riez, messieurs... Pendant les pre-
mières semaines, ça ne produira peut-être pas grand'cnose...
mais à la longue !...
Nouveaux rires. M. Jean Brunet, verni d'être interrompu, quitte la
tribune au milieu des acclimations et de son discours.
le président Gaston de fuffwsky. — La parole est à
M. Louis Ulbach, pour une communication qui intéresse au plus
haut degré la liberté de la presse.
Marques d'attention.
M. louis ulbach. — J'ai acheté, il y a cinq du six jours, un
numéro du journal le Soir...
L'assemblée manifeste une profonde stupeur.
M. louis ulbach, sourianti — J'y ai lu un entrefilet que je
vous apporte, persuadé qu'il sera nouveau pour vous.
Marques d'approbation.
m. louis ulbach. — Il résulte de la nouvelle publiée par
cette feuille que la suspension prononcée contre les journaux
le Rappel et le Pays va enfin être modifiée.
VOIX diverses. — Oh!... Bravo!.,. Bravo!... Vive M. Thiersl
M. louis ulbach. — Oui... leur suspension qui avait été pro-
noncée pour deux grands mois vient d'être commuée en une
interdiction indéfinie.
M. Louis Ulbach quitte la tribune, laissant l'auditoire ébahi.
le président Gaston de PUFFiNsici. — Je trouve que la
communication de M. Louis Ulbach est un peu sèche; il au-
rait du, ce me semble, ajouter que cette interdiction indéfinie
pourra, si les événements le permettent, être.....prolongée en-
core de quelques mois.
Cette bonne parole rend un peu de courage à VAssemblée.
M. gaboriau. — Pourait-on savoir, monsieur le président,
quelles raisons le gouvernement denne pour empêcher ces deux
feuilles de reparaître, et ce qu'il attend pour leur rendre leur
liberté.
le président Gaston de puffinsky, sévèrement. — Le ton
goguenard que vous prenez, jeune romancier plein d'avenir et
de vous-même, dénoté assez la malveillance qui vous anime-
Gaboriau, baissant les yeux. —Monsieur le président..... je
vous jure...
le président GASTON de puffinskYj durement. — Assez...
Monsieur. . Je vais vous répondre. La raison pour laquelle le
gouvernement ne laisse reparaître ni le Pays ni le Rappel, c'est
que Paris est dans un état d'anarchie incroyable... {D'un ton
plus doux.) Voyons, mon ami... Est-ce que vous ne vous êtes
pas aperçu que Paris est dans un état d'an.arehie incroyable?...
(Avec force.) La démagogie relève la tête!... Les passions sub-
versives agitent de nouveau les esprits!... X'hydre révolution-
naire, qui n'avait que sept têtes, s'en est encore fait poser
quatre neuves la semaine dernière!... Noua sommes revenus
sur le bord de l'abîme... (Avec persuasion.) Voyons, mon ami,
vous paraissez bien froid... Il est impossible, qu'en venant ici,
vous n'ayez pas rencontré la démagogie, les passions subversives
■et l'hydre révolutionnaire!... On ne voit qu'elles dans les
rues !...
gaboriau. — Je ferai attention en m'en allant, mon prési-
dent ; mais en venant, je n'ai rien vu du tout.
le président Gaston de puffinsky. —\ Vous devez com-
prendre maintenant, jeune téméraire, que tant que la capitale
sera dans un état pareil-, tant que les rues de Paris et les che-
veux de communards seront hérissées les unes de barricades
et les autres de colère..., car vous avez dû enjamber des mas-
ses de barricades en venant?...
Gaboriau, avec candeur. — Je ne les ai pas comptées, mon
président... il est bon de vous dire que je n'en ai pas vu.
le président Gaston de puffinsky. — Cessez ce genre de
plaisanteries... Le Pays et le Rappel ne reparaîtront que lorsque
la tranquillité sera revenue, les Allemands hors de notre terri-
toire et la souscription des Bouillons Porret entièrement cou-
verte.
A cette dernière menace, MM. Meurice et Vacquerie, qui sont dans
la sal'e, tombent évanouis ; on Its relève, ils ont le délire et murmu
rent : Bouillons Porret !... Oh! la la... jamais... jamais... Rappel
pourra pas fêter centenaire 89... Bouillons Porret... Oh! la la...
,1a la... jamais souscrits pour cette époque — on les emporte,
m. hamburger. — Je demande la parole.
le président Gaston de puffinsky. — Parlez.
m. hamburger. — Messieurs... je me suis beaucoup occupé
des nouveaux impôts projetés. Mes études ont surtout porté sur
la manière de les éluder.
Bravos prolongés.
M. hamburger. — Au moment où le sel va être frappé d'un
nouveau droit, je crois devoir recommander aux personnes éco-
nomes de ne manger que de la viande de cheval.
M. pierre petit. — Pourquoi cela?
m. hamburger. — Parce que le cheval se mange générale-
ment sans selle.
L'Assemblée entière trépigne, le rétablissement du calme nécessite
une bonne demi-heure, parce que dans la salle il y a une douzaine
d'abonnés de l'ordre auxquels il faut expliquer le calembour
d Hamburger. — Aucun d'eux n'y arrive ; mais pour ne pas attirer
tes regards ils font semblant d'avoir compris, et la séance peut en-
fin être reprise.
m. hamburger. — C'est comme l'impôt sur les domestiques,
rien de plus facile de s'y soustraire.
m. de pêne. — Par quel moyen ?
hamburger.— Dame 1... sans doute... enn'employant que des
valets de chambre bossus, on n'a pas de droits à payer.
(M. Pouyer-Quertier, qui assiste à la séance, donne les signes du
plus violent désespoir.)
hamburger.. — Vous avez maintenant la taxe des pianos, il
est très-aisé d'y échapper.
L'auditoire est haletant.
hamburger.— Faites recouvrir les pianos d'une forte couche
de tessons de bouteille comme les murs d'un parc... Jamais les
législateurs ne pourront asseoir un impôt dessus.
Hamburger descend de la tribune ; en regagnant sa plac e, il passe
devant M. de Ttllancourt, qui fléchit le genou.
m. raoul duval. — Messieurs... A propos de l'élection du
Var dont j'étais le rapporteur, j'avais rédigé un chef-d'œuvre
où Gambetta était piétiné de main de maître. La commis-
sion me l'a laissé pour compte ; je vous demande la permis-
sion de vous le lire...
Violentes réclamations.
LE président Gaston de puffinsky. — En présence de cette
manifestation, je me vois .forcé de consulter l'assemblée pour
savoir si elle veut entendre la lecture du rapport de M. Raoul
Duval.
Applau dissements.
le président Gaston de puffjnsky. — Je reçois à l'instant
de M. Edouard Lockroy un ordre du jour ainsi conçu :
« le club de l'écupse refuse d'entendre le rapport de M.
» Raoul Duval, tout en constatant que ce n'est pas parce que
» cha tient de taplache, et passe à l'ordre du jour. »
Au moment où l'on se dispose à voter, M. le duc d'Aumale entre
dans la salle. Il seretirc aussitôt en disant : Ah ! pardon I si f avais
su que l'on votât quelque chose...
Vord>e du jour de M. Lockroy passe à l'unanimité. M. Raoul
Duval se retire ; il a l'air satisfait d'un auteur à qui le directeur
de t'Odéon rend une tragédie déposée depuis 1853.
m. julks claretie. — Je demande à interpeller notre esti-
mable président. J« remarque avec peine que depuis un temps
iDtini il ne nous a pas donné de nouvelles de la loupe à Guil-
laume...
\Bravos prolongés.
M. jules claretie. — La dernière fois qu'il nous en a parlé,
il y a de cela au moins six simaines, l'aile gauche du nez de
l'empereur d'Allemagne était complètement envahie par la
loupe, et l'on avait été obligé de jeter bas la cloison de sa
chambre à coucher, qui gênait le développement de cette loupe
impériale... Mais depuis... il doit y avoir du nouveau.
le président Gaston de puffinsky. — Je me rends au désir
exprimé par M. Claretie, la dernière dépêche que j'ai reçue de
Berlin porte:
« Loupe grossit toujours ; elle a renversé façade palais et dé-
« borde sur la place. Mesure maintenant trente-deux mètres
i circonférence Médecins tiennent conseil. En attendant, com-
« pagnie de publicité a proposée 6,000 thalers par an pour uti-
« User loupe au collage affiches industrielles. »
A la suite de celte communication, la séance est levée.
Le greffier du club de J'Éclipse
LEON BIENVENU.
un nouveau moD otcu rage
Il serait temps de dire son fait à ce nouveau gaz qui sous un
nom barbare, gaz oxyhydrique, manifeste de jour en jour une
tendance plus marquée à nous envahir.
Pardon, ce n'est pas seulement à nous envahir qu'il faiU;
écrire, c'est à nous aveugler.
Cette longue flamme vive caresse les yeux du passant avec
la douceur d'une paire de vrilles.
Ajoutez sa teinte bleuâtre qui enveloppe tous les objets d'un
éclat lugubre, comme dans les scènes de tombeau des féeries
si bien que les groupes d'individus les plus gais prennent
l'apparence macabre d'ombres en rupture de cercueil.
On se demande tout d'un coup avec effroi :
Hum I quel est donc ce cadavre qui vient à moi ?
Et reconnaissant une figure de connaissance,
— Ah bah, c'est vous, mon pauvre ami, vous avez donc été
bien malade ?
—Moi du tout, mais j'allais vous demander à vous-même.., An[
dites donc, ça n'est pas gentil de ne pas envoyer de lettres de
faire part à ses amis.
— Comment ça ?
—~ Dame, avant de se faire enterrer.
Il n'y a pas de doute pour moi que la propagation de la lu-
mière oxydrique ne soit l'œuvre des partis hostiles qui ont
intérêt à faire paraître sous la république les Parisiens sinis-
tres et fatigués.
En tout cas, le prétexte d'expériences me parait insuffisant
pour justifier cette attaque nocturne dirigée contre les yeux
des passants.
Y en a-t-il qui tiennent vraiment à voir la suite de ces ex-
périences ? je demande alors qu'on les continue sur les loca-
taires du Jardin-des-Plantes de préférence aux promeneurs du
boulevard.
Si après huit jours de ce régime, l'ours n'a pas besoin de
lunettes pour distinguer ses pieds d'avec ses mains, je me dé-
clare satisfait et veux bien m'éclairer jusqu'à la fin de mes
jours avec du gaz oxydrique, pourvu toutefois qu'il change de
nom.
Paul Parfait.
LES QUESTIONS DO JOUR
Rue de l'ÉIysée, dans une des pstites maisons Montijo, un
ventre à bretelles , le crâne Chauve, la graisse de sa face entre
ses mains aux doigts crochus et toujours sanglants depuis le
2 décembre, est étalé sur un sofa verdâtre. Ce ventre médite
comme à la veille d'une sinistre effronterie.
—L'empire m'a tellement engraissé de raillions qu'à tous ces
pauvres insulaires je suis sûr de parler d'or. (Ce mot le fait
sourire ; il se regarde dans la glace avec satisfaction.)
—Ai-je assez corsé ma corse circulaire ? L*ai-je suffisamment
assaisonnée de rouheries? Ahl les rouheries, les rouheriesl
Hors de là, point d'élections pour moi .. Et cependant la Cha-
rente m'a— Si la Corse allait être pour moi une autre Cha-
rente I
— Moi... moi échouer encore! Jamais, jamais, jamais!,.. Cor-
ses fiers, Corses sensibles, exil, malheur, âdéiité, révolution
coupable!
Asmodée invisible, lui parlant à lVeille : Corses fier,s de
l'invasion, Corses fiers du démembrement et de la ruine, Corses
fiers des cinq milliards de rançofi, corses fiers de Sedan!
— 0 ma conscience, tais-toi ! Depuis le sang du 2 décem-
bre tu te taisais. Mon maître ne t'a-t-il pas payée pour te
taire ?
— Corses sensibles à l'honneur de la France, à l'amour de la
patrie, au deuil de l'Alsace et de la Lorraine, à votre propre
honneur... L'exilé de Chislehùst est le proscrit de sa luxure et
de sa lâcheté... son malheur, un juste châtiment... la fidélité à
la luxure, à la lâcheté, aux turpitudes punies, c'est de la com-
plicité... La Révbliltioh de septembre fut coupable seulement
de courage, de fierté nationale, de patriotisme... Et l'assem-
blée, alors souveraine, a prononcé la déchéance d'un lâche.
— Ma conscience, tais-toi ! parle sang de décembre, par l'em-
prunt du Mexique, par la gloire de Sedan, je triompherai!
Cette assemblée n'est qu'une assemblée factieuse. J'en veux
faire partie pour mieux servir mon maître... Mon maître c'est
ma France ; sa liste civile fut ma patrie... Je veux retrouver
ma patrie et la faire plus grande encore, ô Corses fiers, Corses
sensibles, exil, malheur, fidélité, révolution coupable 1... L'em-
pire c'était la paix, la gloire, la vérité, la liberté, la pré-
voyance, la sécurité, l'intégrité de la patrie... Toujours, tou-
jours, toujours I Croyez en ma parole, qui n'a jamais menti,
croyez en mes affiches, croyez en ma photographie !
. — Que de rouheries, mon Dieu? que de rouheries!
— Tais-toi, ma conscience, tais-toi. Exil, malheur, fidélité.
Mon maître m'a payé d'avance... Et Pietri me surveille.
Oalbinet de Oliislolmst
Dépêche secrète (agence Montmartre et Sedan) : Aux familiers
des fonds secrets, aux actionnaires de la liste civile, aux ban-
quistes, à mes chefs de bureaux. Rouheries reçues. Agitez,
agitez. Entrave;?, entravez. Raréfiez la monnaie pour qu'il m'en
reste. Empêcher balayage et éclairage, industrie et commerce.
Placer dans les ruisseaux des boules explosibles..
passants et étrangers... Faire demander un sauveur.,
sans cesse que lui seul peut tout calmer, débarrasser, faire
abonder, balayer, éclairer, rassurer, et payer.
oalbinet de Chambord
Dépêche bénite, 21 janvier. [Agence Gathelineau et Charrette.) —
Aux amés et féaux des fonds secrets et liste civile; à tous
DupanLoùps, bedeaux et marguilliers.
Dupandoiiveteries reçues. Agitez, agitez; entravez, entravez
Suis toujours avec Jeanne-d'Arc... Faire désirer un sauveur...
. ,«bouv«
tente
lente»*™
d'o»?*1'
UÏË^1' '
tlaF»»te!
„illi»<d!
e-ÛW
civile
SONNSTS-S
Vletorie
assis
En scène, toi surtout, qi
KurauxouBennitons,-
j] faut que tout talents
jlra son renom est gram
Au»ft"M'ailu'ce°
, Monsieur Poujer-Qnerl
, A la Prusse paie» le*
a On joue à la faM, et jdi
VADTRA1N-
Marchant aies empresseml
et présompteux général que fi
allé en guerre, à Versailles.
Mironton, ton, ton, mironta
En d'autres termes, et corr
M. Vautrain est entré dans ls
étant plus.
Néanmoins, plus habile on
M. Vautrain n'a pas fixé le joi
U ne s'est pas écrié plein d1
- Je reriendrai-z-à Pâques
Non, pour emporte^ haut 1
dire à Paris avec Un modeste
-Élu par la majorité des
comme 1;
^^^^^ , voir ce i
cinq minutes seulement, et \
orné d'un rameau d'olivier.
H il est parti.
«rontou, ton, ton, inironti
Hélas I
Hidame la Tille cje pans es
qu'elle a pu monte
Hàefepéraoce - tm
"•'■ "«endosses !TÈ£
^;::-
Mme Vj„; l "" P'nce<
. '"«lesolefl'^5*
V'WsSil''8'»1^
M,iiell,rdM»i»..r'd',
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ENTRÉE PUBLIQUE
BT GRATUITE
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CLUB DE L'ECLIPSE
SÉfifiCES
le premier dimanche
DE CHAQUE MOIS
16, rue du Croissant
Discussions politiques, littéraires, dramatiques, scientifiques et financières
Magnétisme — Hydrothérapie — Expériences de physique — Lutte à main plate, etc., etc.
Exposé de systèmes
Séance d.u 4 février 18 72.
Présidence de M. GASTON' r>E PUFFINSKY
A midi précis, le président Gaston de Puffinsky prend place
au fauteuil et le chapeau monumental de M. Denizet pour le
tuyau du calorifère.
LE président GASTON de puffinsky. — Messieurs, avant de
commencer nos travaux, je désire avoir votre avis sur la con-
duite que je dois tenir : je reçois à l'instant une lettre du duc
d'Aumale, qui m'invite à dîner chez lui tous les mardis,
Murmures.
le président Gaston DE pdffinskY. — Dans les.graves cir-
constances que nous traversons, je n'ai pas cru devoir prendre
sur moi d'accepter une invitation dont la rue du Croissant aurait
peut-être le droit de s'émouvoir... Cependant, si vous croyez
que ce ne soit pas contraire au pacte de Bordeaux, j'irai...
Cette question provoque une vive émotion dans l'auditoire. Les opi-
nions paraissent partagées.
GABRIEL Guillemot, à la tribune. — Je pense, messieurs,
que nous devons, en cette circonstance, laisser notre honorable
président en face de sa conscience... Et s'il croit qu'il est in-
dispensable de manger tous les mardis une aile de perdreau
truffé chez un prince prétendant pour mener à bien l'essai loyal
de la République, je ne vois aucune raison pour l'en empêcher. —
{Applaudissements).
une voix. — Cependant...
Gabriel Guillemot. — Il n'y a pas de : cependant!... vous
ne pouvez pas forcer un homme qui fait un essai quelconque à
le faire de telle ou telle façon... Il lé fait, comme il veut, cela le
regarde... On voit tous les jours des gens faire l'essai loyal d'être
fidèles à leur femme en allant souper chez des danseuses de
l'Opéra et ne pas y arriver du premier coup... ni même des sui-
vants; mais enfin, ils avaient promis d'en faire l'essai; ils l'ont
fait... On n'a rien à leur reprocher.
■VAssemblée*, enlevée par un argument aussi topique , autorise à
l'unanimité le président Gaston de Pvffin'sky à aller diner tous les
mardis che'x te duc d'Aumale.
Quelques personnes proposent de ne lui permettre d'y aller qu'une
seule fois, mâts de le prier instamment de n'en pas revenir. Cette
proposition ne rencontre pas les sympathies qu'elle mérite.
le présib'BNT GastOn. de puffinsky. — La parole est à M.
Jean Brunet qui va exposer son trente-neuvième moyen de
sauver la France.
M. jean brunet a la tribune. — Messieurs... j'ai l'honneur de
vous soumettre le projet de décret suivant :
Considérant que tous nos malheurs proviennent de l'inobser-
vation des principes religieux, au nombre desquels se place en
première ligne le repos sacre du dimanche ;
Considérant, en outre, qu'il faut que chacun contribue à la
libération du sol,
Le club de l'éclipsé décrète :
Article 1er. — Personne he travaillera le dimanche.
Art. 2. — La somme qu'aurait produit ce travail servira à
payer l'indemnité de guerre.
Hilarité générale.
h. Jean brunet. — Vous riez, messieurs... Pendant les pre-
mières semaines, ça ne produira peut-être pas grand'cnose...
mais à la longue !...
Nouveaux rires. M. Jean Brunet, verni d'être interrompu, quitte la
tribune au milieu des acclimations et de son discours.
le président Gaston de fuffwsky. — La parole est à
M. Louis Ulbach, pour une communication qui intéresse au plus
haut degré la liberté de la presse.
Marques d'attention.
M. louis ulbach. — J'ai acheté, il y a cinq du six jours, un
numéro du journal le Soir...
L'assemblée manifeste une profonde stupeur.
M. louis ulbach, sourianti — J'y ai lu un entrefilet que je
vous apporte, persuadé qu'il sera nouveau pour vous.
Marques d'approbation.
m. louis ulbach. — Il résulte de la nouvelle publiée par
cette feuille que la suspension prononcée contre les journaux
le Rappel et le Pays va enfin être modifiée.
VOIX diverses. — Oh!... Bravo!.,. Bravo!... Vive M. Thiersl
M. louis ulbach. — Oui... leur suspension qui avait été pro-
noncée pour deux grands mois vient d'être commuée en une
interdiction indéfinie.
M. Louis Ulbach quitte la tribune, laissant l'auditoire ébahi.
le président Gaston de PUFFiNsici. — Je trouve que la
communication de M. Louis Ulbach est un peu sèche; il au-
rait du, ce me semble, ajouter que cette interdiction indéfinie
pourra, si les événements le permettent, être.....prolongée en-
core de quelques mois.
Cette bonne parole rend un peu de courage à VAssemblée.
M. gaboriau. — Pourait-on savoir, monsieur le président,
quelles raisons le gouvernement denne pour empêcher ces deux
feuilles de reparaître, et ce qu'il attend pour leur rendre leur
liberté.
le président Gaston de puffinsky, sévèrement. — Le ton
goguenard que vous prenez, jeune romancier plein d'avenir et
de vous-même, dénoté assez la malveillance qui vous anime-
Gaboriau, baissant les yeux. —Monsieur le président..... je
vous jure...
le président GASTON de puffinskYj durement. — Assez...
Monsieur. . Je vais vous répondre. La raison pour laquelle le
gouvernement ne laisse reparaître ni le Pays ni le Rappel, c'est
que Paris est dans un état d'anarchie incroyable... {D'un ton
plus doux.) Voyons, mon ami... Est-ce que vous ne vous êtes
pas aperçu que Paris est dans un état d'an.arehie incroyable?...
(Avec force.) La démagogie relève la tête!... Les passions sub-
versives agitent de nouveau les esprits!... X'hydre révolution-
naire, qui n'avait que sept têtes, s'en est encore fait poser
quatre neuves la semaine dernière!... Noua sommes revenus
sur le bord de l'abîme... (Avec persuasion.) Voyons, mon ami,
vous paraissez bien froid... Il est impossible, qu'en venant ici,
vous n'ayez pas rencontré la démagogie, les passions subversives
■et l'hydre révolutionnaire!... On ne voit qu'elles dans les
rues !...
gaboriau. — Je ferai attention en m'en allant, mon prési-
dent ; mais en venant, je n'ai rien vu du tout.
le président Gaston de puffinsky. —\ Vous devez com-
prendre maintenant, jeune téméraire, que tant que la capitale
sera dans un état pareil-, tant que les rues de Paris et les che-
veux de communards seront hérissées les unes de barricades
et les autres de colère..., car vous avez dû enjamber des mas-
ses de barricades en venant?...
Gaboriau, avec candeur. — Je ne les ai pas comptées, mon
président... il est bon de vous dire que je n'en ai pas vu.
le président Gaston de puffinsky. — Cessez ce genre de
plaisanteries... Le Pays et le Rappel ne reparaîtront que lorsque
la tranquillité sera revenue, les Allemands hors de notre terri-
toire et la souscription des Bouillons Porret entièrement cou-
verte.
A cette dernière menace, MM. Meurice et Vacquerie, qui sont dans
la sal'e, tombent évanouis ; on Its relève, ils ont le délire et murmu
rent : Bouillons Porret !... Oh! la la... jamais... jamais... Rappel
pourra pas fêter centenaire 89... Bouillons Porret... Oh! la la...
,1a la... jamais souscrits pour cette époque — on les emporte,
m. hamburger. — Je demande la parole.
le président Gaston de puffinsky. — Parlez.
m. hamburger. — Messieurs... je me suis beaucoup occupé
des nouveaux impôts projetés. Mes études ont surtout porté sur
la manière de les éluder.
Bravos prolongés.
M. hamburger. — Au moment où le sel va être frappé d'un
nouveau droit, je crois devoir recommander aux personnes éco-
nomes de ne manger que de la viande de cheval.
M. pierre petit. — Pourquoi cela?
m. hamburger. — Parce que le cheval se mange générale-
ment sans selle.
L'Assemblée entière trépigne, le rétablissement du calme nécessite
une bonne demi-heure, parce que dans la salle il y a une douzaine
d'abonnés de l'ordre auxquels il faut expliquer le calembour
d Hamburger. — Aucun d'eux n'y arrive ; mais pour ne pas attirer
tes regards ils font semblant d'avoir compris, et la séance peut en-
fin être reprise.
m. hamburger. — C'est comme l'impôt sur les domestiques,
rien de plus facile de s'y soustraire.
m. de pêne. — Par quel moyen ?
hamburger.— Dame 1... sans doute... enn'employant que des
valets de chambre bossus, on n'a pas de droits à payer.
(M. Pouyer-Quertier, qui assiste à la séance, donne les signes du
plus violent désespoir.)
hamburger.. — Vous avez maintenant la taxe des pianos, il
est très-aisé d'y échapper.
L'auditoire est haletant.
hamburger.— Faites recouvrir les pianos d'une forte couche
de tessons de bouteille comme les murs d'un parc... Jamais les
législateurs ne pourront asseoir un impôt dessus.
Hamburger descend de la tribune ; en regagnant sa plac e, il passe
devant M. de Ttllancourt, qui fléchit le genou.
m. raoul duval. — Messieurs... A propos de l'élection du
Var dont j'étais le rapporteur, j'avais rédigé un chef-d'œuvre
où Gambetta était piétiné de main de maître. La commis-
sion me l'a laissé pour compte ; je vous demande la permis-
sion de vous le lire...
Violentes réclamations.
LE président Gaston de puffinsky. — En présence de cette
manifestation, je me vois .forcé de consulter l'assemblée pour
savoir si elle veut entendre la lecture du rapport de M. Raoul
Duval.
Applau dissements.
le président Gaston de puffjnsky. — Je reçois à l'instant
de M. Edouard Lockroy un ordre du jour ainsi conçu :
« le club de l'écupse refuse d'entendre le rapport de M.
» Raoul Duval, tout en constatant que ce n'est pas parce que
» cha tient de taplache, et passe à l'ordre du jour. »
Au moment où l'on se dispose à voter, M. le duc d'Aumale entre
dans la salle. Il seretirc aussitôt en disant : Ah ! pardon I si f avais
su que l'on votât quelque chose...
Vord>e du jour de M. Lockroy passe à l'unanimité. M. Raoul
Duval se retire ; il a l'air satisfait d'un auteur à qui le directeur
de t'Odéon rend une tragédie déposée depuis 1853.
m. julks claretie. — Je demande à interpeller notre esti-
mable président. J« remarque avec peine que depuis un temps
iDtini il ne nous a pas donné de nouvelles de la loupe à Guil-
laume...
\Bravos prolongés.
M. jules claretie. — La dernière fois qu'il nous en a parlé,
il y a de cela au moins six simaines, l'aile gauche du nez de
l'empereur d'Allemagne était complètement envahie par la
loupe, et l'on avait été obligé de jeter bas la cloison de sa
chambre à coucher, qui gênait le développement de cette loupe
impériale... Mais depuis... il doit y avoir du nouveau.
le président Gaston de puffinsky. — Je me rends au désir
exprimé par M. Claretie, la dernière dépêche que j'ai reçue de
Berlin porte:
« Loupe grossit toujours ; elle a renversé façade palais et dé-
« borde sur la place. Mesure maintenant trente-deux mètres
i circonférence Médecins tiennent conseil. En attendant, com-
« pagnie de publicité a proposée 6,000 thalers par an pour uti-
« User loupe au collage affiches industrielles. »
A la suite de celte communication, la séance est levée.
Le greffier du club de J'Éclipse
LEON BIENVENU.
un nouveau moD otcu rage
Il serait temps de dire son fait à ce nouveau gaz qui sous un
nom barbare, gaz oxyhydrique, manifeste de jour en jour une
tendance plus marquée à nous envahir.
Pardon, ce n'est pas seulement à nous envahir qu'il faiU;
écrire, c'est à nous aveugler.
Cette longue flamme vive caresse les yeux du passant avec
la douceur d'une paire de vrilles.
Ajoutez sa teinte bleuâtre qui enveloppe tous les objets d'un
éclat lugubre, comme dans les scènes de tombeau des féeries
si bien que les groupes d'individus les plus gais prennent
l'apparence macabre d'ombres en rupture de cercueil.
On se demande tout d'un coup avec effroi :
Hum I quel est donc ce cadavre qui vient à moi ?
Et reconnaissant une figure de connaissance,
— Ah bah, c'est vous, mon pauvre ami, vous avez donc été
bien malade ?
—Moi du tout, mais j'allais vous demander à vous-même.., An[
dites donc, ça n'est pas gentil de ne pas envoyer de lettres de
faire part à ses amis.
— Comment ça ?
—~ Dame, avant de se faire enterrer.
Il n'y a pas de doute pour moi que la propagation de la lu-
mière oxydrique ne soit l'œuvre des partis hostiles qui ont
intérêt à faire paraître sous la république les Parisiens sinis-
tres et fatigués.
En tout cas, le prétexte d'expériences me parait insuffisant
pour justifier cette attaque nocturne dirigée contre les yeux
des passants.
Y en a-t-il qui tiennent vraiment à voir la suite de ces ex-
périences ? je demande alors qu'on les continue sur les loca-
taires du Jardin-des-Plantes de préférence aux promeneurs du
boulevard.
Si après huit jours de ce régime, l'ours n'a pas besoin de
lunettes pour distinguer ses pieds d'avec ses mains, je me dé-
clare satisfait et veux bien m'éclairer jusqu'à la fin de mes
jours avec du gaz oxydrique, pourvu toutefois qu'il change de
nom.
Paul Parfait.
LES QUESTIONS DO JOUR
Rue de l'ÉIysée, dans une des pstites maisons Montijo, un
ventre à bretelles , le crâne Chauve, la graisse de sa face entre
ses mains aux doigts crochus et toujours sanglants depuis le
2 décembre, est étalé sur un sofa verdâtre. Ce ventre médite
comme à la veille d'une sinistre effronterie.
—L'empire m'a tellement engraissé de raillions qu'à tous ces
pauvres insulaires je suis sûr de parler d'or. (Ce mot le fait
sourire ; il se regarde dans la glace avec satisfaction.)
—Ai-je assez corsé ma corse circulaire ? L*ai-je suffisamment
assaisonnée de rouheries? Ahl les rouheries, les rouheriesl
Hors de là, point d'élections pour moi .. Et cependant la Cha-
rente m'a— Si la Corse allait être pour moi une autre Cha-
rente I
— Moi... moi échouer encore! Jamais, jamais, jamais!,.. Cor-
ses fiers, Corses sensibles, exil, malheur, âdéiité, révolution
coupable!
Asmodée invisible, lui parlant à lVeille : Corses fier,s de
l'invasion, Corses fiers du démembrement et de la ruine, Corses
fiers des cinq milliards de rançofi, corses fiers de Sedan!
— 0 ma conscience, tais-toi ! Depuis le sang du 2 décem-
bre tu te taisais. Mon maître ne t'a-t-il pas payée pour te
taire ?
— Corses sensibles à l'honneur de la France, à l'amour de la
patrie, au deuil de l'Alsace et de la Lorraine, à votre propre
honneur... L'exilé de Chislehùst est le proscrit de sa luxure et
de sa lâcheté... son malheur, un juste châtiment... la fidélité à
la luxure, à la lâcheté, aux turpitudes punies, c'est de la com-
plicité... La Révbliltioh de septembre fut coupable seulement
de courage, de fierté nationale, de patriotisme... Et l'assem-
blée, alors souveraine, a prononcé la déchéance d'un lâche.
— Ma conscience, tais-toi ! parle sang de décembre, par l'em-
prunt du Mexique, par la gloire de Sedan, je triompherai!
Cette assemblée n'est qu'une assemblée factieuse. J'en veux
faire partie pour mieux servir mon maître... Mon maître c'est
ma France ; sa liste civile fut ma patrie... Je veux retrouver
ma patrie et la faire plus grande encore, ô Corses fiers, Corses
sensibles, exil, malheur, fidélité, révolution coupable 1... L'em-
pire c'était la paix, la gloire, la vérité, la liberté, la pré-
voyance, la sécurité, l'intégrité de la patrie... Toujours, tou-
jours, toujours I Croyez en ma parole, qui n'a jamais menti,
croyez en mes affiches, croyez en ma photographie !
. — Que de rouheries, mon Dieu? que de rouheries!
— Tais-toi, ma conscience, tais-toi. Exil, malheur, fidélité.
Mon maître m'a payé d'avance... Et Pietri me surveille.
Oalbinet de Oliislolmst
Dépêche secrète (agence Montmartre et Sedan) : Aux familiers
des fonds secrets, aux actionnaires de la liste civile, aux ban-
quistes, à mes chefs de bureaux. Rouheries reçues. Agitez,
agitez. Entrave;?, entravez. Raréfiez la monnaie pour qu'il m'en
reste. Empêcher balayage et éclairage, industrie et commerce.
Placer dans les ruisseaux des boules explosibles..
passants et étrangers... Faire demander un sauveur.,
sans cesse que lui seul peut tout calmer, débarrasser, faire
abonder, balayer, éclairer, rassurer, et payer.
oalbinet de Chambord
Dépêche bénite, 21 janvier. [Agence Gathelineau et Charrette.) —
Aux amés et féaux des fonds secrets et liste civile; à tous
DupanLoùps, bedeaux et marguilliers.
Dupandoiiveteries reçues. Agitez, agitez; entravez, entravez
Suis toujours avec Jeanne-d'Arc... Faire désirer un sauveur...
. ,«bouv«
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En scène, toi surtout, qi
KurauxouBennitons,-
j] faut que tout talents
jlra son renom est gram
Au»ft"M'ailu'ce°
, Monsieur Poujer-Qnerl
, A la Prusse paie» le*
a On joue à la faM, et jdi
VADTRA1N-
Marchant aies empresseml
et présompteux général que fi
allé en guerre, à Versailles.
Mironton, ton, ton, mironta
En d'autres termes, et corr
M. Vautrain est entré dans ls
étant plus.
Néanmoins, plus habile on
M. Vautrain n'a pas fixé le joi
U ne s'est pas écrié plein d1
- Je reriendrai-z-à Pâques
Non, pour emporte^ haut 1
dire à Paris avec Un modeste
-Élu par la majorité des
comme 1;
^^^^^ , voir ce i
cinq minutes seulement, et \
orné d'un rameau d'olivier.
H il est parti.
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Hidame la Tille cje pans es
qu'elle a pu monte
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