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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 5.1872

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https://doi.org/10.11588/diglit.3713#0049

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l'homme à demander à l'alcool un triste plaisir, une consolation,
ou l'oubli, il n'en est seulement pas question.

Le projet de loi des Honorables ressemble assez à un canlt
anglais; il a beaucoup de lames prêtes h percer, à/couper, a pi-
quer ■ mais de la manière de s'en servir sans se blesser, et de
l'amadou propre à arrêter le sang, on n'en parle pas un instant.

Nous ne défendons pas les poohards. Seulement nous avouons,
puisqu'il est surtout question dans ce projet du respect du a la
morale publique, que la vue d'un vieux monsieur décore mar-
chandant en plein boulevard les faveurs d'une cocotte, est un
spectacle bien plus attristant que celui que présente un
ivrogne zigzagant sur le trottoir..

Pourtant les ignobles tendresses surannées, mais discrètes,
ne seront jamais passibles des peines portées par la loi. '

Tandis que la nouvelle loi se montre plus que rigoureuse a
l'égard des manifestations grotesques des gens qui ont bu un
verre de trop.

Pour quelques festons: — amende. S'il y a récidive : prison.
Enfin, privation de droits civiques pendant un temps plus ou
moins long à la suite de nouvelles libations.

Conduire rapidement l'homme à se saouler à domicile, tel
sera l'eftet le plus certain de la loi près d'éclore. La voie pu-
blique sera débarrassée, c'est évident, des ivrognes qui l'en-
combrent. Mais l'ivrognerie n'en existera pas moins, cachée et
hypocrite.

La loi que vous vous proposez de faire adopter, bons Ho-
norables, punit les malheureux trouvés dans la rue en état d'i -
vresse, mais atteint-elle les jolis jeunes gens qui ont de quoi se
faire reconduire chez eux, en voiture, et n'en sont pas moins
complètement ivres.

Que demandons-nous ? la justice I

Eh bien, le plus coupable des deux — d'un fils de rentier,
élevé à grands frais, gorgé de toutes les satisfactions, et ce-
pendant qui soupe à mort —; et d'un ouvrier, d'un déshérité de
tout, qui le jour de la paye, licht un peu, à notre avis, et c'est
l'avis général, c'est évidemment le fils de famille.

Pourtant ce sera l'ouvrier qui payera pour lui, presque tou-
jours.

Priver de droits civiques un ivrogne frappé dans ces condi-
tions, e'^st commettre un nouvel attentat contre la liberté in-
dividuelle.

• Eh I nous déplorons avec autant de douleur que quiconque les
effets de l'ivrognerie, si fatale déjà à la cause républicaine, mais
tant que l'état d'enfance intellectuelle où les régimes passés ont
maintenu le peuple ne sera pas transformé par l'instruction, les
lois répressives ne feront qu'élargir la distance qui sépare net-
tement aujourd'hui, et plus que jamais, la masse qui peine et
qui souffre du petit nombre influent qui se repose et qui jouit.

Instruisez, conseillez, et si l'intelligence développée, préve-
nue, avertie, se refuse à reconnaître les principes du droit
commun et les viole, alors réprimez.

Mais, nous ne cesserons de le répéter, condamner l'enfant qui
a mis le feu à une maison avec des allumettes dont personne
n'a pris la peine de lui apprendre l'effet terrible, c'est la pire
barbarie.

Nous ne pouvons, nous ne voulons dans ces lignes frivoles en
dire davantage sur cette question importante. Nous avons
voulu seulement faire ressortir les vices de forme éclatants de la
loi contre l'ivrognerie, telle qu'elle est projetée aujourd'hui.

Nous pensons bien que tous les esprits droits, qu'anime sin-
cèrement l'amour de l'humanité désespérée, s'empresseront de
les signaler à nos législateurs impitoyables.

Pour l'ignorant: justice, mais indulgence. Pour l'être instruit,
justice I

BRNEST d'hEKVILLY. .
-------■~~7^J>'*fïJt^~—-----'•*

LES QUESTIONS DU JOUR

L» dénonciation «tes traites.

Un courrier du cabinet anglais (boulevard des Italiens, es-
calier de gauche à droite ; entrée particulière aux diplomates)
a quitté hier matin le café britannique pour se rendre à Ver-
sailles. Son gouvernement l'a chargé de représenter à M. Thiers
que le libre-échange est nécessaire au commerce de Paris et de
Versailles et que la dénonciation du traite de 1866 porterait
une atteinte grave à la prospérité de la concurrence.

Depuis le traité de 1866, le café anglais a vu doubler sa
clientèle, et Versailles n'y a rien perdu.'

Les demoiselles des petits soupers ont accepté l'abaissement
des tarifs, et renouvelé leur outillage ; l'établissement n'a pas
changé ses tarifa de consommations. Cependant, modifier les
droits de douane à l'entrée du café, ramener les anciens pris,
serait faire une blessure sensible à la bourse des consomma-
teurs, sans profit pour ces dames, qui se contentent du libre-
échange et ne demandent pas qu'on- les protège.

Le rétablissement de l'ancien système douanier ne change-
rait donc rien à la situation des intéressées, tout en grevant
les sorbets, truffes, huîtres, et madère, ce qui diminuerait le
total des consommations et des bénéfices 'du Café.

Le traité de 1866 doit donc être maintenu,, s'il n'est pas dé-
noncé ; mais'le cabinet anglais (boulevard des Italiens) sera
toujours au même prix.

L'on attend la réponse de Versailles. [Une commission déli-
bère ; elle demande des explications.

Le retonr il Par3».

trains sont arrivés ensemble au théâtre de Versailles, aux ap-
plaudissement des restaurateurs Versaillais.

Une gare provisoirement définitive doit être définitivement
construite dans la salle des Pas-*Perdùs.

ASMODÉE.

Un train express , portant 318 Parisiens, se dirigeait de Ver-
sailles vers la capitale ; dans leVagon des bagages se trou-
vaient les ministères au complet et le-matériel gouvernemental.
de si éDormesPr0^lc '^t d^ _ Juste au même moment, un train'rapide, portant 377 Ver-
saillais, quittait la gare de Paris et se dirigeait sur Versailles.

Une distraction de l'aiguilleur a mis les deux' trains sur la
même ligne ; ils se sont rencontrés.

Par une heureuse inspiration, le méc-anisien des 318 a renversé
sa Vapeur, celui des 377 à lâché todte la sienne, et les deux j de M. Dennery.

31» société, a

lïdel'Asserf**,rfrf
rt détaillés sont j

GAZETTE A LA MAIN

Je vous parlerais bien de Rabagas.

Mais il paraît — décidément — que l'œuvre nouvelle de^M.
Sardou est une pièce politique, en ce sens qu'elle met en scène
la caricature de l'une des personnalités les plus originales, les
plus bruyantes et ks plus énigmatiques de cette époque si fé-
conde en plaisantins, en turlupins...

Or, je me suis promis de ne jamais toucher, fut-ce avec des
pincettes— aux choses de la politique...

Que cette politique ait des lunettes bleues comme M. Thiers,
ou une chemise de flanelle rouge comme M. Naquet...

Il m'en soucie comme d'un lever de rideau au théâtre des
Nouveautés...

J'estime qu'on peut être un écrivain honnête sans se passion-
ner pour l'ombre de Rossel ou pour le spectre d'Arbinet...

Je. tâche de vivre avec mon siècle sans l'engueuler comme
Vermersch, et sans le sermonner comme M. Alexandre Du-
mas fils...

■''Et je me refuse absolument à jeter des pierres aux gens à
cause delà couleur de leur habit'!...



Ceci causé, me sera-t-il permis de constater — en spectateur
désintéressé —que les cinq actes de Rabagas sont très mouve-
mentés, très ingénieux, très spirituels et très amusants?

Mon Dieu, pour moi, leur héros n'est pas plus M. Olivier que
M, Gambette, — pas plus M. Jules Simon que M. Duvernois, —
pas plus M. Ferry que M. Darimon.

Pour moi, Rabdgas est partout," — même dans les boniments
du Roi Carotte, — même dans le manifeste de M. de Cham-
bord!...

Défunt Mangin était un Raha.gas industriel : il faisait dans la
mine de plomb, comme celui-ci dans l1'Internationale, et celui-ci
dans les Gourdins réunis...

Mais j'aimais mieux Mangin : ses crayons n.étaient point tout
à fait détestables, et son casque le faisait apercevoir de loin...

Et puis, convenez-en entre nous :

Vert-de-Gris était une figure autrement pittoresque que M.
Barthélemy-Saint-Hilaire ou M, Laurier!

I

J'ai prononcé le nom sacré de Saint-Hilaire...

Qu'on se rassure !...

Je n'ai pas l'intention de contrôler ici les faits et gestes du
Pylade d'un Oreste auguste et nécessaire...

Non : il s'agit d'un singe...

La confusion est impossible...

Il s'agit d'un singe ayant appartenu à M. Geoffroy Saint-Hi-
laire.— un animal, — je parle du quadrumane,— presque aussi
vicieux qu'un homme...

Vous saurez d'abord que celui-ci habitait avec quelques ca-
marades — d'autres singes, — un appartement dans la maison
même du grand naturaliste.

Or, cette maison ne comptait pas seulement ces quadru-
manes pour locataires : — il y avait des bipèdes.

Un jour, un de ceux-ci s'aperçut qu'où le volait avec achar-
nement. Des'colliers, — des bracelets, '— des bagues, — !out
un joli choix de bijoux de famille disparaissaient successive-
ment de chez lui. Itien que des objets de prix d'ailleurs, — ce
qui prouvait que le voleur avait du goût. Et pas d'effraction,-
pas d'escalade, — ce qui donnait à penser que le voleur était
quelqu'un de la maison.

On fait des recherches. On soupçonne d'abord naturellement
les autres locataires, — c'est à* dire les autres bipèdes, —
Rien!

Enfin, à force de surveillance, ou finit par remarquer qu'un
des singes de M. Geoffroy affichait une toilette au-dessus de
sa condition. On met ce singe fashionnable en état d'arresta-
tion, -r et on retrouve sur lui tous les bijoux volés, que le
drôle mettait tous les jours, — dans la semaine aussi bien que
le dimanche ! /

Dans tout cela, ce qui surprit le plus, ce n'est pas la con-
duite du singe,— animal aux goûts frivoles et aux instincts
notoiremenl dépravés; — c'est celle de M. Geoffroy Baint-
Hilaire.

— Mais, lui demanda-t-on, comment se fait-il que vous
n'ayez rien dit ? Vous deviez bien voir pourtant que votre, singe
avait des bijoux I

— Oui, répondit M. Geoffroy Saint-Hilaire avec candeur;
mais je croyais qu'ils lui appartenaient!

Deux paysans sont en arrêt devant la vitrine d'un chapelier
du boulevard Bonne Nouvelle. Ils contemplent avec extase
une invention nouvellement brevetée, un chapeau au fond du-
quel figure une petite glace ronde.

premier paysan. — Pourquoi donc qu'on a mis ce miroir au
fond de ce chapeau ?

deuxième paysan. — Es-tu bête ! Mais c'est pour que celui qui
achète le chapeau voie comment il lui va, parbleu!

Vous êtes invité à ne point assister au convoi fui-èbre,

I service et enterrement de demoiselle LISE TAVERKIER,

née daudet du moulin des prunes, qui se font chaque

soir, au théâtre de l'Ambigu, sur lequel elle est décédée,

le lundi 20 janvier courant, munie des sacrements de la

presse.

ïEtequiE^cat in pâte!

H

De la part du Trésor caché, de Caiguez, de Camille !
ou le Souterrain , de Marsollier; des Victimes cloîtrées, de
Monvel ; du Monastère abandonné, de Guilbert de Pixéri- |
court, — ses père, mère, tantes et cousines, et des nom-
breux mélodrames respectables de l'ancien boulevard. ;
du Crime, des romans d'Anne Radcliff et des récits de
Ducray-Duménil, ses parents, alliés et amis.

surtout, *»«

J'imagine que M. Daudet ôte respectueusement son chapeau
toutes les fois qu'il passe devant' le théâtre de Cluny, où
Laferrièrè joué, avec un incroyable regain-d'e-jeunesse: l'Aveugle,
de M. Dennerv. «araSi-sun* JaT/ft***

Ou se rappelle que, lorsque cet ouvrage fut représenté, à la
Gaîté, il y a une quinzaine d'années, M. Gabriel Hugelmann
en revendiqua énergiquemeat la paternité.

C'est depuis cette contestation, que M. Dennery a adopté la
ligne de conduite suivante.

Quand un jeune homme vient lui demander sa collaboration
et lui lire un canevas de pièce :

— Monsieur, répond le dramaturge, j'ai ce sujet dans mes
cartons.

— Mais vous ne savez pas encore,.,

-— Cela ne fait rien, je vous préviens loyalement que j'ai ce
sujet-la... Maintenant, iisez-moi votre pièce, si vour, voulez...
Seulement, quand je ferai jouer uu drame sur le même sujet
ne me reprochez rien.

Le jeune homme se défie, — et sort.

Un exemple de l'ardente et sympathique curiosité qu'éveille
la reprise de Ruy Rlas.

Un de nos amis a vu une lettre adressée à Victor Hugo, par
le rédacteur du journal de Rayonne, pour lui demander une
stalle a la première représentation de son beau drame.

Rayonne est à 776 kilomètres de Paris aller et retour, c'est
un petit voyage de près de 400 lieues qu'aura fait cet amateur
pour applaudir l'œuvre du maître.

Lettre d'un électeur à son député,
a Monsieur le député,

» Vous voulez bien me permettre de parler pour moi à M.
le préfet de police, mais vous voulez avant tout que je vous
dise quel emploi je voudrais que M le député sollicite pour
moi.

» C'est juste.

» Monsieur, mes goûts me portent de préférence vers la ser-
vice des égouts ou des vidanges, mais, à défaut de ca, j'accep-
terai une place dans les bureaux.

» X... »

F<e Mot <ïe la fin

Un directeur, homme d'esprit, — tout le monde va se recon-
naître, — est, dit-on, très empressé auprès d'une comédienne
dont le nom commence par X et finit par un Z. Vous voyez cela
d'ici.

S'il faut en croire les propos qu'on débite, les choses seraient
au mieux ou au pis, — comme vous voudrez. L'autre soir, un
ami, plus incrédule^ que les autres, s'avisa de demander la vérité
a la partie intéressés:.

— Allons ! dit-il ea terminant, avouez que vous êtes son
amant '?

— Jamais ! répondit notre homme d'esprit, c'est son mari qui
fait courir ce bruit-là.

KjCILB BLONDKT.

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