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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 5.1872

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https://doi.org/10.11588/diglit.3713#0064

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s

HÛDVELLE PRIME DE L'ÉCLIPSÉ

En ces temps de projectiles creux, — obus et manifestes, —
qui ne s'est arrêté devant les croquis de Draner, — ce conti-
nuateur, souvent heureux, de Gavarni?

C'est la Comédie humaine en images ! C'est la note gaie des
choses tristes ! C'est l'humour narquoise de l'observateur qui
rit des événements, des types contemporains, — de peur d'être
oblige d'en pleurer I

Il manquait à ces dessins la consécration de VulUitê...

L'Eclipsé vient de la leur donner.

De ces a Remember\ » d'une époque où l'on mangeait si peu
elle a fait.....

Quoi ?

DES ASSIETTES 11 !

Mon Dieu oui, des assiettes, dans le fond desquelles les
charges piquantes de Draner se reproduisent lithographique-
ment7 pour ainsi dire, avec la même netteté de trait et le même
fini de détails que sur le papier enluminé.

Telle est la prime originale que nous voas offrons aujour-
d'hui.

Toute personne qui prendra un abonnement d'un an à
i'Fclipse aura droit à une douzaine de ces assiettes illustrées,
aux conditions ci-dessous énoncées.

PRIX DE LA PRIME

Prise dans nos bureaux............................ 3 50

Emballée avec soin et prête à être expédiée........ 4 »

L* port reste à la charge du destinataire

CE QUE PENSENT NOS PRÉTENDANTS

Notre reporter a Chisleburst.

Ainsi que nous l'avons promis à nos lecteurs, la semaine
dernière, nous avons envoyé un de nos rédacteurs à Cbisle-
hurst avec mission de sonder les intentions de Napo-
léon III.

Nous publions sa correspondance.

Chislehurst, 12 mars 1872.

Mon cher rédacteur en cheî,
Je suis arrivé ce matin au château et j'ai demandé, à être in-
troduit auprès de Napoléon III. Un domestique m'a demandé
ce que je lui voulais ; je lui ai répondu que j'étais envoyé par
YÉclipse pour le sonder. Le domestique m'a dit :

— C'est inutile... Sa Majesté a ses sondeurs.

Je lui ai expliqué que je ne venais pas faire concurrence au
docteur Nélaton '; mais que ma mission était de sonder l'Empe-
reur moralement.

Enfin, j'ai pu me faire recevoir.

Quand je suis entré dans la chambre de l'Empereur, il était
en train de déjeuner avec des œufs à la coque. L'Impératrice
était auprès de lui ; elle lui confectionnait des mouillettes et
veillait à ce qu'il ne fit pas trop J« saletés sur la nappe ; car
il paraît que depuis quelque temps *. des absences fréquentes
qui ne permettent pas de le laisser seul. J'ai d'ailleurs pu m'en
convaincre pendant le peu de temps que je suis resté avec lui :
il fourrait sa petite cuillère dans son nez, trempait son pain
dans la salière, s'essuyait les doigts après le chignon de l'Im-
pératrice, et tout le temps que avons causé ensemble, il
a lancé des boulettes de pain dans le fond de mon chapeau que
j'avais posé sur un fauteuil ; quand il manquait le but, le petit
Vélocipède.,^ui était là, ramassait les projectiles — comme à
Sarrebrucfc — et les lui rapportait. A chaque balle, l'Empe-
reur le baisait au front en lui disant: Bravo, Louis!... jeté
fais capitaine... Très-bien, je te fais colonel I... Parfait... tu es
général !... Quand je suis parti, Louis venait d'être créé maré-
chal de France et de recevoir l'extrà-grand-cordon de la Lé-
gion d'honneur.

L'impératrice, me regardait avec tristesse et me disait tout
bas ;

— O'est comme ça chaque fois qu'il vient quelqu'un.
L'entretien commença :■

— Sire, dis-je à l'empereur (l'impératrice m'avait bien recom-
mandé de l'appeler Sire, Il paraît que quand on ne l'appelle
pas Sire, il entre dans une colère bleue et se met à hacher la
nappu avec son couteau.) Sire, lui dis-je donc, je viens au nom
de l'Eclipsé déposer nos hommages à vos pieds.

l'empereur. —Ah! très-bien! très-bien!... Vous direz à
Gill que je le ferai fusiller en rentrant.

MOI. — Je n'y manquerai pas, Sire, et je vous remercie à l'a-
vance pour lui.

l'empereur. — Puisque vous venez de Paris, pourriez-vous
me dire où en est la reconstruction de mes Tuileries, et si je
dois m'occuper bientôt de choisir les papiers?

L'impératrice, me fit un signe suppliant ; je compris qu'il
fallait mentir.

moi. — Sire... je croîs que ça marche... en tous cas, vous
pouvez choisir: vos papiers ; s'ils ne servent pas pour les
Tuileries, on pourra toujours les utiliser à tapisser les députés
de la droite de Versailles qui ont besoin d'être remis à neuf.

l'esipk&éOR. — Dites-moi..., puisque vous rentrez à Paris,
est ce que vous ne pourriez pas vous charger d'emporter vingt
mille petites affiches que j'ai fait préparer?... C'est un manifeste
que j'adresse au peuple françain... Le soir, en vous promenant,
vous pourriez, sans avoir l'air de rien, les coller dans le fond des
pissotières.

Sur un ttouveauLsigne- de l'impératrice, je promis à l'empe-
reur de faire ce qu'il me demandait.

MOI. — Sire..., je suis envoyé par YÉclipse pour vous prier de
me fournir quelques renseignements sur vos intentions à l'égard
de la France. Voulez-voulez me permettre de vous adresser
quelques questions ?

.j-'KMPBREUR. — Parlez.

moi. — Vous pensez toujours à remonter sur le trône?

l'empereur.— Gomment donc!... non-seulement j'y pense;
mais j'ajouterai (ici l'empereur frappe sur son gousset vide) que le
besoin s'en fait vivement sentir.

moi. — Vous avez donc fondu beaucoup d'argent depuis que
vous êtes ici?

l'empereur. — Ne m'en parlez pas... il est imposssible de se
faire une idée de ce que l'on dépense pour se faire un peu de
réclame. Il faut avoir entretenu Mlle Orénisse pour savoir ce
que coûte l'entretien des journalistes.

moi. — Je comprends cela, sire... mais au moins ces gens
que vous payez si cher, vous remient-ils de grands services?....
L'empereur. — Oh ! certainement... ils préparent ma ren-
trée pour la semaine prochaine. Je viens encore de recevoir une
dépêche de Trombinelli, qui me dit :

« Sire... préparez-vous... débarquement, Paris soulevé veut
b aller vous chercher à Douvres... Ladmirault cherche s'oppo-
■ ser: mais enthousisme énorme!... boulevards de Paris pa-
» voisés armes impériales... envoyez argent. »

x'empereur. — Yous*voyez que c'est en bon chemin. Encore
huit jours au -plus, je passerai ma première revue de la garde
impériale, et ie petit père Thiers sera enfermé au donjon de
Vincennes.

MOr. —Ta t-il de l'indiscrétion, sire, à vous demander com-
ment vous pensez vous y prendre pour ressaisir la couronne ?_
l'empereur. — Pas la moindre •.. Voilà mon plan... Toute
l'armée est à moi, n'est-ce pas?
moi. — En êtes-vous bien sûr?

h 'empereur (s'animant). — Parbleu!.... si j'en suis sûr !...
Trombinelli m'a demandé quatre millions l'autre jour pour
acheter Mac-Mahon, et il m'a télégraphié le soir même :

« Mac-Mahon acheté, envoyez deux millions pour acheter
» Vinoy. »

J'ai envoyé deux millions à Trombinelli, et, le lendemain, il
m'a envoyé cette dépêche :

« Vinoy acheté, envoyez un million pour acheter Bourbaki. »
J'ai envoyé un million à Trombiuelli, et, pas plus tard qu'a-
vant-hier soir, j'ai reçu ce télégramme :

« Bourbaki acheté... envoyez trois millions pour acheter
» douze colonels, trente chefs de bataillon, deux eents capi-
» taines et pas mal de sous-officiers. »

J'ai envoyé les trois millions à Trombinelli, qui m'a répondu
courrier pour courrier :
« Armée achetée, dormez tranquille. »
Vous voyez, mon cher monsieur, que je suis aûr de mon af-
faire.
moi. — Et que comptez-vous faire de cette armée, sire?
l'empereur. — C'est bien, simple... lundi matin, au petit
jour, je débarque — ou plutôt non, je ne débarque pas, ce n'est
plus de mon âge;— mais, enfin, je fais répandre le bruit que je
suis débarqué. (L'empereur s'anime de plus eh plus.) Vous voyez
ça d'ici... Mac-Mahon s'ébranle, Vinoy s'ébranle, Bourbaki s'é-
branle, tout le monde s'ébranle... moi je ne bouge pas. Alors
l'armée cerne l'assemblée, l'enferme à l'Orangerie et adresse au
peuple la proclamation suivante :
« Français I...

» Enfin, vous voilà délivrés I... l'empereur ost parmi vous !...»

Là-dessus j'arrive... Je replace tous mes préfets, tous mes

amis et tous mes gardés-champêtres, ce qui ne me sera pas si

difficile que si M. Thiers n'en avait pas tant conservés, et- je

pose au peuple le plébiscite suivant :

« LA FRANCE VEUT-ELLE ÊTRE HEUREUSE ? »

Naturellement fort peu de gens rép .'ndent : non, et huit mil-
lions de suffrages attestent de nouveau, avec Rouher, que Se-
dan est la plus grande pensée de mon règne après la guerre du
Mexique.

A ce moment, l'empereur, fatigué par la surexcitation, se
laisse tomber dans le fond de son fauteuil; son œil se ferme à
demi, l'effort qu'il vient de faire l'a épuisé, et une expression
d'hébétement envahit son visage.

Il ne prononce plus que des mots entrecoupés et sans suite:
sa raison l'abandonne, il veut absolument se moucher avec son
pince-nez, barbouiller la figure de l'impératrice avec de la mou-
tarde ; il prend une carafe sur la table et il la met dessous
dans l'intention bien évidente de s'en servir d'une façon com-
plètement inusitée. L'impératrice a toutes les peines du monde
à en venir à bout.

Elle me dit :

— Je vous en prie, monsieur, retirez-vous... voilà comme il
est chaque fois qu'on lui parle de sa restauration '; si vous in-
sistez, il va pleurer sur le beurre.

Respectant une si noble infortune, je pris mon chapeau,
voyant du reste qu'il n'y avait plus rien à tirer de l'illustre
exilé.

Au moment où je pris congé, l'Empereur était complètement
anéanti, il parlait tout seul et je ne pus distinguer que ces der-
nières paroles que je vous envoie comme un message de douce
espérance :

— Ga-ga.. Polo... fusillé... Ga-ga... Gill... Blondet... fusil-
lés... Ga-ga... d'Hervilly... fusillé,.. Ga-ga.,.. Jules Cauvain...
ga-ga... Trombinoscope... Touchatout... gaga... fusillés... fusil-
lés... ga-ga-ga-ga-ga...

Recevez, mon cher rédacteur en chef, ete.

Dimanche prochain, nous publierons la visite d'un de nos
reporters au comte de Paris.

Pour copie conforme :

LEON BIENVENU.

L'ESSAI LUYAL DE LÀ MONARCHIE

Je me trouvai tout à coup dans une des tribunes de la Cham-
bre — quoique sans trop savoir qui m'avait conduit là.

Ce ne fut qu'avec peine que je parvins jusqu'à l'espace exigu
que l'huissier m'indiquait, car la fouie des^curieux-, était I
énorme. ____. ___L-

— Ah t ah ! dit mon voisin pendant que je m'efforçais de pro>

voquer une alliance difficile entre le velours de la ba
la partie de mon individu qui lui était destinée ah I n te et
avoir une belle séance! C'est aujourd'hui qu'on dise t ?'0ns
paration de l'Église et de l'État. " e lasé-

— Tiens, auurmurài-jé avec satisfaction, ia RépubV
décide... ^ sa

— La République.? fit mon voisin, en me regardante
fois. Ah ! ce n'est malheureusement pas avec elle Oï
vous la République ? ' pïfl!l«-

— J'entends le gouvernement de M. Thiers.

Je m'aperçus que'iûon voisin ouvrait de grands yeux

— Monsieur est. .'étranger? me demanda-t-il sur un
compassion profonde. ■11"e

Pour ne pas lui- inspirer une pitié trop "humiliante '
hâtai de faire de la tête un signe affirmât! f. eïQe

— Mais depuis le pacte de Versailles, reprit-il noua

mes plus en République. , Soni*

— Le pacte de Versailles ?

— Oui. Les légitimistes n'arrêtaient pas de mettre des bât
dans les roues sous prétexte d'essai loyal. A la nu, lesréu-'' ?
cains leur ont mis le marché à la main : « Voulez-vous
fassions l'essai loyal de la monarchie? — Tan^.u i

vivement les autres avec leur 1

c'est affaire conclue. ïïenrWl^lL™*™™' tenant
~—"-----""--1 '■■"••- - ui... provisoire, ]\

temps pour ne pas

continue d'habiter Frohsdorff et M. le lieutenant-géS
die par intérim les affaires du royaume. C'est mer "II'"
comme tout marche depuis ce temps-làI s

— Ali bahl Et vous dites qu'on va discuter..-.

— La séparation de l'Eglise et de l'Etat.

— Mais la majorité va repousser eela avee horreur

— Je vois que monsieur n« saisit pas la .situation ditrrt
voisin de l'air de quelqu'un à qui l'on fait de la peine'au ?
la monarchie légitime déclarée, les Orléanistes furieux
joints carrément à l'opposition. Ils votent maintenant TT
gauche, ce qui fait que la majorité est républicaine, koilk cl
ment du premier coup a pu passer, haut la main, la loi ^
l'instruction obligatoire, et aussi comment le retour à ftr
n'a pas pesé une once.

74P.....!

Jfe suspendis mon exclamation juste
laisser échapper une bêtise.

En promenant les yeux autour de moi, je ne retrouverai pins
en effet les élégantes colonnes du théâtre de Versailles

Nous étions avec la Chambre en plein Palais-Bourbon'

Je n'étais pas encore revenu de mon étonnement quand mn
voisin me poussant du coude:

— Tenez, voici M. le ministre de l'intérieur qui' vient de
prendre place à Sou banc.

— On donc?

— Là bas.

— M. Louis Blanc? ;

— Sans doute. Il cause avec M. le, ministre de la guerre, Je
général Faidherbe. '■■.;:.

A ce moment, il se fit une certaine sensation dans l'assemblée.
Un personnage venait de paraître, qui fut en un moment
très-entouré.

— Ah I dit mon voisin, c'est M. le' lieutenant-général fa
royaume...

— Gambetta ! m'exelamai-je. >„-.-
—' Lui-même. .; f

— Comment, lui, lieutenant-général' de Sa Majesté catho-
lique ?

' — Sans doute. Puisqu'on fait un essai loyal de là monarchie,
vous comprenez qu'il est indispensable que tous lès fonction-
naires soient républicains. C'est ainsi, que du temps qu'on
faisait l'essai loyal de la République, tous les fonctionnaires
étaient monarchistes.

— Parbleu ! pensai-je, c'est trop jus-te;

— La parole est à M. Baragnon, fit 'ïa voix de H. Grévy.'
L'attention générale se porta aussitôt dans la direction du

verre d'eau sucrée...

— Je viens — dit l'orateur qui prenait place à .son oôté -
interpeller le gouvernement sur les actes inqualifiables dont
Nîrnes a été ces jours derniers le théâtre. Un drapeau bfene
neurdelysé, qui avait été hissé par un courageux citoyen au
ironton de la mairie, a dû être aussitôt retiré sur l'intimation
de l'autorité; d'honnêtes sujets qui poussaient ie cri : « Vi?e
Henri V!. Vive notre bon roil » ont été arrêtés et jeté&en
prison. C'est avec un, "serrement de cœur douloureux que je
porte ces faits à la connaissance de l'Assemblée. Nos petits-
,fils ne'voudront pas croire que saiià une naonarebie dont...

M. tolain. — Une monarchie provisoire'!

m. baragnon. — Que sous une monarchie...

M. tolain. — Provisoire!

La ci! oite radicale commence d'échinger avec la majorité des pa-
roles très-aigres. Le président agite en vain sa sonnette. M. Baragnon
prend le parti de quitter la tribune. M. U lieutenant-général tfsw-
betla monte vivement à sa place.

M. LE LIEUTENANT-GÉNÉRAL DU ROI (MitfBÉTTA.. '— ^es"

sieurs, je suis heureux de. l'oecasion qui m'est fournie par
M. Baragnon de monter à cette tribune, puisqu'elle me per-
met de vous renouveler l'assurance que je saurai garder intact
le dépôt sacré qui m'a été. confie. Je^ puis assurer la majbrile
de cette assemblée que je ne laisserai pas quelques énergu-
mènes (il montre la droite) compromettre ies bienfaits que nous
a déjà valus le pacte de Versailles. En établissant une mopar-
chie provisoire, il est évident, messieurs, que vous avez voulu
laisser le champ libre aux partis qui lui sont opposés. Cèsê
ces partis qu'il appartient de fonder la seule monarchie durable,
une monarchie basée sur la souveraineté du peuple et qui rowp
carrément avec tous les vieux errements du passé. Si nous vo ^
Ions venir à bout de cette lourde tâche, nous devons avant,w
repousser l'appui perfide des royalistes trop intéresses da;
question pour pouvoir l'envisager de sang-froid^Plua d un ,
déjà j'ai exprimé la même idée à eette'tribuae. Je l'y resilT„
aujourd'hui en trois mots : ce qu'il nous faut c'est LA A j-
CHIE SANS LES MONARCHISTES'' !
-Br&ves nombreux sur les bancs de la majorité. .,*******,
— Oui, oui, la monarchie sans'les monarchistes I

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Personnages : un Député, - une Dame, - :

- H mol m iktii nia»' '■ Biâffll!

V.i, ,)'«„ i.WMmminr'tnil! fc Ja pendule

itap

de l'iir d'un collégien qui wiw... r,
tourner au « takt j s'approcha avec -

Et, awcln fort soupir, le député fait mine
robe de chambre somptueuse sur le dossier d
de passer d'agréables instants, après déjiui
d'an excellent cigare de contrebande et de
rieur, une jeune personne qui n'est pas moir

Celle-ci, languissante, mais l'œil clair cor
dant, répend en souriant:

- Midi cinq ! - Bh bien, après tout, qu'e,
mi faire, mon beaulîgislateur ?

-Mais cela ae fait beaucoup, à moi, me
W»i le député, entre dem touffe de i
le «oient deq«ite, c* chaire .«,,/•,
que cela me navre.

-aivotre ctabi.lïli,nai

*""«'"*" Ws, mon amils,
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