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■]e ministre de ^
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lître, qui fut en tu Èa
M. le lieutenant.^ |
;énéral de Sa Majesté
n essai loyal deiamoai.^
nsable que tous les Shj
i ainsi que du temps p
que, tous les foncfei-
i juste.
, lit la voiï de il. Gbit.
ussitôt dans la dlfôÉI
prenait place à son $
.es actes inqualiflablBÉ
i théâtre. Ua drapeau ^
r un courageux citoj«'
sitôt retiré sur MbÉ
ui poussaient le cri :<fi
ut été arrêtés et jelén
de cœur doulounoi (a)
de l'Assemblée. Nos F''5
;ous une monarcàie^-
ivisoire I
anarchie...
ger aveô h mj0W
,ain sa sonnette JM*
. le lieutenants^ f
ROI G-AitBETTi' - B
;ion qui m'est forf i-
ibune, puisqu'elle tf F
que je saurai garder^
Je puis assurer U*
serai pas quelques^
!ttre)esbienf^^
En établissant^,
[eurs, que vousa^
i lui sont opposes.^
Ia seule monarchie^
3ntsduPasse.S J
he, bous devons^
saDf°fjel^
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3Us faut c'est LA»
t
majorité
monarcliist8sl
déclamations à l'extrême droite. Elles sont bientôt étouffées
par les explosions bruyantes de la gauche et du centre.
m. gambetta. — La monarchie sans les monarchistes ! C'est
dans cette formule, je le répète, qu'est le salut du paysl Voilà
pourquoi nous poursuivons — et je suis sûr que l'Assemblée
qui est souveraine nous donnera sou approbation. (Oui I oui!)
Voilà pourquoi nous poursuivons comme séditieux tous cris,
tout déploiement de signes qui tendraient à rappeler un ré-
gime odieux. Dans peu de jours on vous distribuera les deux
volumes de rapports publiés par la commission d'enquête sur
les manœuvres perpétrées à Anvers; je m'occupe activement
d'épurer l'administration en en expulsant les derniers partisans
de la royauté ; enfin, une série de mesures démocratiques que
je compte vous soumettre avant peu sont en ce moment même
à l'étude. Vous voyez que tous mes instants sont occupés à me
rendre digne du mandat que vous m'avez confié.
sur les gangs de la majorité. — Très-bien ! très-bien!
m. le duc de la rochefoucauld-bisaccia, — C'est une in-
dignité I
M. GAvàrdïe. — On se moque de nous!
M. baraGnon. — Sous une monarchie 1...
M. TOLAitt. — Provisoire !
m. lorgeril. — Et c'est cela que vous appelez un essai
loyal? '
M- fiAMDETTA. — Pardon, ce n'est pas moi qui ai inventé le
terme, c'est vous-mêmes.
Nouveaux applaudissements sur les bancs de la majorité. Signes de
découragement à l'extrême droite. M. Gambetta gagne l'hémycicle où
il reçoit les félicitations de ses collègues.
M. de belgastel, qui vient de s'accrocher à la rampe de la tri-
bune avec la rage du désespoir. — Je dépose sur le bureau de la
Chambre quinze nouvelles pétitions qui réclament la dissolu-
tion immédiate de l'Assemblée.
M. LE DUC DE LAROCHEFOUCAULD-BISACCIA. — Très-bien !
A ce moment la voix de M. Grévy se fait entendre.
.— Messieurs, l'ordre du jour appelle la discussion sur la sé-
paration de l'Eglise et de l'Etat.
Il se fit un grand mouvement autour de moi, et..,..
Et je me réveillai.
Ce n'était qu'un rêve I
Paul Parfait.
LE DÉPUTÉ DE PRINTEMPS
(FABLE)
La scène se passe, — à Paris naturellement, — d'abord dans
un boudoir qui n'a rien d'austère, tout parfumé qu'il est par les
premières fleurs du printemps et du Marché de la Madeleine,
ensuite dans la salle des paquets-perdus, autrement dit la Gare
de Versailles, rive droite.
Personnages : un Député, — une Dame, — l'Amour.
— Midi cinq ! ma chère enfant I midi cinq ! s'écrie le député,
de l'air d'un collégien qui voit à la pendule que l'heure de re-
tourner au « bahut » s'approche avec une rapidité foudroyante.
Et, avec un fort soupir, le député fait mine de vouloir jeter sa
robe de chambre somptueuse sur le dossier du divan où il vient
de passer d'agréables instants, après déjeuner, en compagnie
d'un excellent cigare de contrebande et de madame de Rosen-
fleur, une jeune personne qui n'est pas moins de contrebande.
Celle-ci, languissante, mais l'œil clair comme basilic, cepen-
dant, répond en souriant :
— Midi cinq I — Eh bien, aprèstout, qu'est-ce que cela peut
me faire, mon beau législateur?
— Mais cela me fait beaucoup, à moi, mon petit casoar bleu,
reprend le député, entre deux bouffées de tabac. Cela fait que
le moment de quitter cette chambre pour VAutre est arrivé, et
que cela me navre.
— Ohl votre chambre! Mais aussi pourquoi diable avez-vous
voté contre le retour à Paris, mon ami ? Si vous aviez défendu
avec votre basse-taille ordinaire les droits de Paris, au lieu de
battre la caisse avec votre couteau de bois pendant la discus-
sion, vous ne seriez pas obligé aujourd'hui de me quitter si tôt.
— Hélas 1 nous avons voté cela en hiver, ma belle; on ne sa-
vait pas que plus tard...
— Oui, on ne savait pas que les premières tiédeurs du prin-
temps vengeraient Paris de vos dédains. Versailles, c'est bien
gentil, mais c'est bien embêtant, comme dit la chanson. C'est
une ville rangée, honnête, distinguée... mais les géographes
ne lui accordent qu'un nombre très-limité de jolies femmes.
— Hélas ! soupire pour la troisième fois le député qui a ter-
miné son cigare et joue maintenant avec les valenciennes du
peignoir de Mme de Rosenfieur, beaucoup plus sérieusement que
s'il s'agissait d'examiner un simple projet de loi sur l'instruc-
tion obligatoire.
— Voyons, finissez, espoir de la patrie, reprend Mme de Ro-
senfleur, après un moment de silence ; vous allez manquer vo-
tre train. Le joli train de 1 heure 25, vous savez?
— Bah I... réplique subitement, avec une rougeur sur le front,
l'honorable député, bahl nous avons encore le temps, si je ne
rue trompe... la pendule avance., — Voyons ? allons, bon, ma
montre s'est arrêtéeI mais votre pendule va bien, ma chère?
— Bile est exacte comme le maréchal Bazaine à se ren-
dre, ainsi qu'il l'avait promis, devant les Prussiens.
Mais pendant que madame de Rosenfleur se fait le champion
de son horloge, et se porte garant de sa fidélité à marquer
l'heure, l'Amour, en grand costume de cérémonie, c'est-à-dire
vêtu de sa seule grâce, s'élance invisible dans le boudoir; et, de
son doigt habile, il arrête les aiguilles dans leur marche.
Les minutes s'écoulent. Dehors, pour les gens qui ont pris
une voiture à l'heure, le temps vole comme d'habitude ; mais,
dans le boudoir, les instants se passent sans qu'on s'en aper-
çoive.
0 printemps ! voilà bien de tes «oups !
— Une heure moins dix I s'écrie le député, qui reprend ha-
leine, comme s'il s'était égosillé à demander la clôture pendant
vingt minutes. Vite, mes bottes, mon chapeau du castor le
plus beau I
— Réellement, vous me quittez ? minaude madame de Rosen-
fleur. Par une belle après-midi ! quand il ferait si bon aller se
promener en voiture et dîner quelque part comme des vieux
époux...
— Loin de moi ce séduisant calice! tonne le député. Allons,
pas de folie, Gabrielle I le principe avant tout. Je dois parler
aujourd'hui sur le devoir moral pour les parents. Je dois pour-
fendre l'Internationale dans mon bureau. Adieu, adieu, Ga-
brielle! Arrière, tentateur I
Ainsi s'exclame le député en mettant ses bottes. Enfin, il
part.
su
L'amour a suivi le député dans les rues. Abusant de son pou-
voir, il présente aux regards intérieurs du député que Versailles
appelle, le souvenir riant des heures passées à Paris. Il l'excite
à la haine et au mépris de l'Assemblée. Mais le député est de
bronze. Il ferme autant qu'il le peut les yeux et les oreilles. En-
fin, le voici dans les environs de la gare de l'Ouest. Encore un
escalier à franchir, et Versailles aura sa proie. Mais l'amour
veille. Il conseille au député d'aller acheter un paquet de ci-
gares dans un bureau prochain où il y a une marchande ravis-
sante. Il murmure à l'oreille du député : «Tu as encore cinq
minutes! » Le député le croit, l'innocent I II s'élance. Il voit
la marchande. Il lui décoche un madrigal. Puis quand il arrive
essouflé, dans la gare, l'amour lui montre le cadran. Une mi-
nute trop tard ! C'en est fait. Pas moyen de partir. A moins
de faire chauffer une locomotive, comme Pouyer-Quertier ? Que
faire alors? Il se le demande. L'amour lui répond: — On en re-
vient toujours à ses dernières amours, — Va I — Alors le front
bas, mais heureux de ce contretemps, le député retourne sur
ses pas. Tandis qu'il arpente les rues, les maisons semblent
rire sur son passage. Le député le devine bien. Mais il se tait.
Paris est vengé I
Ernest b'Hervilly.
Alors que nous faisions la chasse aux Prussiens de l'autre
côté de Rueil, deux sous-officiers du bataillon, qui s'étaient
engueulés — après boire — pour le motif le plus futile, s'en
vinrent demander — au rapport — l'autorisation de s'aligner.
Le commandant les questionna :
— Vous avez l'intention d'aller sur le terrain?
— Oui, mon commandant... On s'est ditpas mal de sottises...
Il faut du sang pour laver ça... Nous ne voulons pas passer pour
des propres à rien...
— C'est bon. Vous vous battrez. Seulement, voici de quelle
façon :
Vous allez prendre vos carabines...
On vous placera sur la même ligne, — en face de la Mal-
maison...
L'ennemi occupe ce poste...
Vous marcherez dessus du même pas...
Une fois à portée, vous ouvrirez le feu...
Les Prussiens riposteront...
Vous continuerez d'avancer...
Quand l'un de vous sera tombé, l'autre tournera les 1a Ions,
— et une compagnie soutiendra sa retraite...
m
— De cette manière, conclut le commandant, le sang quo rous
réclamez ne sera pas versé sans profit et sans gloire, et lelui
de vous qui reviendra ne rapportera pas le regret, le remt-rrds
d'avoir tué ou blessé un Français de sa main, -quand le pi ys a
besoin de tous ses. défenseurs* et de tous ses entants...
Si vous êtes descendus tous deux, qui osera prétendre que
vous étiez des lâches?...
Ajoutez que je vous fournis une superbe occasion de msttre
à bas une couple d'Allemands, — ce qui vous procurera, des
titres sérieux à la reconnaissance des pendules nationales...
Les choses eurent lieu ainsi...
A vingt pas environ des murailles de la Malmaison, l'un des
adversaires, <— qui venait d'abattre uu officier poméranien, —
chancela et s'affaissa...
L'autre le ramassa et, au milieu d'un grêle de balles, le rap-
porta sur ses épaules à la compagnie de soutien!
Je me suis rappelé, l'autre jour, cet épisode de mes campa-
gnes en lisant le procès-verbal de la rencontre de MM. Rogat
et Sauton.
L'ennemi, il est vrai, n'occupe plus la Malmaison...
Mais il se grise encore de Champagne — en Champagne !...
Je n'entends certes point insinuer par là que, toutes les fois
que deux journalistes auront maille à partir ensemble, il faille
qu'ils s'en aillent à Rheirns ou à Châlons souffleter un Bavarois
ou un Saxon.
A parler franc, pourtant, ce procédé me paraîtrait encore
moins illogique et moins exorbitant que celui qui consiste à
injurier un confrère et à l'égorgiller ensuite pour les beaux
yeux de l'ex-impératrice ou le bel œil de l'ex-dictateur.
. Il y a sur le boulevard Montmartre un magasin de coffres-
forts — en fer — avec des serrures à trucs, à combinaisons, à
mystères-»
Monselet y entre, la semaine passée.
Le marchand lui fait l'article.
Monselet examine les uns après les autres ceux des coffres
qui sont ouverts.
Il en avise un fermé.
— Voulez-vous? demande-t-il au marchand, avoir l'obli-
geance de faire jouer le secret de celui-ci ?
— C'est que c'est assez compliqué... Cependant, attendez...
Le marchand se met en besogne...
Le couvercle du coffre se soulève...
Monselet se penche curieusement...
— Ohl fait l'industriel vous pouvez regarder. C'est aussi
bien travaillé à l'intérieur qu'à 1 extérieur.
— Ce n'est pas pour cela, répond notre confrère. C'est pour
voir s'il y a de l'argent dedans.
M. l'abbé X..., un de nos plus éloquents prédicateurs, a fait
dernièrement, dans une église du quartier Latin, un magnifique
sermon sur l'obligation d'exercer la charité.
L'assistance avait paru profondément impressionnée, et la
quête avait été des plus abondantes. En sortant, M. l'abbé se
rencontre avec un de ses amis.
— Quel effet vous a-t-il produit, mon sermon sur la charité?
— Très-beau. Il m'a donné envie de me mettre; mendiant.
M. Baze entre reporters de la Chambre.
On causait de
L'un disait :
— On ne sait comment le prendre...
— Oui, c'est une cruche sans anses.
J..,. est le garçon de Paris qui vous épargne le moins les
compliments quand il vous parle et les coups de pattes quand
il parle aux autres.
P... M... a dit de lui :
— C'est une coupe d'eau bénite empoisonnée.
M d anoîscHc Crénlsse
Mlle Crénisse, que le procès de Rouen vient de faire sortir,
pour au instant, de la pénombre parfumée du boudoir, est une
brune superbe, — une peau de pêche... à soixante-quinze centi-
mes, — qui a commencé sous Hervé et qui est maintenant douée
d'un équipage à huit ressorts et de deux laquais angoras-
Le lendemain du jour où M. Janvier de la Motte lui fut pré-
senté, celte jeune personne, qui jouait alors au Palais-Royal,
arriva toute joyeuse au foyer du théâtre.
— Si vous saviez, dit-elle ? ux petites camarades, j'ai fait la
connaissance d'un monsieur is-chic. Il m'a envoyé, ce matin,
deux vases dé porcelaine qui valent plus de soixante louis. Il
les a achetés chez Sèvres.
Rue Dalayrac, en sortant du passage Choiseul, on lit sur
l'auvent de quatre boutiques qui se touchent et se suivent, trois
noms et une enseigne, qui, réunis, donnent la phrase sui-
vante :
PERCEPIED SOULA THIERS A LA PETITE CIVETTE
arpa ii père et fils
Le père habite un superbe hôtel et passe pour être riche à
millions:
Le fils, — un des étudiants les plus déguenillés du quartier
latin, — demeure dans une mansarde et vit d'une pension de
trente francs par mois.
Dernièrement, quelques étudiants avaient projeté une partie
de campagne au Bas-Meudon, en compagnie de quelques de-
moiselles de la Closerie. Le fils de l'avare fut invite. La cotisa-
tion de chacun à la fête fut fixée à trente francs, —juste un
mois de pension de l'étudiant] — Sa position était bien triste !
— Encore plus triste que vous ne pensez, car ou était au 15 du
mois et la pension était mangée.
Où trouver les trente francs ?
Le fils de l'avare s'avisa d'une rouerie qui manque aux comé-
dies de Molière.
m
Demander de l'argent à son père, il n'y spngea même pas.
Il lui demanda une chose plus facile à obtenir, — sa voiture,
ses chevaux et son cocher — pour une heure seulement.
Il devait voir, disait-il, un professeur qui habitait un quar-
tier lointain. La voiture de son père épargnerait la dépense d'un
fiacre.
Le père trouva crue son fils avait de l'avenir, A la bonne
heure ! Ça commence à comprendre l'économie ! La voiture fut
accordée.
Une fois parti...
Mais ceci mérite bien un paragraphe à part.
m
Une fois parti, savez-vous ce que fit ce garnement de fils ?
11 parla tant et si bien au cocher, que celui-ci consentit à
l'abandonner en lui laissant sa houppelande grise. Le fils s'en
revêtit à l'instant...
Commencez-vous à voir où il voulait en venir ?...
Non.
Eh bien, le fils, -dans ce costume, ramassa quatre-vingts
francs dans l'espace de quelques heures.
Il avait offert la voiture de son père â tous les piétons du
boulevard ; il avait, en un mot, couru la pratique !..,
A bas «3e la flli-Carêjiae
première biche. — Tu as donc lâché Arthur ? Tout le monde
disait que tu étais toquée de lui I
deuxième biche, avec un soupir à fendre — le corset le plus ré-
sistant. — Ohl oui, je l'ai bien aimé, cet homme.
première biche —Il est si gentil 1 Pourquoi l'as-tu planté
là, alors ?
deuxième biche, indignée et dramatique. — Croirais-tu, ma
chère, que ce pignouf ne m'a jamais dorme un louis de sa vie ?
Ça désillusionné, fa, \% un !
Emile Blqnbet.
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Carotte, obtient chaque soir un immense succès et dépasse le
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décoration.
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Place du Ghâtcau-â'Eau. — Concert lundi. Bai les autres jours.—
Chef d'orchestre : Léon Dufils.
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m. gambetta. — La monarchie sans les monarchistes ! C'est
dans cette formule, je le répète, qu'est le salut du paysl Voilà
pourquoi nous poursuivons — et je suis sûr que l'Assemblée
qui est souveraine nous donnera sou approbation. (Oui I oui!)
Voilà pourquoi nous poursuivons comme séditieux tous cris,
tout déploiement de signes qui tendraient à rappeler un ré-
gime odieux. Dans peu de jours on vous distribuera les deux
volumes de rapports publiés par la commission d'enquête sur
les manœuvres perpétrées à Anvers; je m'occupe activement
d'épurer l'administration en en expulsant les derniers partisans
de la royauté ; enfin, une série de mesures démocratiques que
je compte vous soumettre avant peu sont en ce moment même
à l'étude. Vous voyez que tous mes instants sont occupés à me
rendre digne du mandat que vous m'avez confié.
sur les gangs de la majorité. — Très-bien ! très-bien!
m. le duc de la rochefoucauld-bisaccia, — C'est une in-
dignité I
M. GAvàrdïe. — On se moque de nous!
M. baraGnon. — Sous une monarchie 1...
M. TOLAitt. — Provisoire !
m. lorgeril. — Et c'est cela que vous appelez un essai
loyal? '
M- fiAMDETTA. — Pardon, ce n'est pas moi qui ai inventé le
terme, c'est vous-mêmes.
Nouveaux applaudissements sur les bancs de la majorité. Signes de
découragement à l'extrême droite. M. Gambetta gagne l'hémycicle où
il reçoit les félicitations de ses collègues.
M. de belgastel, qui vient de s'accrocher à la rampe de la tri-
bune avec la rage du désespoir. — Je dépose sur le bureau de la
Chambre quinze nouvelles pétitions qui réclament la dissolu-
tion immédiate de l'Assemblée.
M. LE DUC DE LAROCHEFOUCAULD-BISACCIA. — Très-bien !
A ce moment la voix de M. Grévy se fait entendre.
.— Messieurs, l'ordre du jour appelle la discussion sur la sé-
paration de l'Eglise et de l'Etat.
Il se fit un grand mouvement autour de moi, et..,..
Et je me réveillai.
Ce n'était qu'un rêve I
Paul Parfait.
LE DÉPUTÉ DE PRINTEMPS
(FABLE)
La scène se passe, — à Paris naturellement, — d'abord dans
un boudoir qui n'a rien d'austère, tout parfumé qu'il est par les
premières fleurs du printemps et du Marché de la Madeleine,
ensuite dans la salle des paquets-perdus, autrement dit la Gare
de Versailles, rive droite.
Personnages : un Député, — une Dame, — l'Amour.
— Midi cinq ! ma chère enfant I midi cinq ! s'écrie le député,
de l'air d'un collégien qui voit à la pendule que l'heure de re-
tourner au « bahut » s'approche avec une rapidité foudroyante.
Et, avec un fort soupir, le député fait mine de vouloir jeter sa
robe de chambre somptueuse sur le dossier du divan où il vient
de passer d'agréables instants, après déjeuner, en compagnie
d'un excellent cigare de contrebande et de madame de Rosen-
fleur, une jeune personne qui n'est pas moins de contrebande.
Celle-ci, languissante, mais l'œil clair comme basilic, cepen-
dant, répond en souriant :
— Midi cinq I — Eh bien, aprèstout, qu'est-ce que cela peut
me faire, mon beau législateur?
— Mais cela me fait beaucoup, à moi, mon petit casoar bleu,
reprend le député, entre deux bouffées de tabac. Cela fait que
le moment de quitter cette chambre pour VAutre est arrivé, et
que cela me navre.
— Ohl votre chambre! Mais aussi pourquoi diable avez-vous
voté contre le retour à Paris, mon ami ? Si vous aviez défendu
avec votre basse-taille ordinaire les droits de Paris, au lieu de
battre la caisse avec votre couteau de bois pendant la discus-
sion, vous ne seriez pas obligé aujourd'hui de me quitter si tôt.
— Hélas 1 nous avons voté cela en hiver, ma belle; on ne sa-
vait pas que plus tard...
— Oui, on ne savait pas que les premières tiédeurs du prin-
temps vengeraient Paris de vos dédains. Versailles, c'est bien
gentil, mais c'est bien embêtant, comme dit la chanson. C'est
une ville rangée, honnête, distinguée... mais les géographes
ne lui accordent qu'un nombre très-limité de jolies femmes.
— Hélas ! soupire pour la troisième fois le député qui a ter-
miné son cigare et joue maintenant avec les valenciennes du
peignoir de Mme de Rosenfieur, beaucoup plus sérieusement que
s'il s'agissait d'examiner un simple projet de loi sur l'instruc-
tion obligatoire.
— Voyons, finissez, espoir de la patrie, reprend Mme de Ro-
senfleur, après un moment de silence ; vous allez manquer vo-
tre train. Le joli train de 1 heure 25, vous savez?
— Bah I... réplique subitement, avec une rougeur sur le front,
l'honorable député, bahl nous avons encore le temps, si je ne
rue trompe... la pendule avance., — Voyons ? allons, bon, ma
montre s'est arrêtéeI mais votre pendule va bien, ma chère?
— Bile est exacte comme le maréchal Bazaine à se ren-
dre, ainsi qu'il l'avait promis, devant les Prussiens.
Mais pendant que madame de Rosenfleur se fait le champion
de son horloge, et se porte garant de sa fidélité à marquer
l'heure, l'Amour, en grand costume de cérémonie, c'est-à-dire
vêtu de sa seule grâce, s'élance invisible dans le boudoir; et, de
son doigt habile, il arrête les aiguilles dans leur marche.
Les minutes s'écoulent. Dehors, pour les gens qui ont pris
une voiture à l'heure, le temps vole comme d'habitude ; mais,
dans le boudoir, les instants se passent sans qu'on s'en aper-
çoive.
0 printemps ! voilà bien de tes «oups !
— Une heure moins dix I s'écrie le député, qui reprend ha-
leine, comme s'il s'était égosillé à demander la clôture pendant
vingt minutes. Vite, mes bottes, mon chapeau du castor le
plus beau I
— Réellement, vous me quittez ? minaude madame de Rosen-
fleur. Par une belle après-midi ! quand il ferait si bon aller se
promener en voiture et dîner quelque part comme des vieux
époux...
— Loin de moi ce séduisant calice! tonne le député. Allons,
pas de folie, Gabrielle I le principe avant tout. Je dois parler
aujourd'hui sur le devoir moral pour les parents. Je dois pour-
fendre l'Internationale dans mon bureau. Adieu, adieu, Ga-
brielle! Arrière, tentateur I
Ainsi s'exclame le député en mettant ses bottes. Enfin, il
part.
su
L'amour a suivi le député dans les rues. Abusant de son pou-
voir, il présente aux regards intérieurs du député que Versailles
appelle, le souvenir riant des heures passées à Paris. Il l'excite
à la haine et au mépris de l'Assemblée. Mais le député est de
bronze. Il ferme autant qu'il le peut les yeux et les oreilles. En-
fin, le voici dans les environs de la gare de l'Ouest. Encore un
escalier à franchir, et Versailles aura sa proie. Mais l'amour
veille. Il conseille au député d'aller acheter un paquet de ci-
gares dans un bureau prochain où il y a une marchande ravis-
sante. Il murmure à l'oreille du député : «Tu as encore cinq
minutes! » Le député le croit, l'innocent I II s'élance. Il voit
la marchande. Il lui décoche un madrigal. Puis quand il arrive
essouflé, dans la gare, l'amour lui montre le cadran. Une mi-
nute trop tard ! C'en est fait. Pas moyen de partir. A moins
de faire chauffer une locomotive, comme Pouyer-Quertier ? Que
faire alors? Il se le demande. L'amour lui répond: — On en re-
vient toujours à ses dernières amours, — Va I — Alors le front
bas, mais heureux de ce contretemps, le député retourne sur
ses pas. Tandis qu'il arpente les rues, les maisons semblent
rire sur son passage. Le député le devine bien. Mais il se tait.
Paris est vengé I
Ernest b'Hervilly.
Alors que nous faisions la chasse aux Prussiens de l'autre
côté de Rueil, deux sous-officiers du bataillon, qui s'étaient
engueulés — après boire — pour le motif le plus futile, s'en
vinrent demander — au rapport — l'autorisation de s'aligner.
Le commandant les questionna :
— Vous avez l'intention d'aller sur le terrain?
— Oui, mon commandant... On s'est ditpas mal de sottises...
Il faut du sang pour laver ça... Nous ne voulons pas passer pour
des propres à rien...
— C'est bon. Vous vous battrez. Seulement, voici de quelle
façon :
Vous allez prendre vos carabines...
On vous placera sur la même ligne, — en face de la Mal-
maison...
L'ennemi occupe ce poste...
Vous marcherez dessus du même pas...
Une fois à portée, vous ouvrirez le feu...
Les Prussiens riposteront...
Vous continuerez d'avancer...
Quand l'un de vous sera tombé, l'autre tournera les 1a Ions,
— et une compagnie soutiendra sa retraite...
m
— De cette manière, conclut le commandant, le sang quo rous
réclamez ne sera pas versé sans profit et sans gloire, et lelui
de vous qui reviendra ne rapportera pas le regret, le remt-rrds
d'avoir tué ou blessé un Français de sa main, -quand le pi ys a
besoin de tous ses. défenseurs* et de tous ses entants...
Si vous êtes descendus tous deux, qui osera prétendre que
vous étiez des lâches?...
Ajoutez que je vous fournis une superbe occasion de msttre
à bas une couple d'Allemands, — ce qui vous procurera, des
titres sérieux à la reconnaissance des pendules nationales...
Les choses eurent lieu ainsi...
A vingt pas environ des murailles de la Malmaison, l'un des
adversaires, <— qui venait d'abattre uu officier poméranien, —
chancela et s'affaissa...
L'autre le ramassa et, au milieu d'un grêle de balles, le rap-
porta sur ses épaules à la compagnie de soutien!
Je me suis rappelé, l'autre jour, cet épisode de mes campa-
gnes en lisant le procès-verbal de la rencontre de MM. Rogat
et Sauton.
L'ennemi, il est vrai, n'occupe plus la Malmaison...
Mais il se grise encore de Champagne — en Champagne !...
Je n'entends certes point insinuer par là que, toutes les fois
que deux journalistes auront maille à partir ensemble, il faille
qu'ils s'en aillent à Rheirns ou à Châlons souffleter un Bavarois
ou un Saxon.
A parler franc, pourtant, ce procédé me paraîtrait encore
moins illogique et moins exorbitant que celui qui consiste à
injurier un confrère et à l'égorgiller ensuite pour les beaux
yeux de l'ex-impératrice ou le bel œil de l'ex-dictateur.
. Il y a sur le boulevard Montmartre un magasin de coffres-
forts — en fer — avec des serrures à trucs, à combinaisons, à
mystères-»
Monselet y entre, la semaine passée.
Le marchand lui fait l'article.
Monselet examine les uns après les autres ceux des coffres
qui sont ouverts.
Il en avise un fermé.
— Voulez-vous? demande-t-il au marchand, avoir l'obli-
geance de faire jouer le secret de celui-ci ?
— C'est que c'est assez compliqué... Cependant, attendez...
Le marchand se met en besogne...
Le couvercle du coffre se soulève...
Monselet se penche curieusement...
— Ohl fait l'industriel vous pouvez regarder. C'est aussi
bien travaillé à l'intérieur qu'à 1 extérieur.
— Ce n'est pas pour cela, répond notre confrère. C'est pour
voir s'il y a de l'argent dedans.
M. l'abbé X..., un de nos plus éloquents prédicateurs, a fait
dernièrement, dans une église du quartier Latin, un magnifique
sermon sur l'obligation d'exercer la charité.
L'assistance avait paru profondément impressionnée, et la
quête avait été des plus abondantes. En sortant, M. l'abbé se
rencontre avec un de ses amis.
— Quel effet vous a-t-il produit, mon sermon sur la charité?
— Très-beau. Il m'a donné envie de me mettre; mendiant.
M. Baze entre reporters de la Chambre.
On causait de
L'un disait :
— On ne sait comment le prendre...
— Oui, c'est une cruche sans anses.
J..,. est le garçon de Paris qui vous épargne le moins les
compliments quand il vous parle et les coups de pattes quand
il parle aux autres.
P... M... a dit de lui :
— C'est une coupe d'eau bénite empoisonnée.
M d anoîscHc Crénlsse
Mlle Crénisse, que le procès de Rouen vient de faire sortir,
pour au instant, de la pénombre parfumée du boudoir, est une
brune superbe, — une peau de pêche... à soixante-quinze centi-
mes, — qui a commencé sous Hervé et qui est maintenant douée
d'un équipage à huit ressorts et de deux laquais angoras-
Le lendemain du jour où M. Janvier de la Motte lui fut pré-
senté, celte jeune personne, qui jouait alors au Palais-Royal,
arriva toute joyeuse au foyer du théâtre.
— Si vous saviez, dit-elle ? ux petites camarades, j'ai fait la
connaissance d'un monsieur is-chic. Il m'a envoyé, ce matin,
deux vases dé porcelaine qui valent plus de soixante louis. Il
les a achetés chez Sèvres.
Rue Dalayrac, en sortant du passage Choiseul, on lit sur
l'auvent de quatre boutiques qui se touchent et se suivent, trois
noms et une enseigne, qui, réunis, donnent la phrase sui-
vante :
PERCEPIED SOULA THIERS A LA PETITE CIVETTE
arpa ii père et fils
Le père habite un superbe hôtel et passe pour être riche à
millions:
Le fils, — un des étudiants les plus déguenillés du quartier
latin, — demeure dans une mansarde et vit d'une pension de
trente francs par mois.
Dernièrement, quelques étudiants avaient projeté une partie
de campagne au Bas-Meudon, en compagnie de quelques de-
moiselles de la Closerie. Le fils de l'avare fut invite. La cotisa-
tion de chacun à la fête fut fixée à trente francs, —juste un
mois de pension de l'étudiant] — Sa position était bien triste !
— Encore plus triste que vous ne pensez, car ou était au 15 du
mois et la pension était mangée.
Où trouver les trente francs ?
Le fils de l'avare s'avisa d'une rouerie qui manque aux comé-
dies de Molière.
m
Demander de l'argent à son père, il n'y spngea même pas.
Il lui demanda une chose plus facile à obtenir, — sa voiture,
ses chevaux et son cocher — pour une heure seulement.
Il devait voir, disait-il, un professeur qui habitait un quar-
tier lointain. La voiture de son père épargnerait la dépense d'un
fiacre.
Le père trouva crue son fils avait de l'avenir, A la bonne
heure ! Ça commence à comprendre l'économie ! La voiture fut
accordée.
Une fois parti...
Mais ceci mérite bien un paragraphe à part.
m
Une fois parti, savez-vous ce que fit ce garnement de fils ?
11 parla tant et si bien au cocher, que celui-ci consentit à
l'abandonner en lui laissant sa houppelande grise. Le fils s'en
revêtit à l'instant...
Commencez-vous à voir où il voulait en venir ?...
Non.
Eh bien, le fils, -dans ce costume, ramassa quatre-vingts
francs dans l'espace de quelques heures.
Il avait offert la voiture de son père â tous les piétons du
boulevard ; il avait, en un mot, couru la pratique !..,
A bas «3e la flli-Carêjiae
première biche. — Tu as donc lâché Arthur ? Tout le monde
disait que tu étais toquée de lui I
deuxième biche, avec un soupir à fendre — le corset le plus ré-
sistant. — Ohl oui, je l'ai bien aimé, cet homme.
première biche —Il est si gentil 1 Pourquoi l'as-tu planté
là, alors ?
deuxième biche, indignée et dramatique. — Croirais-tu, ma
chère, que ce pignouf ne m'a jamais dorme un louis de sa vie ?
Ça désillusionné, fa, \% un !
Emile Blqnbet.
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Carotte, obtient chaque soir un immense succès et dépasse le
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décoration.
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Chef d'orchestre : Léon Dufils.
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