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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 5.1872

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https://doi.org/10.11588/diglit.3713#0077

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voulait mettre en avant ce qui fut Théodule pour un coup de
main militaire. Il semblait, du reste, tout simple au public
qu'un homme qui a tant fait pour l'anti-ride fût choisi pour
des projets de restauration; mais l'affaire p'a pas eu de suites.

Sans doute, une révélation prudente a-t-elle arrêté dans leur
heau zèle messieurs de la majorité.

En. effet, il ne laisse pas d'être assez dangereux de confier ses
destinées à un personnage dont une clef perdue peut suffire
à paralyser les mouvements.

Plutarque junior.



LE PRISONNIER DO VATICAN

Le Saint-Père se plaint amèrement, en termes abondants^et
fleuris, de l'incroyable dureté du sort qui lui est fait. Rieu n'é-.
gale sa douleur! Tantôt il se compare à Job sur sou fumier,
tantôt il s'appelle le « pauvre prisonnier du 'Vatican. » Tout en
avalant, matin et soir, la douce Revalescière qu'il a préconisée,
il se trouve le plus misérable des êtres et le souverain le plus
digne de pitié qui soit au monde.

Mais les souverains, ses confrères, ne sont pas du tout de
cet avis là; pas du toutl

Agacés au dernier point d'entendre les lamentations exagé-
rées et incessantes dont Pie IX fait retentir son palais, et rem-
plit la presse européenne, sous forme de discours à ses avant-
derniers fidèles, les Rois de la terre, au nombre d'une quator-
zaine environ, ont pris le parti d'informer le vicaire de Jésus-
Christ, par lettres autographes, de la position où ils s.on$ eux-
mêmes réduits, et ils lui disent ; Comparez I

Tous, en outre, sont prêts à changer de condition avec le
« martyr de Rome, » pour peu que cela lui soit agréable.

— « Saint-Père, écrit l'empereur de Russie, j'ai mal au foie.
Je m'ennuie à trente-cinq millions par tête. Je pressens une ré-
volution bourgeoise avant peu. Ah ! je voudrais bien m'en aller |
Je vous offre mon trône, et mon traîneau pour la chasse à
l'ours. Je demande à être « prisonnier au Vatican, » sous votre
beau ciel, et respirant comme vous le parfum de l'encens. Un
mot, et je pars vous remplacer. »

— «Mon Divan perd tous ses élastiques, éerit le sultan de
son côté. Il vient un tel courant d'air parlementaire par la Porte
que mes viairs entrebaillent aux idées modernes, que je suis
comblé de douleurs. Pas un sou! pas même un denier de Maho-
met, comme vous. — Voulrz-vous me permettre d'aller vous
remplacer à Rome, Saint-Père? Je vous offre mou palais sur le
Bosphore. Il m'attriste. Ecrivez-moi Dardanelles restantes. »

— Dix ans de notre vie ! cher Pix IX, dix ans nous donne-
rions pour être à votre place, écrivent aussi le roi de Suède
et le roi de Danemark —Nous n'avons pas pour deux francs de
prestige, nous, les rois du Nord, et vous êtes le point de mire
de tous les regards t Nous, nous sommes à peine connus. Oh l
être le prisonnier tranquille, honoré, vénéré, qu'abritent les
toits somptueux du Vatican! quel rêve! Faites un signe, très
saint père, et nous volons nous charger des agréables fers dans
lesquels vous gémissez.

La reine d'Angleterre enyoie encore ce petit mot à la «victime
de la méchanceté humaine. »

— Respectable gentleman, qu'est-ce que vous diriez donc si,
pris entre deux parlements comme moi, on vous caricaturait
dans les petits journaux à propos de votre affection pour un,
fidèie serviteur, en vous appelaut « m-istress Brown?» — On tire
sur moi. J'ai un fils, qui, lorsqu'il n'est pas malade, est appelé
devant les tribunaux pour adultéra. Oh I habiter Rome, quel
rêve! —Quelle duuce vie! -—Parfums! — Encens! —Soleil!
un mot, et je pars!

— Souverain pontife, écrit Gruillauaie-les-PenduJes, avez-vous
un ministre qui vous appelle — vieux cheval — et se moque de

_ vous comme de Colin-Tampon ? Non, vous n'avez pas cela chez
VOUS. Voua allez le dimanche, après vêpres, tailler votre vigne
en robe blanche. Vous faites ce que vous voulez Moi, voyez, je
me pique le nez pour noyer mes soucis. Je suis prêt à me rendre
.an Vatican, à condition ,que Bismark ne sera pas de la partie.
Consentez, et je suis le plus heureux des hommesl

— Prisonnier .de mon père, écrit Amenée, j'envie ardemment
ton sort. — Si tu savais quelle vie je mène en Espagne, tu fré-
mirais de plaisir de te sentir loin du, pays oes ca-tagnettes. Je
règne comme dans un désert. Pasun chat à mes fêtes. Personne
dans les rués quand j'y passe. Je vais être flanqué à la porte, à
Pâques on à la Trinité. Que je voudrais être dans « toneaclioll »
certain de dîner demain co.Kime toi !

Le pape reçoit également une carte ornée de plusieurs signa-
tures royales.
On lit sur cette carte t

— « Les soussignés, souverains à la veille d'être mis en fail-
lite par leur peuple, mais sachant lire et écrire à peu près cor-
rectement, demandent au ■« Prisonnier du Vatican » à partager
ave e lui la paille humide et le pain, noir du malheur. Ils se-
raient enchantés d'être torturés àSome — loin de leurs sujets,
dans un palais confortable, rempli de chefs-d'œuvre, tout
fleuri, objet de la vénération générale. »

Suivent les signatures : — Le roi de Grèce r- ^empereur d'Au-
triche — Vempereur de la Chine — le taicoun de service au Japon
— le roi de Portugal,

Enfin, le schah de Perse fait lui-même &u« douloureux serviteur
de Dieu, » la confidence suivante ;

— « Le salut soit sur toi, aine des âmes I ~ Je t'écris ces
présentes pour t'informer de eeci : — En me comptant, nous ne
sommes plus que cinquante-sept habitants à Téhéran. La peste
■et la famine ont tué tous mes contribuables. — Les impôts ne
rentrent plus du tout. — Je n'ai littéralement plus unsequin,
et je nettoie mon sérail moi-même. On dit, dans l'Univers au-
quel je,suis abonné, que tu trouves Rome un séjour insupporta-
ble. Je me jette à tes genoux, âme des âmes, pour te supplier
de vouloir bien changer de trône avec moi. — Oh! souffrir à
itome, quel paradis de Mahomet I »

Mais les tristes tableaux que les souverains étrangers mettent

sous les yeux du Pape, ne parviennent pas à le faire changer de
note. Il hoche la tête, sourit, et n'en continue pas moins à dic-
tei" à ses secrétaires la fameuse phrase : ■— « Je suis le pauvre
prisonnier du Vatican!

ERNEST D'HERVILLY.

SOWNETS-SILHOUETTES

Aixgixste Luolxet,

Une plume pour soc, de l'encre pour semence,
Tout près d'un demi-siècle, à notre Humanité
Il donna trois moissons, — roman, drame, science, —
Pleines de ton grain, Liber té \

Mais, des heureux du monde ayant la défiance,
Sa gerbe, où se mêlait ta fleur, Fraternité,
Put pour les parias... Vite, on chassa d,e, France
Ton laboureur, Egalité I

Il revenait par toi, République chépie,

Nieller de style d'or le fer de l'industrie,

Quand César Guet-apens mit sa grande âme en, deuil;

Puis la foudre, écrasant son pays comme verre,
Jeta dans le tombeau l'ami du prolétaire...
— L'élite des penseurs a suiyi son cercueil.

Jules Cauvain.

GAZETTE A LA

— Allons l bon ! encore une punaise dans le beurre ! que dira
Madame la marquise?

Pardon, — je me trompe. — il faut lire :

— Allons ! bon! encore du linge sale publiquement lavél
Qu'est-ce que vont penser nosseigneurs les Prussiens,

quand, —attablés dans nos cafés de Rheirns, de Nancy, de Cbà-
lons, — ils parcourront, dans nos journaux, le menu des amé-
nités qu'échangent, en ce moment, M le prince Bibeseo,
M, lid'in de Beauffrenjqnt et M. legenéral Douay ?

Tudieu ! im- ssneurs, égorgez-vous , massacrez-vous, écra-
bouillez-vous a gogo...

Mais que cette correspondance écœurante finisse!

Eh bien! non : on argumente, — on se chamaille, on lanti-
ponne...

Ah! l'ancienne chanson de nos pères :

Ils étaient quatre
Qui voulaient se battre ■
Il y en avait trois
Qui ne vou aient pas.

Les témoins de celui-ci demandent que l'on s'explique -r- au
sabre...

Les témoins de celui-îà exigent que l'on s'arrange -m à
F'épée...

N'est-ce pas le maréchal Bugeaud qui a éerit quelqu-e- part :

« Ceux qui ont assisté à des batailles doivent s'étonner de
toutes les précautions dont on entoure deux hommes qui ne
sont pas destinés à se tuer. »,

Voyons, de grâce, accordez; vous !...

Maïs ne venez pas ferrailler à Vincennes ou à Meudon, -r-. au,
Bois de Boulogne ou dans la forêt de Bondy...

Vincennes est trop prç^ de Champigny, Meudon est trop près
de Châtillon, Boulogne est trop près de Montretout, Bondy est
trop près du Bourgetl...

Le cliquetis.de vos lames éveillerait — sous terre — ceux qui
sont morts pour la patrie !

Allez plus loin ! Aliez au diable ! Allez à l'étranger !...

Vous n'avez plus besoin de franchir le Rhin pour cela!...

Poussez — seulement — jusqu'à Epernay !

Epernay, c'est déjà l'Allemagne I

M. Thiers a l'habitude d'avancer tous les matins l'heure de

son déjeuner.
M. Barthélémy-Saint-Hilaire lui disait dernièrement :
-^- Mon cher président, si vous continuez, vous unirez par

déjeuner la veille.

me rap-

Le dénouement du procès Tiehbome — à Londre
pelle ceci :

Un chevalier d'industrie, traduit devant la police correction-
nelle, avait revendiqué un titre suspect et un nom usurpé.

— Comment, lui demande le président, vous prétendez encore
que vous êtes un vrai comte ?.

LE prévenu avec emphase. — Oui, monsieur le président. Ce
titre m'a été transmis par ma noble famille. Il s'est perpétué
jusqu'à moi de mâle en mâle.

LE président. — Ah 1 il s'est perpétué jusqu'à vous de mâle
en mâle ; il serait plus juste de dire qu'il s'est perpétué de mal
en pis.

SHanà.el SSmcaÏE» an Chàtelet

C'est un succès, — un succès bruyant, — que j'explique sur-
tout par les allusions et les sous-entendus dont la pièce est
farcie.

Hé 1 mon Dieu, je ne déteste point les pièces farcies...

Mais je voudrais qu'elles ne le fussent que de truffes...

Or, Daniel Manxn n'est guère qu'une farce... de marrons !

Ce qu'il faut, par exemple, applaudir sans réserve dans ce
drame aux rengaines sonores et aux lieux-communs ronflants,
c'est le talent des interprètes, c'est le soin de la mise en scène,
c'est le prestige du décor.

La piuzzeita, avec sa perspective de palais crénelés, de ponts
enjambant les canaux et de felouques à l'ancre, — sou ciel d'un
azur .argentin qu'on croirait éclairé et chauffé par Véronèse. et
sa cohue bariolée de bouquetières, de gondoliers, de porteuses
d'eau, de facckini, de promeneurs et de signarine en baUle de
dentelles ..

Le bastion Saint-Antoine, avec ses embrasures ouvertes sur
la mer où la luue sème ses traînées de paillettes, et ses bar-
ques qui glissent dans la brume bleuâtre de la nuit...

L'intérieur de l'église Saint-Marc, avec ses illuminations fu-
nèbres...

Tout cela mérite d'attirer la foule. Venise vit tout entière sur
ces toiles splendides. Jamais Canaletti, Bonnington ni Ziem
n'ont rien brossé d'aussi exact, d'aussi pittoresque, d'aussi
poétique et d'aussi parfait!

Que dirais-je de Lacressonnière?

Grimé avec une scrupuleuse, avec une courageuse fidélité, il
ressemble au feu député Guéroult ou à feu le mange-jésuite
Havin.

Eh bien ! avec cette tête sur les épaules, il trouve le moyen
d'être grand, simple, noble, éloquent, ému, gracieux, pathéti-
que, inspiré, sublime I...

C'est rie la magie... rouge!

Larey, Charly, Montai, Jouanni, Donato, Courtes et Guimier
le secondent avec infiniment d'intelligence—et d'abnégation.

N'oublions pas l'obus du sixième tableau.

11 siffle son petit rôle avec un naturel achevé.

Nous l'avons salué... comme une vieille connaissance.
Gymnase. — Paris chez lui

Il est bon qu'on nous frotte le nez dans notre passé.

C'est ce que M. Gondinct a fait avec esprit.

La comédie légère qu'il vient de donner au Gymnase nous
rend ce Paris d'autrefois, — 1S69 est devenu autrtfois, — ce
Paris-chiffou. e« Paris-Plaisir, ce Paris-boudoir, ce Paris-
caravansérail des roubles, des florins, des guinéea, des dollars
du monde entier, dont Sebasiien Mercier écrivait* voici taatôt
ua siècle : <l C'est la guinguette de l'Europe 1 » mot profond et
charmant que, de nos jours, une cocotte d ambassade a tradui
par cette rfflexion-épigramme :

■or Quand j e suis à Paris, il me semble que je mange au ca-
baret.
Il y avait là matière à une satire ardente...
M^Gondinet s'est contenté du crayon badin...
Les robes, et la. beauté de ces demoiselles ont réussi.

Tout le. monde a pu voir au dernier bal masqué du Casino
une assez jolie fille en toilette de mousseline, — coiffée d'un
bonnet, de tulle blanc garni de fluurs d'urangers.

Cette, ribaude, — bien connue dans le cinquième deRsous de
la petiie galanterie, — s'en allait dans les galeries, de bock en
bock, de grog en grog.

Un gaillard costumé en gendarme la saisit par le bras :

— Mademoiselle, lui dit il, je vous arrête pour port illégal
de virginité.

EMILE BLONDET.

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