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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 5.1872

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https://doi.org/10.11588/diglit.3713#0220

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—f

J'AI REÇU VOTRE

IÉ DU.

PETIT COURRIER

.. j Monsieur Canarin, à Êtampes.

Vous me dites, Monsieur, que tous venez délire dans un jour-
nal bonapartiste des révélations judiciaires concernant un des
adversaires de cette feuille.

Et vous me-demandez, non sans un certain écœurement,
commeot il se peut faire que ces geus-là obtiennent aussi
facilement *a communication de pièces et dossiers qui ne
doivent être confiés à personne. -

VouV-semblez -craindre que 'certains employés payés par la
.République ne continuent à se figurer qu'ils le sont par l'em-
pire, et rendent à ses défenseurs pas mal de ces petits services
dont la-discrétion et le respect du devoir ne sont pas positive-
ment les inspirateurs.

Je ne puis pas vous dire au juste, Monsieur, à quel point vos
craintes sont fondées. Cependant j'inclinerais volontiers à
croire qu'elles ont du bon.

Mon opinion est que la République s'est montrée par trop
excellente fille à l'égard de certains fonctionnaires impériaux à
qui elle a conservé leurs places, sans s'inquiéter assez s'ils ne
conservaient pas leurs convictions.

On assure, d'ailleurs, que pas mal de nos employés, profitant
de cette tolérance exagérée, en abusent pour considérer le
gouvernement actuel comme ces bazars ambulants qui s'éta-
blissent pour quinze sous dans les boutiques à louer, mais avec
lesquels les propriétaires ne font pas de bail.
" Partant de ce principe, il n'y aurait rien d'étonnant que,
s'habituant à ne pas prendre au sérieux la République qui se
fait si peu craindre, ils continuassent à servir instinctivement
lé pouvoir éclipsé qui leur a fait tant de beaux jours et duquel
ils en attendent tant encore.

Si vous et moi, Monsieur, nous avons riison en cette circons-
tance, cela ne prouve qu'une chose : c'est qu'il est impossible
de se faire respecter de certaines gens sans s'en faire craindre,
et qu'une République par trop conservatrice des intérêts des
autres n'arrivera jamais à conserver les siens.

A propos, si vous connaissez un monarchiste qui ait l'inten-
tion de se porter candidat aux prochaines élections, conseillez-
lui donc plutôt de prendre une petite boutique d'épicerie, c'est
pins sûr.
/Recevez, etc.

Monsieur Ver*uil, à Juvisy.

:Yous n'aimez pas, me dites'-Whs, Monsieur, que l'on esca-
mote les situations.

Et vous me signales ce fait qiifcia compagnie P. h. M., ayant
été accusée ces jours derniers d'afewsir délivré une passe gratuite
sur tout son réseau à M. Rouhèr, l'ex-chef de claque de l'Em-
pire, cette compagnie n'a rien répondu à cette allégation.

.Vous en concluez "que le fait est vrai, que la compagnie
P. L. M. est pleine 'de douceurs pour les décavés de Cuisle-
hùrst, et vous me demandez mon sentiment à propos de ces
faveurs que rien ne justifie à vos yeux.

je vous dirai sans façon, qu'aux miens tout les condamne...
Vous voyez que je n'ai pas de parti pris contre la province,, et
qu'en cette circonstance, je marche avec Juvisy.

Je comprends très-bien que les compagnies de chemins de
fer accordent des immunités à certaines catégories de
voyageurs: collégiens, sociétés savantes, orphéonistes, etc.,
etc., et même aux pèlerins qui vont mettre de l'eau de la
fcJâlelte en bouteilles!... vous voyez que je suis arrangeant !

Toutes ces corporations sont utiles au pays, au mouvement,
au progrès. Si c'était possible, je voudrais qu'on les fit voya-
ger pour rien.

Mais, depuis trois semaines que je me creuse la cervelle, je
n'ai pas encore pu comprendre en quoi M. Routier avait pu
mériter les faveurs de l'administration de la compagnie
P.-L.-M.

Le seul titre que jeiui reconnaisse à cette munificence,
c'est l'expédition du Mexique qu'il a si bien chantée. Si ca
peut vous suffire, cher monsieur Verdeuil, je serai aux

!-Ce n'est pas qu'au fond je voie ua bien grand inconvénient
à ce que les bonapartistes voyagent beaucoup sur la ligne
1J. L. M., au contraire.

Les habitudes de tamponnage de cette honorable compagnie
peuvent, à Un certain moment, éclaircir en huit jours les
rangs des impérialistes, mieux que ne le ferait en trois mt î»
la petite-vérole.

Mais, une catégorie de gens qui m'intéresse dans cette ques-
ion, c'est celle des actionnaires.

J'avoue .que si-j'avais le bonheur d'être actionnaire de là
compagnie P.-L.-M., il me serait mortellement désagréable,
en allant toucher mon dividende, d'apprendre qu'il est plus
faible d'un centime, parce que les administrateurs ont jugé
bon de faire voyager gratis et — à mes frais, — tout le parti
impérial.

Payer pour ces gèns-là!,.. Ah! non, par exemple !... Je.l'a-
valerais difficilement.

Je ne sais pas jusqu'à quel point une compagnie qui exploite
l'argent de tout le monde peut, sans consulter personne, voter
le tarif suivant :

Cfcemin de f«r P. L. M.

place-entière pour les simples particuliers.

demi-place pour messieurs les militaires.

gratis pour les bonapartistes.

A propos, si-vous connaissez un monarchiste qui eût l'inten-
tion de se porter candidat aux prochaines élections, conseillez-
lui donc plutôt de prendre un petit débit de tabac, c'est plus
sûr.

Veuillez agréer, Monsieur, etc.

■ Monsieur Durieux, à Lons-le-SaulnUr.

Le conseil que vous me demandez, Monsieur, est extrême-
ment délicat.

Vous avez lu quelque part qm'un comité se formait pour
recueillir des souscriptions destfaées à élever un monument à
M.-Thiers-.

Et vous me demandez si vous devez souscrire.

Diable !.,, mais... c'est une affaire de tempérament Gela,
mou cher Monsieur.

Sans vous conseiller de souscrire ou de ne pas souscrire, je
vais vous dire ce que je ferai pour mon compte personnel.

D'abord^ en principe, je no vous dissimulerai pas que j'au-
rais beaucoup de peine, à arracher vingt sous de mon porte-
monnaie pour faire sculpter un piédestal quelconque, dans un
moment où les inondations ravagent une partie de la France.
Mais, admettons qu'il n'y ait ni inondés à soulager ni émigrés
lorrains à habiller.

Un monsieur se présente et me demande mon offrande pour
le monument-Thiers.

Je lui réponds ceci :

— Cher monsieur, vos intentions sont pures, j'en suis con-
vaincu ; mais votre zèle me semble un peu mûri sur couches.

Très-probablement la France devra bientôt un monument
"national à M. Thiers^ puisque très-probablement M. Thiers lui
donnera bientôt la République: sa République, je le veux bien;
mais enfin, une République, c'est déjà quelque chose.

Mais avant d'élever.un monument à M. Thiers, laissons-lui
donc couronner son édifice, car lui aussi il a son édifice à
couronner.

L'opération est même très délicate et l'architecte a besoin
de tout son sang-froid. De même qu'il faut bien se garder de le
troubler par des criailleries trop impatientes, ne le troublez pas
non plus par des applaudissements trop bruyants. Laissons-lui
le calme qui est nécessaire à son travail t veuillez donc m'ins-
crire sur votre liste, Monsieur, pour cinq francs, mais à titre de
souscripteur-conditionnel. Je veux voirie couronnement avant-
Voilà, cher Monsieur Durieux, mon sentiment sur le monu-
ment que l'on se propose d'élever à M. Thiers. Faites-en ce
que vous voudrez.

A propos, si vous connaissez un monarchiste qui ait l'inten-
tion de se porter candidat aux prochaines élections, conseillez-
lui donc plutôt d'acheter un petit fonds de pharmacien, c'est
plus sûr.
Recevez, Monsieur, etc.

Monsieur Bigognabd, à lagny,

Je crois que vous vous exaltez un peu facilement et que vos
illusions sur le petit-fils de Louis-Phi lippe voua procureront de
cruels déboires.

Parce que vous avez lu dans VIndépendance belge que le comte
de Paris se prépare à lancer un manifeste, vous croyez que la
France est sauvée, et vous vous écriez dans un accès de joie
qui tient presque du délire et beaucoup de l'imbécillité :

— Dieu soit béni !.„ les d'Orléans vont parler ! .. on va sa-
voir enfin ce qu'ils veulent.

Mon Cher monsieur, quand on a un caractère comme le vôtre,
quand on est aussi candide, 11 ne faut jamais sortir de chez soi
avec de l'argent dans sa poche, on se le fait voler trop facile-
ment.

Votre photographie de profil doit être bien amusante.

Ah ! vous croyez que les princes parlent pour dire quelque
chose ! .. Tant mieux pour vous, cela vous fera du bien .

Moi, monsieur, voici mon avis sur le prétendu manifeste des
d'Orléans.

Depuis deux ans que les d'Orléans ne disent rien, on devine
à peu près ce qu'ils pensent ; mais le jour où ils diront ce qu'ils
pensent, je crois que ça ne pourra guère servir qu'a savoir ce
qu'ils ne pensent pas.

A propos, si vous connaissez un monarchiste qui ait l'inten-
tion de se porter candidat aux proebaines élections, conseillez-
lui plutôt de monter une petite crémerie, c'est plus sûr.

J'ai l'honneur, Monsieur, etc.

Madame Ghi-llardot, à Gakors.

Vous me demandez que je vous envoie le nouveau roman de
Belot : la Femme de feu, en vous marquant au crayon rouge les
passages scabreux que votre position d'honnête femme vous
interdit de lire.

Je la connais celle-là, chère madame.

Je vous envoie le livre en question; mais ces passages au lieu
de les marquer, je les enlève.

J'attends de vous, naturellement, une lettre chargée des plus
furieuses imprécations.

A propos, si vous connaissez un monarchiste qui ait l'inten-
tion de se porter candidat aux prochaines élections, conseil-
lez-lui donc plutôt de créer un petit magasin de brosserie,
c'est plus sûr.

Recevez, Madame, etc., etc.

LÉON BIENVENU.

THÉOPHILE GAUTIER

Nous avons, pour parler de Théophile Gantier, choisi la jour-
née noire où Paris s'en va déposer, qui un sanglot, qui une cou-
ronne, qui un speech sur des tombes, qui, le plus souvent ne
sont guère que des piédestaux à la vanité des vivants.

Théophile Gautier mort! Dommage inestimable pour les let-
tres, pour la France et pour tout esprit qui, planant dans
l'humanité au-dessus des frontières et des haines des peuples,
salue comme des compatriotes Shakespeare et Rembrandt,
Raphaël et Schiller, Goethe et Michel-Ange, Mozart et Canova !..

Gautier, — dans sa jeunesse, — avait, dit-ou, étudié la pein-
ture dans l'atelier de Rioult...

Les couleurs qu'il apprit alors à broyer et à manier, il les
transporta, depuis, dans son style, — harmonieuses et flam-
boyantes. ..

Le rapin du pinceau était devenu un grand maître de la
plume. Telle de ses pages est un portrait ; telle autre est un
tableau. Je vous défie de parcourir un chapitre du Roman de la
Momie, sans être tenté d'ouvrir uq parasol pour préserver d'un
coup de soleil votre front écrasé par la lumière et la chaleur
qui se dégagent de cette prose.

L'œuvre de Théophile Gautier ne présente pas mal une vé-
ritable Galerie des Offices, une sorte de Palais Pitti, un Louvre
opulent et superbe où Rubens et Sanzio, Véronèse et Van-Dyck,
Lawrence et Corot, Diaz et Goya, Canaletti et Bonnington se
coudoient dans une rare et merveilleuse fraternité.

On ne saurait reprocher à cette œuvre que d'avoir volontai-
rement négligé de fouiller l'intérieur de la créature pour n'en
caresser que le contour. Gautier a toujours préféré les choses
et les bêtes aux gens. Faut-il lui faire un crime de ce délit si
pardonnable en face de nos laideurs morales, — de ce délit
dont madame de Girardin le raillait avec tant d'à-propos et
de douceur, lorsqu'elle disait après avoir lu Tra los Montés :

— C'est là certainement un voyage en Espagne. Mais il pa-
raît qu'il n'y avait pas d'Espagnols, quand notre ami y est allé.

II

Poète, Gautier a sa place marquée entre Victor Hugo et Al-
fred de Musset.

Montagnard de la grande révolution romantique, — dont il
se moqua, cependant, dans la Jeune France avec une verve de
Girondin, — on sait combien pesa, dans la bataille d'Hernani
son poiag

Qui sur la tête maure

Faisait cinq cents pour son écot!

Plus tard, fidèle à ses admirations et à ses sympathies il
continua à assommer sous de formidables feuilletons les bour-
geois au menton glabre que n'enthousiasmaient pas assez le
point sur VI de la Ballade à la Lune, le Pas d'armes du Roi Jem et
les rugissements d'Antoni; et, quand quelque abonné s'indi-
gnait de lui voir soutenir en pleine réaction ponsardienne
l'écrivain dont on venait de siffler I*j Burgravcs ou l'auteur
dont on venait de siffler Galigula :

— Pardonnez-moi, répondait-il en prenant une mine piteuse
je suis lié par des promesses terribles. Tout enfant, l'on m'a
fait venir dans un caveau, et là, j'ai juré sur un crâne humain
de trouver sublime tout ce qui sort de la plume de Dumas et
d'Hugo. Il faut que je tienne mon serment, sinon quelqu'un
viendrait, avec des lunettes vertes et un nez de carton, me
dénoncer à la Presse, dire que j'ai tué mon père et ma mère et
Girardin me chasserait.

Cette tirade qu'il débitait — textuellement, — avec un sé-
rieux imperturbable, ne vous prouve-t-elle pas que Gautier
n'était point aussi « ennemi d'une folle gaîté » qu'il s'est plu
à le dire lui-même? Non: le joyeux fantaisiste de ces deux
parades immortelles que l'on appelle Pierrot posthume et le
Tricorne enchanté n'était point un impassible, — et le rire, qu'il
proclamait impie, parce qu'il déformait les masques les plus
parfaits, venait quelquefois éclairer sa physionomie de sphynx.
L'esprit, non plus, dans ce qu'il a de plus raffiné et de plus
mordant, ne lui était pas étranger, quoiqu'il ait pris souvent
à tâche de se calomnier en le calomniant. Un jour, dans les
bureaux d'une importante feuille politique,. un grand person-
nage, dont l'honnêteté n'était pas précisément de la première
fraîcheur, lui disait, d'un ton rogue :

— Comprenez-vous cela ? Je viens de rencontrer Saint-
Victor dans l'escalier, efe il ne m'a pas salué.

Gautier répartit avec tranquillité :

— C'est que, probablement, il avait mon chapeau sur la tête.

III

Afiiau ne plaise que ces trois paragraphes, — écourtés par la
nécessité, — aient la prétention, d'être une biographie de
l'homme ou une appréciation de son talent ! ..

C'est un simple souvenir, — une brindille de fleurette, —
placés pieusement par notre humble journal sur le socle du mo-
nument aère perennius que les maîtres sculpteurs de la littéra-
ture ont élevé, depuis quinze jours, à la mémoire du poète-
écrivain.

Aussi bien, puisque nous venons de prononcer ce gros mot
de biographie, qu'il nous soit permis de rapporter, en terminant,
une anecdote que Gautier lui-même nous conta, la dernière
fois que nous eûmes l'honneur et le bonheur de serrer sa main
loyale.

C'était à l'époque où Camille Rogier, Arsène Houssaye, Gé-
rard de Nerval, le pauvre Ourliac avaient installé, au fond de
la rue du Doyenné, — un désert en plein Carrousel,— ce cénacle
de rapins oui poursuivaient bravement l'idéal à travers la mi-
sère et les obstacles renaissants. Gautier était l'un des plus
fous, et des moins argentés, de ces joyeux bohèmes. Un ma-
tin, une aubaine imprévue lui tomba de la Revue de Paris, ap-
portée par Balzac. Il s'agissait de faire, dans ce recueil, une bio-
graphie de l'auteur de la Comédie humaine.

Le travail devait être payé cent francs ..

Gautier s'en charge ; il le pourléche avec toute la maestria
qu'on lui connaît; la Revue de Paris est enchantée...

Notre jeune homme se présente pour toucher la somme
convenue...

— Voilà cinquante francs, lui dit Balzac en lui tendant une
pile d'écus.

Gautier réclame :

— C'est cent francs,..

— Pardon, riposte son interlocuteur, nous partageons, mon
cher ami...

— Mais c'est moi qui ai fait l'article...

— Oui, mais c'est moi qui ai fourni le sujet.

Paul Mahalin.

UNE CONVERSION

Le théâtre représente le salon des intimes au châleau de la Camar-
diére.

On vient de quitter la salle à manger, Le moka fume dans las tasses
de -vieux-Sèvres, versé par les propres mains de mesdemoiselles de la
Canardière, jeunes filles de la plus haute distinction, âgées l'une de
35 ans, l'autre de 40.

Tandis que ces anges de l'hospitalité distribuent elles-mêmes, à l'an-
glaise, les lasses aux hobereaux qui entourent leur mère, celle-ci
chauffe ses chevilles sexagénaires devant les laadiers de la haute
cheminée, souriant aux invités, et les captivant de la parole.

Quant à M. le marquis Pierre Herpinsol de la Canardière (il a 75 ani
sonnés, et sonnés à tour de bras I) assis dans le fauteuil armorié qu'a
tapissé sa femme, il cause politique avec un monsieur de Loyol, tout
de noir vêtu.

Quelques flacons de la liqueur digestive de la Salette attendent, sur la
grande table, l'instant où les pieux convives viendront leur demander'
un secours précieux contre les bâillements d'un mauvais estomac.'

un hobereau. — Vous nous quittiez donc, monsieur le Mar-
quis ?
le marquis. — A moins que la radicaille, comme dit mon

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