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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 5.1872

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https://doi.org/10.11588/diglit.3713#0244

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«jjMfeaMWCTBCWjffii



Brjapyy"-- -■ —

ÏS P£ LtC;B»SE

î™ paiSIE-: LA HETAJÎGHE

IfiàêQ qui fait bouillonner les cerveaux, l'espoir qui fait
bondir les cœurs ont pris, — sinon un corps, — un buste I...

La Revanche vit désormais, — dans le marbre et le stuc, —
ce4*ù-ci popularisant celui-là 1

IfSLaçp oui- jous cette image de nos rêves.

L'Éclipsé offre à ses abonnés la statuette de la Revanche.

C1i(j.cuq voudra avoir cette figure sous les yeux.

La statuette de la Revanche-, avec son piédestal, pri,;e dans
nos bureaux : 6 francs ; emballée avec soin et prêta à être ex-
pédiée : 7 francs.

Le pQ*'t reste à la charge du destinataire.

2e PîlIME : ;ilbam de la MINE et dp l'ÈCJV
Ceo.% dessins les plus célèbres de Gill, réduits au moyen d'un
procédé graphique tout nouveau, formant un album élégant
et portatif.

L è i ai luît'S sbhf d'une delfeatesse et d'une '

fidélité parfaite, et de plus on les a finement coloriés.

Le prix de l'Album, pris au bureau, est de 6 francs. (Ajouter
1 franc pour le recevoir franco dans les départements.)

J'AI REÇU VOTRE HONORÉ DU.

PETIT COURRIER

'Monsieur Terteuil, à FUmgny

Vous me demandez, monsieur, ce que je pense:du vote obli-
gatoire et des peines one l'un se propose .d'appliquer aux
abstentions.

Cela me semble une excellente chose.

ibl^ qu'après nous être battus

tr raven*tiquer un' droit sans

. oir vivre, nouç en soyons

ig.jr des amendes pour nous

îp I s jury de façon à ce qu'ils s'en trouvent mal ; ce n'es*
.pas plus sorcier que cela.

A propos, écrivez donc à votre député pour lui demander
ce qu'il fait à Versaille-; : maintenant que les cinq milliards
sont assurés.

L'ordonnancç

les Cabûulols, VOUSOCCU!


Vo
do i o'. veu$ interdire.*
■■■-Alon Dieu i... madame
Les cabnulbts so .. de j .
l'eau - 'ie cm; , □
toujours pour di
qu'au compta , mais q
,■ :.. ■
Ce soin . .

libourNin, à Etampes,

i de policé'jôont il est question contre
';ué, me dites-vous, madame,
, U-jè-Grand.

qu« c'est qre ces cabou.lols

1 égiens le dim mcUe..-

' cz délicat a vous expliquer.

.i l'on lébite des prunes à

■ g i ommatéâfs ne vont pas

j _ /, à cela que l'on n'y .vend

on y fait volontiers Vwil

pdu

vous dunner

Il me paraît seulrmei" -
cinq ou six fois en. Fi
lequel nous décla ions ne p:
arrivés à être forcés ■ e nou;
obliger à l'exercer.

J'ajouterai que cela me rappelle — et me-rappelle même assez
péniblement — un autre droit que nou3 avons'aussi réclamé
plusieurs fois eè duquel nous n'avtfne'-pas su faire un meilleur
usage qua«l nous l'ayons obtenu.

Ja veux parler de la garde nationale.

Avec quelle insistance n'ayons-aoBS pas . demandé en
maintes circonstances notre droit au fusil ? - .

1& il faut bien, en convenir, dès que nbus l'avons eu", cette
insistance à vouloir monter la garde n'a jamais eu d'égale que
celle que nous avons mise à refuser tous les billets de service
que, nous-'envoyait notre sergent-major.

Cela prouve--assez'tristement,-mon. cher monsieur, qu'en fait
de droits civiques nous n'avons guère que; des aspirations et
que si nous nous montrons très-exigeants- pour conquérir nos
droits, nous traitons îos devoirs avec un laissez- aller qui nous
jouera encore souvent de mauvais tours.

A propos, écrivez donc à votre député pour lui demander
ce qu'il fait à Versailles maintenant que'îes cinq milliards sont
assurés.

Recevez,.monsieur, ete.

M onsieur Delanoy, à Niort

i plus long que vous, monsieur, sur l'affaire |

ous J : a me.us que je pas

Demandez le reste à votre mari.

A. proDos, écrivez do] ç i(;(;>,..': ppu.r lui demander ce

qu'il fait à Versailles, maintenait que les cinq milliards sont
assurés.

J'ai l'honneur de vous présenter, madame, etc.'etC; ;"

Monsieur F.GCQue, ^.F-boi?i-Puljart (Pas-de-Cahjis),

Vous me demandez, monsieur, ce que je pense dé votre pé-
tition n° 4452, par laquelle vous demandez à l'Assemblée natio-
nale, que les facteurs, soient dispensés de distribuer les lettres
les dimanches ;t jours de fête.

Je pe'.se que, _i j'étais photograpbe, vous m'offririez vingt-
huit mille francs d'honoraires, (que je ne voudrais pas vous
faire votre portrait; vnus ' aevez avoir 'une tète à fausser un
objectif pour tpute.sa vie.

■;0n n'a pas idée d'une pétition pareille, mon bon monsieur !...
■Mais,' gros bébé chéri, vous n'avez donc pas réfléchi que les
lettres qui-se.distribuent le dimanche sont écrites, le samedi,
jour ouvrable.

Puisque vous teniez, à ce que l'on se reposât le dipaènehe, il
fallait demander on mè ae temps k rassemblée 'que les distri-
butions n^ fussent pas faite-, le lundi afin de ne pas encourager
les g ns à écrire des lettres le dim;1

Je;recevrais avec plaisir une mèche de vos cheveux.

A-propos, écrivez'-dônc à votre député pour lui demander ce i
qu'il faii à Versailles, maintenant que les cinq milliards sont j
assurés.
' Recevez monsieur, etc. •

Monsiïs:' Vermighet, à Lons-le-Saulnier.

— Bah!...

— I{ est perdu...

— Allons donc !

— Vois plutôt... }\ n'est pas sur la table, —nia terre, —ni
sous les coussins : il n'y a que mou corset sous les coussins...
— Mets-le dans la P >.trie,..— N.e voilà dans une belle affaire !...
D'est Flora qui va me faire une vie 1... Un cadeau de son Mon-
sieur !... —Vite, il faut remonter en voiture !...

— Pour quoi faire?..,

— Pour le chercher, parbleu!... Sur le boulevard, —où nous
nous sommes arrêtés,— en face de chez Tahan...

. - Avec cela o,u<j nous le retrouverons !... Et la Timbale d'ar-
gent qui c immence à huit heures ! ..

— Il s'agit bina de fa Timbale I... Que je suis malheureuse'!..
Un bracelet de trois mille francs I...-

III

Plus d'avant-scène ! Çlus de sophas particuliers ! Plus de duo
d'amour jusqu'au lendemain matin I Elle se désole! efee pleure I
elle s'arracherait les cheveux, s'ils ne lui coûtaient pas vingt-
cinq louis, — chez Diache, rue du Bac !...

Arrive la phrase attendue :

— Voyons, ma fille, eonso!e-toi. Trois mille francs, ça n'est
pas la mer... Thierret à avaler. On le lui remplacera, son bra-
celet, à Flora.

IV

RÉFLEXIONS d'àUTEOR

— En vérité. Monsieur, vous n'êtes pas à la eoule. .
Çpmme dirait madame Olympe Audouard.

Tenez, si vous aviez autant de diplomatie que M. Jules Ferry,
duc d'Athènes, ou que M. Ernest Picard, comte de Brabant, —
M. Thiers a dit : Les anibas.'aïes wnt m$ plus grands seigneurs,
—■ voici ce que vous feriez : ■

■ Vous- l'installeriez. Élis, au Théâtre de Julos Noriac, qui a
inventé M. Vasseur, ou. au théâtre da M, Cantin. qui s'imagine
avoir mv.eu'té Litolff... :

un moment où M. Milher chante ou d'un ins-
■ Judic. nu chante pas, vous vous éclipseriez
le courir au Palais-Royal acheter un bracelet
d FJpra..:
iaps un char nuviérolé, Vous vous feriez con-

le général de-pont-trop-court

■ lée en faisant apprendre à

■ iorie, les noms, préaoms,
les républicains de sa circons-

iral a adressé à ses troupes,
Igmënt, un ordre du jour
us patriotique que les pré-

Je n'en sais
Ducrot.

Je sais, comme vous
travaille h améliorer so i co
tous S£S' soldats, en gu.ise d ;
adresse et profession de c, .
cription.

Je sais, comme vous, que ce.gé
en prenant po session du cq îma
dans lequel i( n'a rien trou^
p-arer-à marcher .contre des « ennepiis de l'intérieur. »

Je s,ais comnie vous que l'on a répété partout que le général
Ducrot avait, il y a quinze jours, dunné ordre à ses soldats de se
tenir prêts à partir, sac au dos, avec .fentes et vivres de campa-
gne, etc., etc., pour une destination inconnue.

Je sais'comme vous que ce bruit.n'a pas. encore été démenti.

Et. ié sais, comme vous, que l'on a vu. souvent des généraux
qui ne s'fUdent pas montrés capables de grand'chose dans
telle circonstance, se montrer capables de tout dans telle
autre.

Mais, à part cela, j.e ne puis rien vous apprendre.

Trcs-prL'bnblenU'ut, la conduite dju, général va fah^s--l'objet
d'une interpellation à l'assemblée ià, nous pourrons nous'
faire une opinion.

Cène i ine.'Si la dreite le déf

.

Apr-opo - dépuré pour lui demander ce

qu'il fait ?. Vusailles, maintenant que les cinq milli.ircïs sont
assurés.

Recevez, monsieur, etc.

La limite d'âge de vingt-cinq ans, que l'on paraît dans Fin- |
tention d1* fixer pour les électeurs, vous semble raisonnable' et I
vous manifesti z le dé-ir d'avoir m<;n pprobation àce sujet.

Avant 25 .<tiï. ■ ' es -vous, un homme n'est pas. apte à. \
se faire un jugement si i ■ sur les choses publiques.'

Mon Dieu, monsieur, je M'essaierai pas de discuter cela avec
vous. Vous voulez bien me dire que vous êtes de .1801, c'était à,
peine utile, je l'aurais bien deviné.

Donc, je n'entre pas dans le vif du débat. Je me contente de
vous pose^: cette simple-question : ■ ..

— Puisque yous admettez qu'un homme peut être trop jeûne
pour voter, vous, d<::vez admettre qu'il peut- aussi être'trop
vieux Or, j'admets-vos vingt-cinq ans minimum et je vms ré-
ponds par soixante ans maximum.

Si je vous propose un amendement'ainsi conçu :

» Considérant que s'il est hors de.- doute que les jeunes gens
» sont trop légers, il ne l'est pas moins que les vieillards sont
» trop entêtés.

»' Décrétons :

» Les hommes au-dessous de 25 ans., ne sont pas électeurs-, I
» Coux eu-ciessus de 00 ans ne le sonj plus.' »

Accepterez-vous cet amendement Monsieur Vèrmichet? Votre j
réponse, que j'attends, décidera de mon estime pour vous.

Si vous acceptez, vous êtes un brave homme.

Si vous refusez, c'est que vous n'êtes qu'une vieille perruque j
comme toutes les'vieilles perruques qu\ t/iiuaginent» qu ; plus
un homme à été bête longtemps, plus il a d'esprit'.

A propos, écirvez donc a votre dép'ùté-pour lui dema:
qu'il s'entête à faire à Versailles, maintenant que les. cinq mit-.
liards sont assurés. t

. Recevez, monsieur, etc.

E:,pi-oii
tant où ...
souù ie pré


' Puis. . .
dtiire che

Vous sonneriez à la porte :

— Drinï... J)rinl... mm}...

La femme de chambre viendrait vous ouvrir...

— JNanine, Madame a.oublié son bracelet. Cherchez-le. Mie
en a besoin. Nous soupons, après le spectacle, avec de Chartres
et de Paris.

— Tout de suite, Monsieur'. . ' ■

VI

REGLE GENERALE

Le bijou perdu se retrouve dans l'armoire à glace, où Elle a
eu soin de le glisser, pendant que vous endossiez votre par-
dessus.

VII

MORALITÉ.

Le bracelet de Fjora est un truc,
tyléfiez-vous des trucs !

Ces créatures sont machinées comme une féerie du Châtelet.

? DE ?

LE .'SECRET J) ! QUSSTEOR

M droiW-
son onc-

ï immortels I — Qae les nues sont pâles, ce soir 1 — C'était
\ — Le aih-neld-is vieillard?\ — Soupponsl — La se-
ringue révélatrice,—Lod&ur fyyptiennel — Tout se dévoile,—

Le secret d ; qu'--teu,\ — Le crim<>.\ — Horribles détails\m__

Mo g!

LÉON BIENVENU.

Monsieur Dupreux, à Grenoble.

Vohs ne comprenez pas très-bien, me dites-vous monsieur,
la portée de la nouvelle loi sut le jury qui vient d'être votée. ' "

Ce n'est pourtant pas difûciLc.

Et les orateurs de l'assemblée qui l'ont soutenue à la tribune
n'ont même pas essayé de vous ibnner le change sur l'impureté
de leurs intentions.

Ils vous ont dit en toutes lettres :

— D:ins certains procès de presse récents, les jurés se sont
fort mal conduits en acquitant les joum l'on avait

conâés à leurs bons soins. Or , nous voulons éviter le retour de
paruis scandales ; et au jury, déjà pas ma-1 trié, nous voulons
ea substituer un qui le sera encore davantage.

Voilà, chef monsieur, le but, de la nouvelle loi qui échappait
à votre jugement, parce que voua avez l'âme bonne et naïve.

On a rendu, aux écrivains, l'anaé ■ jury qu'ils ré-

cTa'nraïént àepuio foog'texap's; i4^ s'en Éronvaleût bien; on ma-

?0U FAIRE T ÈI?E fi Lfl POLITIQUE

J^e Bracelet de S'Iora.

I

Bi ■■'.:.. Vous allez sortir. Il s'agit de procéder à un

truffé avec un prologue ;i. la.bi.sque et un épilogueau
vous 'J~-^ faire la diga^riop sur'un sopha
particulier, dans une avant-scène des Bouffes-Aphrodisiaques î
•ou des Folies-Cantharides .....

A'^onpoi^het, El!e accroche un mirifique bracclot signé -Ero.
ment-Meur ce...

— Tiens ; faites-vous machi Humant un trab'uco
je ne te connaissais pas co bib lue?

— Aussi/est-ce à Flora: £1 ; iété-no
honn'i.1 . va au spectacle avec son , .i liu.mac [....:

Ic.i, lin suupir i;:'0s*comtu.e M. Bar; gnou :

— Ah l ce',®est pas à moi que Ton donne des bijoux pa

II

On a dîné. Elle se rajuste. Un grand cri tout à coup :

— Ah ! mon Dieu I...

— Qu'y a-t il ?

. . Flora...

— JJ.il : .

— Ja q'o Val pïtra.-;,

.Tout le monde ge disait, dans les couloirs de la Chambre,
depuis pas mal de mois: ■

— Mais c^s djroitiers sont donc immortels?
■ — En effet, les droitiers, centenaires ou non, votaient

sans cesse, votaient toujours. Jamais il n'en manquait un à
l'appel.

dépendant, lorsque le résultat d/un vote important était pro-
clame, chacun se disait aussi :

— Mais voyez donc, comme les dues'sont pâles, ce soir?

De plus, le questeur, le grand questeur, le seul, l'unique, le
Vrai, l'inimitalole questeur, devenait chaque jour de plus en
plus rogue, et refusait avec plus de colère que jamais de laisser
pénéter les j ourhalistes dans l'intérieur de l'Assemblée nationale.

Etrange ! étrange 1

De plus, ehaqu.9 fois qu'on annonçait le décès d'un droitier,
au. moment où chacun se- disait, en se frottant les mains :
« J3on I — On va lui nommer un remplaçant radical. »— On
lisait dans les journaux du lendemain :

« Ce n'est pas le'duc un -tel, député, qui est mort ces jours-ci, c'est
son oncle s

C'était son. oncle. Il n'y avait donc pas à le remplacer.

En effet, le lendemain même, on revoyait le duc un teL, pâle,
affaissé .sur.son. banc, entre deux collègues, et silencieux.

Il était' pâle, il était immobile, il était muet, — mais il vo-
tait \

Parfois,- lorsqu'on le rencontrait, toujours entre ses deuxcol-
I-l^re?, à l'issue de la séance, et se dirigeant vers le vestiaire,
J on ne pouvait s'empêcher de dire :

— C'est bien singulier, cet homme-là exhale une odeur égy-
ptienne. Il a l'air d'une momie, en outre.

Etrange ! étrange !

Un jour, après un tour de scrutin, demeuré célèbre, et qui
amena le départ d'un ministre, un membre de l'extrême gau-
che ôrrant dans les couloirs, trouva au bas d'une porte fermée
un objet brillant qu'il ramassa.

C'était nne seringue.

Elle n'était pas chargée.

EtrangeI étrange!

Des soupçons bizarres germèrent aussitôt dans la tête du
membre de l'extrême gauche. Avec le courage du lion et la

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