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L' Eclipse: journal hebdomadaire politique, satirique et illustré — 7.1874

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https://doi.org/10.11588/diglit.6767#0080
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L'ÉCLIPSÉ

ches avec la serviette que le destin m'avait offerte. Autant s'cs-
suyer avec un morceau do zinc 1 ,. ,

A quatre reprises, la misérable serviette luisante glissa de
mes genou* mm la table. Quatre fois je dus me précipiter a sa
recherche, rompant dans l'effort, ça et là, quelque cordon de
ma toilette intime. Wçs souffrances furent vives. Ma face of-
frait les tons" Violents de la figure d'un apoplectique. Mais je
souriais toujours â Agiaé. Elle, elle riait-en dessus, 1 in-
fâme!) ' liLyjlAx t_ . X ^ >»^ai\ V1

A la septième fcte/Jfië murailles ne tombèrent pas, comme a
Jéricho, au sont^ïa trompette, mais...

— AfibeYee, Cwwntanuchflt. achevez !
Et Ciorljiieaw continua delà sorte :

— A û Septième fois.. , je vous demande bien pardon, ma-
damé... ftCmoment où je me glissais sous la table à la recher-
che de cette méprisable serviette... un bruit...

— Qui n'avait rien d'humain ?

— Qui avait tonf, d'humain, au contraire, se fit entendre. —
Quand j'ous le courage de me relever, quand je repris mes sens
enfin sous les regards aigus de toute une famille courroucée, je
vis bien que .je m serais jamais l'époux d'Aglaé ! — Et moi, je
ne lui sourjais plus* j'étais vert de honte...

— Ce pauvre Corbineau ! nous écriames-nous.

— Et voilà, ajouta Corbineau, pourquoi je suis resté céliba-
taire, et pourquoi j- hais tant le linge neuf, luisant, cyliudré,
inflexible. _ v . .

ERNEST D'HEIiVLLLY. .

d 7.1) BV

A'b vu

mnoieraq 01

GAZETTE A LA MAIN

LA S KM AINE

Dimanche 3 mai

jb fait froid. Mais toutes les épin-
gles, toutes les aiguilles des maga-
sins de Kirby Beard, poussées, —.
pointe en avant, -r- 4 la figure du
1'arision, par une bise furieuse,
n'empêcheraient pas celui-ci de
: s'aller promener le dimanche !

il y a foule aux Champs-Elysées, foule a 1 Exposition, foule
à l'hippodrome du bois de Boulogne!
C'est sur re dernier point que je braque ma jumehc :
Sur la pelouse, les spectateurs ont des cacherez et les spec-
tatrices des manchons. Dans les voitures, on devine des chauf-
ferettes et des boules d'e iu tiède sous les petits souliers décolle-
ta et lçs bottine à hauts talons. Adieu les toilettes printa-
Blèrfes, Ls Meus tendres, les lilas clairs et les roses-thé! Il a
fallu recourir aux fourrures, aux pelisses, — voire même aux
sorties de bal et aux couvertures de voyage.

■Qu'importe! „ . T II_____

Ces femmes sont héroïques F " ''f!f, I
Les voila, qui, à tous les vents, défient le rhume ne cerveau
^.bravent la fluxion, de .poitrine !
F.t dans quel but, Seigneur mon Dieu?
On interrogeai* l'une d'elles : ,

-- C'est doue bien amusant, les courses t j ........„.ZZ

— C'est mortellement ennuyeux, — ennuyeux comme la
politique, — comme un roman de M. Enault, comme une comS-
■ die de M. Legouvé, comme une conférence de M. Henri de la
PommerayeT

Lundi 4

vÀvuAf fia r aXfA-iQ.P. I JX I f)3ï ni*

11 fait froid. Tourbillon." de poussière et!-de grêle.mêlés.
Steeple chasè à La Marche et ouverture des Concerts-Besse*
lièvre pardevant monseigneur le comte de Chambord. Personne
ne reconnaît l'illustre voyageur. C'est tout simple : il n'y a
personne.

Beaucoup de monde, par contre, à La Marche.

La Marche est le. triomphe de ces demoiselles que les prési
dénts de la sixième chambre, dans la brutalité du langage judi-
ciaire, appellent fille Z... ou fille Y... sans s'en laisser imposer
par lea u*iues de s itiu, les noms de guerre improvisés et lés
petits hôtels dans les nouveaux quartiers. ,.....-........

Au re our, comme nous sommes en train de prendre le ma-
dère dans un calé de Saint-Cioud, une jolie tille se présente,

Le garçon s'informe :

— Que demande mademoiselle?
La jeune personne répond avec ingénuité :

— Monsieur, je demande un gagnant.

A l'Opéra, clôture des représentations de Faure. Cet excellent
chanteur nous permettra-t-il de lui adresser une légère et res-
pectueuse observa ion ?

Pourquoi diable se fait-il annoncer en représentation à Paris?

'A l'é ranger, à la bonne heure !

A Paris, Faure est chez lui.

J'ajouterais volontiers : — Qu'u y reste !

Après cela, vous me direz que M. le duc d'Aumale est bien
commandant de place à Besançon !...

Jeudi 7.

11 fait froid et il pleut. Bon temps pour lire au coin du feu.
Justement, notre confrère Eugène Chavette commence, dans le
Gaulois, un roman-feuilleton qui s'annonce comme des plus
intéressants : Le cabaret Renard. Le même Chavette publie, en
trois volumes, chez Dentu, l'Héritage d'un pique-assiette, un
drame plein de mystères, de surprises et d'émotions, qui aura
Mirement le succès de ses aînés, Défunt Brichet et le Secret du
Rémouleur.

MM. .laime-Duval et Charles Bridault ont l'honneur de por-
ter à la connaissance de leurs contemporains qu'ils renoncent
à l'exploitation des Menus Plaisirs et du Théâtre-Déjazet.

A propos d'impresarii, j'en connais un, loquet fut, un matin,
surpris par un fournisseur qui était déjà venu une cinquan-
taine de lois présenter sa note.

Par quel effort suprême ce pauvre homme était-Il arrivé à
pénétrer dans le cabinet directorial si bien gardé d'habitude?
Je l'ignore; toujours est-il qu'il y était.

— Monsieur, tit-H, je vous trouve enfin- Je suis venu cent
fois pour ma facture, votre caissier me renvoie toujours.

— Comment! s'écrie le directeur furieux, on vous a fait re-
venir pour si peu, je vais mettre bon ordre à cela.

Il sonné ;Mu bout d'un instant, le caissier arrive.
i-, Voiilo^vôns m'expliquor, monsieur, pourquoi vous n'a-
vez pas soldé cette facture?

— Mais, monsieur le directeur, balbutie le trésorier, c'est
que...

— C'est bie i-; que ça ne se renouvelle jamais; vous feriez pas-
so>- mou théâtre pour une baraque. Allez ! et que je ne reçoive
plus dé sflmblalves demandes.

'Le caissier' sort, suivi du fournisseur. Lorsque l'autocrate est
seul, il sonne à nouveau. Le caissier réparai'.
"—Vous n'allez pas payer cet homme, j'espère ? demande
-l'autocrate.-------

— Comment ! vous me faites remonter pour cela ! Mais sa
crcbleu ! coumient.voulez-vous que ju le paye, puisque je n'ai
pas d'argent !

Vendredi 9.

,11 fait encore froid. Reprise des Noces de Figaro à l'Opéra
Comique. Débets de mademoiselle Breton, — un Chérubi.-
mouche. Orand succès... pour madame Carvatho. Au foyer ou
me conte cete historiette d'hier ;

Un actionna're du Crédit départemental de France vient dé-
poser sa souscription au siège de la Société. Le versemem
opéré :___'_____.,---------------------------......

— Pourrais-je avoir Lhonceur d'entretenir un instant M. h

directeur? virifta *i «i '««sr ifidliLu

— M. le din c ear est occupé en ce moment, répond le ca s
si'-r. Prenez la peine ?e repasser dans tro.s quarts d heure.

,Notr<i actionnaire va déjeuner dans un rtstaur u,t voisin. 11
reste une heure à table. Il revient ensuite :

— Eh bien, M. le directeur est-il visible?
—• Trop t;rd !

— Cornaient, trop Urdï

Mardi 5

Il fait froid. Ce qui me console, c'est qu'ils'en ont autant en
Angleterre. La Patt Mail Gazette annonce qu'à Londres, le ther-
momètre est descendu à sept degrés au dessous de madame Prelly
des Bouffes Parisiens.

M£ Alexandre Dumas fait une visite au Salon.

Il définit ainsi le tableau de Boanat:

— 6"est le Christ des Communartls.

Mercredi 6.

T

Il fait froid...

Le Théâtre-Italien <i fermé sa volière :
Les oiseaux, gazouilleurs de la saison dernière,
Heilbronn et bellooa, vers Londre ont pris leur vol..
Quand nous reviendrez-vous, fauvette et rossignol?

Oui : AL le directeur vient d'être arrêté. Il tst en prison.
Si vous t-Ycz'à le voir, poussez jusqu'à Mazas.

Samedi 10.

Il continuo à faire froid et il pleut de rechef... < .

J',arnvc du Gymnase. L'Ami des Femmes ne me parait'pas
faire beaucoup plus de plauir au publie d'aujourd'hui qu'à ce-
lui d'autrefois. Êutondu ce joli mot de madame de P... sur
m-denrivlle X..., une actrice fort répandue et fort préten
tieuse : ________ — ffilil.VU (»

— C'est une personne trop connue et pas assez célèbre.

STAR.

«Cil..

BULLETIN FINANCIER

As-tu vu Lambert? C'est avec ce cri que,.il y a quelques années, tout
Paris s'est, diverti pen'snt plusieurs mois. As-'to vu Sadyk-Pacha? Voila
«H-<j«*se dii-eut 1 un « l'autre les banquiers anxieux, tand s que le spécu-
(■coutant aux portes, chercha à saisir le fin mot de la situation

reste
la

pour vendre nu acheter.

Mais, le ministre ottoman est toujours par monts et par vaux; s'il re
Ici, il devient lmpenéframe: alors, c'est comme s'il était a Gatala. Et
ialiiica-i<m du Sultan n'arrive pas !

El M. le baron de llusch écrit à ses frères de Berlin toutes ses lamen-
tations, tandis que son fré:e de Paris, M. Bambevger, qui est aussi celui
du député prussien, lui crie : Maurice I Maurice ! ne vois-tu rien venir "

Et la ratification du sultan n'arrive pas !

Mois le Iïcrr Kann, l'ami,le parent et le bienfaiteur de défunt M. M'-i
ton, se demande ?fl ne serait pas temps de retourner sa position sur lo
5 0;0 turc. Mais les frères'siamois de la banque allemande susnommé
4e supplient rt« n'en rien faire. Alors le Turc continue à monter, le Mo
bilicr aussi, et M. Ilaussmann se frotte les mains.

Mais la ratification n'arrive pas.

SIRH78

Lire le numéro 141 du TROMBINOSCOPE :

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de Lu Fontaine (xvn* siècle), qui paraît aujourd'hui, est plus
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contreront des trésors inconnus d'érudition, tandis que le
grand public,y trouvera mille suj ts de franc rire et de folle
gaîté. La 3° s';;rie (xviii6 siècle) paraîtra en novembre pro-
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la vérité des caractères et la peinture des mœurs au commence-
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sances historiques approfondies dont l'auteur a fait preuve dans
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