D E L A F O L I t.
nics 3 en titres rastueax de Béatï[sime, de Reveren-
clifjïhie, de Sainnjjir/ic, en bénédictions & enmalé-
didtions 5 ils se croyent quittes avec Jëstis-Ghrist 5
ils ne voyent pas ce qu’il pourroit avoir à leur de-
mander. Ce n’est plus ie tems de faire des Mirà-
cles : enseigner ie Peuple5 c’est une grande fati-
guej expliquer l’Ecritiire Sainte, cela put la crast
se de i’Ecolej prier 3 ii faudroit avoir du tems de
restej pleurer, çela ne convient qu.’aux femmes -y
être pauvre, oh la vilaine choie 3 se laisser vaincre ?
il feroit beau le voir, d’un homme qui croit accor-
der une grande faveur aux pluspuiiïans Monnrques,
lorsqu’il leur permet de Iui baiser le pied> enfin,
mourir, c’est la chose du monde la plus deiàgréa-
ble j & être attaché à une croix, il y a de l’infa-
mie. II ne reste donc aux Papes pour toutes ar-
mes, que i ces douces bénédidfcions dont parle Saint
Paul, (fk je vous répons qu’ils n’en sont pas ava-
res,) que les interdits, les suspensions, les aggra-
vations, les anathemes, Tes peintures vangeressès
& cette foudre terrible par laquelle un Saint Pere,
quand il lui plait, livre les arnes à tous les Diahles,
êc leur fiit faire un saut si rapide, qu’ellesvont mé-
me auelquefois par-dclà i’Enfer. Nos Très Saints
M 4 Pe-
T. Ces donics btngdiStiom. J Roni. c. 24. ghii' p/tr dcs pMollSfîauases , &
par des 'oeniâîùlions,. s ;duifcnt lcs innoctns.
2. Les pe'insitres vAH*ertfîis. } Ôn éxpôiVà Itome le ta-t'cMirri’tTiT E:c-
commnn.ié, p.eint stir de la roile, .g' .représenté-iPune- mantere lïicôifc :
ii cft assïs', oi a le vistîge A’mi suriëux : deux Diahîes à fès côrez, qui
lr.i mettesjt itrtfc coitsonne dë ftamrne : il a dîi feu (ods les pieds : les iii-
scriptions jToirt- horribies; & cependant, les spçftatcUiS troiifcnt cchï
foit divertisssaitt.
* Voyez la Pig. pag. zZa,
nics 3 en titres rastueax de Béatï[sime, de Reveren-
clifjïhie, de Sainnjjir/ic, en bénédictions & enmalé-
didtions 5 ils se croyent quittes avec Jëstis-Ghrist 5
ils ne voyent pas ce qu’il pourroit avoir à leur de-
mander. Ce n’est plus ie tems de faire des Mirà-
cles : enseigner ie Peuple5 c’est une grande fati-
guej expliquer l’Ecritiire Sainte, cela put la crast
se de i’Ecolej prier 3 ii faudroit avoir du tems de
restej pleurer, çela ne convient qu.’aux femmes -y
être pauvre, oh la vilaine choie 3 se laisser vaincre ?
il feroit beau le voir, d’un homme qui croit accor-
der une grande faveur aux pluspuiiïans Monnrques,
lorsqu’il leur permet de Iui baiser le pied> enfin,
mourir, c’est la chose du monde la plus deiàgréa-
ble j & être attaché à une croix, il y a de l’infa-
mie. II ne reste donc aux Papes pour toutes ar-
mes, que i ces douces bénédidfcions dont parle Saint
Paul, (fk je vous répons qu’ils n’en sont pas ava-
res,) que les interdits, les suspensions, les aggra-
vations, les anathemes, Tes peintures vangeressès
& cette foudre terrible par laquelle un Saint Pere,
quand il lui plait, livre les arnes à tous les Diahles,
êc leur fiit faire un saut si rapide, qu’ellesvont mé-
me auelquefois par-dclà i’Enfer. Nos Très Saints
M 4 Pe-
T. Ces donics btngdiStiom. J Roni. c. 24. ghii' p/tr dcs pMollSfîauases , &
par des 'oeniâîùlions,. s ;duifcnt lcs innoctns.
2. Les pe'insitres vAH*ertfîis. } Ôn éxpôiVà Itome le ta-t'cMirri’tTiT E:c-
commnn.ié, p.eint stir de la roile, .g' .représenté-iPune- mantere lïicôifc :
ii cft assïs', oi a le vistîge A’mi suriëux : deux Diahîes à fès côrez, qui
lr.i mettesjt itrtfc coitsonne dë ftamrne : il a dîi feu (ods les pieds : les iii-
scriptions jToirt- horribies; & cependant, les spçftatcUiS troiifcnt cchï
foit divertisssaitt.
* Voyez la Pig. pag. zZa,