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qirà celui des autfes (p). II a aussi fait uti

logus. (pag. , tom. 2. ) Cëpendant à la page ij 1
de ce catalogue, édition de 1694, on liü, Naucidis
difcipulus sait Polycletus Argiviis, diverfus db illo
Poiyckto quisecit fgnurn Junonis. J’ai tant vu qüe
l’inattendon produit des bévues , j’en ai tant fait
auiïi, que st je me détermine à paroître encore , c'e
n’eft qisavec la croyance que si je ressemble quelque-
fois à beaucoup d’habiles gens par leur côté soible,
on vcrudra bien se souvenir que je ne suis qu’Artiste.

S’il y avoit à faire un reproche de l’espece qu’oti
Vient de voir aü catalogue de Junius, ce feroit de n’y
pas trouver les noms d'Agafas, auteur du Gladiateur,
de Glycon, auteur de FHercuIe Farnese, & de quel-
ques nonrs encore , quoiqu’il y ait celui d’Apolionios
Neforos, auteur du Torse antique. Ce nom ainsi que
les deux autres, n’étant écrit non plus que sur l’ou-
vrage , & ne se trouvant dans aucun Auteur ancieri,
ne devoit pas avoir un privilege exclusrf.

(p ) Les raîsons sur lesquelles on appuyoit les éîo-
ges prodigués à cette vache , ne sont pas une preuVe
du grand fens de ses juges, & ï’inattention des mo-
dernes à examiner ia valeur de ces mêmes éloges',
n’est guere plus recommandable. On n’avoit que ces
deux ou trois questions à se faire : les veaux, ies
taureaux & Ies autres bêtes aui venôient fe trompér
à cette représentation étoient-ils connoisseurs ? Pou-
voient-ils en appercevoir les beautés ? Un mâuvais