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Q A Z E T X E □ E m AHDËNNE9

flllusrei

• parti.

l'Italie, La > r*mp» h

Un* u pression sur
il da la aort* ont indirect!
f • èfoanu BruVwIn*' ., d«tv<

E', 4111L prétendu
rtsnjvari alpin, epriorisu]
1* Ecrbls, • !• Oncle

eerituar m jttHtf- /

«11* ne participerait pu 4 l'eipadition d* BaloDiqii*, bornant
•on action ballieiilqus t uni ptrtiAipaUo* '
lion navale contre les cote, bulgt

s officieux.

etc. Celte abstention
.... ._** artidei prudenli
1 déJ4, pu- la » Gfoma.'f d'IIah» »,

ta témoigna aWt nervoellé ci

■fiant dta'arf dtalrtr U pâli, ai.....In m dliilocpemant da

H nu ['on.

Vla-4-vl* dt cette attitude cornet», U presse dos fameux
• défenseurs du peUM Btala • néeUim ae* mesurée violrn-
tu, Ul que le blocaj* dsi ttto ereesues. En Ut d'eiouee,
on déclare qui la peuple grec, ainsi que le peuple, runiiiiiir:,

armant da (airs leur banluw, selon les iutcnlions de 11 n-
il*",U nus w JusU da Us y okligcrl
Cest beau, l'hypocrisie I

LE LEUHRE REFUSÉ

ot l'cdu» da l'Ut d* Chypre, refusé* par k

Dapraa 1* » t/orauif Pal u, gui désigne claiiemer
comme responsable da cette poétique sir Kdtvord Grev, 1
■ilualion balkanique ecluelli

CRISE GOUVERNElffiîTALE CHEZ LES ALLIÉS

En Fiwce. pu moins qu'eu Angleterre, U solidité gou-
.éaeeuenti Latin-

d de Mil ::.

nlquea. Le correspondant parisien du

annonce roiraa uns crise de cabinet. I* Parlement seimt
paaauadé depuis longtemps des faute* ti mi qw dt t'uuuiu-
ptHenc. du gouvernement.

Oa hhiu que la présidant du Conseil actuel, M. Vi-
vian!, sérail ftligu* du pouvoir el on désigne conuue son

sel biea cesuau. Oa aouge égstasvenl 1 Clemenceau et
fiarlbou pour faire partie de la Dwivelle oouatiânaison. Le

jklteu* daaa U t !'.,■< ■ >.

La i Temps a parle ih£ri£ 4
meut*! prochain gui u produirai
4 taedm.

Après la prise d'IJskuiY

t.OOO priaonnura serbes. Laa Birijuuw prisait en outee 20
i> r.■:.( da matériel do e*erre 4 Nagolln.

A l'entrés da* vainqueur* la v«Ua d'Usluab élan paioisèe
de drapeau»: al da tapi» bulgare*.

CROQUIS D'HISTOIRE BALKANIQUE

1.0 ri de la conclusion de U paoï da Bucarest, la
Sot cedtr; mai» (Ue se tac tait vicuat d'une trvJu
moment, o* la twry* était epuisd par l'cBorl tourru
Turc*. De* la aifiuature du tmti de paix elle Mail
amener une rtalston de ce Irait* 1* plua lût poaai

Loriqu'frlaU la ffoerre twlkonique, oa t'était demi
déjà avec atnitM, « les gruodea puutai.cta ntstopaiiB
dehara du ûouiu. Usât ioraan'4 la autte d'un «onlàt trùct
Etat liai:, soupir at oae grande puiatsAoe, la eue rte e
prenne eetativ, faraouric sa ikaata'jdaa ^u* colle ocoe*
lu allatrtt bWaoiouca duaaeiil dire régieu eu mbnc ton

La Orèce, la Balgarlt cl la Rciinjanis adoptaroot uns neu-
tralité txpeclaUva. La Lulgaria oui des pourparlers avec let
deux groupes de Pui*ianj:et tu piiWtuce, cUexcLaot celui
Tulollrtlt les meilleure! gsranlkte en vue d* l'atteinte dt ion
but Lmuuable : la ktacoduut.

lu Pulisanrei de I Entente ta rcndnienl complo également
dt la nécessité de réviser le Iroil* dt DucarceL Anael le*
propositions de ces Puissances 4 la Bulgarie nt tenaient-
tilts plue compte de r» Irtilé. Elles contenaient let points
sulvonlt:

promis k la Bulgarie) IVtccri od-elts r^i-uiinnru. ic,

de lout cetal Elle ns «\etail itcovav que It ligne d'Euns-
Midia, flaéo par le tiaild da Luudict. Ur de la risjion Iroii-

10ns da l'Eiiieiilc onl du uv
qu'en a'y laissant prendre tlle i
a 1912/13, mois dons des coodiLoi

c qu'elle ittiurul. Les

ir Cousti

linoplc, oLligcont 'u

donna aucune lolisfartion t ses Bipiratioj

Les propouLuos de I Entenle s. la Bulgarie alsjent i
Insuinsanlcs, mais elles obligèrent les Alliés e, opérer ai
Serbie une pression cl k deroandor égokuienl h la Crtcc
concessioni Icmloneles que re pa/s roluat, lout en coi
Vint une impression ûélavorable 11 se peut que ceto ait
tribud il torlillcr la (irfcce dont son relus de logrin
l'Entente l'aide militaire que cMle-ei désirerait à prei
Auiourd'bui un grand danger menace l'Eulenle. Elle r

magne et l'Autriche se fermerait ub Jour par le cm
établi entre le front italien et serbe et par l'entrée d

innouiL Si ta iutie engagi-e |
toire ausU-c-aliouiiiidt, la cet

trouvera ctabhe. Alors les s

\ Serlde ae termine par la
la Loiaginaire d* J'Ente nie
irecle aioc CoastuuLaopte

s |an

■lllpld.

anglaise en Orient et en Medildiranéo, projet que Napoléon
avait^JadM SOnJn, Da lom l'Angleterre et set oli.és aperco.-

Sj-rie, où In Franec a ûlaipoiturrlt intinêts, in ctnal de Suci
al Jusqu'au gollt l'ersique

C'est la le cauchemar que l'Enlente désire écarter et c'est
dans ce but qu'elle a déesd* de prttor secours t 1» Seriie.
Un peu tard, peut-on-dire. Lore de la première oflenaiva
autrichienne, cette aide Ot déJnut à U Serbie. Les Busses
étalent alurs en train de poster les CarpaUms el j'Aulriclie

la Hongrie. Let Iroupea autriduennes ae tirent ub:
d'évacuer la Serbie- si t celte époque-al une année i
française avait été prûts en Serbie et avait pnursuli
'Autrichiens au dclù du Dauube, il se peut qu* la garni

Aujourd'hui la ailutiUoii ott toul »■■■-- La sjuam .

trouver un nouveau théitre de araaert iraportabct.

LA GUERRE NAVALE

! le grand craiseur | Prini ddain^rl »
ibau par diui cuups de torpilles d'un tous

Malheureusement une petite parue de l'équt
put Etre eaurci. [B s'unit d'un croistor dt

datait de MM. La pent *j vaissean lui-
,o pat 1res importante, ea qui par contre csl

inl que It vapeur de tnnaserl ar
■■ pr«s dt Ttagiai (cote sudaat d
i h . i: ,r.r. AiJtmand. i■ j

Cologne, B octobre 1(11.

D'apréa un télégramme hollandais, parvenu a la - Gr
util dt CoJoanr ■ la £0 octobre, un vapeur dt Iranipprl an-
sjkl* • été coulé par un sous-marin allemand pris dt l'Ile dt
WlgnL Ot nomoreui soldai* sautèrent ta mer

Dent cet deuj afdMtnpfcM (r.vira w» soldais anglais
auront ptrda la vie.

quila reproche ni hypo-
ituge que las Alliés ont

s défenseurs. L'indigna-

mit. fa popuiuii'ju n'eul pu It
£B femmes et onlanls ont été tui
la plus grande partie. Parmi
sauura qui retirent enenre dit i
tmpuiasanle dea Afflês, qui U

uitemenl au> Allemands. Le p

LES OFFENSIVES COUTEUSES

saigiieusciui

: ;,; :. . :.
« que

de la giand* pies*

tyulrdme droite. C'est axjai que 1' «Actaen rranfouc .. siure
l'attention sur un article de iletvé, ou ... j ■■■ tuaye de
rassurer les femmes et les marte au soldats français

envoyée en Macédoine, eu leur *Jflim«nl qu'enlre les mains

croit pu pouioir dire de tous le* autres généraui. Il écrit :

Hervé Que i.ea messieurs le dobroultlerd.

Quant oui parte»daormntaub«a parias trouptt daasaut
Ion de Is dernidnt otlenalïB gpJUrala Iranco-tog!sise, Hervé
as nous as-prood rtac d* nouveau. Ji n'y a g ..rc qut la

peuple français qui las ignore.

U hnkil it la Press Fimiejwr ti k bemn.

L» onmild du Syndicat de la pMtse puisiann* a dacidd,
k l'unanirollé, deremoltre au gouiemenient net protetlttion
motivée contre lu saisies et suspensions inégale* d'an grand
noaabre de ]oarnaui parisiens -Vota les prUuapaui p**a*gsa

Is fait d'a-air pu>lit du il

française t*r le* laUfabié

a lu Bail

MU Jtm Ouputr, E. d* HaUchi. Oêorfu BarlAouljf,
AeiAar Ueu*r. ««put/ fWraaftr. ddolana Brissm,
firaisi JuÉtH. Stéptmt Plelnm, û«or|« PratKI, iuiu
MosM. Henrv inaend

LA FRANCE VEUT SAVOIR

Tolr ! Dopuu de longs mois, I* peupla d* Frai
prsuve d un couraga, d'un* thnégatido, d'une t<
conieaiabUt. U a sut* d* dures tnreuvw; S a U

ÉCHOS D'ANGLETERRE

moment ce n'est pas encore le service obhgalom, niait le*
atfata sont dejt unsiMe* Dtpria ce projet, on veul envoyer
au front en preuùéra ligna las celiuaUiret. Ahora-i* jeune
AcgHii qui prétare rister ti.ii lui entreprend un (talit
v^tgr qu'il a rattrdé le plus larigtaniu pmMi ; K te

• dMl - deviennent tellement naiibret». que Lord Borcetord,
le a bocUopbseje ■ connu, soumettre s is Cbamnre un projet

vie . : . d têt pou* ainsi
ta pailla fsist, enregatrés
tns une rubrique apïaait du s Qa% ««<' i
que An j nu peilira tstijan au as ulant

l'ambusqué on ADgtetarn,

*olgneu<

Ufetp-t» ntalr

il est rare mie le roi parjjcipe ai

»»*issfs* n «m mmm n

:u suprême appel au peuple :

» l-Caaape ct.uiiie,

Ls »is«i>* se teinia* ainsi 1 ■ t>aiu das d

fV oie la fi
code..' L'a*
La JteSef.i.

F.'Jjm*TlJN iDE LA «HUi IL L

LA GRAVIERE

■ Cela ne servirait à rien pour le moment vu cet
disjioiilton* ak U troupe », rtpondjt tout bas l'ciflioïr,
en haussent let éjpaulei Puis vojïdJ que l'attroupement
augmentait et nmpliasiut maintenant toute la graviÈre,
U ajatsta fkm basai, an peouant m air putcraé et bien-
▼cillant : > lia reste, «e sont ait brama Uoupitcs, rie
boita camarade*. Paidbia ub aou seivbitlnuU, anaia au
fond bosas matants. Ht Mirent ktaa f u'itt iwit Je erloire,
Ies/jo»> de ls Franee ... .
Oa eclatt de ri

C'cat le granD mobJot aan donna le signul. Mais,
pendant ua'sl s *pj*OPha de nouwau du oherad, qui
«tait M toMomé, *»*irt«d, le vu., maoau* de ann tût*

c'eal une orapule al ut) itobc. u

« LArhe ia-oaunic » rtjjosU le giantl. furiouï ■ El
vii que U ai tant d'uiiutié fam cet ujjiinal, il faut voua
Irailer ks deux de la ruiiiu; niauiiae. Tient..... u

Et avec une latte il fra/pue doua luit de toute ta force
sur la tièle du cheval.

Celui-ci releva faiblement le cou. Cd« loi avait
oreié on oeM, qui dneouleit lentoninint le ton*; dr *a léle
LranlMSte. fsaa gimmi laealUaiaat. U ne mourait pu

tempe (tonfléet de colère.
44a*MUi>i- Allait-il tirer ei

r *e tirette, lot Mine* de la
pleine ligure du soldai? Une

le cheval, Je tareeaa, et lui brOia la cerve+lc-. Uitt masse
s'Écroula, le* «jualrc jambos s'étertdîceut.

Lot rieurt étaient lù, bouobe branle. Qatelquot-uni
filireiit, d'autrea te csuyaient .crbliget d'y ajouter
leur mot; ruait l«i jùret princnl netloiucpt parti pour le
moblot pj;^ *)e rigc, et, t'irmant à leur liiitr de
planches. Ut aï tient t isllaqiier il cet ■ ,.■ ..
Heurcutemetit qu'un set gtat- major surgit à et
moment, un vieil auvergnat, la poitrine toute cha-
marrée aie ntealaitlee, aui, rrvec des jurcmmtts IcrirblcB,
dispcria la ttuape. fuis, te reasurgeasit, il «otian dit

haute

;.::.'!■■ Vin; luvi cL
Au coin des rite*, deiriene les poilus de* grenges,
des soldats cuiraient, l'nsil à l'aguel, .cette singulière
trrettediQU. Le* manie dans Let pooliet, la cigarette au
min At. la beutebe. ils fonuÉfciciit baie.

■ t U
pri-
ent. Altcntionl On a arrêté un espion, un fruasica
masqué! Ah, ti nous tomme* Irabii, il quoi bon tout
notre coasngcr 'Pauvre ffanorl fit «ans les ruas du
village déjà tombota, li rtttucur aHtil etrajitlitsaate de
bouche *sa bopolie : - Cul un cafiioaj. i>

En ::;<:i. Jdi.i. le petit convoi *»ec le peisonnier
arrivait à l'auberge. Sur k palier, Le sergent fit balle,
frappe 4 la pente. Enfin, celle-ci t'ouvre. Une lervanle-
grsssouillelle avec un tioquot de rire sort de la
chambre, portant d'une main quelques assiette*, de
l'autre des bosUeillcs vides. iK-duns devant une table i
moitié desservie, une carte amUtotre tachée *V vin rouge
étendue lui, c'est le commandant

Avant oue le sergent puisse s'expliquer, il le nabioue.
Qa'il aille au diable, annti ttue oedui au'il «nènol Mai*
le vieui monaiaur pousse k teorgent, tire tan forte-
feuille de la poche, at icapoarit du pied, ctimiuandai
tilenco : u Jutq,u't pctjanrit commaudjinl dç l'infanterài
de la rnertiiG 4 Brcat, maintenant par ordre du dteta-
tcur, appelt au poste de.,., u.

f^entenetij ie froiaicmeol das papiers, que le coin-
mandant se hlte de lire, priie rme rhoise, qiri, poutsec

en arrière, se renvenc (car le commanda ni vile se lève),
puis quelques mots brefs d'explication, 4e tout domina
par la voix aigu du vient monsieur qui ne *o)erc aucune

En bas, dea faiargou* de bagages arrivaionl. Le vieux
monsieur quitta i'aubeige, .mus acc-egiter aucun aoeem-
pigncmeal. U* lalcUvt du tretiu lui remet des uaj)icri,
qu'il lit I 11 lumière vacilUnie d'une tlLunctte. J-uis, il
monte duis une loilttre. Et le cortège dispiunll duns It
nuit, calialé sur k: chemins rabotcui de la campagne,
avec la lumière falote des lanternes aux deux cotât de It

u haut di

jeU

ions enlever ses bottes, et dort d'un toi
agité. Le vent fouette k* feux HjiBbogrieM Au camp.
Et sur un «ontl rouge ae oVtsùv la silhouette d'une
sotokilcaque moitié ivre qui douai'.

Dans la reraninie dctiiusue cil coutbé k cidivie du
chaaal. La jtuuhet iaforau» .et lumâli&ei âtendurs 1
son sise, it semble cnjiu guAu-r ls volupté du repus. U
lune monte, glisse sur let sonimeJi de* moitUgnci, des-
cend dans let champs, ej grimpe t t&LlUon

dei reftel!

Vint un matin gris, couleur de nlornb. Dt ferme en
ferme, las coqs jetaient U {piaVt «V law csMOftco. Subi'
lement à gnuehe dan* lot cjianipt, une Cuaitlaik, uns
flambé* du petits coups tac. ait» I Au village. Jet toi-
dats ooittinunnl a drurnïir. C'est 1 ennemi! Quoi, 1 enne-
mi. Hait il ett loin! Jhen 1 craindre. £1 ils l'eurent, en

Mail déji le vllUige regorge d uliUnt, rpii cJieisu-
chent a travers la grand'rue, écartant, de leurs lance*
tous ceux ej^i^noitié hablllos, sortent des maisons.

tas*apte, ilt ont -diapa™. iPoutUnl. rua luit neiache-
•nanta'eet logé au bosd (Sa ui linge, dtm, bien 1 non vert
dont lot anisoni.il font ccépHor ua>* imaaiviU* lus d! ad)-

i. Main

entre lea huilât 1 widinaj. Isa bauleiMa* catsàe* d le
eJurtt giaand 4 terne. La* juubea r.iidw reavenaSct en
l'air, sj panait rntiatcaant maustrumneairal grand. Set
lèvres, couverte* de «mg caillé, soûl iQpluusct. de aorte
qu'on voit sortir Ut déni* blarscbct — ci c'e*i comme
un toucirc terrible, qui ■ l'air de dire : « Regarder bien!
Moi, j'ai eu ma pari sic misère "

m*»

-jid. l'ai

'A™

de l'ennosni — plut d un sentit un malaite lui moi,1er
1 la srorge.

• Au loin, du pelit-t liguti gjinitie» s afUVUcLiient,

dans le vjllorttmorit du ubÂntpt.

<i Tenir Ja tya,viére I « t'iciient let uli. i . .■
Les soldait grinmcul tout auioiir el t'euieIuppenl
d'un feu nourri, laodit que aù-l-o», tur les cousnet
On volt dei pclilj groupes s'agiler, et tout d'un coup
det nuaget, qui moulent en forme d'entonnoir. Le pre-
mier obus vole pai-dotaus L* gratière. et tombe pli
'-■- * U lisière dt I.- foret, ------

Jeu
•Mal d

« Mauvais »

n j--i.il -i lu t. sait! uUit pivs i

iimbec

oaW 1

- Nom de JXieu, je stu> touflW |* Ei un ciniiaine,
qui luer encore avait prit pari à La i-h.isse s 1 asjkNtù
tombe du haul lie «ou cheval, il n'est plui qu'un ' v»guc
tache de sang épandue sur It terre. (Un autre, un det
pire* braillttdi d'hier sort affolé de la lign-^ d.-s lirail-
leurs, ton menton dsJ fracassé, il le tient f **N|
de* deux mains.

(A suivre.i Pwït S*isrft7^cii^ani*i»
 
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