Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Overview
loading ...
Facsimile
0.5
1 cm
facsimile
Scroll
OCR fulltext
rrtix ■ 5 CENTIMES

Gharlevllle, le 17 Novembre 1915

Gazette des Ardennes

JOURNAL DES PAYS OCCUPÉS PARAISSANT TROIS FOIS PAR SEMAINE

On n'abonne dan» tous Ion bureaux da posta

KITCHENER

Où a'efloroe acluellement plui que jamais, dîna
le* ofïicinei oflIcieHri de Pirii et de Londres, d'incul-
quer iui payi allie* d'abord, à leun idversiirei tn-
luitc, et iinalenicnt lu monde dr> Neutres, la convic-
tion qu'en dépit des apparences. Ici gouvernemcnli
■ ngtnis, frincais et nuit n'ont jamais été aussi unani-
mes dam Icun espoirs | victorieux u, proclamai cl fi-
pelé* depuis quinte moi», en bel In phrat's soiioru et
uniiurmei.

Ce qui frappe tout d'abord, c'est que, malgré lt
I. ..i.ii de* faite, 1* . pbraie » deatinée à leurrer les peu-
ple* oe change pas, qu'elle reale Conime figée, pétrifiée
dam une immobilité tn:t vie et aaus Ime, démontrant
p«r cela même qu'elle n'a aucune valeur réelle, qu'elle
n'est qu'un vain atitmblagt de mois t'ides, deïocfiéi de
•Oui* résilié. .

Jamais encore la vanité dei « formules », que Ici
gouvernements allié* offrent i la crédulité de leur» paya,
n'a été plut frappante qu'aujourd'hui; jamais encore
il n'a été plut érident qu'elle* De terrent qu'à voiler
le* faits, ssns toutefoia jamaïa pouvoir en modifier la

L' ■ inébranlable et unanime volonté de victoire ■
n'a pu rmpfché In Russes d'être batlua lur toute la
ligne et repouun jusqu'au ccrur de leur pays, bieD au
delà de leun plut formidable» forteresses; elle n'a pu
empêché l'échec indiscutable de la dernière grande of-
fenaive anglo-francaite et elle n'empêche pat, 1 Heure
qu'il eat, la réalisation méthodique du pieu militaire
de l'Allemagne et de aei Aillé* en Serbie et dans ln
Balkans. Crotl-on que pour être sortie de la bouche de
H. Briand tu lieu de celle de M. Vivian!, la « phrase s
- 1er* demain plua cfùeac*. >

Celte question eat trop simplement logique pour ne
pat l'imposer ■ tout homme qui pente. Au moment où
de grands événement* s'aecomplitient, elle n'en cit
que plui angoiaaanle. Aussi avont-noui entendu la
pré*** française crier avec unanimité à l'oreille du nou-
veau gouvernement la volonté du peuple, exigeant en-
fin des acte* correspondant aux pbraies creuset I

Ce rénil otrancait ■ eu pour effet de montrer à la
parLie clairvoyante du peuple tout ce qui i'était caché,
jusqu'ici, derrière les belle! parole* de tes gouver-
nants, La France a fini par savoir, bien que vaguement
encore, que partout où le aang ■ coulé a Dot, partout
où I* tache militaire était pénible et coûteuse, c'ait à
l'armée )ran,-aist qu'incomba le g roi de 1* peine et de*
sacrifice*. 11 en fut ainsi tur l'énorme front de France,
dont les Anglais ne défendent qu'une minime partie,
barrant l'accès de la Manche et de leur Ile. Il en fut
encore de même aux Dardanelles, où la grandiloquence
de M. Churchill entraîna la France. Le prix que lui
coûta celte aventure reite un mystère pour celle-ci, qui
ne connaît que Ici perles dn troupci anglaises (ou plui
exactement canadiennes, australiennes, irlandaises et
indiennes) publiées avec insistance par le gouverne-
ment de Londres, dans le but 1res clair de Ici étaler
tout In yeux dn Ail ici. Ab, ti le gouvernement de Pa-
ria k décidait un jour i mettre en parallèle les sacri-
fice! de la France! Mais II ne l'oserait plua. 11 a laiué
aller le* chose* uiuti, croyant d'un jour ■ l'autre que
ces tacrificci se payeraient demain, attendant toujours
l'aide décisive de cette « amitié ■ anglaise, i laquelle
la myopie des politicien! de Parti a livré I* France.

Or, Albion n'a pu sauvé la Belgique, dont le gou-
vernement t'était laiué prendre au piège de m pro-
mette!. Et 13 y a quelques joura Sir Edward Grey dé-
clarait froidement que l'Angleterre avait tout fail ce
qu'elfe poussif pour sauver la Serbie, maia que l'aida
qu'elle avait promiae à ce petit pays • protégé » pu
elle, n'était pas précisément d'ordre « militaire a'I

En face de ce* exemples d'une cruelle évidence, il
serait étonnant que les Français clairvoyant! ne se
fussent pas demandé ce qu'il fallait encore attendre
de l'amitié anglaise aprè» les sanglants tcomple* dont
le peuple français l'a déjà payée.

Cette queition, le général Joflre l'a certainement
poiec Ion de ton dernier voyage i Londrei. On a dit
qu'il a rapporté l'aïaunnce que l'Angleterre participe-
rait dûment à la nouvelle entreprise balkanique, inau-
gurée 1 Salonique, et aux imporUnt* événement* qui
pourront te développer en Orient. Quelle aéra cette par-
ticipation? te demande-ton en France, où l'on a fini
par aavoir que c'eat encore l'armée française qui com-
mence par fournir lu troia quart, des effectif! néces-
uirc. i cette enlrepriae aventureuse, dont le but
suprême, a iivoir l'unique préoccupation britannique,
ut la uuvegarde de l'hégémonie anc-laiie en Egypte,
fuyt ai l'Angleterre t réuni a s'mifolr à la place de la
France évincée f

réponse aux sollicitation! prenantes de la France. Un
beau matin le monde apprit que lord Kitchener, le fa-
meux ministre de la guerre britannique allait partir
pour uns Importante miuion en Orient. Nous donnons
plua loin des détails tur cette miuion sensationnelle.
L'Angleterre attache-belle aux événemenla qui ae pré-
parent en Orient une importance telle qu'elle s'arrange
i y participer d'une façon bien anglaise, c'est-à-dire en
tachant d'y garder . t* houle main »? Est-ce dam ce
but, qu't défaut d'une armée suffisante, elle envoie Ut-
Ut le chef le phu énergique, ie plus bruUl dont elle
diipoae, »ûn qu'il tau* marcher rondement lu événe-
ment* — et lurtout lei alliés de t'AnoUlerrs 7 Déjà la
preate françaite prépare te terrain à l'bummc qui n'a
pu encore fait la preuve que son talent stratégique dé-

brutal conquérant colonial, mais que le* dilclttolei
rn.iil.irtt du Journalisme parisien rntourcnl d'une
auréole qui lui perroellri de manin le commandement
_ suprême qui lui kh confié tout au profit de 1 Atujle-

Nous ignorons dana quelle mesure ce comman-
dement ('étendra aussi aux troupes /ronçaiseï opérant,
dins lei Ballant et aux Dardanelles. Ce que nous sa-
vons, pir contre, c'est que ce lonl de* troupes fran-
çaises qui ont les première! payé les Frais des un-
glintc( rencontres avec l'année bulgare en Macédoine,
au point qu'un régiment français a été entièrement
anéanti. Ainsi commença l'aventure. Elle correspond
à la volonté du nouvcau~gouvrrncnient français, de
mener plus rondement la guerre que k précédent en-'
binet. L'Angleterre n'igore pas ces dispositions a belli-
queuse* s du cabinet Briand. Soyons sùr* que'Lord
Kitchener saura en profiter. ('Angleterre * toujours
tu faire jouer adroitement son a prestige », 11 où
d'iutrei donnaient leur sano. Esperc-l elle que le
• prettige » de Kitchener, Lord de Khsrtoum — contre
lequel W. Churchill, son collègue ministériel, a.
dressé naguère le terrible réquisitoire reproduit au der-'
nier numéro de la "Gazelle-, — lui épargnera un*
armée entière J

Car la prelie parisienne, — celle-là même qui i
Irait* en criminel. Ion de la guerre tud-africaine, le
bourreau des 'tmmù tt des enfants boen,' — se
charge d'iniufQer aujourd'hui aux soldats de
France envoyé* en Orient tout le respect admiralif que
mérite soudain te sanglant massacreur d'Omdurman
changé en - généralissime dé la civilisation ». Ce serait
vraiment un spectacle d'une tragique ironie que celui
de aoldala françiU) envoyé* 1 la mort par ordre de
l'Anglait qui toufQcls 1* Franc* à Fachoda I

BULLETINS OFFICIELS ALLEMANDS

rWéir* d* la guerre à l'Est, H î

Groult d'armés du /eld-marie haï von- Hindcnburg.
U ailuation cal uni changement.
Ci et là dea poussée* ru»sot lurent refoulée*.

Thiitrc de la guerre aux OuHiuns.
L* poursuite dam 1* montagne continue. Ln coli
du Jattrewac (groupe montagneux au aud-eat 'de Krute-
T*c) (ont pria par nos troupea. * i

Plui de i loo prisonniers serbes tombèrent entre no*

7hf«frr d* 1* guerre è l'Ouest.

Théâtre de la guerre i CEsI.
Croupe d'armés des Jeld-marichaux von ffinrfe/iburr/1
tl Princi Liopold de Bavière.
La situation est tant changement.

Croup* d'armée du général von Limïngen.

'(au nord-oueV de CxasturysL) dea

troupe* sltemaudu pénélrèrenl

nilratl-

Jitle opimJliTS. J3o//iCi

. L'armée du général Bojadjleff, venont de la Morava
du Sud, eat rn triin d'avancer en contact avec lei trou-
pet allemande*.

- . Orane Quartier général, le 15 novembre Wi.
Thiitre de la guerre i l'Ouetl.
Au nord-c*t d'Ecurie une tranchée uillanle fraef-
calse, de Soo mètre* de largeur, fut enlette «prit uu
violent combat et réunie 1 noire position.

Sur le reste du front aucun événement d'importance.
Thédfr* de la guerre i l'Eit.
Croupi d ormit du /eld-maréchal von Htndenburg.
Dans 1* contrée de Smorgon une attaque partie lia
ruue s'tftrondrt, avec de lourdes pertei, devint notre
poiition.

Croupi d'armé* du /eid-maréchal Prince Léopold
d* Bavière.

Croupi d'armée du oénérai uon Lini
A 11 tuile de notre irruption dans la lig
près de Podgacie, de* troupe* a
long—'—

ennemie

nngroà*u attaquèrent hier 'lur toute leur largeur lu
positiom (ruitei aur la riva oueat du Stvr. Lu l\usa*t

rejeté»; la rive ouest ut nettoyée de l'enne
Thédfri d* la ouerr* aux Balkane.
L* pou nuits continu* partout d'avancer.
Hier plua de 8,ooo priaonnlen et doute canona ont
été prit, dont 7,1100 prisonnier! et 6 canona pu lu.

BULLETINS OFFICIELS FRANÇAIS

allaquu durant toute la journée in i ; ils ont été chaque

De violent* combud d'artillerie se «ont poursuivis ou
cuurt de la journée dons plusieur* régions du front, notam-
ment : en Artois dam les secteurs de Loos et du bois da
Civsnchy, au nord de l'Avrc aux environ t d'Andécby, el sn
Quiinpngnc A l'est de Tohure ainsi qu'au nurd de Missiges,

Nos ballerios ont démoli su nord do Saint-Miluel une

Dons les Vosges, la lutte ra]jprocliéi> à coups de pétards
et d« tombes u encore éto Irts vin aux envirJns de la

Paru, > novembre 3 btoras.

Fusillade conlinue de pari et d'autre dans la région île
Loos. Plus au tud, cunitals de patrouille», duns lesquels
nous avons eu l'avantage.

De violents boni 1» r de ni en 11 ennemis ont eu lieu dans le
ici leur de Dcuiraigncs cl en Champagne, dans la région du
iiTrapéia " ; notre artillerie a partout et très enerEimiement

En Champagne, la canonnade a élé encore Irn vlotenlo
de pari el d'autre duns la région de Tu hure el de I* bults du
MeiniL

Dana tes Vosges, au sud de Lusse, nos cunoni de tran-
chées ont démoli un oloekhaus et dea abris ennemis.

du bon de Givenchy une attaque de peu d'étendue qui a élfi
facilement arrêtée par nos tin de barrage.
* En Champagne, nos ballcnes ont Irts clllcacemeiit riposl*
t un nouveau el violent bombardement dirigé contre nui
positions au nord-est de Ta hure.

A l'est de l'Argonne, a Vnuquolj ol au bois de Malon-
courl. Uc rffa coniUtlj a coups de Lombes et de grenades se
suai poursuivis au couti de In nuit. '

LE MINISTERE ET L'OPINION

elle doll enlrelcnfr ici centaine» de mJftfert d'inuafiilet.
Elle cil occupée en partie depuis ijuaiorie mois, el Ton ne
voll pas la fin. Où allons-nous.* Le payt n'a plus confiance.
Il reiif connalire la urale stluaMon. »

C'est en ces lerinct que le » Dadical m a cara.lerisc, Ion
de la deriuWa crise uunu.ttrielle la situation de lu France.
Depuis lors M, Briand esl rnonlo i la tribune el a pro-
nancû le discours qu'on coimnll 11 a obtenu la conlluiicc des
Chambres, à l'exception de la voix d'un député sceptique
qui préfînt attendre les actes qui suivront les Mies parait*
tant de lois entendue*.

Le* aclcsl Cesl ce qu'attend l'opinion.

Uaus le h Journal ■ du 7 Dcflhtmbr*, M. Giailet Hmnbert
écrit, après avoir fait l'éloge du talent oratoire bien connu

e peuple ,

El i.'inJAiMuni aboutira-t in
M. Clemenceau, lui, trouve 1

I E.pl^ue toi tant t'

La ■ nouvelle • censure.

premier à affronter les colères de la nouvelle Anaataslt ;

■ O iurpri« Indicible ! La cansur* Brland-Vlviini n'ait
pu diliérent* de Va censure Vivlanl-Brland, , , ■

LA SITUATION EN ANGLETERRE

Après la séance historique de la Chambre des Communes,
le discours de I' a accusé d Aurait* el lu critique! sévères
Il Bb Ejiv Carton, la Chambre de* Lords t'est occupé* 1
ton lour de la elltiatlou générale. D'abord, on parla de 1*
censure. Les quettiona posée* p*r Lord Lortiurne, Lord
Kilnrr et Lord Courlney étaient ta réalité autant, d'aliaques
el d'accusations plulflt violentai contre le gouveruement.
Lord Lotebum< dil entre autre : » Ou l'ut plaint que le
public ne sert pu rendu compte combien 1* altualion eat
grave. La niion, c'est 011'on a bouehl la êoweet li^Uana
d'inlorrottioni. On nom * dit que li discussion de ose
rnstieres était de nature i encounger l'ennemi. Mal*,
Messieurs, J'ennrmi t'y connoU beaucoup mina ail* nom-
mêmes I Ce qui encDiiraor l'ennemi, c'est noire sntepacilé et
notre trlraranancs ! Le seul mo'an de remédier à ces choses
désagréables, c'est d'abord la discussion et ensuit* l'Infor-
mation oompléle/...,

* Nous vivons aujourd'hui daut un broollUrd, et U est
temps que nous entrions sn pleine lumière. Nom avons la
Censure pour li presse, el le gouvernement déclin* d'infor-
mer le parlement lur beaucoup de chose! qu'il nous tant-
aavoir, et quant d nos màiacmli™, on la a attirer t de
voilet. u L'orateur elle ensuite i titre d'exenpls la destruc-
tion de la Colle de l'amiral Craddock dans l'océan paciflque
•t l'adiire d'Aneeri. h Celle arenlum d'Anven nous pirslt
tria étrange. On j a envoyé du aoldal* qnl n'étalent point
entntnét et des soldai* de lt réserve navale. Eal-c* que lu
autorités militaires on 1 approuvé cela? » L'orateur parle
ensuite de la perte de trois croiseurs dm* la aier du Mord
et critique très sévèrement l'entreprise du Darianelle:
n Nous savons bien ce que c'eil que celle entreprise, bien

loulu les soullrancea uuieu par elle. Nous uvons qu»
d'ibord Lord Fiiher l'est opposé I celte campagne, rosis
qu'il fui mis en minorité.... Comment U gouvernement peut-il
compirr lur noire confiance s'il commet de tetla Jauia. et s'il
baisse ensuite le rideau, de sorti mie nous ut puissions
empêcher une répélirwn d* eer /ouïes.

11 ...Nous ne uurlons oublier le pa^sé et 11 nous faut de*
garanties sérieuses pour l'avenir. Il j a de sérieuses dlffl-

rlintde» ci

Dndiite :

mondiale. Toutes les nationt sont
leur fut imposée de force. Toute* lu nat
leur bon droit et Veulent remporter la 1
Lei parlai humaine! qui sont évaluéei
morts et de mutilé), et lei dettai de gui

u épouvaalables qu'aura celle guerre •
on eit uni pareille dana l'histoire

, d'enfant*. |Sini t'en (percevoir, Lard Loribanu
"admet que pour 0 l'Ile » il n'en sera pas as xaém*. La Réd.)
l'r^imfi.;, iiranoet seraienl les /tommes oui su saisiraient pas
louie ;,-jjii()iii(é lonoraofc pour tmpUher uni auem d'usure,
qui tarait le malheur le plni funesle pouvant fnppar
1 humanité. 11 — On comprend facilemexU que 1*
u- flaiiy reltorapn 11 oonjt»t*> que» coe propo* onTrant
un nouvel horiion à la possibilité d'une xusix.
Quant au « Temps *, Il voue juile deux lignes ^» ee Au-

olllciel, de parler de a p*lx mu public Inmoiis î

Plut sévère est encore le discoure de Lord Milner. U
vu-riipa J thord de I* censure si lurloul du lait qu'on lup-
1,: ime. ou mutile les radiogrammes offlciela allemands, al
dit antre autre : u Lai Allemand* onl télégraphié partout
,;.e : ciiuijMge d'un tous-mirin allemand * été assassiné
par dea matelot* anglais. Celle nouvelle fut supprimé* loi.
L* conséquence certaine d* cotte suppression ter* que 1*
public prendra noln dmimuloiion pour us aveu dt- culp»
Mftté. [Eton aura parfaitement raison, tu que da nombreux
témoignages aocabloflla, laits sous la toi du serment conBr-
mont le crime du a Baredcmg n ! La Kéd.). Lu nouvelle*
sur la guerre qu'on publie en Angleterre trompent le public
constamment I Elles sont rédigée! par principe dan* ni

upULU.

D. quoi^ s'a
limple. Mou

1 lup prime mais
Et Lord Mllnsr
Chapelle, dliant q

xémple la biimllo de Neuve-
rmltions afocialles ci lièrent

loueKU f'oi entendu, dire par
que lu rapports oÊldeU d» tAU
Luni ■■.".( été plus Oignis de [ai que ceuM a* la Grande-Brt-

^'orateur «couaa ensuite la go un
laissé surprendre par 1* cris* grecque
 
Annotationen