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Gazette des Ardennes: journal des pays occupés — Januar 1916 - Dezember 1916

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https://doi.org/10.11588/diglit.2794#0248
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GASEXXE DES ARDENNES

La Querrt airlenna : Psns la Journée d'hier, un avion allemand

■ été s! ■ i per un de noi pilote», au cotira d'un comhal meuve-
jiiiili" I.opparoil eal tombé daua le* ligne» eDDemles, au nore
a* •ouauniont.

Parla, 9 mai 1014, 9 heures

Bn Arfionne, après un vif bombai dément avec des obus
lssi j wm; "11111, l'ennemi s tenta, haer, an fin da journée,
■m pttlto attaque s l'effectif de trois compagnies sur noa
—Iehcos enlre Le Horasea et le Four de Pans L< » Alla»

■ iinÉi, qui avaient pris pied un Inslanl dans nos éléments
avasuea. n'ent pu s'y maintenir et basent retirée), fortement
ap*'<n*T,. par nos fvux.

■anj la régmn de Verdun, assez grande] activité dea deux
arMUeoes dans les secteurs du Moit-Homme et de Douau-

shio de nos pièces a longue portée a bombardé la gara
da Sabeslopirl ., il da Vlgneulles). Un Incendia tut déclara
iiM lad h..."- do la gme.

■n Lorraine, contact de patrouilles dana la Yruiun da
Moacai

[tuit calma aur la resta du front

Paru, I mai 1916, aotr.

A l'ouest de la Meuse, bombardement violent du secteur
éTAvecourt

Bri On d'aprés-midi, nos troupes, au cours d'un brillant
•saaatt ont enlevé les pualtione allemandea au rrord-eucet
da Uort-Homme, nous avons fait une centaine de prison-
nsars et pria quatre mitrallleates.

Activité tkW " liante de l'artillerie sur la rosta du front

Paria, 4 mai 1916, S heures.

En Belgique, les tira" de notre artillerie ent bouleversé
Isa sryam a étions ennemies de la Grande-Dune et provoqué
sVtxpeeuion d'un dépôt de munitions.

A l'ouest t.ta la Meust, violent bombardement de tous le*
atesnwra. Conibata à ctiups da grenades dans le bola
sTaVTvaourt.

Au cours da la nuit, nous avons élargi at consolidé noe
satins d'hier au Msrt-Hoiiiane. Il se confirme que Le» psi te*
taaeailes ont clé considérables, particulièrement du fait
4a notre préparation d'artillerie, Sur un point, deux homme»
assit venus se rendre pondant le tir : Ils étalent les dernière
•arrivante dea neeupaats de leur tranchée.

A l'est de la Meuse, bombardement dans la région 4*
Vaax.

Bn Wolvre, notre artillerie a exécuté de nombreuse*
concentrations do feux.

Aux Epargea, noua avons fait sauter une mine dont
noos organisons l'entonnoir.

A l'est do Saini-Mlhlel, une forte reconnaissance ennemie,
•jul tentait d'aborder on ds nos portes de La région d'Apre-
mont, a été re poussée.

îvult calme sur le reste du front

La guerre aérienne : Un dt nos avions a livré combat * rieui
appareils allemands dans Is région da Douaumont 1 l'un eal tombé
désemparé, l'autre e pria la fuite.

Autour dm Im Oumrrm

L'ANNIVERSAIRE DU PRINCE IMPÉRIAL
S. A, I. le Kronprinx a célébré, le 0 mai, son trente-
quatrième anniversaire, au milieu de «es troupes et de
ses officiers qui vénèrent en lui le chef qui sait être en
mime temps un camarade.

Aux vœux de ses soldats, a ceux de l'épouse et de*
cinq enfants qui l'sttondent au foyer familial, A ceux
4e tout le peuple, allemand dont II défend victorieu-
sement la iiere et juste cause, nous joignons respec-
tueusement Ici noires.

LES FRANÇAIS EN GRÈCE.

Les troupes françaises débarquées à Salonlque viennent
de commettre une nouvelle violation de le souve ainoté
grecque. Un détachement frençaia, fort de 3 compagnie*,
a pénétré 1 Floiîna Lee Français ont coupé les fils ■ k-
graphiques et téléphoniques et ont arrêté, août prétests
d'espionnage, 12 Turcs et 1 Orea, ainsi que le teerétaire da
Consulat autrichien de MonaeUr, qui venait d'anlvse
fAthènes, Les autorité* grecque» protentèrent et réclamèrent
la libération des personne» arrêtées, mais les officiers répit
quorent qu'il» Braient agi par anlre de leur chftf. Ils me-
nèrent leurs prisonniers a Salonique.

Le gémirai Marrnil exigea du préfet de Seloniqun l'ex-
pulsion de deux Journalistes grecs autueliamant rnubiii-é*.
auxquels on rsproohe d'avoir des convictions pouvant con-
trarier les intérêts dee Alliés, (i)

APRES LA CAPITULATION DE KUT-L'. A MA HA.

Hervé, devenu porte-parois officieux, a'eet chargé de
rendre moins suivra la capitulation de l aime* anglaie* 4
Kul-el-Aniara Son article contient cependant quelques hruia
de vérité. 11 écrit :

a La Turquie n'aura pas porté bonheur, pendent 1 elle
guerre, à noa amis Anglais ; a pré* te gros écono de GaltlpoU
et le rembarquement, soua le l'eu des Turcs, le cepltulaflo*
de kut-ei-Amara, «n Mésopotamie......

■ L'erreur commise pur le grand étot-maj-w snglais an
Mésopotanue, est la même que celle qu'il e commis* a («al»
lipuli : il n's pua estimé S se Juat* valeur U puieeenee dm
l'armée turque, qui «a» un* très bonne armée, malgré lee dé-
se; très que lui ont tnitlgéa les Bulgare* en igi.V

(Rappelons que les adversaires d'alors apprirent a s'es-
timer au point d'être aujourd'hui allies 1 — Le H éd.).

s A Geilipoli, on s débarqué, è un eudrott «m la pres>
qu'tle ds Gsllipoli est très étroite et ou il était facile I l'armé*
turque de ae retrancher et do présenter un frout Infranohie-
sable : D aurait fallu débarquer ailleurs, et an forcée plus
considérables.

* En Mésopotamie, le général Townshend e payé l'erreur
de l'enfouear e près de bao kilomètres de le mer, evee une)
malheureuse petite division de i&,eoo hommes a peine.....•

a Ce qui devait arriver, arriva......

« ho einq longs mois, on n'a pu, malgré U proximité 4e
l'Inde, de l'Egypte,** le possibilité de recourir s l'aide Jape»
nuise, envoyer è son secours qu'un oontinrent trop peu nom-
breux pour le dégager Nous n'evoue jainai* t'ah* prveaéa,
nous les Alliée , comment s'étonner qu'il nous arrive si
souvent de manquer le train r...... »

Hervé cache à se* lecteurs les efforts aonglsots et déses-
pérés que les Anglsis ont fait pour dégager Townshend. U
ne leur dit pes qu'Us y perdirent en tout une oentaine da
mille hommes.

Il s'efforce de dégsger de l'événement, une note réjouie-
eante, en le mettant an rapport avec le service militaire an»
fiai* :

Bénis soient tous ces déboires I s'écrie-t-fl : soua ma-
rins, xeppoflns, eto____ s liénles soient surfont les leeoew

comme Geilipoli et Kut-el-Amare, puisque lr tout réuni -e
enfin, au vingt-ct-unième mon de guerre, décider les Anglais
à accepter le service militaire obligatoire I n

PERSPECTIVE D' a APRCS-OUERIIE >.

Noue evona esquissé dans notre dernier numéro lee
grandes lignée de ce problème de I' ■ Apris-Gutrrt s, qui ee
po-a sus pollliciens d'affaires qui ostt msnqué, emitre t'Ai-
lemsgne, leur premier coup : la coup militaire L* eoaaf)
économique et commercial réusslra-t-il mieux > Il eat persale
d'en douter 1 II y a des Français qui trouvent qu'ils ont saaae
e trinqué s pour les intérêt* de leurs polîticlens-fliuni lera
et que l'avenir que ceux-ci voudraient préparer au peuple

françsia n'est pas rose. Sur ce grave sujH, la ■ Biiaills s
publie un article dont voici les prinripnux pnMagcs :

a La première réunion de la Conférence dil* » pHrlemen-
talre Internationale * e été consacrée i des déclarations de

principe...... Les questions économique e'y furent qu'A

peine effleurées par M. Charles Cheumel et par M. LuitaUl,
l'un dea délégué* italiens. ^

0 Le député de U Gironde, dont l'esprit s'accommode de
formules simplistes, disait e Lorsque nous aurons bnW i«
miitlorijma prussien, etlons-ruiûs, m^îïi^urs. rnufiiuar è
ilre les eicifmej résigné** dt et qut j'appeiltnà le mili/o-
rismt commercial a> P^UsvnagiU ? »

« Uruer le inilitnrisnie prus*si>'r*, oui, rerte*. Nous vour
drions pouvoir sfliinier que les événements Sf dessinent de
telle aorte qu'il est d ores et d vlfc permis d entrevoir Is dé-
faite du monstre et sa destruction. En «llenili.nl, le monstre
nous tient trie, et U faudra que notre force s'flrrroissc dans
de terribles proportions pour que nous orrii ions su but de-
puis si lonjrtemp* pro< lamé

« Admettons toutefois que le mdilaruiiie prussien suc-
combe sous nu» oiiup* répet> * Reste, dit M Charles Chau-
uiet, le ■ militarisme commercial 11

« Noue u* demandons pas minn que de le voir régner
ailleurs que ohex nous, muis è U iv.nditmn fSM les industntU
et eamajM çonls oil<*s ne muts |aaaessj *ws im\«r muut /mues
U protiuil oue l*s Hitfh*» nous tuuuunf anv»» quatre.

a Si lee Alleinanda inondaient lt* n>ar*-kkée de urodutls i
bas prix, c'est qu'ils étaient ouli!l*t et dis» >pitnés......

s Et et l'on ai, denum. d'eutra ol>jrctif que de raye*
l'Allentagnei éronoinique ut le raiie du moi'dv. saitx>ii è

quelle vie d* caserne on condamne, par cela .......». U reste

de l'Eurupe t

• La perspective est sombre. Poser le problème en envi-
sa £ «m ni, pour l'avenir, deux rampa '■ \ eiuid" U pro-

duction mondiale, deux, cwnpA ennemi» dt par W eun^n-
hont, e'eet p*rpêtu*r la uufwe «t rendre imputable l au-
mtnee aUM nommas d* a>r>;ain. s

EN FRANCE

« MENAGEONS AUSSI NOS RtBE*V!3 DE FEMMES, s

Sous e* Ulre, noue tisons dans 1' ■ < * . 1 • :

L'est trte ]oll d'aligner des iiciotquaa nu eMen-

érlea a«r la rôle dea Isunmea ap'és ta guerre ; eVmivrii des
Snquétaa académiques pour savoir «i, duna la cité id^aie
que lee hommes noua bAtironl i la suite de la victoire (!J
noue serons gardisnnss du foyer, ou «lectrices, ou sûub-
prétètea.

Mais août voudrions bien que, pendant la jru*rr*> Ostr
à-dire tant 4e suite, on protégeai las piui huinblea et las
plue faibles d'entre nous.

Contra laa eecroca, d'abord

Jamais lee filous qui exploitrnt les femmes n'ont M
plus beau Jeu.

Voua anvaa * quai point sont u&quée* les ainlheuleu^ea
qui bénéficient d'une inocailun de di ^,e. Tus lea quinze
Jours, oa las somme de trouver du tra tdl, sous peine de se
voir i étirer tout secoure.

Or, las bmeaui dt piaeeuiefit oot été suppnmés. Et
eecl a donné naissance, ti i'atW de», • une industnt toqt
à fait phtlautroplque, car, eêlos le) pn^ ne |ic M. .L*n>»r-
sella, dans un pays libre, La charité doit être libre.

Bt Ceat pourquoi on voit pulluler don» tou-* les quartiers
de Parts 4es tociétét en&rtt&blee ajiml potrr but de pro>
curer tan chômeuses un tia\tjl bteri létnhn*. Seutemïïit,
les chômeuses doivent commencer par veiser un "droit
4 inscription ■ de 17 francs ; cette formalité une kh aceom-
plle, lea patientes reculent te coi^eit de rentrer -hes elle*
et de s'asseoir an attandnut lu f'n de In (Tiit-rre.

Mais c'est 1* la moindre des dara^n qui menacent m
femma

Voyes cee Individus louches qui, t le porte dee mairies^
fuettent les ] eu nés filles découragées.

10 Mal îaia

Voyes cee annonces qui demandent des débutantes
pour le théAtre et le café-concert, sans aptitudes spéciales.

Voyes le trottoir des grands boulevard*, qui, ,n a s,
en temps de paix, n'a offert un specuutls plus cynique.

M. Brieux, de l'Académie Frangidsc, a terminé son
enquête sur la )elouale des Jeunes poilus à l'égard de leurs
ranimée. «Lui qui écrit al bioa U dsvrait, maintenant,
entamer une enquête sur lee Lnquiétudee des vieux au sujet
de leurs filles.

LA QUESTION DES « PATATE! s.

L't Beho de Paru ■ vient da publier un article aur la rcxolte
dea pomm^a de terre, qui résume 1

t objectivité qu'on n'a
psi coutume de trouver dans es journal, les bons «fiels de l'effort

organise de l agriculture allumando. Nous y lisons :

■• Dans la France entière, dit-il, ménagea bourgeois oa
foyers populaires portent S la parmentiére un égal mtérét
Or, s'il est vrai que l'obondince d'un produit M juge k eut
pn* «ur te marciié, on peut craindra que le stoek naltoaaj
n uit étd fortement diminué, tant eat constante l'élévaUnt
dea cours Alors qus pendant les dix année* qui ont pre»
cédé la guerre, ils ont été en moyenne à fr. tt.ro le quintal
et de fr. s en nnâ. les voioi maintenant à Pana, suivant
qikihté, de 15 A 31 fr.

C'est la guerre, dtre-t-en- Oh I l'excuse eat facile. Chas
nous ne servirait-eIle pas A jeïer l'oubli sur bien des néguV
gences ?

Depuis 1*11, la France, ne st suffisant plus à «lis-marne»

Introduisait un tonnage important, dont la plus grande paj*
tis lui venait de Belgique. Lu 1913, une superficie ds l,b*s\Ot
hectares lui av&u procuré 135,téj0,Ouu quintaux 4e poAutiee
de terre, auxquel. s'étaïunt ajoutés &U),OU0 quintaux, resre-
senlanl l'excédent de se* importations sur att tiportationa,
ce qui lui avojl fourni au total lj0.35U,UOO qucnlau*. .Sur-
vient la guerre. En Ifté, U y a ltnvn#ion, puis en 191a une
grunue réduction des surfaces plantées, si bien qui pour
l'an passe on peut estimer a £X),Oi>U hectares notre perte sur
1913. Casa représente, en nv*ria, quelques millions de quin<
taux. 'Or, par comble de malchance, tl était lmpoesthle a la
Belgique de nous envoyer son appoint orcjtnaina, laquai ve-
nait avec lee année* de 1 million S 1,300,0U0 quintaux. La
déficit de nos appmvieionnements 1 donc été aoneldérable.
Quant à le eombler par une importaMon venue dee paya
lointaine, U ne fallait pet ï songer en raison du valume es
1b uiarchandiee et des difficultés du fret Le prix du traita-
port aurait transforma le légume populaire en un aliment
de luxa

pendant ce tempe, que et passait-Il en Allemagne » La
récolte 4e 191A avait été extrêmement abondante, la IKtV
de 4,351,000 hectar**, moyens dea cinq années areeadsRiea,
la culture de la pomme de terre passait à 3,Jso,00() hectares.
vEn 1915, loin de décroître, elle t'élargit encore ; eus a'axé
étendue, e déclaré 14- Thery, à l'Académie d'sgriculiure, 4
3,446,000 hectares, qui ont produll &8u milfiunt dt quialaux |

La guerre n'était donc pas un obttaelt è l'aeeroissemeni
da la production de la pomme de terre. MaLhturauatmtnlj
la démonalration uout vitn! d'outre-Ithin Et qu'un ne iua>
pose pas que le différence de recolle en Fronce at sa Aile>
magne soit Justifiée par un écart praporliunnel des supt/fl.
eiei comptantéts. Oc mil au-devant d'une aouvtHo déctp>
tion, car, a surface égala, A l'hectare, tandti tue l'Ail mo-jH*
rccueilfaU 1&0 auinlautt, nous n'tn oki*Motu pin ia mnitié f
Non, la véritable raieoa tient avant tout uux méthodes an
cours dans las dsux pays. Chez l'un on va a la dériva, c'est
la politique du laaaser-elltr, qut chacun sa débrouille Ghes
l'autre, il j a la aréoacuyaUon coaalaale de prévoir let ba>
soina de la nation at de a'orfaniser à l'avanrs en vus d'y
satiefaus. Rtconnsiasons que l'Allemagne 1 réussi un joat
tour de force en obtenant, pendant la guerre, un rendement
k l'hectare que nous n'avons jamais connu en France, même
dans lot années Isa plus (avorablea » . .

.Veste* pes Ik uae hoaee réponse aux sriielee rulieuls* dot
Barras est, dans la astis s sTske dt Paru s, parlant tans cessa
de l* 'sauna allemande et liraet argunent dt lauM Isa eataV
tentée sas auras prévantivas prises par l'eeprlt orpsaisalaur dt
rAliemapne T

Nous publions ci-dessous, en plus de notre « Liste de Prisonniers », une nouvelle liete du quatrième échange des Grands Blessés français rapatriés et se troueant actuellement

en France. Cette liste, qui sera continuée, renseignera les familles sur le sort d« leurs; c etU pourquoi nous précisons, pour chaque blesse échangé, le genre d'invalidité dont il eat atteint..

Lus nome publiés dans cette rubrique spéciale des rapatriés ne s'ajoutent pas aux chiffres de nos listes régulières et sont d(*jà compris dans le total dea 330,000 prisonniers français
en Allemagne.

LISTE N° 42 DE BLESSÉS FRANÇAIS RAPATRIÉS

Ornbret^César-Joseph, Infsnterie ioS, main et bras gauche

paralysée,

fisemot François, infanterie 70, muacle cervical paralysa.

Hummel Etienne, Infanterie so8, lésion oeil droit.

Lfliilt Léon, Infanterie aai, fracture bras droit.

Benqué Adrien, infanterie il, main gauche paralysée.

Sonnet Jean, infanterie 11, dépérissement muscles.

Legras Henri, infsnterit 18, bsllt épeule gauche.

Sue Etieniio, caporal, infanterie 173, bslls bras gauche.

fenct MédOric, infanterie 273, coude raide.

Bennain Paul, infsnterie 30, éclat d'obus cuisse gauche.

faucheux Léopold, dragons 37, balle bras droit.

Feigneur Léon, chasseurs alpins f>i, éclat d'obus cuisse dtl

Boncly Denis, infanterie 173, jambe gauche amputée.

ftuyader Jcon, infanterie 154, cuisse gsuche smputee.

Bramoullé (^uuleou, Infanterie 3t, jambe droite raide,

Tcrhagre Edouard, iufunterie >5i, jambe gauche amputée.

Martin François, Infanterie i33, balle cuisse droite.

ÏTicollé Georges, infanterie coloniale 1, fracture cuisse.

Arvet Albert, infanterie 81, jamhe droite paralysée.

Ctomcnil Adolphe, infanterie 388, genou gsuche rtide.

Bouvet Jules, infsnterie 345, jambe droite psrsJyaée.

Solidi JérOmc, infanterie 73, jambe droite amputée.

Labruussc Ituoul, infanterie ifia, Jambe droite paralysée.

Thomassm Guorgea, zouaves, fractura cuisse droite.

Bcrmcl-Caron, Joseph, Infanterie 170, balle bras droit,

Demoine Victor, infsnterie ni, genou droit raide.

AJibcrt Gustave, caporal, chasseurs alpins, jambe dr. raldia,

Aligayrou Joseph, infsnterie 58, msin droit» paralysée.

Ourdinesu, caporal, Infanterie 338, mslo droite paralysée.

Nôcl Joseph, infanterie 118, msin droite paralysée.

Mer Michel, infanterie 81, main droite paralysée.

Guignaid Louis, infanterie 10, blessure bras gauche.

Gras André, infanteris i5o, bras droit ampute.

Domino Louii, infanterie 109, pied droit paralysé.

PedinitUj François, infanterie 173,. bras droit amputé.

Lcgangcur Frntir. artillerie 8, maladie de çoiur.

LeqUeesM Rohcit, infanterie 64, main gauche paralysé*.

Roiuscsu Félix, infanterie 63, balles deux Jsmlies.

Salmon Julien, infanlurte 70, halle cuisse droite.

Crcspin Jules, infanterie 34a, Jambe droite paralyitfe.

Avignon Virlor, infiuitcrie 78, balle tfte.

Biuliard Auguste, infanterie 37, pied droit paralysé.

Mcriqutt François, Infanterie g4, éclats d'obus Jambes.

Datin Vuior, infanUrie 143, balle cuisse,

Blaisse Josoph, caporal, infanterie territoriale 45, tulercuL

Saulignas René, infenlenu 9, perle oeil gsuche.

Boubert François, infanterie S7, Lolle bassin.

Blouse César, infanterie 87, alburnine.

Hlru Emile. Infanterie 367, balle épaule gauche.

Jsballahhc IiilLasscn .\folem, tirailleur algér., Lalle jimba

Serogct Jean, infanterie agS, jsmhe droit* smput^c.

Dhery Michel, touaves 1, jambes paralysées.

Sraiscau Sylvain, cepoial, infanterie i44, tuberculose.

Lemmonier Chtrlst, infsnleris coloniale t, genou raide.

Dubuche Pierre, infanterie 6, hanche gsuche raide et jambe

fauchs raccourcie.
Civet Auguste infsnterie a5, genou raide et f rat turc tuiase

droite. ,

Ileapée Jules, infanleria 163, fenou fsuche raide.

Lcjird Arsène, infanterie n5, pied droit paralysé

Langlols Jules, infanterie lao, tuberculose.

Variet Georges, infsntaria 316, balle abdomen. -

Moreille Jean, infsnterit So, bras smputé.

Soulet Joseph, lnfantaria 60, bras droit amputé.

Chavout Pierre, infsnterie 3oo, bras gsuche smputé.

Pitrel Anslve, infanterie 71, genou droit raide et jambe

droite raccourcie.
Marguct Auguste, infanterie territoriale 7, pneumonie.
Delanuoy lienri, inf&nturie i45, pied droit paralysé.
Kochcnsky Léon, infanterie tetTitonnle 14, perte cell <'-jU

et faiblesse de l'csil gauche.
Amirauit Hippolyta, infuiHerie 80, jamhe gauche raccourcie.
François Emile, infanterie 136, Jambe droite roocourUe.
Fe.ll Auguste, infanteno territoriale 37, jambe gauche ra*>

courcle.

Cornu Henri, Infanterie 139, pied gauche rside.
Lehieg René, marin a, genou droit et pied raid**
Vandcrvclde Jules, infanterie 37, pied guucha raids.
Gavetle Georges, infanterie 367, jambe droit*, rei'oun-le.
Mausesu Jeso, infsnterie 87, genou gsuche raid».
Robin Henri, infanterie 85, jambe gauche raccourcie.
Lofcrrere Jean, infanterie 4g, pied gauche raid*
Damaignan Félix, Infanterie is5. jambe dmitr reide
Boucoud Louia, infanterie 1r u, belles main droite at f1<* I «tp.
Friot Msrius, infsnterie territoriale i4. tuberoulo**.
Renault Raymond, génie 1, fiectur* jaitilitt geucb*.
Vossart Victor, infanterie 337, jambe sjnsche i. I*.
Tesiier Heu ri, iufuntene 119, janibe gau< he rs'n>urcia,
Treuil François, infnnhTie ioo, blessuies j:niLe :.■ .;\

épaule gauche et main droite.
Lejeune Auguste, infanterie a43, ajéisau raid*- "i Mi"'"* c*a>-

courcie.

Trevilly Constant, nrlillene coloniale a, iS I.it d'olni euikse
droite.

ssaanbeflt Albert, infanterie a30, tubcn uluse.

Ory Théodore, infanterie ia4, tuberculose

Rothicr Louis, infanterie lerrUunale 17, pit-d ('..ni lu1 raide

. et jambe gouebe rnccoim io.

Daugnet Lucien, Infanterie 361, Janine droite rsecourtia,
Rayle François, infanterie n.'i, fraetuns lUittS drnltt et i

ralysie partielle.
Dourin Psul, caporal, infanterie coloniale ai, b.tUr eiiîut

gauche et pied gauche paralyse
Brouitaut Jacquet, infanterie aS3, fracture cheville gaucha.
Outtier ftené, infanterie 310, fiacture jambe.
Ruffin Augustin, iaJanierie 108, cuisse limita pti lytéa.
Vac Querie Georges, infante lie territorial)1 n Uilicrrutoea.
Mida\nine Louia, infanterie i£3. hfn< b" gnurbe i,<l>1ï «t

cuisse gain lie broyci;.

Guerm Jean, chasseurs à pied 18, tuberculose.
Soulon Jean-Baptiste, infanterie cuiuniile ai, jembe ri roi te
raids.

Laroux Antonio, infsnterie i5S, éclat d'obus jsmbe droite,
llerrada François, infanterie 11, éclats d'obus apeult, bru
et noa.

Maillard Joseph, infanterie 53i, ttlst d'obus oAté gsuche.
Lejuune Raoul, Infanterie i4S, pied droit reide et Jante*)

droite raccourcie.
Durand Samutd, otporal, mfanterie i3!t, tuheroulosa.
i- ii François, infanterie ig, pied d'olt raide.
Morvan Laurent, infanterie 19, jambe gauche raccourcie.
Hirsch Georges, infanterie 10a pied droit raide.
Laporte Jecu, infanterie 378, pied droit raide.
Rlerïot Marie, infanterie 10, jamlie gauche amputée.
Ricard Cerdinal, infanterie 11, tuheroulosa.
Duhae Ange, infanterie a4y, tnberculoae.
Lcioi Camille, infanterie i3o, tubeiruloae.
Yoncourt Yves, infanterie teiritonule 78,'balle bassin.
Vincent! Pierre, infanteno 160, halle bassin-
Gardelia*Lûuis, Infanterie 83, Jambe droite amputée.
Margot Louis, Infanterie af>, balle poumon,
rinance Emile, artillerie ia, tuberculose.
Lebeeque PUymond, infanterie is8, atrophie main droite.
Flopot Arthur, artillerie 1, svnrie

Berthelot Gustave, infanterie 43, néphrite chronique.
HeiTeyre Gaston, infanterie coloniale 7, balles eulsee droit»

et main droite.
Melin Louis, infanterie aé.7, atrophie msin droite.
Potier Jean-Baptiste. Infanterie territoriale 83, tuberculose,
Itouin Henri, infanterie 83, tubercules.
Papillon Eugène, infanterie freetura pied gsuebe,
Pelissler Alphonse, infanterie 81, balle sbdomen.
Sexuel Jeaa, infanterie 68, tuberculose.
Jatetn Ernest, infanterie territoriale s, tuberculoea,
l'ollet Rapbsul, Infanteris 10, tul>emiileiee.
Marlsud Emile, sousvee 3, tuberculose
(ihaumont GtOiféa, infanterie iao, coude gauoho raide,
Routtelfat Martel, infanterie Sg, tuberculose,
Latigue Marcel, sergent, infanterie îau, tuberculoea.
I^nndau François, infanterie 84, troubles mentaux.
Detlffy Jeen, infanterie tcrrilorlnle, troubles menteuat.
Voquer François, infanterie 53, troubles mentaux.
Meus Yves, infanterie fa, troubles mentsus.
Pcletfa Simon, infanterie coloniale 1, troubles mentaux.
l'f. Iioissard François, infant, coloniale 6, troubles nwnUtss»
Corel Cumille, infanterie 44. troubles menlaui.
Au railla René, inrnulrrie terri toria ta if) fineture bres gsualst
I.eiillayer Jean, infanterie a8, jsmhe gauche emplit**.
Cas Maurice, infanterie 38, jambe gauche amputée.
Mata Félix, infanterie territoritlt 38, Jambe gauch* ampasV
Cappe Auguste, infanterie 367, fracture jambe droite.
Odard Léon, infanterie territoriale I, borgne oeil gsuche.
Roulaln Jean,' infanterie territoriale 74, fractura jambe S>
1 Vus Marcel, infanterie coloniale 6, jambs gsuche peralysan.

Villot Msuriee, Infsnterie B, genou droit rtldt.

Thiélou-Huis Pierre, infanterie a3, jsmbe droite ampuléV
Débuchv Farnand, génie 1, fracture puisse droite.

Luc Désiré, Infanterie 188, fracture euiaae droite.

Berael Henry, infanteris 87, fracture Jsmhe gauche.

Louis Georges, infanterie 170, paralysie. v

Lalipier Pierre, infanterie 65, fracture genou gsurha.

Simsrt Henry, infanterie 101, perte cpil gauche.

Latruffe Georges, infanterie 119, éclat d'obus figure,

Quillevaré Jsan-M., infanterie 19, fraelure jsmbe droit».

Madouni J., caporal, infanterie territoriale 1, halle épaule

Roger Léon, infanterie i3l, jsmbe droite amputé*.

Bruant Lucien, infanterie 106, fracture jambe gsuche.

Mcnge* Pierre, Infanterie i35, pied smputé.

Dubois Alfred, infant, territoriale 1, blessure genou gauche.

Dupin Français, infanterie 3a, balle Jambe gsuche.

Lelièvra Léon, infanterie territoriale so&, jsmhe droite ainp,

Jouan Léon, artillerie, balle jsmbe gauche.
Thomss Joseph, infsnterie i3a, balle genou.

Urbsin Victor, infanterie 38o, fractura jsrnbs droite.

ningot Henry, infanterie 308, jambe gauchs raids.

Lenusae Laurent, infanterie 63, pted droit raide.
Brenid François, infanterie 3, balle jambe gauche.
Pisson-Lavigne Marc, infanterie 83,-balle genou.
Lapeyr* André, infanterie coloniale 7, brci droit smpui'
Tallot Félicien, infanteris us, fracture tsltm droit.
Leclerq Emile, infanterie 43, Jsmbe gauche rnMe.
Défais Pierre, infanterie 77, fracture jambe gauche.
Jonnet Mercel, Infanterie ai, bras gauche amputé.
Duneux Alfred, infanterie 87, méningite.
Farabot Ivsnny, infsnterit i5q, balte genou.
Coulalsn Jean, infanterie aig, balle jamhe droite. *
Thomas Jean, infanterie 70, balle genou.
Verauler Jtan, mf. nlerie ia5, fractura jtmbe gaucht.
Cbartler André, Infnpteris 117, fractura jambs gauche
Colvsn Joacblm, chasseurs, jamhe gsuche amputée.
Coche Louis, chaleurs 17, jambe gauche amputée.
Angles Meriua, Infanterie 17, jambe droite amputée.
Rebonln René, Infanterie 78, frftrture jamb«i panent.
Baltetart André, Infanterie 16B, Jsmho gauche amputée
Darras Albert, caporal, infnnteile 69, fracture Jsmbe dri t
Proisy Albert, infanterie 387, belle jsmbe 1,-aurhe.
Ciraud Georges, infanterie 160, balle hanche droite.
Berthelot Albert, chasseurs, jambe droite amputé*.
Cottard Gustave, Infanterie 161, fracture jambe gauche.
Melon Joseph, Infanterie 60, jamhe droite empotée.
Bertheux Auguste, infanterie coloninle 1, balle haurhe
Colot naymond, infanterie ssS, Jsmbe gauche amputé'
Lhorty André, souavee, balle bras droit
Demsy Joseph, infanterie 338, belle poumon.
Coutier Olympe, infanterie S3s, fractura bras gaurht-
Caullrré Jean-M., Infanterie coloniale a4, fracture Jambe g
Lendegran Marcel, Infanterie é?, fractura Jambe droite.
Leeleur Eugène, Infanterie 78, frarture Jsmbe gauoha.

«mire.)
 
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