<es endroits oü; ii y a e'ts d'e h desob/ilTan'ee äEX ördres ^mands sür* dß
plat-pays. II en eil uns oü ils promettenr , en $as d’abolition , de montrer coute la
ddförense po@ble aux dispoition® ordonnäes pour l’armement en queftiört. ÜneConv
miSon du Confeil comik a etö nommee pour en saire i’examen & le ra'port.
De la Ha*j, /e ig Avril. Les Seigneurs Etat« de la Previace d’OveryjJet oht sott*
fenti par une r^folution prise dans l’assertibke de L. N. P, du 2'4 Mars 1'785 i la päti-
rion du Conseil d’Etac du ts Janvrer dernier, ayant pour piece Annexe un ^cat extra-*
ördinaire de guerre pour l'annäe courante ä l’egard de Paugmentatiöri de Farstiit- de
PEtat, savoir le rensorcement des compägnies tant de cavalerie,- dragons, que gre-
nadiers, Infanterie ördinaire, 5?«^; (.les ga-rdes exsept^s) artillerie, mineurs, ainsi
que Faugmentatiön des cinq eompagtiies d’artil-lerie, comstie aussi le cinquierae batail*
ton du Prinse de Waldeck & ersfin le corps du Khingrave de Salm dont les soldes so Hl’
menceront ä eourir du jer Janvier de cette arnke 1*73 y.
Les meines Etats de la dite Province ont außi conienti par une rdsösütion du 2'2
Jjsars dernier aux Etats de guerre pour Fannie courante tarit ördinaire qu’extraordinaireo
Mr de TorüieHo, sUtident de la Republique de k'enise, a’upiks d'e L. H. P., a et<;
le li de ce m-ois en Conserence avec le President de l’assembke des Etats- Generanx^
äuquel il a remis um nkmoire* par lequel Mr le Rilident donne ä eonnoitre qu^avant
d’ä'voir rc?u la reponfe qu’il plaira ä L. H. P. de donner sür le Pro Memsria qu’il leur
a presentä le 1=3 Decembre dernier au nom de la- R^publique de Penise, contenant dec
prupofitions pour accommoder au contentement riciproque les diss^rends qüi sub“-
Client depuis longtems entre les deux Etats,- jl ne pouvoit d^clarer sans une Vraie
Emotion qu’il a-vost ek introduit diverses equivoq-ues ä Ikgard de plulieurs eircon-
ftairces, ne tendant' ä rien meins qu’ä interrompre les nigociations, & ä porter dyi
ghangement dang les prineipes* par lesquels seuis l’affake peut gtre porke plus fad-
kment a eoneltrsion, ä la saridadtion des deux parties 5 & que c’est par cette raisess
«ju’ii cröit de son devoir indifpensable de ne pas lai-sTer sublister plus longcem® de pa-
yeilles ^quiveques au desavanta^e de la v^rit£ öt de son propre carastere perfonnei.
Qu’en consequenöe H cröit devoir represencer ä L. H. P.- comm« une v£rit£ inconte-
ftable que depms q-u’ii a prifente le Prä-Merwi®. sous la date du 13 NoVetnbre, rl n’a
it6 fah ausune propofition sormelle ni ministerielle de la parr de la Repubiique , ni
rien produk de la part des Etats Generattx ä‘ l’igard de l’affaire en queflion» Que
gonföquemment sette affaire se trouve sans le moindre changetnertt, dans le möme
«iut de prinsipes de tfdrit6 qu’elle eß repr^sen-t^e dans le dir Pro Memoria-, mais que
quelques interpretatsons ä- double sens que l’on pouroit avssS donner ä de simples en-
tretiens, tenus en conüance, provenus peuc-St-re d’un honnete desir, mais destitueg
d’auroritä, ne pouront jamais contribuer ä obseureir les dispositions sinceres & con
Santes de la Riipublique, comprises plus au lang dans sa lettre minifterielle, tendättt
ä embrasier toutes les voies qu’un Souverain puisse prendre pour Favansement d’u~
sie r^conciliation amicale & satisfadion r^ciproque.
De la Hayj, h Avril. Depuis trois joursy on attend ici i toüte heute un Cou-
rier de Parisqui doit aporter les artides que la France juge Apropos que les Etats-
G^neratix lignent 2 pour parvenir ä un aesommodemens amiable entre l’Empereur &
kur Repubiique. Ce Courier ne pourra gueres tarder ä se rendre ici, attendu qu’il y
2 deux ordinaireS que L, H. P. n’ont rien re<ju de la part de leurs Ämbassadeur# pikila-
Cour d'e Fer/ailles^ ce quin’estpas encore arriv£.
Le Comte de MaiHebois 2 beau solliciter & insißer aüpr£s des Etats-Generaux sür
la signature de sa capituiation touchanr la legion Fratipoife , jusqu’ä pr^senr il nJa fak
eilcore que de l’eau claire ä ce sujet. Oh «roic cependant qu’il est sstr de son fait , &
que l’affaire ne s’accroshe , q-u’ä ce qu’il n’y a pas aftuel’ement , faute de Renvoi des
quotes des autres Provinces, beaucoup d’argent en caissey d’autant que, d&? que la ca-
pitulation sera fignde 5 l Etat doit fournir ä compce un quart des 514 mille ssorins, quä
W M itipuk? pour l’fck&ion de la dite hgion, En atcendanc on aprend s que trois
plat-pays. II en eil uns oü ils promettenr , en $as d’abolition , de montrer coute la
ddförense po@ble aux dispoition® ordonnäes pour l’armement en queftiört. ÜneConv
miSon du Confeil comik a etö nommee pour en saire i’examen & le ra'port.
De la Ha*j, /e ig Avril. Les Seigneurs Etat« de la Previace d’OveryjJet oht sott*
fenti par une r^folution prise dans l’assertibke de L. N. P, du 2'4 Mars 1'785 i la päti-
rion du Conseil d’Etac du ts Janvrer dernier, ayant pour piece Annexe un ^cat extra-*
ördinaire de guerre pour l'annäe courante ä l’egard de Paugmentatiöri de Farstiit- de
PEtat, savoir le rensorcement des compägnies tant de cavalerie,- dragons, que gre-
nadiers, Infanterie ördinaire, 5?«^; (.les ga-rdes exsept^s) artillerie, mineurs, ainsi
que Faugmentatiön des cinq eompagtiies d’artil-lerie, comstie aussi le cinquierae batail*
ton du Prinse de Waldeck & ersfin le corps du Khingrave de Salm dont les soldes so Hl’
menceront ä eourir du jer Janvier de cette arnke 1*73 y.
Les meines Etats de la dite Province ont außi conienti par une rdsösütion du 2'2
Jjsars dernier aux Etats de guerre pour Fannie courante tarit ördinaire qu’extraordinaireo
Mr de TorüieHo, sUtident de la Republique de k'enise, a’upiks d'e L. H. P., a et<;
le li de ce m-ois en Conserence avec le President de l’assembke des Etats- Generanx^
äuquel il a remis um nkmoire* par lequel Mr le Rilident donne ä eonnoitre qu^avant
d’ä'voir rc?u la reponfe qu’il plaira ä L. H. P. de donner sür le Pro Memsria qu’il leur
a presentä le 1=3 Decembre dernier au nom de la- R^publique de Penise, contenant dec
prupofitions pour accommoder au contentement riciproque les diss^rends qüi sub“-
Client depuis longtems entre les deux Etats,- jl ne pouvoit d^clarer sans une Vraie
Emotion qu’il a-vost ek introduit diverses equivoq-ues ä Ikgard de plulieurs eircon-
ftairces, ne tendant' ä rien meins qu’ä interrompre les nigociations, & ä porter dyi
ghangement dang les prineipes* par lesquels seuis l’affake peut gtre porke plus fad-
kment a eoneltrsion, ä la saridadtion des deux parties 5 & que c’est par cette raisess
«ju’ii cröit de son devoir indifpensable de ne pas lai-sTer sublister plus longcem® de pa-
yeilles ^quiveques au desavanta^e de la v^rit£ öt de son propre carastere perfonnei.
Qu’en consequenöe H cröit devoir represencer ä L. H. P.- comm« une v£rit£ inconte-
ftable que depms q-u’ii a prifente le Prä-Merwi®. sous la date du 13 NoVetnbre, rl n’a
it6 fah ausune propofition sormelle ni ministerielle de la parr de la Repubiique , ni
rien produk de la part des Etats Generattx ä‘ l’igard de l’affaire en queflion» Que
gonföquemment sette affaire se trouve sans le moindre changetnertt, dans le möme
«iut de prinsipes de tfdrit6 qu’elle eß repr^sen-t^e dans le dir Pro Memoria-, mais que
quelques interpretatsons ä- double sens que l’on pouroit avssS donner ä de simples en-
tretiens, tenus en conüance, provenus peuc-St-re d’un honnete desir, mais destitueg
d’auroritä, ne pouront jamais contribuer ä obseureir les dispositions sinceres & con
Santes de la Riipublique, comprises plus au lang dans sa lettre minifterielle, tendättt
ä embrasier toutes les voies qu’un Souverain puisse prendre pour Favansement d’u~
sie r^conciliation amicale & satisfadion r^ciproque.
De la Hayj, h Avril. Depuis trois joursy on attend ici i toüte heute un Cou-
rier de Parisqui doit aporter les artides que la France juge Apropos que les Etats-
G^neratix lignent 2 pour parvenir ä un aesommodemens amiable entre l’Empereur &
kur Repubiique. Ce Courier ne pourra gueres tarder ä se rendre ici, attendu qu’il y
2 deux ordinaireS que L, H. P. n’ont rien re<ju de la part de leurs Ämbassadeur# pikila-
Cour d'e Fer/ailles^ ce quin’estpas encore arriv£.
Le Comte de MaiHebois 2 beau solliciter & insißer aüpr£s des Etats-Generaux sür
la signature de sa capituiation touchanr la legion Fratipoife , jusqu’ä pr^senr il nJa fak
eilcore que de l’eau claire ä ce sujet. Oh «roic cependant qu’il est sstr de son fait , &
que l’affaire ne s’accroshe , q-u’ä ce qu’il n’y a pas aftuel’ement , faute de Renvoi des
quotes des autres Provinces, beaucoup d’argent en caissey d’autant que, d&? que la ca-
pitulation sera fignde 5 l Etat doit fournir ä compce un quart des 514 mille ssorins, quä
W M itipuk? pour l’fck&ion de la dite hgion, En atcendanc on aprend s que trois