bassade’ur de la. Cour d’e France, aurorif certain-eweBf’ctJ p'erfonn'elleme’nt chärg.e de la
neVpciation, s'iEe't.oit vrai, qu’il-y eis-eüt une sür le’ tapis avec la Cour de Berlin. Mü
de'''iiay.-ieval, qd’ori feit etre fres habile Polit-iqqe., Je 'srouvant ala Haye comme iimpl-e
voiagenr', a prie quelqueS Penhounaires des prisFcipales Villes de’■ Holknde ,■ de v-oYilpir
iui -donner q-ue'qncs ecfeircisse-meps sür les poi.nts en’ conteiMioh entre’ l’es Etats de
■Hollands. &. le- Stadbonder , il- y a eu ä ce sujet 2” oti 3- e’ntresiens avec ces Penlionnai»
res; mais- aucu’n d’e ces en-sretiens ne-fut äümEed’e* de part ni d’autre. Mr ’de -Goertz ,
■qui avpit deniände ä etre prelebt a- ces eütretiehs a ete refijfe , pär la fehle. raifon ,
qu'etaric revetu d’cm cäraätere pubiic de la part du Rö? de Psnße, öh ne poüvoit donner
i ces.Conferences' un air d’etre ministeriel ,■ fens faire soupqon'ner en meine terns-, que
Mr de R-ayneval e-toit reuetu secretemenf d’un cäraftese1 pubiic pour traiter d’e cette aflai-
re;- ce cui asiroit ete vu de tres rnauvais ceil par la Cour de France. ■ ■ ■
Quant-a IVtat des affaires' par räpört au Prince il ne paroit-’päs , que Mr ^-Goertz
ait r'ier/u«g;’ie,.en -feyeur de A.:aupres des-Etats’ de Fbdlaude ; on* aT&re meine cpieMc
d'e Q.ocrtz pe. trouve.-pas plus.de- facilite aupres.dü Prince' ,• & que S. Aron son” Conseil
ne g-outent- apcirnem ent- les prbpositions qüe ce Ministhe löur auroit porte es.
G*n d'ebite qu’e Mr de Goertz avoue la plus grande partie’ des torts; da. Prince, &
que ce Minilh-e r'econno’it la- nec'essite indispensable d’une reforme dans les abus del’au-
torite exe'cutrice.- To'ut anhoric-e q-u’on n’qst pas pres d’une reconciliation.; - rnäis tom»
nre il arrive quelquefois , que lorsqu’on s’en crpit le plus eloigne' , c’eli.preöi sernen t g»
lors qu’elle’ es: au moth'en't de se’faire , is he feroit pas impossmle que’le Prince se de»
termmät a t’out ce qü-’il fallt pour la procurer; lui seul en a les stioiens en stiain.-
De la Haye. le 17 Deeentbre. Mr le Baron de Reifcbacb, Envoie extsaordinaire de
la Cour de IGenne äupres de L. H. P. . a demande' & obtehu ses let'trqs dp rapel, au gränd
regvet de-tousceux, qui ont I’Iionheür d'e ccnnoitre ce Minutre resp;e$:able<
L. H. P. ont re§u de leurs Ambaßadeurs a la Cour de F'ersiiilles la nouveile , que Mr
,c Comte- de ^crgennes. leui”auroit communique , que le Gouvernementßeneral.'des PaG-.
Bas Atttric/jiens n’avoit auccne' vue de mettre en contestätioh'leS droits, de L. H. Pz sür
la navigation dii'Sw«, .qu’au contrai're le di't Gouvernement etoit decjdö.ä se tenir exä-
ttement a ce qui ayois ete Itipule par le dernier Traite ’de Paix. EPuri aütre cöte , il ä
ete comrnuniq tm a L. En P. par la Regencc d’e BZctnje en Flandves, que les »yis don-
nes recemmeiit a L. H. P., ne fe consinnoient en aueuhe rssaniere«
- Bulletin de Id Hayb.? du JDece?nbr-ej
Nlous-aprerions en ce m’ornent, par les dernieres letsres reques d'Angleterre} que le
Gouverncrnent Britantiiqtie päroit etre dans l’snter/ti&h' de ne point faire p’artir pöur ih
Heilande les coiipabies pris für le vaisseau le Barb'eßein, & qu’c-n les puhira dahs le lieU
öh ils se■ tröuvent. Cependant la Compagnie des Indes doit faire, ä: ce (ju’on ässure,
des deiria'rches relatives- ä ce sujet,
On paroit dans ce monsent plus eloigne qüe jamais d’une recohciliattoh entre le
Prince & les Etats; to’uS les e-sfosts des iVtinistres de Praße & d'Angleterre he peuvent
rien chähger aux resolutions ni aux vues de L. N, & G. P. qui sont ent-i-erernent deci-
dees au red'reß’ehieht des abus du pouveir eXecutif. '
Mr de Ruyneval, n’aiant fait jul'qu’ici aucune demasche ossizielle, he peüt etre eh
aucün’e.iJiau’iere cohsidere' sous le raport d’e Minißre ni dJEtivoie de la Cö'ur de France
il n’en els pas thoins vnri qu’il a eu des Conserences- particulieres; avec hös principäux
Membres d'Etat; mai’s jusqü’a preserst 1c Ministere de Ferjailte: päroit a Vexterieur s’en
tenir a' fe decl'äratssto, donnee il y a plufieuts mois, que le’ .Roi'ne se shelero.it point
dir e et ernenn des alsaires domeliiques du paiä,- & qu’il ne so’nssrirö’it päö non plus' qißäiB
tune aiitre Piißance s'ei: Cette de’cla’ration’ expliqüe süffifemfrteht Ibs caufeE da
peu de progres que IV.t? le Comte de-Goertz -a sait iciy il n’y a abso-lument qüe lä vöse
de la peti'uäilon , du raprocMments &'surtout d’un c'fTffhgeni'eht de pfincipes du cöte'
du Prince Sta-dbwder, qui puifse'- racCommod'er les affaires de Sost ÄlteiTe dans la PrÖ»'
vihee d'e Hollands. Malh'aureü’fesn’ent les Coöseillers, & eri general totrt ce qui entoa»
re Guillaume F, semblent ne fond'er leur espoir que sür desidees de force, de violence,
neVpciation, s'iEe't.oit vrai, qu’il-y eis-eüt une sür le’ tapis avec la Cour de Berlin. Mü
de'''iiay.-ieval, qd’ori feit etre fres habile Polit-iqqe., Je 'srouvant ala Haye comme iimpl-e
voiagenr', a prie quelqueS Penhounaires des prisFcipales Villes de’■ Holknde ,■ de v-oYilpir
iui -donner q-ue'qncs ecfeircisse-meps sür les poi.nts en’ conteiMioh entre’ l’es Etats de
■Hollands. &. le- Stadbonder , il- y a eu ä ce sujet 2” oti 3- e’ntresiens avec ces Penlionnai»
res; mais- aucu’n d’e ces en-sretiens ne-fut äümEed’e* de part ni d’autre. Mr ’de -Goertz ,
■qui avpit deniände ä etre prelebt a- ces eütretiehs a ete refijfe , pär la fehle. raifon ,
qu'etaric revetu d’cm cäraätere pubiic de la part du Rö? de Psnße, öh ne poüvoit donner
i ces.Conferences' un air d’etre ministeriel ,■ fens faire soupqon'ner en meine terns-, que
Mr de R-ayneval e-toit reuetu secretemenf d’un cäraftese1 pubiic pour traiter d’e cette aflai-
re;- ce cui asiroit ete vu de tres rnauvais ceil par la Cour de France. ■ ■ ■
Quant-a IVtat des affaires' par räpört au Prince il ne paroit-’päs , que Mr ^-Goertz
ait r'ier/u«g;’ie,.en -feyeur de A.:aupres des-Etats’ de Fbdlaude ; on* aT&re meine cpieMc
d'e Q.ocrtz pe. trouve.-pas plus.de- facilite aupres.dü Prince' ,• & que S. Aron son” Conseil
ne g-outent- apcirnem ent- les prbpositions qüe ce Ministhe löur auroit porte es.
G*n d'ebite qu’e Mr de Goertz avoue la plus grande partie’ des torts; da. Prince, &
que ce Minilh-e r'econno’it la- nec'essite indispensable d’une reforme dans les abus del’au-
torite exe'cutrice.- To'ut anhoric-e q-u’on n’qst pas pres d’une reconciliation.; - rnäis tom»
nre il arrive quelquefois , que lorsqu’on s’en crpit le plus eloigne' , c’eli.preöi sernen t g»
lors qu’elle’ es: au moth'en't de se’faire , is he feroit pas impossmle que’le Prince se de»
termmät a t’out ce qü-’il fallt pour la procurer; lui seul en a les stioiens en stiain.-
De la Haye. le 17 Deeentbre. Mr le Baron de Reifcbacb, Envoie extsaordinaire de
la Cour de IGenne äupres de L. H. P. . a demande' & obtehu ses let'trqs dp rapel, au gränd
regvet de-tousceux, qui ont I’Iionheür d'e ccnnoitre ce Minutre resp;e$:able<
L. H. P. ont re§u de leurs Ambaßadeurs a la Cour de F'ersiiilles la nouveile , que Mr
,c Comte- de ^crgennes. leui”auroit communique , que le Gouvernementßeneral.'des PaG-.
Bas Atttric/jiens n’avoit auccne' vue de mettre en contestätioh'leS droits, de L. H. Pz sür
la navigation dii'Sw«, .qu’au contrai're le di't Gouvernement etoit decjdö.ä se tenir exä-
ttement a ce qui ayois ete Itipule par le dernier Traite ’de Paix. EPuri aütre cöte , il ä
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nes recemmeiit a L. H. P., ne fe consinnoient en aueuhe rssaniere«
- Bulletin de Id Hayb.? du JDece?nbr-ej
Nlous-aprerions en ce m’ornent, par les dernieres letsres reques d'Angleterre} que le
Gouverncrnent Britantiiqtie päroit etre dans l’snter/ti&h' de ne point faire p’artir pöur ih
Heilande les coiipabies pris für le vaisseau le Barb'eßein, & qu’c-n les puhira dahs le lieU
öh ils se■ tröuvent. Cependant la Compagnie des Indes doit faire, ä: ce (ju’on ässure,
des deiria'rches relatives- ä ce sujet,
On paroit dans ce monsent plus eloigne qüe jamais d’une recohciliattoh entre le
Prince & les Etats; to’uS les e-sfosts des iVtinistres de Praße & d'Angleterre he peuvent
rien chähger aux resolutions ni aux vues de L. N, & G. P. qui sont ent-i-erernent deci-
dees au red'reß’ehieht des abus du pouveir eXecutif. '
Mr de Ruyneval, n’aiant fait jul'qu’ici aucune demasche ossizielle, he peüt etre eh
aucün’e.iJiau’iere cohsidere' sous le raport d’e Minißre ni dJEtivoie de la Cö'ur de France
il n’en els pas thoins vnri qu’il a eu des Conserences- particulieres; avec hös principäux
Membres d'Etat; mai’s jusqü’a preserst 1c Ministere de Ferjailte: päroit a Vexterieur s’en
tenir a' fe decl'äratssto, donnee il y a plufieuts mois, que le’ .Roi'ne se shelero.it point
dir e et ernenn des alsaires domeliiques du paiä,- & qu’il ne so’nssrirö’it päö non plus' qißäiB
tune aiitre Piißance s'ei: Cette de’cla’ration’ expliqüe süffifemfrteht Ibs caufeE da
peu de progres que IV.t? le Comte de-Goertz -a sait iciy il n’y a abso-lument qüe lä vöse
de la peti'uäilon , du raprocMments &'surtout d’un c'fTffhgeni'eht de pfincipes du cöte'
du Prince Sta-dbwder, qui puifse'- racCommod'er les affaires de Sost ÄlteiTe dans la PrÖ»'
vihee d'e Hollands. Malh'aureü’fesn’ent les Coöseillers, & eri general totrt ce qui entoa»
re Guillaume F, semblent ne fond'er leur espoir que sür desidees de force, de violence,