( I^I )
Annee 1777
Nurn, xi.
AU X DEUX-PONTS.
AKEC PRIVILtGE
GAZETTE UNIVERSELLE
* /sort pvjjum ja« exclamem , satitte Socsates
ora pro twbis.
SC I E
Religio
N.
Phi-
ou Re-
THECHISME
!°J°1 ~
cueil d'objervatians
propres a desendre
la rdigion Chretien-
ne contre Jes enne-
mis t. owvrageutile
:eux qui ehersheni
re garantir de l'iti
credulite moderne
jurtout. aux Eccleßaßiques charges du pre-
cieux depöt de la Foi , seconde edicion
corrigee &. considerablement augraentee ;
par M. l’Abbe Flexier de Reval; A Paris
1777, chez Charles P. Berton , Libraire
lue Sc. Vidor. in-&°.
L’Aucenr a mis pour Epigraphe ä son
ouvrage, Phiiosophia catechijmus ad ßdem^
arie. r,n etret la pniioiopnie eit ti bien ua
vrai Cachechisme , une incrodudi n ä la
Foi , que quelques Peres ont penche ä croire
que Socrare, par une grace sp^ciale de
Dien roucW des vcrrus morales de cc
Philolbphe , en avoic ete recompense dans
le Ciel; le savant Erasme ne pouvoit pen-
ser ä la mort de cet homme vertueux sang;
etre tente de s’ecrier , * Jaint Socrate ; prier
j)iea pour nous. D’autres ont mis en que£-
tion si Dieü reprouvcroir 1‘homme juste,
qui n’ayant aucune notion de la. religiös
Chrerienne, auroic prarique les vercus mo-
rales dans toute leur purere 5 & plusieurs
ont decide que Dieu enverroit pluior un
Ange du Ciel, pour l’ir.itier dans la con-
noi Tance du Christianisme. Or qu’cnseigne
Annee 1777
Nurn, xi.
AU X DEUX-PONTS.
AKEC PRIVILtGE
GAZETTE UNIVERSELLE
* /sort pvjjum ja« exclamem , satitte Socsates
ora pro twbis.
SC I E
Religio
N.
Phi-
ou Re-
THECHISME
!°J°1 ~
cueil d'objervatians
propres a desendre
la rdigion Chretien-
ne contre Jes enne-
mis t. owvrageutile
:eux qui ehersheni
re garantir de l'iti
credulite moderne
jurtout. aux Eccleßaßiques charges du pre-
cieux depöt de la Foi , seconde edicion
corrigee &. considerablement augraentee ;
par M. l’Abbe Flexier de Reval; A Paris
1777, chez Charles P. Berton , Libraire
lue Sc. Vidor. in-&°.
L’Aucenr a mis pour Epigraphe ä son
ouvrage, Phiiosophia catechijmus ad ßdem^
arie. r,n etret la pniioiopnie eit ti bien ua
vrai Cachechisme , une incrodudi n ä la
Foi , que quelques Peres ont penche ä croire
que Socrare, par une grace sp^ciale de
Dien roucW des vcrrus morales de cc
Philolbphe , en avoic ete recompense dans
le Ciel; le savant Erasme ne pouvoit pen-
ser ä la mort de cet homme vertueux sang;
etre tente de s’ecrier , * Jaint Socrate ; prier
j)iea pour nous. D’autres ont mis en que£-
tion si Dieü reprouvcroir 1‘homme juste,
qui n’ayant aucune notion de la. religiös
Chrerienne, auroic prarique les vercus mo-
rales dans toute leur purere 5 & plusieurs
ont decide que Dieu enverroit pluior un
Ange du Ciel, pour l’ir.itier dans la con-
noi Tance du Christianisme. Or qu’cnseigne