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Le Salon de 1882 marquera parmi
les meilleurs de ce temps. Il se dis-
tingue de ceux qui l’ont précédé par
un respect plus grand du milieu dans
lequel nous vivons. Et c’est là un
progrès dont on ne saurait trop se
féliciter. Notre siècle a été, en effet,
fort lent à s’accommoder de sa propre
physionomie. Nous trouvant trop vê-
tus ou mal vêtus, nous avons long-
dioK^,
vA'Tr’-«a. v v«^'
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i/JJiJj.J UiilUiJiJl un J J JJ J J U UilJJUlàlAUlU
'CLEO P ATRA*
Kl
XXV. — 2e PÉRIODE.
60
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Le Salon de 1882 marquera parmi
les meilleurs de ce temps. Il se dis-
tingue de ceux qui l’ont précédé par
un respect plus grand du milieu dans
lequel nous vivons. Et c’est là un
progrès dont on ne saurait trop se
féliciter. Notre siècle a été, en effet,
fort lent à s’accommoder de sa propre
physionomie. Nous trouvant trop vê-
tus ou mal vêtus, nous avons long-
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