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FRANÇOIS GÉRARD.
‘ La ressemblance, l’attitude, les traits en général sont de la plus frappante
vérité. Il joint à ce mérite tous ceux qu’y ajoutent la pureté du dessin, la fraîcheur
du coloris et ces beautés indéfinissables qui le rendent digne de son sujet et du
pinceau qui l’a créé. Je désire que vous puissiez réaliser le projet que vous aviez
formé de venir quelque temps à Bruxelles. Il me serait très agréable de vous y
voir et de vous réitérer tous mes remerciements. »
LE PRINCE DE TALLEYRAND, PAR FR. GÉRARD (1808).
Malgré ses nombreux travaux et ses obligations de la vie mon-
daine, Gérard se réservait assez de temps pour entretenir avec ses
confrères les relations les plus courtoises, pour encourager les essais
des débutants qui pouvaient devenir ses rivaux, pour s’intéresser de
très près aux destinées de la peinture en France et à l’étranger.
Mme Vigée-Lebrun s’exprime ainsi dans ses Souvenirs :
V. — 3e PÉRIODE.
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FRANÇOIS GÉRARD.
‘ La ressemblance, l’attitude, les traits en général sont de la plus frappante
vérité. Il joint à ce mérite tous ceux qu’y ajoutent la pureté du dessin, la fraîcheur
du coloris et ces beautés indéfinissables qui le rendent digne de son sujet et du
pinceau qui l’a créé. Je désire que vous puissiez réaliser le projet que vous aviez
formé de venir quelque temps à Bruxelles. Il me serait très agréable de vous y
voir et de vous réitérer tous mes remerciements. »
LE PRINCE DE TALLEYRAND, PAR FR. GÉRARD (1808).
Malgré ses nombreux travaux et ses obligations de la vie mon-
daine, Gérard se réservait assez de temps pour entretenir avec ses
confrères les relations les plus courtoises, pour encourager les essais
des débutants qui pouvaient devenir ses rivaux, pour s’intéresser de
très près aux destinées de la peinture en France et à l’étranger.
Mme Vigée-Lebrun s’exprime ainsi dans ses Souvenirs :
V. — 3e PÉRIODE.
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