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https://doi.org/10.11588/diglit.26599#0119
NOUVEAU TESTAMENT.
71
droite, vers le fond, on apperçoit un puits, duquel une
femme tire de l'eau. On lit au milieu de la marge, qui
est au bas de l'estampe: Æ<?77227TYZ72<7A <?A _/0'0A
1633. Ce morceau est un des plus beaux de l'oeuvre
de Rembrandt; c'est celui, qu'il paroît avoir gravé avec
le plus de soin, et quelque fini qu'il soit, la pointe y est
cependant très légère.
Hauteur: 9 pouces. * Largeur: 7 pouces, g lignes.
Il y a trois épreuves différentes de ce morceau.
Extrêmement rare. Le cheval a la
queue blanche, et le mur d'appui du perron est aussi
clair et sans ombre.
&W73&' 2^^222^. La queue du cheval est ombrée.
yh72.f2'<?772,f Le mur d'appui du perron est ombré,
et on lit à la marge le nom de Rembrandt et l'année.
Il y a une copie de ce morceau, qui est assez
trompeuse. Elle est de la même grandeur, et gravée
d'après la troisième épreuve Au lieu de l'année et du
nom de Rembrandt on lit dans la marge à droite : Atwz-
77W2A ZW72 Aj'72 272 77^72 A? r; et à gauche : & &Z2V2
Le graveur de cette copie a omis un oiseau, que l'on
apperçoit en l'air près d'un autre oiseau perché sur une
branche seche, qui sort de l'arbre, vers 'le haut de la
droite de l'estampe. C'est à cela, que l'on distingue
aisément la copie de l'estampe originale, même dans une
épreuve sans la marge, où se trouve le nom de
qui est ordinairement coupée, pour tromper les acheteurs.
Rembrandt a représenté l'enfant prodigue dans le
moment, qu'il revient s'accuser de sa faute, et implorer
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droite, vers le fond, on apperçoit un puits, duquel une
femme tire de l'eau. On lit au milieu de la marge, qui
est au bas de l'estampe: Æ<?77227TYZ72<7A <?A _/0'0A
1633. Ce morceau est un des plus beaux de l'oeuvre
de Rembrandt; c'est celui, qu'il paroît avoir gravé avec
le plus de soin, et quelque fini qu'il soit, la pointe y est
cependant très légère.
Hauteur: 9 pouces. * Largeur: 7 pouces, g lignes.
Il y a trois épreuves différentes de ce morceau.
Extrêmement rare. Le cheval a la
queue blanche, et le mur d'appui du perron est aussi
clair et sans ombre.
&W73&' 2^^222^. La queue du cheval est ombrée.
yh72.f2'<?772,f Le mur d'appui du perron est ombré,
et on lit à la marge le nom de Rembrandt et l'année.
Il y a une copie de ce morceau, qui est assez
trompeuse. Elle est de la même grandeur, et gravée
d'après la troisième épreuve Au lieu de l'année et du
nom de Rembrandt on lit dans la marge à droite : Atwz-
77W2A ZW72 Aj'72 272 77^72 A? r; et à gauche : & &Z2V2
Le graveur de cette copie a omis un oiseau, que l'on
apperçoit en l'air près d'un autre oiseau perché sur une
branche seche, qui sort de l'arbre, vers 'le haut de la
droite de l'estampe. C'est à cela, que l'on distingue
aisément la copie de l'estampe originale, même dans une
épreuve sans la marge, où se trouve le nom de
qui est ordinairement coupée, pour tromper les acheteurs.
Rembrandt a représenté l'enfant prodigue dans le
moment, qu'il revient s'accuser de sa faute, et implorer