Bartsch, Adam von [Hrsg.]; Gersaint, Edme François [Hrsg.]: Catalogue raisonné de toutes les estampes qui forment l'oeuvre de Rembrandt et ceux de ses principaux imitateurs (Paris, 1880)

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GUEUX OU MENDIANS.

seur le plus exercé ne la reconnoît qu'avec peine, et
après un examen scrupuleux. Pour ne pas se méprendre,
il est bon d'avertir les curieux, qu'ils doivent faire attention
à quelques petits traits, qui sont au bord du manteau, au
dessous de l'endroit, où il est boutonné. (Voyez la hg. 8
à l'endroit de la lettre A). Ces petits traits au nombre
de quatre dans la copie, ressemblent à un z et un 777;
au lieu que dans l'original il n'y a que deux traits, qui
forment un 77.

175- <2<7 37773^^737 A?
^<273 G%z'<?73.
Un morceau assez mal gravé, à grosses tailles, et
d'un ton dur, mais d'une extrême rareté. Il représente
un vieillard avec une grande barbe, et des cheveux hérissés,
dont la tête vue de trois quarts est nue. Il est assis à
la droite de l'estampe, et dirigé vers la gauche. Le
manteau dont il est couvert, est rapiéceté sur le dos.
Ses pieds sont nuds, et ses jambes sont entourées de
bandes de linge. Il se chauffe les mains au dessus d'un
pot de terre à anse, placé entre ses deux genoux. On
voit un chien à côté de lui, vers la gauche de l'estampe.
Au bas du côté opposé est gravé: Azt 1651.
Hauteur: 4 pouces. Largeur: 3 pouces.

i/6. AAvzVzhzzy 2 y52uA Vz373<? ?73<?3jw%.
Cette estampe qui est une des plus intéressantes et
des mieux exécutées de cette classe, représente trois
mendians à la porte d'une maison, qui est placée à la
gauche de l'estampe, et sur laquelle paroît un vieillard