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PAPYRUS HIÉRATIQUES.

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reconnaissable clans l’original, voir Môller, Palciographie, III, n° 281. La trans-
cription de M. Daressy ne reproduit pas ce mot ici et elle donne à tort | ; dans
les deux autres cas (1. 7 et 20). 13 (1. 6). Le signe est abîmé dans l’original
et le mot a été restauré dans la forme qu’il a à la ligne 2 (= 25) de la page n.
Quant à cette forme, elle est la même qu’on trouve dans la Palàographie, III, de
Môller à la colonne P. 3o3o du n° 626. 14 (1. 6). Le petit trait horizontal
sous le signe ne doit pas être pris pour un >—\ : c’est un signe explétif qui, tout
comme le point sous (p. 1, 1. 1), le point sous - (p. 1, 1. 5, 7 et 20; p. m, 1. 5
= 52 et 1. 18 — 65) et le petit trait oblique sous - (p. v, 1. 13 = 10 4 ), accompagne
ordinairement dans ce manuscrit le signe <l, lorsque celui-ci se trouve tout seul
sur la ligne. Il a la même dimension restreinte, comme ici, aux pages ni, 1. 2
(=4g) et vi, 1. 18 (=i3i) et 22 ( = 135), tandis qu’ailleurs, comme par exem-
ple aux pages 11, 1. 2 (=25), 14 (=37); m, 1. 5 (=52), 16 (=63); v,
I. 22 (=ii3), etc., il prend les dimensions d’un trait ordinairement correspon-
dant Toutefois, au lieu de rester toujours droit et horizontal, comme le
trait désignant il a la tendance de devenir une ligne courbe, et à la page vi,
1. 1 5 (= 1 28), on le voit prendre la forme w , qui dans ce manuscrit n’appartient
jamais à En deux endroits du papyrus, à la page n, 1. à (= 27) et 17 (= 40),
le signe«l, bien que se trouvant seul sur la ligne, ne prend pas de ligne explétive,
et une seule fois, à la page v, 1. 12 (= io3), il semble avoir le petit trait explétif
à sa suite. 15 (1. 7). Restes de signes rouges très effacés et interrompus à
gauche par une lacune. D’après les trois petits traits horizontaux, qui touchent de
près cette lacune et qui semblent bien représenter le groupe ££*, on peut, non
sans quelque hésitation, reconnaître les signes f] dans le premier groupe peu dis-
tinct. 16 (1. 7). Une cassure a presque entièrement oblitéré ce signe. Il n’en
reste que la partie inférieure, qui rappelle le bas de chacun des signes dans
t de la même ligne. La transcription de M. Daressy donne, au lieu de f]
le mot mis entre crochets, comme reconstitution hypothétique du texte frag-
menté. 17 (1. 7). Pour la transcription j , voir supra, annotation 6. Un signe
j ou P a été sauté dans le mot par l’ancien scribe. 18 (1. 8). Les deux derniers
traits de ainsi que le ’»■">, effacés ici, ont été restitués d’après les lignes suivantes
et surtout d’après la ligne 11. 19 (1. 8). Pour la restitution du signe
disparu dans une lacune, comparer infra, 1. 20. 20 (1. 10 et 21). La lecture
| J de M. Daressy ne peut pas être admise, et la seule possible est : | J. Le signe
hiératique est clairement un | (Môller, Palciographie, III, n° 282, col. «Ritual» et
col. P. 3o3o) et ne ressemble pas du tout à celui qui représente | (Môller, Palâo-
graphie, III, n° 456). Du reste, la manière d’écrire le nom du dieu Thoth par J
se rencontre déjà dans des textes très anciens. 21 (1. 14). La restitution est
faite d’après la ligne 16. 22 (1. 14 et 2 3). Il est difficile d’expliquer ici la pré-
sence du signe qui ne peut être pris ni comme déterminatif, ni comme suffixe.
23 (1. 15). Le signe surmontant ne se laisse pas exactement déterminer; il
a la forme . D’après le texte de Séti Ier (chez Schiaparelli, Il Libro dei Fune-
rali, I, p. 3i, infra') on pourrait s’attendre à trouver ici le signe 2S£, mais la forme
 
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