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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 2.1872

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https://doi.org/10.11588/diglit.3250#0194
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m GSKLOÏ

ï^sBBSSŒSsHSSKMKsœ

PRIME GRATUIT

TC

Toute personne de la province qui s abon-
nera a un des journaux ci-après, par I entre-
mise de M. MABBE, libraire-commissionnaire,
20, rue du Croissant, a Paris, aura droit à un
abonnement gratuit au journal le «lu, lui,
savoir ;

Tour un abonnement d'un an : 6 mois au GHELOT.
_ de 6 mois : 3 mois —

L'abonnement à deux journaux doublera la
durée de l'envoi gratuit du GRELOT.

UN AN 6-MOIS

fr. c. fr. o.

Avenir national......... 64 32 »

Corsaire................ 52 26 »

Constitutionnel.......... 64 a 32 »

Charivari............... 80 » 40 »

Courrier de France...... 64 » 32 »

XIX' Siècle............. 62 » 32 »

France................. 64 » 32 »

Figaro................. 64 » 32 »

.iAZETTE DE FRANCE....... 66 » 3B »

Caulois................. 64 » 32 a

Journal des Débats...... 80 » 40 »

Illustration............. 36 » 18 »

Moniteur universel...... 60 » 32 »

Monde.................. 40 » 22 »

Monde illustré......____ 24 » 13 »

Opinion nationale........ 64 » 32 »

Paris-Journal........... 40 » 22 »

Patrie.................. 64 » 32 »

Pats................... 64 » 32 »

Presse.................. 64 » 32 »

Rappel................. 54 » 27 »

République française..... 64 » 32 »

Revoe des Deux-Mondes. , S6 » 29 »

Siècle.................. 64 » 32 »

Soir.....:............. 64 » 32 »

Temps.................. 68 » 34 »

Univers...............,, 58 » 30 »

Univers illustré........, 21 » 11 »

Union.......,.......... 65 » 35 »

Les prix qui précèdent sont, bien entendu, les prix
fixés par les administrations de chacun de ces jour-
raax.

LES MAUVAIS CITOYENS

Ma foi, chers lecteurs, jg n'ai pas envie de
rire aujourd'hui,

Vous non plus, très=probablernent.
Il faut avouer une chose, c'est qu'on eût
ouvert, au commencement' de la $éance de
lundi, lies cellules de Charenton et les dor^
toirs de Sainte-Périne, et l'on en eût répandu
les habitants sur certains bancs de l'Àssem?
blée, qu'on n'eût pas entendu plus d'auda-
cieuses insanités.
Oh 1 cette droite I

Cette droite lamentable, intolérable, indé-
crottable 1

Ces moutons enragés qui ne veulent rien
voir ni rien entendre!

Si vous les a?ie^ contemplés frémissant de
joie El l'interpeîlatiou si maladroite et si inu-
tile de ee vieuï général Changarnierl... Quelle
fête, d'entendre ce sénile guerrier souffler de
sa vieille voix enrouée le feu des passions et
des haines I Enfin, il va donc un peu injurier
et 1$ République, et M, ïhlers, et tout ce qui
est et dont nous ne vouions pas!

Et peut-être... qui sait?... M, Tbiers, fu-
rieug de ee système, rendrait»!! enfin ce fa-
meux tablier qu'il porte malgré nous, et
alors,,, branleras'général... charivari, tu-
multe, révolution.., les Allemand!, qui nous
guettent, sont à trois heures de Paris... ils y
seront vite et nous débarrasseront de cette
République exécrée!... Puis, grâce au pater-
nel appui de leurs baïonnettes, nous verrons
rentrer dans leur bonne ville de Paris soit le
roi légitime de M, de Lorgeril, soit le gâteux
impérial.
Donc, bravo! général.
Soufflez, soufflez le feu, avec ce qui reste
d'haleine dans vos vieux poumons I

Vous trouvez que les affaires vont trop bien,
n'est-ce pas?

Vous trouvez que nous commençons à res-
pirer trop vite, hein?.,, Comment, ee malheu-
reux pays, cette nation que tous ont aban-
donnée et. reniée, ce paria, cet incendié, ce
vaincu, étendu sur sa litière ensanglantée, s'a-
vise de s'endormir un peul

Ses blessures à moitié pansées commencent
à se fermer, et ce n'est pas nous qu'il appelle
pour le guérir tout à fait 1

Nous, il nous hait, il nous exècre, il nous
méprise I
Il nous connaît!

Et nous le laisserions à sa tranquillité re-
paissante, à sa prospérité qui semble revivre,

à son avenir qui semble meilleur, & §011 affran-
chissement qui se prépare. !

Allons donc!

Eh bien, et nous?

Que deviendrions-nous donc?

Nous, les monarchistes ! nous, les hommes
d'ordre! nous, les bons! nous, les honnêtes !

Nous erèverions dans quelque coin, géné->
raux sans armée, députés sans mandats, mi-
nistres sans portefeuilles, diplomates sans |
ambassades, prêtres sans évêchés, sans dîmes, |
sans prébendes! !

Et vous croyez que nous souffrirons cela?... j
Jamais! 1

Nous ne nous y trompons pas, eepen- j
dan t.

Nous savons bien ce qui nous attend.

Nous savons bien que nous sommes con- !
damnés à disparaître.

Nous savons bien que le pays ne marche j
plus avec nous et ne veut ni de nos personnes I
ni de nos principes.

Nous savons tout cela.

Mais nous voulons, avant de mourir, faire à
ces misérables qui nous renient tout le mal
possible.

Et pour cela la tactique est bien simple.

Il s'agit d'entretenir constamment dans la
Chambre une agitation mortelle.

De miner sourdement, dans nos journaux,
le seul homme que la France ait trouvé pour
la relever de son deuil et de sa misère ;

De lui jeter à tout propos dans les jambes
et le discours de celui-ci et le nez de celui-là,
et ceci et cela et le reste;

De le raser si souvent et de si prè< qu'un
beau jour, las, dégoûté, exaspéré, cet homme
vous enverra faire.,, lanlaire, ce qui est le
plus vif de nos désirs.

Et alors?

Alors, nous vous l'avons dit, nous périrons,
mais la France périra avec nous sous le cou-
teau de la guerre civile et la baïonnette de
l'étranger,

Et croyez bien, lecteurs, que la question
Gambetta et le banquet de Grenoble "ne sont
qu'un prétexte,

Tout leur sera bon pour réussir.

Ce qu'il leur fai't, c'est troubler le pays jus- !
qu'aux moelles, c'est l'avilir par des délibéra-1 |
tions qui tournent au pugilat, c'est l'énerver, î
le fatiguer, le lasser sans trêve ni repos.

Voila pourquei, au lieu de. soigner ses rhu- jj
matismes, le général Changarniera parlé lundi; !
voilà pourquoi les autres parleront demain,

-Et ces gens-là s'étonnent' que lé pays de- j
mande leur dissolution !

Allons, retournez chez vous, car en vérité
vous nous feriez regretter les députés de l'em*
pire et les enthousiasmes de Belmontet!

Mauvais patriotes!

Mauvais citoyens !

Nicolas Flammèche

PETITS

I PROJETS M LOI CONTHB MS DÉPUTÉS

CONFIÉS A LA SOmeiTUttE PE M- LB
&ÉNÉBA1 OHANGABNIER,

Mon général,

Ce n'est pas sans unvifplaisirqne j'ai appris
par la voie des gazettes que vous vouliez « des
méchants arrêter les complots, » je veux dire
crue vous étiez décidé à contraindre vos collè-
gues de la gauche à un peu plus de retenue,
Merci pour cette bonne pensée, Nous sommes
quelques-uns ici, dans le bout de la rue aux
Ours, qui avons sur nos représentants exacte-
mentMes,mêmes idées que vous,

La gauche est une esclave et ne doit qu'obéir,

a très-bien dit Boileau, et on ne sait pas ce
qu'on va devenir quand on voit tous les radi-
caillcs courir les départements et dîner comme
les légitimistes eux-mêmes, Ils ne se bornent
pas au veau froid et à la salade : ils ont des
ragoûts, des entrées, des potages, et le reste,
tout comme s'ils avaient l'honneur de penser
bien. Cela ne se saurait souffrir. Aussi, nous
ayons, mes amis et moi, songé à refréner cette
ardeur des rouges à ripailler ensemble et à
haranguer ensuite le peuple du haut de tous
les balcons qu'ils rencontrent sur leur route.
Nous nous sommes mis au travail hier soir, &
notre café de la Taupe-Enragée,et nous avons
élaboré une série de petits projets de loi que
nous vous soumettons, et qui, nous n'en dou^
tons pas , seront bientôt sanctionnés par la
majorité qui n'a rien à en craindre, puisqu'elle
ne les appliquera jamais qu'aux républicains.

1. Pendant les vacances parlementaires , il
est défendu à tout député n'appartenant ni gu
parti légitimiste, ni au parti orléaniste, ni au
parti bonapartiste, de se montrer hors de
chez lui et de se faire voir de jour dans les
rues, ruelles, places, carrefours, culs-de-sac,
boulevards et autres lieux,

II. II est interdit à l'espèce de députés dé-
signée dans la projet n" 1 de se laisser voir au
peuple derrière les vitres de ses appartements,
8t de lever les rideaux de ses fenêtres sous
prétexte de donner du jour à sa chambre ou
à sa salle à manger. Quint à ce qui est de
faire des apparitions sur son balcon , il va
sans dire que cela est rigoureusement dé-
fendu,

III. Aucun desdits députés n'a le droit d'in-
viter quelqu'un à dîner, ni de recevoir pour
lui ou les siens aucune invitation.

IV. La correspondance desdits députés sera
soumise à une censure sévère, et un cabinet
noir sera spécialement établi pour décacheter
les lettres de ceux qui voudraient se sous-
traire à la présente injonction,

y. Tout article dans les journaux, tout ma-
nifeste, toute lettre, toute protestation par la
voie de la presse sont absolument prohibés.
La seule chose que les députés radicaux puis-
sent faire insérer dans les journaux est ia for-
mule suivante : « M. X..., député de l'Assem-
blée nationale, a la douleur de faire connaître
à ses amis et connaissances la perte cruelle
qu'il vient de faire en la personne de ma-
dame X..., son épouse. Les personnes qui
n'auraient pas reçu de billet de faire part sont
priées de regarder le présent avis comme une
lettre d'invitation, » Hors de là, rien n'est au-
torisé pour de semblables misérables.

VI. Les députés républicains ne doivent
adresser la parole à leurs domestiques, s'ils
en ont, que pour les besoins de leur service :
on évitera ainsi toute tentative de propagande
démocratique sur ces gens simples, qui seront
soigneusement choisis par la commission de
permanence pour tous les députés de la
gauche,

VII. Les enfants des députés radicaux seront
élevés dans les institutions congréganistes,
qui deviendront obligatoires, afin que les pères
ne puissent point corrompre ces âmes inno-
centes par l'étalage de leur vie impure et de
leurs doctrines subversives.

VIII. Tout contrevenant aux lois qui précè-
dent sera puni de mort-

Et voilà.

Je crois, mon général, qu'avec cela nous
aurons raison de tous ces remuants person-
nages qui prononcent des discours de tous les
côtés, qui encombrent do leurs lettres et de
leurs exposés de doctrines les colonnes de nos
journaux et qui cherchent à faire croire que
la République peut subsister en France.

Nous ne doutons pas, mon général, que
vous ne donniez votre appui à ces propositions
si sages et si patriotiques qui, si elles sont
adoptées, resteront attachées à votre glorieux
nom aussi longtemps que votre belle défense
de Bazaina.

Croyez, mon général, à tous les sentiments
qne nous inspirent la finesse de votre intelli-
gence et l'impétuosité de votre bravoure.

Tristapatee.

CAMÉES POLITIQUES

IHS 8DM1WS M LA TROISIÈME! RÉFuBlMug

JULES FERRY,

Ce Frisepoulet du gouvernement de la Pé-. !
fense nationale est un des meilleurs exemples j
de ce que l'on peut faire lorsque, n'étant propre !
à rien, on est décidé à tout. Il y a quelque cinq !
années, personne ne savait si M. Jules Ferry
était ou nonsorti de nouirioe : il peinait obscu-
rément dans les limbes du journal le Temps,
que sa prose ne fit jamais, que je sache, monter
d'un exemplaire! J| servait de petit banc dans
la rédaction, Nefftzer mettait ses pieds dessus,
et Sarcey l'emportait sous son bras aux pre-
mières représentations, Tout à coup M. Jules
Ferry a une idée, il a trouvé un titre, il va faire
une brochure sur ce titre, En effet une pla-
quette paraît avec cette étiquette : Comptes fan-
tastiques, d'Haussmann, On rit. On se dit ; Tiens,
mais il est rigolo, ee petit-là I Quel âge a-t-il?
— Mais, répond quelqu'un, il a bel et bien
trente-cinq ans sonnés. — Trente-cinq ans,
mais c'est juste l'âge d'un'bon député. Simon
s'épuise, Favre s'éreinte, Pelletan s'ébrêçbe,
Garnier-Pagès fait le mort, c'est le moment i
faisons un député avec ce petit-là, « Aussitôt
dit, aussitôt fait. Voilà mon Ferry à la Chambre.
Mais il n'a pas toussé trois fois que le i sep-
tembre arrive. Voyez la veine! et voilà ce long
et blafard avocassier, qui ressemble comme
deux gouttes d'eau à un garçon de café cuii
dans son jus, qui devient, par la grâce du
peuple parisien, un onzième de gouvernement.
A peine à l'Hôtel de Ville, le garçon de café
prend Picard par le troisième bouton de la

redingote, l'attire avec peine sur son cœur et
lui dit confidentiellement : «Ah! çàl ma petite
vieille, à nous deux le tronc, hein! tu as Ar-
thur, j'ai Charles; il faut nourrir ces enfants-
là! Entendons-nous, et nous ferons nos af-
faires, » Lé ventre de Picard dansait de joie
dans son pantalon, comme une forme de géla-
tine à la montre des charcutiers quand des
chariots pas «rit dans la rue. Chacun des deux
compères se dirigea alors vers le théâtre de
ses exploits : Picard vola aux finances, et Ferry
s'incrusta àl'Hôtel de Ville. Sur ces entrefaites,
les Prussiens étaient arrivés; ils avaient pru-
demment oounc les huit lignes des chemins de
fer et ils barraient la Seine en amont et en aval,
de sorte que plus un grain de blé ne pouvait
entrer dans Paris. Ce fut alors que le Ferry en
question se mit en faction à la porte du gre-
nier d'abondance et dit aux gens qui passaient :
« Vous savez qu'à présent, le mitrpn, c'est
moi! » Or, M. Jules Ferry savait absolument
tout ce qu'un homme peut savoir, et n'igno-
rait qu'une seule chose : c'est, que le pain se'
fait avec de la farine. Aussi "le pain qu'il fit
manger à Paris contenait une telle quantité
d'éléments divers, que les dénombrements
d'Homère sembleraient enfantins à côté des
listes- qu'on pourrait dresser des culottes de
postillon, des aérolithes, des tessons de bou-
teille, des vieux clous, des balanciers de pen-
dules, des chauve-souris empaillées et des vil-
brequins qu'on trouvait alors dans sa tartine
matinale. Ce pain était à mettre sous verre, et
du reste on l'y a mis en beaucoup de maisons ;
ce sera la seule chose durable du gouverne-
ment de la Défense nationale. Pendant tout le
temps que dura la boulangerie Ferry, il ne
mourut à Paris que cinq mille personnes par
semaine, -— sept fois plus seulement qu'en
temps ordinaire, C'est pour reconnaître les
services de cette hante capacité politique que
le gouvernement l'a envoyé représenter la
France à Athènes. H grignote maintenant les
petits poissons frits de la mer Ionienne en se
chauffant au soleil sur le Pirée, tandis que Pi-
card avale chope sur phope à la Maison des
Brasseurs pour noyer les douleurs de son, ab-
sence. On dit qu'ils s'écrivent des lettres à
faire pleurer un gendarme; Charles et Arthur,
positifs, gardent la bourse, et la maison pros-
père.

SimpUBTTfi,

LA SAINTE-EUGÉNIE

On sait que vendredi dernier la France a
tressailli d'un bout à l'autre; une vive allé-
gresse se peignait sur tous les visages et un
certain nombre de gardiens de la paix de ser-
vice sur le boulevard firent monter les ruis-
seaux d'un demi-centimètre jusque dans les
rues avoisinarites, tellement ils versèrent de
larmes d'attendrissement, On raconte — et
voici qui fient du miracle —que dans l'hôpi-
tal d'Amiens, trois vieilles femmes atteintes et
convaincues de choléra asiatique et condam-
nées par tous les médecins, qui leurraient
fait en vain avaler cent dix-sept houteilles un
quart d'eau de Lqnrdes, sautèrent en bas dj

leur lit dans un costume que-la pudenr ma dé*

fend de décrire et déclarèrent qu'elles étaient
guéries, ce qui fit tomber à la renverse tous
les infirmiers de l'établissement. Le soir, sur
les minuit, des employés, de la maison nicher
allant à leur travail aperçurent une vive lu*
mière dans les ruines du pavillon de Flore, et
on dit que s'éiant approchés dn monument
ils entendirent une voix qui leur criait ; « SI
dans quarante jours l'ange de la Frapoe n'est
pas de retour, Paris sera détruit ! ? La Cw>'
saire serait mal fondé à prétendre qu'on ft re-
connu l'organe enchanteur de Paul de Cas*
sagnac.

El qu'elle est l'explication de ce mystère?

Mon Dieu, c'est bien simple :

Vendredi dernier était le jour de la Sainte-
Eugénie, et alors!...

On conçoit de reste que le cjel ait tenu à
montrer clairement ses prédilections pour
l'ex-impéralrice des Français qui a depuis
longtemps expié ses quelques fautes de jeu*
nesse par son perpétuel têtô-à-tête avec le nez
qui perdit la bataille de Sedan,

Comme on le pense bien, ce ne fut pas seu-
lement en France que cette.fêle nationale fut
célébrée par tous les cœurs fidèles : l'Angle-
terre avait dès la veille tué tous les veaux gras,
comme pour les fêtes de Noël, et on avait en-
voyé à Chisleburst tant de bottes de roses et
de gratte-culs que p'en était comme un bou-
quet de fleurs.

Le malin de ce grand jour, on avait nettoyé
des pieds à la tête l'aimable gâteux que l'on
sait et on lui avait mis une bavette propre;
puis, on l'avait assis dans sa chaise et on lui
avait recommandé de bien §e tenir à table au
dîner.

Ce fut une grande joie parmi les convives
de l'illustre exilée quand Gaga récita au des-
sert le compliment que Pietri lui avait appris.

* - oleors se creusaieni

SSftïï

Luisvousrenouvelerlexï

■ mMbde déToue.nent et de r
Squej'aiponrVotreMav

iréchal de France,,
ositiondanslaqueliejeme!
Lravoirtropbienservi Je
ïolre auguste époux qmeer
«ours la pies belle conqu
ait faite sur les animaux. Je
îin tachot épouvantable ou j
tre repas par jour, et qui est
besoins des prisonniers, qi
mieux fourni de la classique
tous en donne ma parole i
tneiiiuïdaqne, que mon ho
cas dans le fer d'un cheval;
amertume sans seconde. J'y
méat ee matin en cueillant]
«s envoie e| qui encorabi
quand tout à coup un billet
vint tomber à mes pieds. J'i
ftne main amie et j'y lu
riadamel,., Je tous le don
1ns ces simples mots : L'a
WP| Conçevez.ïoiis ma
(pie de honneur pour moi (
tous annoncer cette bonne
jour de votre fête ! La situa
t5t ebanger, et comme nou
Me petite régence qui pe s
««flous |Je ne vous dis

f ««disque ça! Je vc
«sniedselinni

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J*'«ta de cette leur,

* !» Gaga, sautant h,

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