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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 2.1872

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LB GRKLOT

A M. DE RÉMUSAT

Cher monsieur,

Permettez au Grelot de vous féliciter bien
sincèrement de votre heureux avènement au
pouvoir.

Le dégommage si mérité de votre prédé-
cesseur, le citoyen Victor Lefranc, nous a
plongés dans une joie tellement vive, que notre
directeur, dans un accès de folie, s'est em-
pressé d'aller acheter quatre lampions.

Je me hâte de dire que cela ne lui a pas
coûté cher, vu le peu d'occasions que nous
avons d'illuminer depuis deux ans.

Le marchand a failli l'embrasser.

Celait le premier chaland qu'il voyait dans
sa boutique, depuis nos fameuses victoires
sur le Rhin.

Si nous n'avons pas allumé nos quatre fa-
meux lampions, la faute en est seulement au
temps, croyez-le; mais le cœur n'y est pour
rien.

Vous ne pouvez croire, mon cher monsieur
de Rémusat, — ne vous fâchez pas de cette
familiarité, elle sied quand on s'adresse à
un ministre républicain, — vous ne pouvez
croire, dis-je, combien ce Victor Lefranc était
insupportable 1

Vous dire les misères qu'il nous faisait I

Pour ma part, je n'avais pas un cheveu blanc
avant son entrée au ministère, et mainte»
nanti

Oh! maintenant 1...

H y a, comme dit M. Ernest Legouvé dans
ses sublimes poésies, nombre de pièces de dix
sous dans ma monnaie.

Figurez-vous, mon cher Rémusat, — remar-
quez-vous que je deviens encore plus fami-
lier? — figurez-vous que ce ministre avait si
peu le sentiment de la situation, que si quel*
qu'un était venu lui dire :

— Vous savez, monsieur Victor, que M. Roir-
her vient d.'être nommé président du conseil.

— Ah!... enfin!... aurait-il répondu. Bah!
après tout, sa présence ne me paraît pas bien
nécessaire.

Qu'y a-t-il de 'changé depuis l'Empire, je
vous le demande?

La censure est-elle moins bête qu'elle n'é»
tait?

Non, n'est-ce pas?

Est-on plus libre d'écrire ce qu'on veut?
Oui... à condition de ne parler ni de Pierre
ni de Paul, ni de ceci ni de cela, ni du chaud
ni du froid, ni du vent ni de la pluie.
Mes bureaucrates sont-ils plus intelligents?
Mes préfets plus libéraux?
Mes agents plus fidèles ?
Mes commis plus dévoués?
Ma foi... je vous assure... hein!... ça se res-
semble furieusement.
Eh bien alors?

Laissons donc ce brave Rouher tranquille
et ne le dérangeons pas pour si peu. Conten-
tons-nous de l'imiter.

Voilà ce qu'était Victor Lefranc, mon cher
Rémusat.

Aussi avons-nous bien ri quand, samedi
dernier, on lui a réglé son compte.
La tête qu'il a dû faire !
Non, ça devait être d'un drôle !
Et maintenant, mon cher Rémusat, je dois
vous dire que nous autres républicains, nous
fondons sur vous les plus grandes espérances.
Il est certain que pour qu'un orléaniste de
votre force se soit décidé à prendre le por-
tefeuille de l'intérieur sous un régime répu-
blicain, il faut qu'il se soit fait une rude révo-
lution dans son esprit.

Je sais bien que ce n'est qu'à titre intéri-
maire que vous remplacez ce bon Victor ;
mais n'importe, je vous connais : vous laisse-
rez évidemment des traces de votre passage
dans ce ministère.
Et la France entière vous bénira !
Quand on a comme vous un nom qui rime
si bien avec chocolat, on doit évidemment
être tout confit en douceurs pour ces pauvres
diables de journalistes et de dessinateurs, qui
préféreraient sans contredit, soyez-en sûr, un
petit hôtel boulevard Malesherbes et les fa-
veurs de Blanche d'Antigny à la gloire de dire
de temps en temps quelques bonnes vérités.
Donc, mon petit Rémusat, — Allons, bon !...
voilà que je me familiarise encore! — mettez
une légère sourdine au zèle de vos censeurs.
Il leur en restera toujours assez, allez.
Soyez persuadé que, comme le dit Figaro,
il n'y a que les petits hommes qui redoutent
les petits écrits.

Je sais bien que vous me répondrez : Mon
cher Flammèche, j'ai beau regarder autour
de moi, à la Chambre, dans l'administration,
au ministère, un peu partout, enfin, je ne vois
que cela, des petits hommes.

Les petits hommes constituent, à l'heure
présente, la presque unanimité de nos gou-
vernants et de nos gouvernés. Or, vous com-
prenez, les attaquer sans cesse, c'est attaquer
tout le monde, et comme ministre de l'inté-
rieur...
— Oui, je comprends vos angoisses. Mais

laissez faire; nous parlons a de tels sourds
qu'il n'y a garde qu'ils entendent; aussi, ce
que nous en faisons n'est guère que pour le
divertissement de la galerie.

— Alors ?

•— Alors, vous pouvez vous mettre un peii
la bride sur le cou. Ce n'est pas nous qui
changerons le monde... du moins de sitôt.
C'est une trop grasse besogne.

— Eh bien, mon cher Nicolas, vous me con-
vainquez.

— Mon cher Rémusat, j'en suis d'une joie !

— J'inaugurerai mon intérimat par quel-
ques mesures libérales.

— A la bonne heure.

■— Je veux que Victor" Lefranc en crève de
jalousie.

— Il en crèvera.

— Vous allez voir comme je vais faire la
leçon à mes censeurs!

— Cela sera bien.

— Ils auront de l'indulgence.

— Tant mieux.

— Et de l'esprit.

— Oh!ohl

— Enfin, mon cher Flammèche, je veux
mériter votre amitié.

— Mon cher Rémusat, il me suffit pour
vous la donner de connaître votre programme.

— Ainsi?...

Tape là, mon petit père!.,. Si tu lui fais
oublier ce qu'il a souffert sous Victor, le
Grelot est à toi.

.— Vous êtes familier, mais je vous aime
ainsi.

— Ceci, Rémusat, est un vers. Y as-tu
songé? ,

— Flammèche, dans mes bras!

— Dans mes'bras, Rémusat !

Nicolas Flammèche

01 DOCUMEST HÏSTORiaUE

Un homme prodigieusement embarrassé de-
puis que la droite a avalé sa langue, c'est le
père Batbie.

Il avait fondé de si belles espérances sur le
jeune Changarnier que, pareille à Calypso qui
ne pouvait se consoler du départ d'TJtysse, il
ne peut pas se consoler de la victoire que la
République vient de remporter.

Son visage est sillonné, jour et nuit, de lar-
mes amères; ça ce conçoit, mon fils, ça ce
conçoit!

Quoi d'étonnant, du reste !

La droite lui avait fait tant de promesses ;
on lui avait tant juré qu'on ne se souviendrait
plus du liquidateur social de 48, qu'il se pâ-
mait déjà dans les chatouillements d'une douce
allégresse.

Le désespoir de Bafbie est d'autant plus na-
turel que l'avenir semblait lui réserver une
haute destinée, si les gens bien pensants sor-
taient victorieux de la lutte, et que ses illu-
sions se sont écroulées comme un château de
cartes.

En effet, le Grelot, qui ne recule devant au-
cun sacrifice pour faire connaître à ses lecteurs
les dessous de la politique, a découvert lin
complot horrible tramé dans le sein de la ma-
jorité.

Cette conspiration, dont Barascud était lé
chef suprême et dont le mot de guerre était :
Charnbord-et Corbillon, avait pour but de réta-
blir la France sur lepiedoù elle était du temps
de Pépin le Bref. Changarnier était nommé
lieutenant général du royaume, et on voyait
accourir de Brégenz, clopin-clopant, celui "que
Villemessant appelle : son Roy (a-t-il de la
veine, ce bourbon-là, ne m'en parlez pas !)

Or, que devenait Batbie dans le nouvel or-
dre de choses?

Voilà justement ce que ïe Grelot voulait sa-
voir, au juste.

Et, il le sait maintenant.

Eh bien! lecteurs, avouons-le à la honte de
la droite, des monarchistes, monarchiens et
autres Dahirel, la majorité, éprise du succès
que le rapporteur de la commission de Kerdrel
devait obtenir, dans sa pensée du moins, —la
majorité, disons-nous, avait songé à employer
d'une façon active le talent vulgarisateur du
liquidateur social Batbie.

Et, ce qu'elle avait trouvé de mieux, c'était
de faire jouer à Batbie le rôle d'un Père Du-
chêne de l'ordre.

Qui le croirait?... Batbie avait consenti! Son
grand cœur avait parlé plus haut que ses répu-
gnances, et, dans le silence de la n éditation,
il avait rédigé, la nuit du jeudi au vendredi de
la semaine dernière, le premier numé ro de son
journal quL-devait s'adresser au «bon » peuple
de Paris et des campagnes qui ont nommé
Trochu et Belcastel, et surtout à la fidèl ! bour-
geoisie.

Voici les premières pages du journal de
Batbie, telles que notre reporter a pu se les

procurer, par des moyens que la pudeur de
l'ex-impératrice m'empêche de qualifier.

GRANDE JOIE

BU

PÈRE BATBIE

de voir que décidément le parti de l'ordre a monté
sur le dos du petit Thiers;

Sa grande motion pour que les radicaux soieill
envoyés sans jugement à la récolte du poivre, avec
ses bons conseils à la bourgoisie et au petit com-
merce pour que les étemels ennemis de tout ordre
social soient désormais réduits à la mendicité
comme à l'impuissance.

Ah! ah! mes gaillards,

Le voilà donc en bas pour de bon, ce diable
de petit bonhomme qui se donnait les gants
d'être roi de France et de Navarre,

Tout comme s'il guérissait les écrouelles,
rien qu'en soufflant dessus I

Il ne reviendra plus,

Ou le père Batbie veut en perdre son latin,

Et Dieu — ôte ton bonnet Jacquot — et
Dieu sait s'il en a, du latin, le père Batbie!

Ah! tirelipiton, tirelipitaine!

Ça n'a pas été sans mal, allez, petites gens.

Non,

Par Cumont!

lia fallu trimer, et dur!

En avons-nous fait des propositions et des
contre-propositions, des sous-propositions,
des amendements, des projets, des contre-
projets!

Tous ces messieurs de la Chambre en avaient
mal aux cheveux, rien que d'y penser!

El quelle adresse 1

C'est que, voyez-vous, petites gens, ce
Thiers, c'est comme du vif argent :

Vous le prenez à pleine main, vous serrez
les doigts, vous croyez, bien le tenir, et puis
phû, phû, viens-y voir, il n'y a plus rien,
vous êtes ce qu'on appelle levé 1

Il est malin comme un singe !

Mais c'est égal,

Nous lui avons donné son sac tout de même,

Une belle affaire!

En a-t-il mis du temps à faire son paquet*

Il était là qui traînait, qui traînait!

Et son vieux patriotisme,

Et son amour pour le pays,

Et que nous ne saurions pas constituer une
monarchie, ■

Et ceci, et cela,

Et patati, et patata!

Bref, on voyait qu'il se trouvait bien à la
présidence, et qu'il aimait mieux taper de
l'œil) comme on dit, dans le lit de Napo-
léon V" que dans le sien !

Mais à la fin, nous nous sommes dit :

t plus de tout ça !

» Fais ton paquet, mon vieux,

» Et déguerpis !

» Un temps, un mouvemtnt,

» Et des pattes I... »

Cette fois-là, il a donc fini tout de même
par s'en aller!

C'est que Changarnier était là avec son
grand sabre :

«Tirelipiton, tirelipitaine!» hurlait-il de
temps en temps.

' Si vous aviez vu alors le petit Thiers trem-
bler comme un lapin, vous auriez ri de toutes
vos dents — ceux qui en ont.

Enfin, le Voilà dehors!

Quelle chance!

C'est maintenant que les Prussiens vont
évacuer — comme s'ils avaient pris de la mé-
decine Leroy !

C'est maintenant que Bismarck va nous re-
passer le plumet!

C'est maintenant que le crédit et les affaires
vont renaître!

Et que les petites gens vont être obligées
de faire agrandir leurs boutiques tellement il
y aura de pratiques à leurs comptoirs!

Que ça sera un miel, quoi !

Mais pour ça, voyez-vous, petites gens, il
ne s'agit pas de rire tout le temps et de s'as-
seoir sur son derrière comme de beaux petits
Saint-Jean en sucre!
' Il faut procédei' à une liquidation!

Et quelle diable de liquidation? direz-vous.

Le père Batbie va vous le dire :

Il faut procéder à la liquidation du radica-
lisme !

Oui, tirelipiton,

Oui, tirelipitaine!

Que tous ces radicaux aillent faire la récolte
du poivre à Cayenne !

Qu'on leur colle un bonnet vert sur les
oreilles, à toutes ces canailles !

Parce que, voyez-vous, Thiers, ça n'est que
le commencement!

Et si on lui laisse son entourage, ce crou-
peton-là nous jouera encore des tours de sa
façon, le père Batbie ne vous dit que ça!

Un de ces beaux matins, nous nous trou-
verons radieaillanl de radicaillerie comme au-
paravant, et qui est-ce qui sera jobard?

Ce ne sera pas Gambella, eh I

Ah!

Par Cumont,

Il ne faut pas que ça soit !

Et ça ne sera pas, tirelipiton !

Ou si cela était, tirelepitaine,

Les petites gens seraient encore une fois
dans la peine !
Il faut aviser, mes gaillards,
Et ouvrir l'œil,
Et le bon !

Donc, voici ce que le père Batbie vous pro-
pose :'

Il faut, dit le père Batbie, qu'on fasse une
enquête sur tous ceux qui ont l'air d'avoir
plus ou ffioihs trempé les pattes dans le bour-
bier républicain,

Et qu'on leur confisque toutes leurs pro-
priétés — au profit des pauvres princes d'Or-
léans, une supposition,

Et qu'on leur ficelle un écriteau sur la poi-
trine où on lira :

C'EST UN RADICAL!
Touchez pas!Il

Et qu'on leur donne pour toute nourriture
une assiette par jour de pâtée pour les chats ;
c'est assez bon pour ces voleurs-là, et comme
ça ils ne prendront pas trop de force!

Autrement nous serions encore un de ces
jours plongés dans la nlélasse.

Tirelipiton!

Et ça ne sera pas, dit le père Batbie,

Tirelipitaine !

Pour copie conforme,
Job.

LA.

CONSCBIPTIO» m ALSiGS-LOHRilNË

Noua sommes à Belfort, par un jour de septembre,
Et les Prussiens sont là. Leurs chefs parfumés d'ambre,
Tout puapls de crottin, en insolents vainqueurs,
Vont à travers la place et font les jolis cœurs.

Soupirs, coups d'œil perdus ! Là finit la conquête ;
La femme, avec mépris, fuit, détournant là tête.
Eux, toujours confiants, disent: «C'est pour demain. »
Tu n'es pas difficile, ô fat et lourd Germain !

Le soleil brille pur, et la vapeur légère
Des cigares prussiens s'élève vers le ciel.
Le sol résonne, hélas 1 sous la botte étrangère;
Tout est pour l'Allemand, fait de sucre ou de miel.
Guillaume, c'est son Dieu ; Bismarck, c'est son pro-
ll n'est plus de combats ; sous son large talon [phète...
Frémit notre patrie. Oh! trop loags jours de fête!
Quand donc jamais pour vous soufflera l'aquilon?

Holàl quel est ce bruit, qui va là, sur la place?
Qui?... ce sont des Français, des fils de notre Alsace.
Ils célèbrent l'honneur, l'héroïsme et l'espoir,
Les yeux tournés vers nous, ils chantent le devoir,
Chose étrange!... Ecoutons : « A la France perdue,
Berceau de nos aïeux, la vie, enfants, est due. »
Ces mots sont éloquents, partants de pareils cœurs!
Menacés, rudoyés, nos chers perturbateurs,
Refoulant leur amour sacr*é de la patrie
S'éloignent en silence; ils vont à la mairie.

Ils sont mille cinq cents, les conscrits alsaciens.
Ils ont fui l'aigle noir, et réclament leur place
Dans les rangs des soldats qui, sous nos chefs anciens,
Ont écrasé la Prusse et craché sur la race.

Qu'est votre France, ami, dit un épais major
À l'Un de ces enfants, aux cheveux couleur d'or?
Et battue, et ruinée, elle a fait la Commune;
C'est nous qui maintenant détenons sa fortune.
Où va-t-elle, sait-on? Que peut-elle pour vous?
Vous allez bien souffrir, nous sommes joyeux, nous,
Je vous dis qu'elle meurt; quittez-la donc, mon frère!

Le conscrit répondit : « La France, c'est ma mère,
Et puis vive la France 1 » II ajouta, dit-on :
« On se retrouvera, mon gros major teuton ! »

François Husson.

Architecte à Paris.

SOUVENIRS ET REGRETS

La scène représente la chambrd à coucher des illustres
exilés de Ghislehurst. — Il est minuit, l'heure des
crimes. — Celui qui tut Badinguet et celte qui fut
l'ange de la France sont assis dans leur lit dans
l'attitude classique de M. et de Mme Denis dans la
chanson de Désaugiers. — Lui, est coiffé d'un mou-
choir à carreaux dont les deux coins s'élèvent au-
dessus de son front à l'action. — Elle, est en ca-
misole de nuit. ~ On voit à leurs figures blêmes et
boursouffiées qu'ils descendent tristement le fleuve
de la vie. — La lumière oscillante d'une veilleuse
éclaire faiblement là chambre.

rai. — Te rappelles-tu, Nini?

elle. — Quoi?

lui. — Il y a vingt et un ans?

elle. — Parle, ta voix me fait tant de bien.

lui. — C'était dans une nuit semblable que
je retirai la France de l'abîmeI... Ali! j'étais
jeune alors I

ellk, — Et beau!

loi. — Que ça faisait peur!

elle. — Quelle fatalité !

lui. — Te souviens-tu de nos petites parties?

elle. — Ah! mon Dieu! ouil

ldi. — Chez Aguado !

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eus, - lai-même !
mi.-Moi'tourictori
au. - Parfaitement
m.-Eipliquez-Yous

qn vous vous moquez d

quarante !
eue. — Voyons, mor

dont pas les gazelles?
mi. — Si, le Pai/s, vot

j'en réponds !
elle. - Eh bien ! aloi
lui, - De quoi, de iju
BLE. - Vous n'avez ]

sait dresser la liste des i

vision militaire?
m.-Pas possible I
au. - C'est comme

le dire I

m.-Mais alors, ça'
M. - Comme sur
M.-Kous pourrons

puisque les généraux de

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