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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

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https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0131
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T/R CT1K1 HT

Le meunier songeait.

— Je suis h loi, dit-il tout à coup au dé-
mon el je vais te suivre , mais jure-moi que
tu me laisseras tranquille jusqu'à ce que ce
tout fie chandelle soit brûlé.

11 y en avait à peine pour trois minutes.

— Jeté le jure, dit le diable qui croyait
déjà tenir son homme.

A peine avait-il dit je le. jure que le meunier
s'empara de la chandelle, la souffla, la mit
dans sa porhe ;

Et vous pensez bien que plus jamais on ne
la ralluma.

— Il paraît que ce diable reçut un joli poil
^ v0D siay, — ajouta celui qui me coulait
cette histoire.

Lu en Alsace dans une gare, depuis la nou-
ille administration :

Lis contravention* sont amendables de cinq
fanes.

*

* *

En descendant du train, à Aix-la-Cha-
Pelle :

Un Français. — Faites donc attention à
*ÛttS, buti r'i

L'Allemand. — Dites donc, vous, vous sa-
vpzl.. je su s:\ votre disposition pour tout ce
'lue vous voulez...

1-E Français. — Eh bien! alors, portez
"onc mon uagage jusqu'à l'hôtel I '

BMDAINE.

Le Sphinx.

En politique, tout comme dans la plus
v1lgaire des conditions, dans le commerce
des rampes d'escaliers comme dans- l'inté-
rieur des ménages, le Sphinx passe générale-
ment pour un di s êtres exlraordinaii enieut
d'>ués, d'un- intelligence supérieure (cliché),
d'une profondeur inouïe, et qui n'tst le plus
s°'Venl qu'un être excessivement creux.

Sa >. ule force, son seul esprit consisté à
*çûir l'air d'en avoir.

Il y en a, t omme je le disais plus haut,
dan> toutes les conditions. Ainsi nous
*vons :

Le Sphinx du ménage.

Le Sphinx du ménage e.-lune espèce d'im-
Lécile qui ne sait rien dire, un être nul et
?*>ns décision; sans ca ai tète, il ne se met
binais en colère, il ne lit jamais, il ne bat pas
Sa leinme, i1 n'en est p;>s battu. Si sa femme
e*( »P rituelle, t He le troiiii e l,ar mépris ; si
e"e est aussi bête q> e lui, elle le regarde
connue un phénix et lui trouve un e.spiit
faie lorsqu'il dit seulement : « Je crois que
uOus aurons de l'eau demain pour aller dîner
Cfez les Camuzeau. »

La soirée se passe généralement ainsi :

— Est-ce que tu es malade, mon ami ?

— Non... Non... je réfléchis".

Il joue du tambour sur la table avec ses
doigts, regardant fixement la lampe; il pousse
fort soupir et va se coucher.

Sa femme est dans une perpétuelle inquié-
tude et dit tous les soirs aux voisines :

— Il se tuera, madame, il se tuera, voyez
*ous l C'est un homme qui travaille trop ;
c>t!st malheureusement la tête qui marche,
'Jui man-he, et il n'y a rien qui use comme
Ça.

Le Shiinx politique.

.Antre variété de crétin. 11 ne comprend
•"^n aux chèques, pas plus qu'à la question
des sucres. Quant il faut voter, il vote comme
Ses confrères et dans le sens de ceux qui pas-
Se'H pour les Talleyrand du parti.

Il se laissetait plutôt arracher la tête que
s0n secret, par la bonne raison que, ne com-
tofnant rien du tout, il lui est impossible de
Penser davantage ; mais, comme il n'est pas
^aite.ir de passer pour une buiire, dès qu'un
Collègue lui demande son avis concernant

'mpôl sur le ratissage des salsifis, il se prend
c menton dans la main, il se tiipote pendant
dii minutes et finit par répondre :

— C'est selon.

— Que pensez-vous du discours de M. B...?

— Oh l il y a quel mes mots qui... Evidem-
ment, mon Dieul chacun ses opinions; mais,
Ij un àutre côté... Du reste, il était plus em-
.a rassé que vous ne croyez, et... Enfin, il
'4ut étudier ça; nous venons.

i Le collègua auquel on a parlé à'étvdier ça,
di qui n'a pas du tout l'intention d'en faire
aUtani, reste persuadé que son interlocuteur
'Hun malin, un lapin; il rtonne son opinion
autres; <n la partage, et lorsque le
Phynx, poussé par la bande, est obligé de
Expliquer, on s'aperçoit toujours trop tard
1"e t 'est un imbécile, grâce auquel on vient
^e perdre la partie.

r Les fphyux politiques sont la plaie des partis
Qu'ils k.noreut de leurs concours absurdes.

—0—

Mais combien d'autres sphynx encore?

Le sphynx-femelle, par exemple, qui tient
son mari dans un perpétuel état de lièvre, de
doute et de crainte..

— Veux-tu sortir?

— Ça m'est égal.

— Aimes-tu mieux rester?

— Comme tu voudras.

— Mais pourtant si tu préfères... -

— Je ne préfère rien.

Le mari se tonille de colère, devient fou, il
veut savoir le fond de tout ça. Kien. —Tu me
battras si tu veux, lui dit sa femme.

Abruti, éperdu, ne sarhanl que f'ire et que
pensir, il -orl, il va trouver son ami Canaid,
ii joue, il boii : les voisins le iraitent de
mange-tout.-. et on plaint bien <ia p'ify femme.

Kn fait de spAî/nj, je n'en ai connu qu'un qui
m'aurait convenu : Crois lie, le sphynx s'y
empoisonnait au dessert, mais les autres I...
m'en parlez pas.

SULPICE.

Un M

édecin-Majora trouvé un Baume
détruisant à vie tt sansd iuleur : Cor», Oignons,
_ _.Durillons,OCilsdepenln». Prii :t lr.50
Envoi fuconire2fr.iimi).)OI>iM.'~'rai'(e,8, bouH Montmartre.

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LA SEMAINE THÉÂTRALE

GYMNASE

Peut-on êlre vicomte, ambassadeur et dé-
puté et être en même temps débauché, niai
élevé, roquin et canaille? Ma i a me la com-
tesse de Mirabeau qui, probablement, connaît
son monde, l'alfirmail dans sa pièce; Anasta-
sie, appelée à tiancher la question avant le
public, a décioé, au coi.traire, que si ces ép-
tbètes pouv. iensans Inconvénient, s'appli-
quer à un vicomie, elles étaient absoli ment
incompatibles avec le mandat de député el la
qualité d'ambaSsadctr. Ainsi voilà un point
jugé : snypz vicomte et cana il le, rien de mi'ux ;
mais devenez dép ilé, vous restes bien tou-
jours vicomie, mais vous n'êtes plus coquin.
Un député est comme la femme de César, il
ne don même pas être Soupçonné. Les pré-
somptions giaves... ne doivent plus exister pour
lui.

Voilà, chers lecteurs, pourquoi le vicomie
de Châ'ni'ijort, le lié os de la comédie de
madame Mi.ale au, qui se Irouvail être dépul •
et amBâssàde'ùf dans le manuscrit, s'est \u
indignement dépouillé de ces deux titres au
moment de nous être présenté.

Analysons maintenant rapidement la comé-
die du Gymnase, Chàteaufpri --le vicomte en
question — un intiiganl, un viveur, un dé-
bauche, esl parvenu, par un chemin moins
détourné qu'on ne le pense, a épousé la tille
du marquis de Pont ville, un vieil idiot, re-
marié — Vous voyez bien qu'il est idiot, —
avec une drôlesse dont Châleaufort avait fait
sa maîtresse.

Châteaulorl et la marquise ont fait signer
au vieillard un testament par lequel ce der-
nier déshérite son lils, jeune officier de hus-
sards, au protit de la vicomtesse de Cbâleau-
fori, sa fille .

Mais la jeune vicomtesse Nanine qui, quoi-
que un peu cascadeuse, a conservé néanmoins
des principe, refuse de se rendre le complice
de son mari et de sa beile-mère, et les me-
nace de dévoiler leurs coupables intrigues à
son père.

i.omme il est facile de le prévoir, la lettre
qui renferme l'aveii de l'amour coupable du
g' ndre et de la belle-mère, tombe pur hasard
entre les mains du marquis qui fait une scène
du diable. Tout le monde se dispute : le vi-
comte et la vicomtesse, le marquis et la mar-
quise, le hussard et l'amoureux de sa sœur,
le marquis, le notaire de la famille lui-même
et l'homme d'affaires de la marquise!... Ta-
bleau.

Cbateaufort rend l'argent et se brûle la cer-
velle. Nam ne épousera son amant, la mar-
quise, chassée par son mari, continuera à
mener en dehors de lui la vie qu'elle mène et
qui lui convient, le marquis restera idiot, et le
notaire crétin!...

Quelle jolie sociélé I Quelle famillel comme
dii Hyacinthe.

A l'exception de Nanine et du hussard,
tous idiot, pâteux, canaille et ciélins f...

Nous voulons croire que madame de Mira-
beau a fircé U note; aussi bien dans les carac-
tères qu'elle nous expose que dans les si ma-
tions qu'elle nous présente. Elle ne doit donc
s'en prendre qu'à elle-même, si malgré cer-
taines qualités qu'on y trouve, sa comédie n'a
pas été plus fav rablement accueillie.

Madame Fromemin et mademoiselle Mon-
nier jouent avec une véritable furie ies lôles
de la marqui-e et de la vicomles-e.

MM. Pujol, Saini-Germain, Fram is et Biai-
zot ont fait pieuve de talent sans pouvoir dé-
rider les spectateurs.

Noiis-craignons bien que le Châleaufort de
madame de Miiabeau ne tarde guère à capi-
tuler.

Jules de la Verdrie.

GRELOTS

Pu Amérique, il n'y a pas que des femmes vierges,
il y a des forêts aussi.

+

P'r cette chaleur, on aime mieux siffler un bock
outi n'importe quelle mauvaise pièce.

Quand on s'aime, on ne récolte pas toujours.
+

On n'a pas toujours une foire dans la main, mais
toujours on y trouve la paume.

+

Ca qui prouve que les militaires ont de la valeur,
c'est qu'on peut les meitre au clou.

. +

Un effet qu'on ne trouve pas chez Godehau, c'est
l'éphémère.

+

Nous ne sommes probablement pa« près d'avoir la
guene, puisque nous avons des gardiens de la paix.

Les femmes sages sont plus rares que les sage-
femmes.

Par 30* au-dess'is de 0, on aime mieux entrer dans
l'eau que dt> sortir de son caractère*

Quand on bâille de sommeil, on rrnint moins de

perdre son argent que lorsqu'un bâille des fonds.

t

Il vaut encore mieux engager un ami à dîner que
sa montre au mont-de-piéie.

+

Je connais un garçon qui est tellement répul lirain
que ce qu'il déteste dans les boties, ce t le tirant.

TRI BOULET.

GRELOTS-FINANCE

C'esl toujours la question d'Orient qui gou-
verna la Bourse. Selon qu'on croit, à t orl ou
à rais on, que la guerre générale en sortira ou
n'en sortira pas, on est à la bais-e ou à la
hausse. Poui le moment, ou est dans la phase
de haijsse, Au commence ment de la sema ne,
le 3 p. 100 man hait vers 09, et le 5 p. 100
vers 107 —C'esl superbe. Notez Cependant
qu'il Suffirait d'un incident permettant de
croire que l'Allemagne veuille se faire à elle
seule l'arbitre du litige pour produire illico de
1 fr. 50 à 2 ir. de baisse. -

* «

L'ours allemand voulant bien nous laisser
tranquille, les hyènes, les chacals et les re-
nards de l'ordre moral jugent à propos de
rentrer en scène. Ces aimables bêles se pré-
parent, dit-on, à profiler des vacances parle-
mt ntaires pour fournir au monde un nouvel
échantillon de leur savoir-faire. Celte perspec-
tive laisse nos boursiers parfaitement indiffé-
rents.

*

* *

Si amoureux de la paix à l'extérieur et si
bien disposé à l'indulgence pour la réaction à
l'intérieur que soit notre monde boursier, les
choses ne vont pas cependant tout à fait à
son gré. H voit du noir devait lui Est-ce la
politique extérieure qui lui fait ce brouillard?
i-.st ce, au contraire, la politique iniérieuieî
Je ne sais. Toujours est il que l'avenir pro-
chain ne les troublent pas quelque peu; il
n'aurait pas la semaine dernière, à moins de
vingt jurs du détachement du coupon, fourni
tant de renies 5 p. 100 au marché au comp-
tant.

* •

Ces rentes sont venues en telle abondance,
qu'en d'autres temps, même dans ces jours
alcyoniques où M. Uouher était vice empe-
reur, une baisse d'au moins un fianc s'en se-
rait suivi ; mais, par ces lemps d'absence com-
plète d'affaires nouvelles tant soit peu sé-
rieuses , les écus disponibles que la ssent
encore lespayements des coupons de juillet^t
les termes de ce même m is de juillet, n'ont
encore rien de mieux à faire que de s'em-
ployer en rente* françaises et en valeurs con-
tinuant à présenter des revenus assurés.
*

* *

C'est pour cela que nos grandes valeurs de
chemins de fer ont fait de si beaux pas en
avant.

«

Quand je parle chemins de fer, qu'il soit
bien entendu que je songe particulièrement
aux actions et obligations des grands chemins
français, et un peu aussi aux valeurs des che-
mins autrichiens et des obi galions des Lom-
bards et des Madrid-Saragosse. Le ehaullage
continu, dont les actions et obligations du
nord d'Espagne sont l'objet, ne me dise rien
qui vaille.

*

Les porteurs de fonds espagnols ne sont
pas contents du tout du règlement que le gou-
vernement de M. Canovas del Casiiilo vient
de faire voter par les Cortôs. M. Gérod, du
Comptoir d'escompte, a eu beau montrer les
dents, le trésor espagnol ne veut payer que i
p. 100 et non 1 1/2 p. 100 des futurs cou-
pons. Tout ce qu'il peut faire, c'esl de dire
que, dans six ans, il donnera un quart p. 100
de plus. Il y a six ans, h 3 p. 100 espagnol
valait de 2S à 30; aujourd'hui, il vaut de 14 à
15; que vaudra-l-il dans six ans? Je ne me
charge pas de répondre.

Le gouvernement turc a bieavoulu prendre
la peine de faiie savoir officiel cment à ses
créanciers que le payement des coupons était
indéfiniment ajourné. Cela n'est pas une nou-
velle. Les intéressés savaient déjà à quo> s'en
tenir. On aurait donc pu s'épargner cette dé-
pense.

*

* •

Tout l'argent, que le khédive avait promis
de consacrer pour la mi-juillet aux porteurs
des divers fonds égyptiens, se paye en ce mo-
mt nt Les caisses qui ont des bons du trésor
égyptien sont bien pour» quelque chose dans
ce coup d'épaule. Maintenant, quelles en se-
ront les conséquences? Le public va-t il, comme
on l'a annoncé depuis tanl de temps, profiter
de l'occas on que les cours actuels lui (dirent
de placer sont argent à 20 p. 200? Peut-être
oui, peut-être non. — Eu te mentent,l'empres-
sement n'est pas encore tiès-giatid.

* *

Les nègres, et autres moricands d'ITaïli,
continuent à n'avoir pas un centime à distri-
buer sur le coupon qu'ils devaient paver en
juil cl. Les porteurs en sont réduits a runp ir
de b ues gémissements les bureaux du Cndit
génér.l el de la maison Marciiard, où on leur
répond invariab etuenl qu'on va leur envoyer
un mémoire. La moindre pièce de cent sous
ferait bien mieux leur afl ure.

*

* *

Des gens pas contents du tout, ce sont ceux
qui, dan-- ces dernières années, ont brassé,
tripoté et chauffe If s fonds d'IîtaU é rangers.
La proposition l'a-cal Dupral, qui vient u'êlie
prise en considération par la commission de
la Chambre des députés, tiouble leur som-
meil, ils fout des souhaits pour que le diable
l'emporte, et, s'il emportait le légime parle-
mentaire, ils ne courraient pas après.

ARIEL.

JWtniN D'ACCLIMATATION. — Concert du di-
manche 23 juillet 1876.

Vranicrv partie : t" Le Cimbre, (pas redoublé).—
2* Ouverture de> Uiainants de la Couronne. — 3" Le
Prophète, (grande fantaisie), — 4° Le Carnaval à
Paris, (bouquet de vabe).

Deuxième partie : 5° Freyschutz, (grande fan-
taisie). — 6° TruC 'iine, (duo polka pour deux petites
flûtes). — Marie, (fantaisie) — 8° Galop.

Uief d'orchestre : L. Majeur, de 1 Opéra.

JARDIN D'ACCLIMATATION. — Ouvert tous les
Jours. — Concert : Uim uicues, Jeudis et Fêtes.

CIKUUE D'ETE. — Tous les soirs a 8 heures,
exercices équestres.

JAHDIN MABILE. — Ouvert toas les soirs. — Pa-
tinage tous les jours de 9 à 6 h. Lundis, mercredis,
vendredis: soirées de patinage. — Dimanches, mardis,
jeudis, samedis: soirée musicale et dansante.

TIVOLI VAUX-HALL. — Ouvert tous le. jours.

C11ATI-.AU HUUCE. — Ouvert les lundis, mer-
credis, vendredis et dimanches.

PAVILLON DE L'IIOULOGË (Champs-Elys.) spec-
tacle concert tuus les soir,

ALCAZAH D ë 1E (Champs-Élysées). — Spectacle-
concert.

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cialités.

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