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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

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https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0178
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LE GRELOT

LA SEMAINE

Eh bien, mais, et ce fameux Congrès ou-
vrier ?

Il se rassemble chaque jour sans que le so-
lèil voile sa face, sans que les étoiles tombent
du, rie', sans que des barricades se dressent
au coin de chaque rue.

Les journaux de la réaction se voient môme
forcés' d'avouer, — et Dieu sait s'il leur en
coûte! — que les ouvriers qui le composent
ont une tenue correcte qui n'est pas en faveur
de certaines séances de nos assemblées parle-
mentaires.

Pauvres confrères ! nous plaignons votre
douleur!

fch quoi, les ouvriers sont des hommes
comme les autres?
ylls parlent comme tout le monde?
Ib savent ce qu'ils disent?
Ils se préoccupent de leurs besoins?
Us veulent améliorer leur sort?
Et tout cela sans cris, sans coups de poing,
sans hurlements?
♦Où allons-nous, mon Dieu? où allons-

nius? V «V 4 ' '"

\.iilà des hommes qui gagnent trois ou
qûatie francs par jour, et qui désirent une
algmentaliojvJji -n légitime de salaire.

y Voilà des femmes qui tirent 'eur aiguille du
niiitin à minuit pour vi gt eu vingt-cinq sous,
et qui pensent qu'on pourrait peut-être rêver
ujke existence plus heureuse.

Ces gens-IV se réunissent tranquillement
pour s'éclairer < t se venir en aide, 11, à Ja lin
lie la séance, on ne fut p;is rôtir le moindre
bourgeois pour s'en partager les eôleltttes?

Mais qi.'t sl-c : que cela veut dire?

Eh l ien, mais, et ce bon spectre, rouge?

Est-ce que son temps serait fini?

Est-ce que ce rie ser ait plus qu'un manne-
quin grotesque, pop à reléguer aux acces-
soires?

Ah ! tout cela est bien extraordinaire |

Où allons-nous, mon Dieu? où allons-pous?

*

11 n'<;st pas jusqu'à l'ami Sainl-Genest lui-
même qui ne soît un peu, —tranchons le
mot, — épaté de cette tenus.

L'aimable plaisantin du Figaro s'efforce de
rire, mais ça n'est pas arrivé. On le sent.

11 ne trouve aju'à réclamer, puisque les ou-
vrieis s'en mêlent, qri congrès :

Pour les sergents ij.e ville,

Pour les instituteurs,

Tour les p tits employés,

Pour tous les forçats de la vie dont tous
se servent et do^jj. nu; n'a souci.

Eh biep, mais, ehec monsieur Sainl-Genest,
c'est précisément ce que nous (((.mandons, et
vous voilà des nôtres.

Permettez-moi du vous en féliciter récipro-
quement.

Opi, vous avez raison,.

11 y a dans votre société de cruels et ridi-
cules abus.de révoilants dénis (je justice qu'il
faut détruire petit à petit, non par la force
brutale'et in utile des révolutions violentes,

Feuilleton du GRELOT, 13 octobre 187G.

LE VOILE

liien qu'on se fût couché tard, ou ne su leva pas
niui)js le lendemain à trois heures el demie du ma-
tin.

— Venez-vous au ttèlle avec nous? me cria le
père Duret, en cognant à ma porte.

— Me vodàl... répondis-je aussitôt.
Et en quelques minutes je fus habillé.

Qqand je sortis de ma chambre , le chariot était
déjà allelé et'attendait derrière la terme dan» la
prairie : j'y montai avec le fermier; les deux garçons
étaiept partis en avant pour faucher le tiefle.

— Avez-vous bien dormi V me demanda le père
Durât, quand le chariot commença à nous secouer
sur la graud'route.

— Non, fis-je, — assez mal; j'ai rêvé une partie de
la nuit de votre Antoinette...

Le vieux paysan sourit.

— Diable ! grommela-t-il avec un air demi-railleur,
— n'en devenez pas amoureux, au inoins 1...

— Quant à cela, le danger n'est pas grand... Ce
n'est pas de cette façon qu'elle m'intéressera jamais.

— tille vous intéresse donc?

— Oui, depuis que vous m'avez dit qu'elle avait le
voile.

— Sans doute qu'elle l'a, — et elle l'a bien fait
voir plusieurs fois...

— Mais quel voile?

— Quelvorle?

(1) Reproduction interdite.

mais par les études réfléchies et sincères des
honnêtes gens de toutes les opinions.

Voilà ce que nous voulons, nous autres ré-
publicains.

Et il paraît que vous le voulez aussi, cher
monsieur Saint-Genest, puisque vous trouvez
cette idée de congre- si bonne que vous souhai-
tez l'appliquer à tous ceux qui souffrent.

Allons, tant mieux!

« Les cœurs sont, bieu près de s'entendre
Quand les voix ont fraternisé I »

Tous nos compliments, confrère!
Mais n'allez pas rous lâcher maintenant!
Qu'est-ce que nous deviendrions sans votre
appui, juste ciel !

*

Les d'Orléans n'avaient pas fait parler d'eux
depuis longtemps.

Ils viennent de prendre leur revanche.

Les Petites-A [fiches nous apprennent qu'un
pauvre diable de doreur sur bois, M. Désiré
Enault, vient d'être saisi, au nom de cette il-
lustre famille, pour la somme effroyablement
fantastique de 500 francs/

Vous avez bien m?
• Cinq cents francs I

La requête est présentée au nom de tous les
princes français, auxquels viennent se joindre
le cri des Belges, le comte de Flandre, l'im-
pératrice Charlotte, le prince deSaxe-Cobourg-
Goiha el le duc de Wurtemberg.

Tout ce|a papy cinq cents francs!!

Ah ! dame, c'est que vous comprenez... cinq
cents francs... c'est de l'argent)... et quand on
est dans d'aussi tristes situations que les de-
mandeurs, on a besoin de faire ses petites
rentrées.

Ainsi, par exemple, au moment |e duc
d'Aumale fait restaurer le château de Chan-
tilly, on conçoit parfaitement qu'il ait besoin
dr s 50 francs qui lui reviennent pour sa part
dans cette affaire.

Que diable, pour être prince, Qti n'en a pas
moins d'ordre !

Et M. Désiré Enault s'en assurera bien I

C'est égal, être poursuivi par tant de nobles
créanciers, cela équivaut presque à des titres
de noblesse.

Je sais que je donnerais bien quelque chose,
— mon dernier tailleur, par exemple, — pour
être saisi par le duc de Wurtemberg, seule-
ment.

Ce que cela me ferait de bien dans mon
quartier 1

Ma laitière n'en reviendrait pas !

Heureux Désirél heureux Enault! fortuné
doreur (

A sa place, je me ferais faire des cartes
ainsi libellées :

Désiré Enault,
Doreur,

Poursuivi par la famille d'Orléans,

Et j'attendrais la clientèle !...

Dans cinq ans ma fortune sciait faite.

Le père Puret me regarda en plein visage, avep un
air singulièrement étonné, dont la goguenardise n'é-
tait point absente.

— Comment? dit-il au bout d'un moment, vous ne
savez réellement pas ce que c'est que |e voile, — et
vous êtes médecin?...

Je confessai humblement mon ignorance.

—Alors, je vais vous le dire, répondit-il... C'est bien
simple, allez... Si vous ne savez pas ce que c'est que
le voile, vous savez du moins ce qu'on appelle coiffé,
quand on dit : « C'est un enfant qui e.it né coiffé", »

— Sans doute!... C'est un enfant qui vient au
inonde en emportant sur le sommet de la tête une
partie des enveloppes dans le:-quelles il était, con-
tenu...

—- C'est cela, et vous parlez comme un livre...

— Eh b'ienî...

— Éh bien! vous savez alors ce que c'est que ja
voile; car vous autres, à la ville, vous dites : « Il psi
né coitlé, » et nous autres nous disons : « Il a le
voile ! »

— Quoi ! ce n'est que cela!...

— Que cela?... Est-ce donc si peu de chose que
d'avoir le voile ?

Ce fut à mon tour de le regarder fixement avec
surprise.

— Comment? dis-je... qu'est-ce que cela peut ou
ne peut pas faire?... C'est, un fait qui se produit fort
rarement; mais qu'imperte qu'il se produise rare-
ment ou non? 11 n'entraîne aucun danger, ni pour
l'enfant ni pour la mère... Seulement, jadis, des gens
superstitieux attribuaient aux enfants nés coiffés une
chance particulière, et cette vieille croyance nous a
fourni un proverbe qui est reslé. Quand on dit d'un
homme : «Ah! celui-là, il a dû naître coiffé! » cela
signifie : « Qu'est-ce qu'il peut bien avoir fait à la
Fortune pour que tout lui réussisse ainsi! » Mais
c'est une lagon de parler, et personne ne croit plus à
la chose en elle-même.

Le père Duret ouvrait, comme on dit dans le Nord,
des yeux comme des portes cochères.

Ce qu'il entendait conlrecan ait tellement ses idées
qu'il en resta pendant un moment tout stupide. .

— Mais pardonnez, dil-il à la tin... Pardonnez!,..

Un mot charmant de ce vieux farceur d'E-
mile de Qirardin.

Un de ses amis va le voir dernièrement et
le trouve la tête clans ses mains, plongé dans
un abattement voisin de l'idiotisme.

— Qu'avez-vous donc, cher maître ? lut de-
manda l'ami.

— HélasI mon cher, répond Girardin d'une
voix sourde, je vieillis..: je le vois bien 1

— A quoi voyez-vous cela?

— Je n'ai plus de convictions.

A ces mots, l'ami tomba sans connaissance.
On espère sauver ses jours.
Mais sa raison est totalement perdue.
Il s'est abonné à la France!!

NICOLAS FLAMMÈCHE.

FEUILLES AU VENT

Le Congrès ouvrier, dont les journaux de
la garde-robe et de la sacristie avaient h l'a-
vance fait une si épouvantable caricature,

A, en somme, marché comme sur des rou-
lettes.

On n'y a fait aucun punch au pétrole,

On n y a pas même demandé la tôle dp

Magniard, — ce qui était pourtant peu de

chose,

Et l'on ne n'y est pas plus occupé de Veuil-
lot que si l'on n'avait le moindre compte à
régler avec lui.

Bref, toul le monde a été sage comme une
image, doux comme un agneau, poli comme
le crâne de Siraudin et pas plus méchant
qu'un « Grain de bon sens, » d'Alphonse Karr,
ce qui passe tout!

On buvait de l'eau de guimauve à la tri-
bune,

EL les orateurs portaient de petits rameaux
d'olivier à (9 bouionnière.

D'où, grande déception des bigots et des
pêcheurs en eau trouble!

Pas moyen de demander une bonne mesure
contre les clubs au gouvernement!

Pas moyen de supplier le très-glorieux et
très-puissant maréchal de faire évacuer la
salle du Congrès par la maréchaussée.

Pas moyen de démontrer que le Congrès
ouvrier n'a été que le prétexte d'une émeute
compliquée de barricades et d'exécutions
sommaires 1

Voilà qui va bien I



* *

Mais est-ce à dire pour cela que 3e Congrès
n'ait pas agité ces questions sociales, — in-
connues à M. Gambetla, — qui faisaient l'ob-
jet de la réunion I

Pas du tout !

On a discuté tant et plus,

Et, si l'on n'a pas résolu tous les problèmes,
on en a au moins élucidé quelques-uns, et on
a préparé des matériaux pour l'avenir.

je vois que, quoique vous soyez de la ville, vous ne
savez rien du tout de ce que c'est que le voile.

— Y a-t-il donc autre chose?-., fis-je d'un ton in-
différent.

— S'il y a autre chose?... Vpilà bien ces méde-
cins I... ça ne voit que la matière toute pure, comme
dit noliv curé.

— Alors, expliquez-vous.

— Le voile, mon cher monsieur... le voile... Brel,
une personne qui a le voile connaît l'avenir !...

— Oh!oh!

— Il n'y a pas de oh! oh!.,, p'est comme cela!...

— Alors, Anloinetic prédit ce qui doit arriver?...

— Sans dnute, — quand elle veul, — oq plutôt
quand elle est dans ses jours.

— VA. on va la consulter?...

— Quelquefois.

— Il fallait donc me dire cela tout de suite,—m'é-
eriai-je avec un éclat de rire involontaire... Je me
serais, du reste, douté, rien qu'à sa mine, que c'était
une diseuse de bonne aventure ou une tireuse de
cartes...

Mais je m'arrêtai, — car l'air grave et visiblement
contrarié qui s'était subitement répandu sur le visage
du paysan me montrait clairement que j'avais touché
une corde sensible, et que je l'avais scandalisé autant
que si j'avais craché en sa présence sur l'Évan-
gile.

— Pardonnez-moi, dis-je au bonhomme pour cal-
mer ses susceptibilités,— mais vous savez, nous au-
tres, gens de la ville, nous sommes tous pu peu in-
crédules, et les médecins le sont plus que les autres...
Ils ne croient guère qu'aux faits...

— Je le sais, répondit-il, je le sais... mais les laits
sont là...

— Il y a des faits?...

— Oui, il y a des faits.

— Eltè a annoncé vraiment, l'avenir?

— Sans doute.

— Des choses qui sont arrivées?

— Comme je vous vois.

— Ah !... vous m'en direz tant !

— Vous ne ri.z plus maintenant?...

J'en avais bien encore veine; mais il était évident

Le travail des femmes a été mis sur I

tapis,

El, à ce sujet, on a révélé un certain nom-
bre de faits curieux sur l'utilité des couvents
de femmes dans l'industrie moderne.

Qu'on me permette de rappeler un fait per-
sonnel :

Me trouvant un jour en Belgique, dans une
certaine ville qu'il est inutile de nommer, je
fus surpris de la quantité inouïe d'aimables
trotteuses qui le soir émaillaient le pavé aus-
sitôt que les becs de gaz étaient allumés.

C'est-à-dire que c'en était comme un bou-
quet de purs!

Et qu'il y a à Paris un proverbe dont la rue
Saint-Honoré et la rue Saint-Martin forment
les rimes, qu'on eût pu appliquer sans calom-
nie à la charmante petite ville en ques-
tion.

Comme je marquais mon étonnement h un
habitant du pays, homme notable, conseiller
municipal et avocat distingué :

— Ce sont jes couvents, me dit-il.

— Les couvents?... Qu'ont à faire là-dedans
les couvents?...

— Comme on y coud des sucs à dix centi-
mes, répliqua-t-il, des chemises à trente, des
pantalons de femme et de terrassier à vingt,
et le reste à l'avenant, — car il faut bien y
tirer parti des orphelines et des enfants qu'on
y recueille, — il se trouve que le» femmes et
les (illes t|é la ville qui voudraient travailler
ont. la perspective de gagner huit ou dix sous
par jour, en tirant l'ajguille pendant douze
heures et en fournissant te fil... Comme, en ou-
tre, elles n'ont pas, comme dans les couvents,
la ressource des aumônes, des subventions
municipales et des revenus de la coaamu-
naulé, elles n'ont pas besoin de grands rai-
sonnements pour compreqdre qu'après avoir
gagné pendant trois mois huit ou dix sous par
jour, elles seraient obligées d'aljer à l'hôpi-
tal se faire traiter de la phthisie, elles préfè-
rent un métier plus lucratif, et voilà pour-
quoi nos trottoirs présentent le soir l'aspect
que vous savez...

— Mais n'y a-t-il rien à faire? Ou n'y a-t-il
pas des moyens de répression?

Il haussa les épaules :

— Est-ce qu'on peut enfermer les trois
quarts des femmes de la ville, me dit-il.

Je me le tins pour dit, et ne répliqua
mot.

*

* *

Eu police correctionnelle :

Le président. — Accusé un tel.

Le prévenu. — M. le président.

Le président. — Vous avez dit que mon-
sieur que voilà, et qui est votre voisin, était
un chenapan, un yoleur, un brigand, un scé-
lérat qui pe valait pas la corde pour le pen-
dre...

Le prévenu, avec feu. — C'est vrai, monsieur
le président, c'est bien la vérité... mais je ne
l'ai pas ditl

* *

Deux gendarmes de la banlieue entrent
dans Paris par La Chapelle.

Ils viennent dans la capitale pqur la pre-
mière fois et ne connaissent pas les rues.

Or, il leur faut aller au palais de Jus-
tice.

I —M

que si je laissais voir trop à découvert mon scepti-
cisme, [e père Puret se piquerait et garderait le si-
lence, et qu'alors je ne saurais rjgn de 3B que je vou-
lais savoir... Je pris donc l'air le p|ng sérieux qpg je
pus, et, je dis au bonhomme :

— Mais enfin qui est-elle, cette Antoinette? Doq
vient-elle ?... A-t-elIe une famille ? Où dflffleqr*-
t-Dlle?

— Je vais tout vous dire, répondit le vieux paysan
un peu radouci...

H ramena autour de nos jambes une grosse IjmQft-
sine en poi| de chèvre, — car, à cette heure matinale,
1 air des champs était encore très-fraj$j il donna par
acquit de cppsciene« plu tôt que pour autre cfjpsp un
coup de fouet a la jtymant blanche qui pop>j «pprW-
sait et qui n'en avança pas- une jambe plus v^b. qu'au-
paravant. et après ayoïr enfoncé avec le hoq( (Je son
pouce la cendre de sa pipe :

— Antoinette, dit-il, n'est pas la première venue...
Elle est d'une bonne fumi||e d'ici, et k fleure qu'il
est, si vous ne vous eq doutez pas, elle est une dq»
plus riches du village...

— Ah ! interrompis-je, et est-ce. qu'elle n'» pas de

parents?

— Elle n'en a plus, — pp du moiqs elle p'a plus que
des parents éloignes, — pomme mon neveu JgSR-Pau-
liste, par exemple, qqi, par sa me're, est son cousin
éloigné. Tous les autres sont morts... |ît"sj 4otpj-
nette va chez les pauvres gens qui sont rpali}des, si elle
leur donne des soins et des remèdes quj les ^uéii.-sent
souvent, c'est par purs charité, parce qqe personne ne
lui donne rien et âq'eHo n'a, du reste, pesm» de Per-
sonne...

— On fait donc aussi de la médecine?..,

— Et de la norme, encore!... 1) tant biep qu'il y
ait quelqu'un qui s'occupe de nous par bppfé. fl'smp
puisque le p|q, proche médecin est à Happpùrdip, et
qu'avant qu'on Tait trouvé, décidé à venir et ramené
avec soi, les gens oqt le temps de mourir trois fois...
Heureusement, Aptpipette est là,—on va. la cperchqr,
— et avec certaines plaqtes qu'elle connaît, fille Vous
guérit presqqe toujours, quand ce n'est pas ffpp gr4V#.

— Et quaqd ç?est. trop grave ?

— Alors, on va chercher le midecin, «t — ajouta
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