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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

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https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0212
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LK GRELOT

le ventre, et dont le bras se fatigue à cette
besogne.

D'où un procès qui ne sera pas des moins
curieux de l'année.

Mais ne trouvez-vous pas qu'on apprend
tous les jours dans la vie !

Jouer la rentrée du roi en osteasoip est une
de ces inveutions qui peuvent se passer de
brevet avec oh sans garantie du gouvernement,
—: et toute à la plus grande gloire |de Dieu.
• Seulement la conduite de ce curé de Lard,
qui veut probablement consacrer ses revenus
a s'en faire, est abominable,

Et c'est là un de ces traits qui montrent
bien que nous sommes, comme dit Dufaure,
dans un siècle d'immoralité et d'irréligion.

* •

Tous les esprits bien pensants ont eu la
semaine dernière une douce émotion :

Je veux parler de l'acquittéuieat de Saint-
Genest.

Voir faire une heure de prison,

Voir donner un sou d'amende à cet excel-
lent jeun*, homme, — à un garçon de tant ae
talent et de tant d'esprit, si amusant, si jovial,
si désopilant,

C eût été à en mouiller tous les mouchoirs
du noble fasbourg.

Mais heureusement, on y a rais bon ordre,

Et ce bon jeune homme est sorti triomphant
de l'arène.

*

Pourquoi, en effet, l'eut-on condamné?

Il est trop évident qu'un homme aussi bien
pensant que M. de Saint-Genest, aussi conve-
nable, aussi poli, aussi comtesse de Bassan-
ville, ne pouvait vouloir insulter l'armée, ni
le Sénat.

Pli est vrai qu'il insulte des gens de l'aimée,
et des membres du Sénat,

Mais l'armée et le Sénat, pas le moins do
monde.

Ce sont des individus, et voilà tout.

Aujourd'hui, il a pris tels et tels person-
nages rie ces deux corps;

lit on l'a acquitté parce qu'il n'a insulté que
ces personnages, et m» les corps.

Demain, il en prendra d'autres,

Après demain, Vautres encore,

Et ainsi de suite,

De sorte qu'il flaira par avoir insulté tout
le Sénat et toute l'arasé»),— par morceaux, —
par fragments, — par bribes,

Et qu'il naijuj es arrivera rien parce qu'il
aura procédé par iMividus, et qu'il n'aura
pas insulté l'eiiseaibie de l'armée et du Sénat,
— attendu que riant la nouveau système les,
Iractious ne iont »tas partie du tout et n'ont
pius rien à faire &fk* ko us.

* *

Quand je faisais aaa'pailosophie, mon pro-
fesseur me dit :

^-.Evitez le sophime, monsieur, évitez les
arguments eaplieux', rte énumératioBSincom-
plètes et surtout l'argument du chaave , a
ealvo. 1 ■ butoir

J'ouvris de grands yeux.

11 reprit: Est-on chauve pour un cheveu
qu'on vous arrache...

— Non, répondis-je, plus surpris encore.

— Je vois qae'vows ne savez pas ee'que c'est
que l'argument du chauve : je vais vous l'ex-
pliquer... Veici un individu dont la tête est
plantureusemeot couverte de «fh'eveux... Si
vous lui en enlevée «m, sera-t-it'chauve pour
cela?

'.— Non, monsieur.

— Sans doute... Il ne sera pas ebaave pour
cela... vous l'avez admis dans l'a prémisse...
Et .si je lui en enlève<ïto;second ?•

— Non plus.

— Prenez garde, monsieur, j'arriverai ainsi
à lui enlever jusqu'à ï<hi dernier cheveu, et
comme vous av«z admis qu'on ne rendait pas
un individu chauve su lui arrachant un che-
veu,il aura le eràne au eoni me la paume de
ma main, que vous direz encore qu'il n'est
pas «hauve...

Je le regardai la bouche béante, et je restai
bleu, comme on dit...

C'est égal , depuis l'acquittement Saint-
Gensf, je comprends l'argument a ealvo...

» *

Au quartier latin.

— Ah ç*l Jeanne,voudriez-vous m'expliquer
pourquoi tous rentrez si tard...

— Mais., mon chéri.

— Il es*S près de deux heures du matin.

— Mais lu sais bien que j'ai été chez ma
tante com me tous les samedis... ?

— Chei ta tante!... c'est <ouche, Jeanne,
et quelqu ; chose me dit que tu me trompe^...

— Moi, par exemple !

— Je snis ce que je dis !

— Mars je te jure !

— Je ne te ci ois pas !

— Moi, te trowper! jamais, je te le jure
sur les cendres de ma mérel

L'étudiant, à peu près convaincu :

— Oh ! alors, si tu le prends sur ce ton, jfi
vais être obligé de te croire.

Puis se ravisant, tout à coup :

— Mais, dis-moi, est-ce qu'elle est morte,

ta mère ?

— Par exemple 1... il n'y a pas de danger!...

***

Dans un théâtre de drame :

Un individu île taille moyenne est assis au
parterre derrière un individu beaucoup plus
grand que lui, qui lui masque toule la scène.

Aussi se hausse-t-il sur ses pieds afin d'a-
percevoir au moins le nez du fort premier
rôle.

Naturellement, alors, ceux qui sont sur les
banquettes suivantes ne voient absolument
plus rien,

Et ce sont des

— Assis!... asseyez-vous I... à la porte!...
Eh là bas, voultz-vous un petit baricî etc. ,etc.

Mais i'autre tient bon et ne se'rassied pas.
Uue tempête véritable s'ensuit.
Au milieu de l'orage, une voix de gamin
part du paradis,

— Laissez-le donc faire, dit la vftix... Vous
ne voyez pas que c'est un tailleur qui se dé-
lasse !

BRIDA1NB.

la mmm théâtrale

COMÉDIE-FRANÇAISE

La Comédie-Française a donné lundi dernier les
représentations de l'Ami Fritz, de MM. lïrckiniinn et
Chalrian, dits les bons patriotes, et les auteurs des
romans nationaux — ce dernier qualificatif entendu
dans le sens le plus large possible.

Ceux qui comptaient sur une représentation à scan-
dale ont fcté ftius déçus dans leur» espérances : pas un
chut, pas un sifflet ; rien, rien, si'ce n'est un long
bâillement en trois a'ctfes. ■ Heii ».

On ne saurait rêver quelque chose de plus insipide,
de plus niais, de pins assommant que celte idylle gas-
tronomique qui commence par une ciioucroute gar-
nie et finit par un beignet plus ou moins souillé.

Mais l'action V' me cirez-vous. Il doit y avoir une
aciion quelconque, si minime qu'elle soit.

Uoe action ! allons donc!

Voici le thème avec lequel les auteurs — des ro-
mans dits nationaux — ont exécuté' leurs variations
rien moins que brillantes.

I"r acte. — J'ai une bonne servante et une bonne
■ ■'' table.i. :
Je mange bien I...
2* acle. — Sapristi!' ma pauvre Catherine vieillit! Si

j'allais mal iiianger !
3' acte. — Sauvé! J'épouserai Suzel, une excellente
cuisinièie. *
Je mangerai bien...
En vérité, mes (Vères, je vous le dis. on avait fait
beaucoup de bruit pour rien.

La conclusion : nous la trouvons dans ce dialogue
surpris à la sortie :

— Eh bien! Et l'Ami Fritz?

— Ma foi, mon cher, j'ai eu l'honneur... de m'en-
nuyer souverain«nient.

Jules ds ia Verdrie.

Les rentes françaises dont la liquidation le
l"r décembre, s'était faite dans de moins bon-
nes conditions qu'i»H'premier novembre, fer-
maient le lendemain le 3 0(0 à 69 80 et le 5 0|0
à 102 9:2, soit à 80 e. et 67 plus bas que les
cours rie compensation fixés la veille.

:^ i?»» (!<U8pv *
• »

Les bonnes valeurs,»c'est-à-diré les actions
et obligations" des grandes compagnies de che-
mins de fer, du'-Gaz? parisien, du Canal de
Suez, des Messageries, des Otnnrbusi des Voi-
ture» sont aussi en baisse sensible, les por-
teurs de titres feront bien cependant de ne
lias s'effrayer et de laisser passer la bourras-
que.

*

* *

L'Italien est encore plus mal colé que les
rentes françaises; et cela avec juste raison.
Compensé a 72 50 le 2 novembrettff-tf 7$ 50 le
H; novembre, il l a été à 69 iule 2 riéeVmbre.
— Plus de trois franc* de baisse eh' w mois,
c'est raide. On en ver a bien d'autres; si aux
échanges de comnitiiications diplomatiques
succèdent des coups de canons et de fusils.
. tte* *>«l:r?> «* vz*ê%i >
?"» •

La déroute des lo ids russes s'accentue.
Voilà le 5 0|0 dé 1870 i 80 et le 4 i\i de. 1875
à 72. C'est seulement) ourle 5 OpO sept unités
et pour le 4 i|2 trois I nilés de. moins qu'il y a
un mois. — Là baissa serait bien autrement
forte si tous les ordr» « de ventes pouvaient
s'exécuter. A leurs i surs actuels les fonds
sont beaucoup trop c> er. Pour ne parler que
dn 5 0<0 de 1870, le c mrs de 80 représente
encore le taux d'émis» ion. Or est-il possible;
je le demande, qu'au, ourd'hui fin de 1876, à
la veille des épouvants bles événements qui se

préparent, la situation financière de l'empire
russe soit aussi bonne qu'elle l'était au com-
mencement de 1870? Le simple bon sens dit
non. Aussi ne faudra-t-il pas s'étonner si d'ici
quelque temps ce fonds se traite entre 50 et
40.

*

* *

Le charlatan de la fable demandait dix ans
pour apprendre a lire à un âne, ii èii faUt neuf
bien comptés au Times pour arriver à sè pro-
noncer sur la valeur des arrangements que
l'on vient de faire avec le khédive, 11 ne croit
pas qu'il soit possible h un aussi gros person-
nage''de vivre avec h bàgaHël'Ie de 112 à 130
millions par an. " * 1

A son dire, le khédive qui est depuis long-
temps passé docteur dans l'art de faire des
emprunts s'est joué de la candeur de MM. Gos-
çhen et Joubert, et il continuera comme par
le!passé a se servir de son art. — H est po.-si-
ble dit le Tvrncs qu'il ne te trouve plus de
grandes compagnies et rie grands banquiers
pour prêter de l'argent au khédive. Mais il y
a une foule de petiis banquiers, honnêtes ou
coquins Honest mm er knavts qui veulent deve-
nir grands lui fourniront tout i'argent dont il
aura besoin; et ces gens-là, en dépit de toutes
les commissions rie contrôle qui ne connaî-
tront les dépenses qu'après que celles-ci au-
font éié faites, sauront bien, pour rentier
dans leurs avances, se faiie attribuer la part
réservée àux porteurs rie titres dans les dé-
crets qu'il a plu ou qu'il plaira au khédive rie
rendre.

* *

Si ce point de vue de la question'égyptienne
ne présage rieu de bon pour les porteurs de
la dette égyptienne, un revanche, il est hn'peu
plus rassurant pour le Crédit foncier, qui a
pour 168 millions de bons du trésor égyptien
en portefeuille.

Lu patientant, il arrivera peut-être à se fai-
re payer, mais ce sera long, leConseil d'admi-
nistration a la bonté d'en convenir.

1 > J;y t- .if / i

• *

La fusion du Crédit agricole et du Crédit
foncier a été votée par les assemblées géné-
rales des deux sociétés. Dans la première
cette fusion a été votée par des actionnaires
i ('présentant seulement un peu plus du quart
du capital social, et dans là seconde, par des
nclionnaires qui en représentaient moins du
c!!iq,.ième, A première vue cela peut paraître
étrange, mais cela eat très statutaire, aussi sta-
tuiaiiu que l'est la facétie d'avoir employé le
capilalsocial; les réserves et partie des comp-
tes des dépôt en valeurs égyptiennes. A ceux
qui eu douteraient, je leur dirais rie se repor-
ter au rapport du Conseil d'administration,
bù la chose est affirmée en propres termes.

« *

Maintenant si parmi les trois quarts des ac-
tionnaires du Crédit agricole, et des cinq
sixièmes des actionnaires du Crédit foncier,
dont on a si lestement réglé le sort, il en est
qui ne sont pas contents de ce traité de fusion
qu'arrivera-t-il? Qu'arrivera-t-il notamment,
si les actionnaires du Crédit agricole, peu sa-
tisfaits d'apprendre que les 16 millions com-
posant le capital versé, et 6 millions en plus
sont bel et bien engouffrés pour ne plus en
revenir dans les affaires égyptiennes, veulent
en resler là, c'est à dire ne point verser les
350francs appelés sur leurs actions, et pren-
dre par le l'ait de ce versement, l'engagement
de verser encore 250 francs sur les actions
du Crédit foncier qui leur seront remises en
échange des leurs?Qo'arrivera-l-il? Peut-être
des procès ainsi longs, aussi bruyants et en-
core pins interminables que ne l'ont été les
procès Mirés et de l'ancien Crédit mobilier.

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