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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 6.1876

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https://doi.org/10.11588/diglit.6811#0216
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LE GRELOT

Ll SEMAINE THÉÂTRALE

les reprises •

Si" les premières onl été rares, il n'en est pas de
même des reprises qui ont été nombreuses.

L'Opéra a repris Robert le Diable que nous n'avions
pas entendu depuis i'incendie de la salle de la rue
Lepëlletier. Mademoiselle Krauss chantait le rôle
écrasant d'Aline dans lequel elle a fait preuve du plus
grand talent. Madame Miolan-Carvallio, reprenait son
rôle d'Isabelle. Les deux autres rôles principaux,
ceux de Robert et de Bertram ont été très-bien te-
nus par MM. Salomon et Bondouresque.

M. Halanzier a remonté Robert avec le plus grand
luxe. La mise en scène ne laisse rien à désirer, dé-
cors et costumes sont saisissants.

Un italien, M. Escudier a offert en moins de huit
jours à ses habitués deux œuvres nouvelles, Poliuto
de Donizelti et II Trovatorc de Verdi.

Si les abonnés de la salle Ventadour ont à se plain-
dre de quelqu'un, ce n'est pas à coup sûr du direc-
teur.

Au théâtre Lyrique, enfin, M. Vizentini nous a
donné une excellente reprise de l'œuvre immortelle
de Rossini, le Barbier de Scville, avec madame Zini
Dalti, MM. Engel, Lepers, Greoze et Soito qui for-
ment un ensemble parfait, en même temps qu'il nous
faisait applaudir comme lever de rideau une petite
pièce peu connue, les Troqueurs d'Hérold.

Pour achever d'enflammer les Almaviva des avant-
scènes et consoler les Barlholo de l'orchestre, l'habile
directeur a ajouté à ce charmant spectacle un fort
joli ballet admirablement dansé par mademoi-
selle Anaïs Maillard.

Voici les lendemains de Paul et Vùginie assurés
d'une façon fructueuse.

*

* *

BALS MASQUÉS

Samedi dernier, par décision de monseigneur le car-
naval la chasse au îoup a été décrétée dans notre bonne
ville de Paris,

Triste, triste, le Carnaval!...

("■•lias, les cliassèresSes ne manqueiUpas; le gibier
non plus ., mais ii est ''ur à tueS*.

Puiïr beaucoup lu fu-il se 'transforme en cann" à
pèciie vers le? deux heur s Ju matin, qtkafi1 le-, nus-
ques tombent, et plus d'une infortunée coeoiie...

Pour éviter ia patBMiilfe.
El pour lie pa> rehir 1 bredouille
Se contenté d'un ca.icoi!

Faute de grives, oit mange du merlan.
Tii.:t"p;s poilr i lies !

t.ft sue ès le h'soné -, à Frascalî, a été pour un
individu déguisé en c»t'«e ministérielle qui s'était,
fait, une fêté rie d' p.ité bien connu et de chb'érique
cip même tcuip\ et parourait >a iif eh tous ?ens,
un journal à lu main, demandant un cabinet à tous le.-,
échos.

Ou diable la politique va-t-elle se nicher ?

* •

CLUNY.

Le drame^ en quatre actes, YAffaire Fauconnier,
qu? M: Georges Petit vient de faire représenter sur la
scène du boulevar! Saini-G' rmain est de ceux qu'on
range dans la catégorie des drames intimes ou de
famille.

II s'agit d'un vieux commandant ruiné par des
spéculations malheureuses, qui, pour subvenir aux
besoins de sa femme et dé sa tille, accepte une place
de douze mille francs chez un financier véreux qui
se sert de lui, de son honorabilité, de sa rosette, à
son insu, bien entendu, pour appâter les actionnaires.
Le commandant lielorme est, en un mot, son homme
de paille.

La déconfiture de la maison Fauconnier ne tarde
pas à éclairer Delorme sur le rôle odieux qu'on lui a
l'ait, jouer, et pour échapper au déshonneur, il se tire,
un coup de pistolet dans la poitrine, au moment où
la justice se présente pour arrêter Fauconnier et Cie.

Traduit en cour d'assises, sa parfaite honorabilité
est reconnue; il est acquitté, pendant que son patron
est condamné à lu ans de prison.

Sur ce sujet, auquel l'actualité donne un intérêt
nouveau, le .jeune et sympathique auteur a écrit une
pièce fort bien faite, fort intéressante, dont presque
toutes les scènes rénferment de grandes qualités. Le
troisième acte est très-dramatique : le suicide du
commandant et l'arrestation de Piquet sont amenés
de main de maître?

L'affaire Fauconnier ne peut manquer de ramener
le public au théâtre Cluny; ce qui n'empêchera pas,
du reste, malheureusement, les financiers, véreux de
pulluler autour de nous, de trouver des hommes de
paille ot des actionnaires pour les dévorer.

Jules de la Verdiue.

GRELOTS

Quand je dis vase d'élection, je parle de la vierge,
et bon pas de la soupière électorale de M. Du Mi-
rail.

•' • ' + ' ' ' '

Ce qui prouve bien que le mont Calvaire n'était
pas Je Mont-de-Piété, c'est qu'il s'y est passé des
choses bien impies.

+

Les saints qui sont au paradis, n'ont pas du tout
ia forme de ceux des nourrices.

+

La religion défend de pécher par pensée, par pa-
role, par action et par omission ; mais comme elle est
assez tolérante, elle permet de pêcher à la ligne.

+

Vendredi chair ne mangeras, ne veut pas dire qu'il
faut manger bon marché ce jour-là.

+

Quand je vous chante : Vide Thomas, ce serait une
grave erreur de croire que c'est du français, c'est du
latin.

Je vous dis cela pour que vous ne croyiez pas que
je me mêle des... choses de votre intérieur.

TR1BOULET.

GRELOTS-FINANCE

La première semaine de décembre a été meilleure
pour le marché des rentes qu'on ne s'y aitendait. —
On ne s'est pas ruiné du tout, et s >ge on a été en cela,
de ce qui pouvait surgir de la crise ministérielle, et
les paroles pacifiques prononcées après boire par
M. de Bismarck, ont ( lus rassuré nos boursiers que
cent déclarations de M. Decazes n'auraient pu le faire.

Notre rente 3 0[0 au lieu de reculer vers 69, s'est
pTiiise en route vers 71 cl. noire rente fi OiO que l'on
craignait de voir tomber à 103, a grande chance de
revoir auparavant le cours de 105.

L'Italien a eu pareille bonne fortune. Il était mî-
nacc de pen4re le cours de 69, et il va vers 71.

I' n'y a pas jusques aux fonds Turcs qui ne s»
trait nt h dis cours nn peu mniïis mauvais. Cepen-
d nt 1 •» ««us qui =ont obligés de bat-rc monnaie avec
des obligations ottomanes sont toujours In" n â plaindre.
De longtemps il ne -e trouvera 4a;is les caissés iur-
qne^ la moindre piastre à'leur service.

Les fonds Russe? se sont aussi u■ > peu relevas.
Mais si la «ticre sert ,1e la conférence, giire de co'irs
puiv bas que ceux que l'on a encore vus. pos.-e—
senrs île fonds puM'CsrusseS! Ven iez, Vend' z, dussiez
vous penlre énormément sur votre prix dVhtft, en
attendant vous perdrez plus encore Jamais \» R s-ie
n'aura assez'd'argenl pour p;.y«r ses snldits et ses
créanciers, et dans ce cas, ce sont ceux-ci qui seront
sacrifiés. »

Il y a aussi dii mieux sur les fonds Egyptien. Mais
ce mieux tient non'à la'situation'des finances Égyp-
tiennes, maisji des expédients tout artificiels, qui
vont penl-être,Je die peut-être, permettre de payer
les coupons de'janvier. Mais ces expédients ne sont
pas indéfiniment renouv. labiés. Or que les capitaux
désireux de se conserver, doutent toujours de la
durée des gros revenus qu'on leur promet, et veuil-
lent bien se rappeler cet axiome anglais — gros reve-
nu mauvaise valeur.

\s Crédit Foncier présente parfois d'une bourse à
l'aiftre, dés écarts énormes. II » fait 650 puis après
090. On'le reverra je le crains bientôt au dessous de
650. En tenant compte de 2H0 restant à verser, celà
le mettrait à 400. Mais on est fort peu suf %ue lés
•actionniires du crédit agricole"consentent» verser
'les 3n0 fr. par actions, sont les 28 millions qu'on leû'V
demande, Il est du reste à peine certain, celà ressort
des termes même du rapport fait aux actionnaires du
crédit foncier que la liquidation des affaires Égyp-
tiennes absorbera de 45 à 50 millions de francs.

Le crédit mobilier est sous séquestre. Cette phase
trés-peu inattendue de son existence commande la
réserve. N'en parlons plus. Peu de capitaux sérieux
sont du reste à leur valeur.

Tous les chemins se tiennent, actions et obliga-
tions — Il en est de môme des grandes valeurs indus-
trielles.

* af _

Les bons à encaisser, sont par ce temps de calme
bien malades; malheureusement ils ne disparaîtront
assez tôt pour la conservation de l'épargne.

Avril.

Vient de paraître chez Dentn, palais royal, UNE
MARIEE DE SEIZE ANS, par M"'* Bsldère. Ce roman
est une bonne étude de mœurs, il est à la fois gai'
et sentinienlid plein de piquant et d'originalité plejn
de mouvement et d'entrain, et offre une lecture ,on
ne peut plus amusante; M™' Bà'lère est encore l'au-
teur des MYSTERES DE LA CREATION DEVOILER,
qui en ce moment obtiennent un succès.

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varié, ballets, pantomimes. Delmonico, le dompteur
noir.

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Mattiozzi..... La Danse d'Amour, valse..... 2 »

Marx.......Diane de G ibis, polka-maz... I 50

Strauss...... Arlequin, polka............. i »

Métra....... Le Chant du Pêcheur, polka.. 175

Mattiozzi..... Polichinelle, polka.......... i »

Marx.......Colombine, polka............ 1 50

Bmicat..... Les Cbants de la forêt, valse.. 2 »

Dsisnrte..... Le Praier, valse............ 2 »

Delsarte.....Chants lointains, valse....... 2 »

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